Intrigue> La soirée de tous les voeux...

Invité

*Arrhh… mais de quoi je me mêle moi. *

« Salut ! Ca te dit la prochaine dance avec moi ? »

« Pourquoi pas. »

« Par contre, je ne danserai pas sur les musiques douces. »

Nami disait les connaître ? Intéressant…Alors comme ça quelques rumeurs traînaient à son propos ? Plutôt drôle comme histoire (tout dépend du point de vue - -‘). D’habitude peu porter sur les ragots, l’idée de savoir ce que l’on disait de la pile électrique des SA entre deux couleurs l’amusait grandement. Mais, avant qu’elle n’ait pu en placer une, Koro avait déjà répondu, ce que Yuka n’avait pas trop apprécié. Lorsque l’on lui pose une question, elle préférait y répondre toute seule, comme une grande fifille. En revanche, cela avait l’air d’arranger à proprement parler Nakao.

« Nami, je te présente Nakao Kuroshima, mon frère, et Yuka Kunimoto,… Une connaissance. »

Connaissance ? Hum, oui…si on veut. Les deux filles s’étaient croisées une fois par hasard à la patinoire de l’académie et en avait profité pour faire un brin de causette. Yuka avait alors trouvé cette « connaissance » plutôt sympathique dans le genre je ne me laisse pas bêtement faire. Son caractère lui plaisait même bien à vrai dire, ou du moins, la facette qu’elle en avait vu à ce moment là.
Mais je me serais plutôt présentée comme une fille de la même classe…enfin, tan-pis.
Pendant ce temps, son plus ou moins timide cavalier en avait profité pour chiper un petit four.
Note pour plus tard : lui apprendre à en proposer au demoiselle avant de se servir. Pensa la Kunimoto qui commençait à avoir un peu faim puisqu’au final elle n’avait rien mangé de la soirée. Cependant, Koro réattaquait déjà à sa manière, une petite remarque acidulée de passage dont Yuka était certaine que la collégienne en connaîtrait les conséquences sur Nakao puisque elle-même aurait presque pu les prédire.

« Et alors, Yuka, Nakao danse bien? »
Un fard monumental de la part du garçon assaisonné d’un étouffement au petit four. Cela lui apprendrait à manger sous son nez tien ! La réaction de Yuka fut en tout point différente de celle de l’adolescent. Son sourire s’élargit et elle répondit du tac au tac.

« Ecoute, tu n’as qu’à juger par toi-même. »
Tout en disant cela, la Kunimoto avait agrippé le bras de notre grippe-sou chapardeuse préférée pour la ramener d’un mouvement sec et rapide vers elle. Ainsi, sans que Koro ne comprenne tout de suite pourquoi, ni comment, elle avait permuté sa place avec Yuka et se retrouvait directement dans les bras de Nakao.
Comme si de rien n’était, Yuka pris ensuite Nami par les épaules afin de la diriger vers le buffet. Avant de partir elle lança distinctement pour que même par-dessus la musique on puisse l’entendre :

« On se retrouve vendredi soir après les cours à la bibliothèque Nakao-kun ? »
Ce qu’elle n’avait cependant pas prévu c’est que pile à ce moment là un léger bug de la sono se fasse entendre…ou plutôt que celle-ci ne se fasse plus entendre ! Cela n’avait duré que quelques secondes, mais une bonne partie des personnes présentes autour d’eux avait pu ainsi profiter pleinement de cette clôture. De plus, Yuka, parce qu’elle en avait rapidement assez d’appeler les gens par leur nom de famille, n’avait pas hésité à utiliser le prénom du jeune homme qu’elle espérait libre vendredi soir pour lui faire réviser son contrôle du lundi. De quoi prêter à confusion et alimenter un peu plus les potins de ce soir…

« Cela te dit de danser avec moi pour la prochaine ? » demanda-t-elle à la pauvre Nami embarquée de gré ou de force vers le buffet où la demoiselle qui l’y avait conduit se servait maintenant tranquillement dans les gâteaux proposés.

[HRP:j'espère ne pas vous avoir fait trop attendre...étant donné que j'ai eu une semi-plainte concernant le bloquage de l'intrigue...je m'excuse. >>]

Invité

Lorsque Koro prit les devants pour lui répondre, Nami put apercevoir un agacement léger chez Yuka. Le "connaissance" n'avait pas l'air d'être tout à fait ce à quoi elle s'attendait. Par contre, Nakao donnait l'impression qu'il allait sauter de joie... C'était un contraste assez intéressant.

Bien sur, la conversation ne s'arrêta pas là. Koro la relança très vite avec une petite phrase aux accents malicieux.

-Et alors, Yuka, Nakao danse bien?

Le garçon piqua un fard. Rougeur qui s'accentua lorsqu'il s'étouffa avec le petit four qu'il tentait d'avaler, sans grand succès. Yuka, par contre, élargis encore le sourire qui lui collait déjà aux lèvres et répondit du tac au tac, tout naturellement.

-Ecoute, tu n’as qu’à juger par toi-même.

C'était un coup bas. Evidemment. Mais cela fit sourire Nami, voilà une situation qui aurait mérité un oscar, tant elle était cocace.

Rapidement, Yuka attrapa le bras de Koro et la plaça dans ceux de Nakao. A partir de ce moment, notre amie Nami perdit le contrôle de la situation. Elle sentit plus qu'elle ne vit qu'on la tirait rapidement vers la buffet. Elle aurait pu essayer de résister. Mais elle se doutait bien que ce n'était pas un kidnappeur. Non, c'était plutôt une entremetteuse machiavélique.

-On se retrouve vendredi soir après les cours à la bibliothèque Nakao-kun ?

Vraiment machiavélique. Voilà qui allait alimenter les ragots de la soirée. Le pauvre Nakao allait en baver sur ce point. Voilà ce que c'était que de traîner avec autant de filles... Pour une fois, Nami songea qu'elle écouterait bien les rumeurs des semaines à venir. Puis elle se reconcentra. Elle était toujours en train de se faire enlever.

Une fois arrivée à destination, c'est-à-dire le buffet, Nami se retouran vers yuka, car c'était bien elle qui l'avait emmmenée de force. Cette dernière mangeait avec appétit, un petit sourire aux lèvres. Elle avait une idée en tête, à coup sûre.

-Cela te dit de danser avec moi pour la prochaine ?

Ah. Yuka avait finit de manger et la propositon était intéressante. Nami commençait à avoir de fourmis dans les jambes.

-Avec plaisir... Mais, dis-moi, tu compte caser Koro-san et Kuroshima-san ensemble ? Si oui, je suis avec toi, ils vont plutôt bien ensemble. Dit-elle avec un sourire espiègle.

Invité

Chi observait tout le monde, sans vraiment les voir.... Qui pourrait vraiment l'inviter à danser, elle ? Personne, évidemment. Elle n'était pas assez bien pour eux... Entre Yuka et elle, ils n'hésiteraient pas... Elle avait un verre de jus de pomme à la main (elle ne boit pas d'alcool, ou alors en quantité très basse, car lorsqu'elle boit hem... je préfère le passer sous silence...), et le faisait tourmer, regardant le vagues se former et se détruire presque aussitôt... Elle savait qu'elle n'aurait pas dû venir... C'était inutile, elle perdait du temps, et en plus, plusieurs personnes essayaient de l'empêcher d'y participer... Les larmes coulèrent toutes seules, éternelles, froides, comme des petits cristaux... Elle aurait dû écouter (pour une fois) ses profs et rester dans sa chambre, au moins, elle aurait pu se distraire...
-La vie n'est belle que lorsqu'on la prend du bon côté... Et moi, je me suis trompée...
Elle se leva d'un coup, et avança vers le buffet, elle avait besoin de quelque chose de sucré. Elle regardait par terre, et se cogna dans quelqu'un, encore...
-Ouille... Gomenosaï (désolée)... Ce soir... je ne fais que des bêtises...
Son jus de fruit était renversé, en bonne partie sur la personne qu'elle avait cogné...
-Gomenosaï, Je... je suis vraiment désolée... Je ne l'ai pas fait exprès.... Je ne suis qu'une nulle !
Elle se mit à pleurer, ses longs cheveux (attachés en nattes) se placèrent devant son visage, comme un rempart...

Invité

Tsukiyo sortit de la piste de dance, opération dificile lorsqu'elle se trouvait au beau coeur d'une foule d'élèves qui dansaient et ne prêtaient aucune attention à elle...
La petite taillle de Tsukiyo n'arranga rien : certaines personnes, ne la voyant en pas, lui transphormait litéralement les pieds en compote.
Enfin sortie de l'enfer de la piste de dance, Tsukiyo se dirigea vers le buffet...
Le buffet était immense, remplie de toute sorte de plats, allant du sushis à la buche de noel dipiqement française.
Tsukiyo commenca à manger des plats français, pour changer des plats Japonais dont elle avait l'habitude. Elle s'assit sur une chaise, et regarda la lune, si belle et si majestueuse, brillant plus que n'importe quelle étoile, paraissant si proche, et pourtant si lointaine...
Un jour, j'aimerait m'envoler, aller voir de quoi ressemble la lune de près, de pouvoir voir ce que cela fait de voir la terre en petite...
Plongée dans ses pensées, Tsukiyo ne fit pas attention et se fit percuter par quelqu'un... Elle tomba comme une pierre par terre.
-Ouille... Gomenosaï (désolée)... Ce soir... je ne fais que des bêtises...
Tsukiyo se rendit compte que le verre de la jeune personne s'était renversé sur elle et sa jolie robe à pompon qu'elle avait acheter hier au centre ville...
Elle faillit se mettre en colère, mais les paroles de la personne la frappit en plein fouet...
-Gomenosaï, Je... je suis vraiment désolée... Je ne l'ai pas fait exprès.... Je ne suis qu'une nulle !
Tsukiyo se releva, elle regardat la jeune fille qui avait renversé du jue de pomme sur sa robe... Une robe bleue... Des longs cheveux brun... Un bracelet... Assez petite... Tsukiyo ne pouvait par voir son visage, les cheveux de la jeune fille le cachait...
-Il n'y a personne de nul dans ce monde, il y a juste trop de gens pas assez sur d'eux qui se considèrent ainsi.
Tsukiyo prit un sopallin sur le buffet et essuya sa robe.

Koro était amusé de voir Nakao en train de s'empiffrer,et de s'étouffer. Quand même, si il ne faisait pas attention, sa réputation allait en prendre un coup. elle attendait toujours la réponse de Yuka. Bon, alors, elle répond oui ou non.

- Ecoute, tu n’as qu’à juger par toi-même.

et hop, Yuka la tire par le bras et la voilà dans les bras de Nakao. avec l'étonnement, et se surpris à rougir. pourquoi, Nakao était son frère, les frère set soeur pouvait bien danser ensemble. En réfléchissant bien, il n'y avait pas que la réputation de Nakao qui serait atteinte, la sienne aussi le serait.

Koro remarque le sourire de Nami, elle lui envoya un regard noir. Et en fit de même pour Yuka. celles ci partirent vers le buffet, les laissant seuls. Koro était un peu tendu, mais ne savait pas pourquoi... Elle cherchait quelque chose à dire, et c'est Yuka qui lui donna une idée.

- On se retrouve vendredi soir après les cours à la bibliothèque Nakao-kun ?

A la bibliothèque, pourquoi faire?

- Et bé, Nakao, tu t'es fait des amies, finalement...

Moef, pas super comme paroles; Fallait trouver autre chose. voyons, tout à l'heure, Il s'empiffrait de petits four, et il avait manquer de s'étouffer. Une bon sujet de conversation...

- Dis donc, je sais que tu n'aime pas parler, mais tu aurais pu nous en proposer...

On aurait dit un reproche. Koro soupira. Elle était donc incapable de dire des choses gentilles aux gens. Quel dommage.

Elle observait Nakao; une petite voix lui disait de ne pas danser, sa réputation e prendrait un coup, elle serait plus très crédible. Dun autre coté, elle se réjouissait de danser. Elle se surpris même à faire un sourire bête.

Elle jeta un coup d'oeil vers les deux filles et se demandait bien ce qu'elle pouvait dire...

- Bon, Nakao, tu me montre? Ou on reste là?

Encore ce sourire heureux. Ca n'allait pas du tout...

Atsushi c’était finalement retrouvé avec une jolie petite collégienne (pas si petite que ça en fait, juste un peu), une princesse au teint pâle, dont la tenue sombre comme une nuit sans étoile contrastait fortement avec la blancheur lunaire de sa peau. Toute en dentelles, les cheveux lâchés, légèrement bouclés, retombant nonchalamment sur ses frêles épaules, dans une pose langoureuse, et, pour finir, un air familier sur le visage. Plus que l’air de cette fille, c’était son onde qui marquait Atsu. Il lui semblait l’avoir déjà ressentie, déjà « vue » quelque part, mais quand à savoir où, c’était une autre question. Une forte impression de déjà vue s’empara subrepticement de lui. Il savait qu’il l’avait ressentie souvent et très proche de lui qui plus est. De ça, il en était sûr, ça faisait parti des choses qu’il se devait de retenir ! C’était une des raison qui faisait qu’il était en SA. Mais pourtant le visage de cette sombre inconnue ne lui disait rien. Ses chaussures à talon, qui recouvrait sa cheville avec un somptueux ruban noir de gaie, la grandissait légèrement, l’amenant à presque avoir la taille de notre jeune garçon. Qui cela pouvait-il bien être ? Sa main était toujours tendu dans le vide attendant la réponse de la jeune demoiselle. Cette onde... à la limite de l’habituelle. Il était devenu sérieux, analysant chaque tiroir du grand meuble poussiéreux qui lui servait de mémoire pour les ondes, étant incapable de mettre un nom sur cette fréquence. C’était frustrant, la majorité du temps ça ne lui posait aucun problème ! Un nom ! Je veux un nom ! Sa tenue semblait quand même assez couteuse, elle devait être aisé. Elle était très jolie, avec son habit ténébreux soulignant sa peau d’albâtre. Un magnifique contraste extrêmement marqué. Elle était impressionnante aussi d’un côté : elle avait un air étrange sur le visage, une face qui vous juge rien quand vous voyant, qui vous analyse, qui vous scrute au plus profond de vous même et vous dévoile, vous sait, vous connait de fond en comble, un visage marqué par une expérience peu sympathique. Enfin, le visage ou les ondes ? Tout cela se confond en une seule et même chose semblable.

A la surprise qu’il ne lit pas sur son visage mais qu’il ressentie en lui, il déduit que Mademoiselle X puisqu’il ne savait toujours pas son nom, ne s’attendant pas à cette demande imprévue. Petite fierté personnel ! [ouverture de la parenthèse narcissique] Elle ne s’attendait pas à ce que Atsushi lui demande! Atsushi le vrai, le seul, l’unique ! Hahahahaha, je suis trop puissant ! Qu’est ce que vous dite de ça vous ! Ca vous en bouche un coin, hein ? Atsu est dans la place, Sushi entre en action ! Quoique un sushi, ça n’a jamais eu beaucoup de choix d’action à part être mangé... è_é [fermeture de la parenthèse narcissique].

Le changement du style musical déclamé par les enceintes, fut marqué d’un impassible « Pourquoi pas. » prononcé par ce visage ondulairement familier et visiblement impénétrable. Elle était d’une impassibilité d’une mesure inhabituelle. Un vrai mur pour le premier contact du moins. Mais son onde était plus prolifique en renseignements que son visage, c’était certain. Mais qui était donc cette fille ?
Elle se dirigea vers la piste de dance, laissant planer dans le vide, tel une âme en peine, la main de notre pauvre drageur imbécile et stupidement-fier-de-lui-pour-pas-grand-chose (oui, je sais, ça fait beaucoup pour pas grand chose). Pour le coup, il était déçu. Ma main, quoi ! J’sais pas tu tapes dedans, tu mets une pièce, tu la serres, tu fais quelque chose, mais tu la laisse pas en plan comme ça ! J’ai l’air stupide, et encore plus stupide avec le changement de musique qui ne colle plus du tout avec ma super pose, et tutti quanti... Dj, je te déteste ! Je crois qu’en fait, il me surveille, et quand ça m’arrange le moins, il change la musique. -_-, merci...

« Par contre, je ne danserai pas sur les musiques douces. »

Mince, est ce que les danses sur les autres musiques que les musiques douces pourront compter dans le pari ? Je pense que oui, on a pas précisé le genre de musique. Juste le plus grand nombre détermine le vainqueur (quoique un seul me suffit amplement). La quantité pas la qualité. Quoique... après, on s’en fiche, profitons de l’instant présent, et de cette charmante cavalière. Et pourquoi pas sur les musiques douces ? Hein ? Maiiiis heuuuuu... c’est pas juste ! Je veuuxx les musiques douceuuuuuxxxx. « pleure dans sa tête »... Mais heu !

Atsu suivit sa jeune cavalière à la chevelure bouclée et la peau chryséléphantine sur la piste. Alors que la musique, lui martelait le cerveau, qui n’était plus très en place avec les événements précédant (pour peu qu’il eut été un jour en place...), il décida, pour une fois, de complètement se laisser aller. Vous me direz : « mais, il n’est pas toujours insouciant, stupide et irraisonné ? » Et bien, figuré vous que non, cher lecteur attentif. Vous allez maintenant apprendre quelque chose de nouveau. Atsu est toujours concentré (si si, c’est possible ! J’ajouterais même que si Atsu était moche, ce qu’il n’est pas, malheureusement pour ma blague, il serait même un « lait concentré »...-_-). Car relâcher ses pensés, les laissant vagabonder au rythme imprévue, aux allés et retours impétueux des supputations de son cerveau, c’était se condamner, à un moment où à un autre, à entrer en symbiose avec quelqu’un qui viendrait à passer par là. Car, la caractéristique de l’onde d’Atsu, c’est qu’elle n’est pas fixe. C’est de là que vient son don, il entre en contact, en phase, avec celle des autres, mais ce met à ressentir ce que véhicule cette onde. Résultat, il est en « symbiose ». Et c’est quelque chose de très agréable que de fixer son onde de ne plus avoir à ce concentrer pour la maintenir en « place », mais aussi légèrement risqué. En fait, ça dépend de l’onde sur laquelle il se base pour le phasage. Vous comprenez ? (pour tout problème lié à votre compréhension du texte, appeler le 36**** numéro surtaxé, ou MP Atsu.)
Il se laissa donc allez et entra en contact avec l’onde la plus proche et la plus connue : celle de cette jeune inconnue au bras d’une équation triste (Léo Ferré...). Mais pourquoi donc la connaissait-il ? Il entra très rapidement en phase. Il était comme elle, il se sentait comme elle, il voyait les choses comme elle. Il avait disparu. Il y avait deux fois la même personne en train de danser sur la piste. Quiconque, aurait observé les deux jeunes gens, aurait vu deux personnes bien distinctes, mais, pour Atsu, il n’était qu’un. Son égo, son moi avait disparu. Pouf pouf ! Effacé de la circulation. Il était comme elle, en adéquation avec la musique, ne formant qu’un avec le rythme. Et il resta dans cet état second, pendant à peu près la moitié de la musique, cet état auxiliaire où il pouvait enfin se reposer en abandonnant sa personnalité.

Déphasage.

Il perdit le contact avec sa cavalière, reprenant ses esprits comme après un long sommeil. Son pas se fit moins assuré, il trébucha légèrement avant de se reprendre et évita de justesse la chute. Atsu, de nouveau maître de ses pensés, était de retour (pour vous jouer un mauvais tour !).

Les deux danseurs fou étaient très proche, plus que ce qu’aurait imaginé Atsu au premier abord, vu la froideur première de sa cavalière. Sans être particulièrement sensuelle (rien de comparable avec celle de Yuka), elle était quand même assez ambigüe par moment. Deux flirt en une seule soirée, c‘est un bon score *w*.

Et, subitement, la musique changea, se métamorphosa. Elle devient douce et mélodieuse. Le parfait genre de petites musiques douce sur lesquelles notre gentille collégienne refusait catégoriquement de danser. Une mélopée digne des plus belles balades. Le Dj était fou. Il n’arrêtait pas de changer de registre, de genre et de style. Rôô c’est pas bien voyons ! Ni une, ni deux, ni Racine de 2, notre Atsu national avait attrapé par la taille sa cavalière et saisi fermement mais délicatement, la main de la jeune fille dans la sienne, surtout pas violement, et était maintenant encore plus proche d’elle. Et ce, malgré son précédant refus de danser ce genre précis de dance. En fait, il y avait deux choses qui avait poussé le lycéen a agir ainsi : 1 _ l’esprit de contradiction et la simple volonté de faire le contraire de ce qu’elle avait dit. 2 _ quelque chose de plus important qui lui taraudait l’esprit depuis un petit moment déjà. Il se pencha à son oreille pour pouvoir couvrir la bruit de la sono.

« Rima Touya, non ? Tu es dans la classe SA avec moi, je crois (en fait, il en était sûr il venait de retrouver le nom qu’il cherchait depuis le début, mais il préférait vérifier). Moi c’est Atsushi, mais tu peux m’appeler Atsu ou Sushi à ta convenance et à ton bon plaisir. Tu ne m’en veux pas trop pour t’avoir forcer à danser avec moi sur cette musique douce, ce malgré ton refus et ta mise en garde ? Après tout braver les interdits, c’est toujours stressant mais incroyablement amusant. Surtout lorsqu’on le fait en compagnie d’une aussi jolie personne. » dit-il, posément.

[qu'est ce que c'est que ce post, il y a pas de comparaison naze! je me rattraperais sur le prochain pour ce détail... t'en pis pour celui là, il est trop ... philo! oO]

Spoiler:

Tadaaaaa ! ...

Mitsuko faisait ~~enfin~~ son entrée. Nouvelle année oblige, elle était plus belle et ~~provocante~~ séduisante que jamais. Robe de satin bleu pale magnifique achetée aux frais de son père (tout comme les talons haut qui l'accompagnait d'ailleurs ... la carte bleue avait sacrément chauffée ... mais après tout, elle s'en fichait pas mal), longs cheveux noirs relevés en chignons avec juste une mèche contournant son visage légèrement maquillé. Difficile de la reconnaitre ... et ce n'était pas ce qu'elle recherchait d'ailleurs.

Elle savait qu'elle n'avait pas le droit d'être ici et, lorsqu'elle apparçut Matsuri, elle sut que tôt ou tard elle payerait cher cette soirée. Qu'importe, cela ne l'empêcherait pas de s'amuser. Elle offrit au professeur détesté le sourire le plus innocent et le plus étincelant qui soit.

Elle décida de profiter au mieux de la soirée. Et qui dit soirée dit garçons.
Forcément. [hrp : C'est quoi cette logique ? oO]
Elle utilisa donc son don pour que tous les garçons de son entourage ressentent une attirance presque magnétique envers elle. L'un d'eux ne pourrait pas résister et viendrait la voir, tôt ou tard ... A moins qu'elle ne résiste pas à la tentation d'aller séparer quelques couples avant ...

[hrp : tout petit ... mais pas de réelle idée ...]

Invité

Il y a trop de gens... pas assez sûr d'eux ? Chi ne pensait pas comme cela... Elle mit cette information dans un coin de sa tête... et passa à autre chose. La fille du directeur arrivait... Si il y avait une personne que Chi ne voulait pas voir... C'était bien elle... Mais bon...
Elle se dirigea vers elle et lui dit en souriant :
-Vous vous êtes décidée à descendre avec le pauvre peuple, les paysans ? C'est assez étonnant je dois dire...
Puis elle partit sans se retourner, assez vite (mais sans courir), pour échapper à une quelconque punition venant de sa part... Elle détestait de plus en plus cette fille.
Pour elle, la fille du directeur... C'était comme la fille du diable, mais sur Terre... Une horreur...
Elle se dirigea vers le buffet et prit des bonbons. Sa main en heurta une autre. Chi fit reculer la sienne.
-Gomenosaï... (Désolée....)

# normalement je suis pas reconnaissable ... mais bon, tant pis ^^

Rien. Rien de rien de rien du tout. Ennui total. Rien ne se passe. Personne pour venir lui parler - mais en soi est-ce vraiment étonnant ? - et ressentait une folle envie de partir. Problème, elle ne voyait aucun autre professeur. Laisser les étudiants sans surveillance était plus que risqué, surtout avec ces lycéens. Et elle préssent que queque chose va se passer. Rester serait risqué pour sa réputation ...

Mais qui voilà qui rentre ? Mitsuko Ogawa ! Cette chère fille du directeur ! Cette adorable petite peste, seul obstacle à la relation de Matsuri avec Ogawa-sama. Elle ne peut s'empêcher de serrer les poings. A moins que ... Un sourire fend son visage. Elle se dirige d'un pas élégant vers son ennemie jurée, sa seule véritable ennemie.

- Mitsuko-chan ! Comment vas-tu ? Peux-tu m'expliquer ce que tu fais ici ?
# Si je te dis que ça ne te regarde pas, ça te va comme réponse, Matsuri-chan ?

Le chan froissa matsuri plus que le fait que Mitsuko emploie son prenom. Cette peste lui tapait vraiment sur le système ...

- Puisque tu es là, ça tombe bien. J'ai es lycéens à punir demain et je devrai me lever tôt. Je pars donc. urveille la fête en mon absence. Ton cher papa sera fier de toi, j'en suis sûre.

Matsuri partit, laissant Mitsuko plantée là, fulminant de rage, avant que celle-ci n'éclate et ne la détruise complètement, ou la laisse folle, egarée dans ses sentiments. Car c'était là l'un des aspects les plus ravageurs du don de Mitsuko ...

Bref, Matsuri laissa là la fête, soulageant un grand nombre de personnes d'un poids sur le coeur. Mais pourquoi donc ? oO

Invité

Jackson s’ennuyait ferme tout seul dans sa chambre ce soir. Il ne savait pas pourquoi, mais il avait l’impression que les élèves avaient déserté les dortoirs, comme si il y avait pu y avoir une fête à l’académie ce soir. Complètement ridicule comme idée, n’est ce pas ?
Toujours est-il que c’est vêtu d’un sweat-shirt à capuche gris large et d’un jean légèrement délavé qu’il utilisait lorsqu’il voulait traîner un peu qu’il quitta sa chambre pour monter à l’étage partant du principe pas tout à fait idiot que, quitte à s’ennuyer, autant ne pas s’ennuyer seul. Il ne prit pas la peine de toquer à la chambre numéro 2 du dortoir du haut réservé au SA, et tenta directement d’ouvrir la porte. Tenta…parce que celle-ci restait hermétiquement close ! Voilà qui était étrange tout de même ! Sa seconde chambre attitrée n’était pas ouverte quand il en avait besoin. Non mais franchement, c’est abusé non ? Et, il avait beau essayer par divers moyen de l’ouvrir, elle le narguait en ne bougeant pas d’un millimètre à chacune de ses veines tentatives.
Au bout de deux minutes et trente-six secondes, résigné, le garçon-loup quitta le bâtiment pour aller faire une petite promenade. Son instinct lui dictait de se rendre chez les primaires, guidant sans qu’il est besoin de le faire ses pas jusqu’à la fontaine aux vœux derrière l’établissement. Une musique scandait des airs qui lui étaient inconnus mais qui l’incitaient tout de même à rejoindre la piste de danse.

Une fête ? Et je ne suis même pas mis au courant !

Près du buffet, contrairement à ce qu’il pensait, il distingua une tignasse blonde-rousse bien connue. Et elle allait l’entendre cette chevelure flamboyante ! Osez aller à une soirée sans même le prévenir ! Elle exagère la Yuka. Non pas qu’il lui en veuille de ne pas y être allé avec lui. Cela, Jack’ le comprenait assez bien puisque la Kunimoto avait l’habitude de flirter un peu comme elle l’entendait et qu’un garçon dans ses pattes ne l’auraient pas arrangé. Mais, se rendre à une fête sans l’avertir, ça non ! Lui aussi il aimait s’amuser, elle aurait pu l’avertir tout de même.

Ni une, ni deux, voilà notre Jackson bravant le remue-ménage de la foule afin de rejoindre l’ingrate égoïste qui lui servait d’amie. Ah ! Mais attendez ! Jack’ ? Jack ? Allo la Lune? Ici la Terre ! Vous nous recevez ? Que fabriquez vous donc ? Ah ! Mais pas par là ! Pourquoi avez-vous brusquement changé d’itinéraire pour aller rejoindre la beauté fatale près de la sono ? Youhou ! Il y a quelqu’un ?

Apparemment, nous avons perdu la connexion…

Personne en vue ... Personne ? Ah, si ! Un véritable canon, malgré ses vêtements plus que craignos pour une fête de ce style, à savoir un jean quelconque et un sweat-shirt gis à capuche, alors que tout le monde (ou presque) était en costume. Mais malgré ce look étrange et cet air perdu, il dégageait une aura incroyable ... Une aura qui ressemblait un peu à celle de Matsuri parfois.

Matsuri. Cette garce qui lui avait laissé la surveillance de la fête. Si elle croyait que Mitsuko n'avait que ça à faire, elle se trompait. Très largement. Mitsuko était énervée, incroyablement énervée, non seulement parce qu'une jeune fille lui avait fait remarquer qu'elle descendait au milieu des paysans (ce qui n'était pas faux, à vrai dire. Tous ces élèves extrêmement irrespectueux ...) mais surtout parce que Matsuri était là. et son père lui avait dit qu'il passerait à la fête. Etait-il possible qu'ils se soient vus ? Argh ! Mitsuko faillit mettre un coup de poing dans la sono, mais se retint de justesse, evitant ainsi une fin tragique et prématurée à la soirée.

Revenons au magnifique jeune homme perdu, voulez-vous ? C'est bien moins stressant. Elle le dévisage. Une aura comme celle de Matsuri, oui ... tout en étant différente. Et ç, c'est bien. Il semble ne pas savoir pourquoi il vient la voir. Normal en même temps, cette attirance n'est pas vraiment naturelle. Dès qu'il s'est approhché suffisemment, Mitsuko arrête son don sur les autres garçons pour le concentrer sur lui. Le don se renforce. La proie du soir est toute trouvée. Reste à savoir à quelle sauce la manger ...

- Bonsoir ...
# Euh ... bonsoir ?
- Puis-je savoir ton nom ?
# Jackson Wolf.

Il semble comme endormi. Une des facettes du don de Mitsuko lorsqu'il est utilisé à son presque maximum. La personne n'est même pas consciente du problème dans ses sentiments. Pratique. Alooors ... Jackson Wolf ... Don de metamorphose ... Classe D ... Collégien ? Bah, après tout, les lycéens garçons faisaient bien ça avec des collégiennes, pourquoi pas elle ?

Mitsuko utilisa un sourire charmeur du plus bel effet.

- On danse ? C'est un peu un bal en même temps ...

Elle lui tendit la main. Main qu'il prit avec hésitation. Mitsuko raffermit sa prise. Elle le tenait, elle ne le lâcherait pas ... Il s'éloignèrent de la sono pour se mettre sur un côté de la piste de dance. Mitsuko, assez grande et portant des talons haut, faisait à peu près la même taille que Jackson (on va pas chipoter pour quelques centimètres, hein !). L'orchestre entama un slow. [hrp : pas tapper yuka ! é___è]

*Parfait ! A croire que j'ai de la veine finalement ... Après la pluie, le beau temps après tout ...*

Réutilisant son sourire charmeur pour dissiper les dernier doutes de son partenaire, Mitsuko se rapprocha de lui. Elle prit les mains du jeune homme qu'elle plaça sur ses hanches, avant de passer ses bras derrière la nuque du collégien. Elle s'apprêtait à murmurer quelques "mots doux" à Jackson, lorsque soudain ...

[hrp : yuuuuuuukaaaaaaaa ^^ à toi =p]

-Tu as raison Ayumi, je ne peux pas savoir à quel point ta mère te manque. Je ne peux même pas me permettre de l'imaginer. Je n'ai même pas vécu un seul dixième de se que tu as subit. Mais je te le promet, Ayumi, que même si je ne peux pas remplacer ta mère, ni l'amour qu'elle t'apportai, je remplirai ce manque d'amour qu'il y a dans ton coeur.

-Arigatou

Ayumi avait dis ça en se transformant en tomate trop mure. C'est pas chou xD Elle recula et se prit quelqu'un en plein fouet.

- Aie !

Maya ôô ... oh c'est maya ! Ah oui je l'ai deja dit. Ayumi aida son amie à se relever et lui fit la bise.

- Ken je te presente Maya Otomiya. Je l'ai rencontré dans un concours de circonstance à l'infirmerie. Maya je te presente Kenshiro Tokisei.

Ils se saluerent normalement. Bah normal ... U_U

- Atchoum ><

Et bah voila ce qui arrive quand on ne porte qu'un petit top et une mini jupe pour nöel. Mon étternument a du s'entendre jusqu'en Antarctique =_='' Bon il ne reste plus qu'à Ayumi d'aller se changer avant qu'elle ne chope la creve. Pas d'autre solution ...

- Bon ... ^^'' Je vais aller me changer. Je reviens !

- Ayu je viens avec toi ^^

- Okii ^-^

Ayumi s'excusa aupres de Ken. Et lui dit qu'elles reviendraient dans moins de dix minutes maximum. Les deux filles partirent mains dans la main vers le dortoir de Ayumi. Elles monterent les trois étages et arriverent devant la chambre de Ayumi. Elles entrerent et Ayumi dit A Maya de faire comme chez elle. Elle mit une musique sur son ipod branché a deux collones. Un son sortait de la sono "LOVE & JOY kaete yuku ashita wo kaeteku kokoro ni niji wo tsukuru kisetsu ni ... ". Ayumi fouillait dans ses tiroir ... devait bien y avoir une robe de soirée par là. RAHHH ... ôô oh trouvé ! Heureusement que j'avais acheter cette robe y a quelque temps en ville >< ...

Spoiler:

Un truc special Ayumi est ça sera parfait : Son ruban rose avec sa clochette. Et puis voila ! ... ah non ... un truc qui cloche encore. Ayumi enleva ses lentilles et ses yeux. Et voila que ses yeux bruns verdatres reprennent leurs couleur naturelle. Ayumi se regarda dans le miroir de la salle de bain ... parfait. Elle resortit et demanda a Maya ce qu'elle en pensait. Elle lui dit qu'elle était très jolie. Elle arreta la musique et repartit à la fête avec Maya. Quand elle vit Ken de dos elle lui sauta carrement dessus.

- Recoucou ^-^

Invité

Maya commençait à en avoir marre de rester dans sa chambre tout seule avec son bandage comme une grenouille sur une boite d'allumette avec une jambe dans le plâtre ( belle comparaison je sais --'' XD ). De plus pratiquement tout les élèves était à la fête qui se déroulait à l'academie. Sa fenêtre ouverte, Maya entendait un peu la musique provenant de la fête ce qui lui faisant ressentir encore plus sa solitude. Sa jambe allait mieux, elle ne lui faisant presque plus mal alors pourquoi ne pas aller là-bas danser, s'amuser, manger *o* ?! Décidée elle se leva enfila une de ses robes préférés que sont père lui avait offert pour se faire pardonner. Maya les avaient acceptées mais lui avait renvoyé ses excuses à 2 balles en pleine gueu** ! Elle n'allait pas gâcher ses belles robes quand même ? T^T
Une fois sa robe enfiler ( voir image ) elle enleva son bandage et enfila des escarpins noirs avec des talons de 3-4 cm et partit en directions de la fête.

Spoiler:

En entrant dans la salle, Maya fut éblouit par toutes ses lumières, hypnotisée par la musique qu'elle ne fesait plus attention aux personnes qui l'entourait, elle était dans un autre monde. Elle revint à la réalité quand elle percuta quelqu'un et se retrouva le Q par terre.

- Aie !

Elle leva la tête et vit Ayumi. Celle-ci l'aida à se relever et lui fit la bise. C'est à ce moment que Maya percuta que son amie n'était pas seule, à ses côtés se tenait un garçon qui devait être lycéen.

- Ken je te présente Maya Otomiya. Je l'ai rencontré dans un concours de circonstance à l'infirmerie. Maya je te présente Kenshiro Tokisei.

- Enchantée.

- Atchoum ><

Maya se retourna vers Ayumi et remarqua que celle-ci n'était pas très habillée. Un rhume pour demain peut-être ?

- Bon ... ^^'' Je vais aller me changer. Je reviens !

- Ayu je viens avec toi ^^

- Okii ^-^

Ayumi s'excusa auprès de Ken. Et lui dit qu'elles reviendraient dans moins de dix minutes maximum. Les deux filles partirent mains dans la main vers le dortoir de Ayumi. Elles montèrent les trois étages et arrivèrent devant la chambre de Ayumi. Elles entrèrent.Cette dernière lui dit de faire comme chez elle. Ayu' mit une musique et fouilla dans ses tiroir ... pris une robe et partit l'enfiler. Elle revint avec un ruban rose avec une clochette et ses yeux d'une couleur différente. Ayumi portait-elle des lentilles elle aussi ?

- Qu'est ce que tu en pense ?

- C'est très jolie ! ^__^

Elle arrêta la musique et elles repartirent à la fête. Ayumi se jetta au cou du dénommé Kenshiro. Sortaient-ils ensemble ? ou alors étaient-ils de la même famille ? .. Bah de toute façon Maya s'en fichait pas mal, tout ce qu'elle voulait c'était s'amuser et passer du temps avec son amie.

Ayumi s'était réculé un peu, poussant quelqu'un au passage. Il s'agissait d'une collégienne qui avait un bandage à la jambe. Si elle avait plus mal quand elle est arrivé, elle devait de nouveau sentir la douleur. Enfin, apprament non, vu qu'elle se relève sans trop de problème. Il s'agissait d'une connaissance d'Ayumi.

Ayumi# Ken je te présente Maya Otomiya. Je l'ai rencontré dans un concours de circonstance à l'infirmerie. Maya je te présente Kenshiro Tokisei.

Maya# Enchantée

-Moi également ^^

Ayumi# Atchoum.

Les deux têtes se tournent vers la propriétaire de l'éternument. Kenshiro soupira un peu, il est vrai qu'Ayumi n'était pas habillée chaudement et la soirée était trés loin d'être douce. Il fesait pas non plus -8, mais la tenue d'Ayumi n'était pas vraiment appropriée.

Ayumi# Bon ... ^^'' Je vais aller me changer. Je reviens !

Maya# Ayu je viens avec toi ^^

Ayumi# Oki ^-^

C'est alors que les deux jeunes filles quittent brievement la soirée. Kenshiro en profite pour voir comment se déroule la fête. O-yama et l'insitutrice en rouge étaient partient, Atsuchi avait trouvé une nouvelle partenaire pour danser (et peut être autre chose Rolling Eyes

), le DJ semble également en profité un peu pour se détendre en charmante compagnie.

Quand à Yuka, Kenshiro la regarde briévement. Elle semble également en compagnie d'un garçon et d'autre filles. Il ne tient pas trop à croiser le regard de la collègienne, il ne désire pas réveiller le pouvoir de Raijin emprisonné dans son avatar actuel (Je parle bien de Yuka, pour ceux qui en aurai des doutes.) Deux autres élèves sont également présent, des lycéens apparament.

-Il commence à y avoir un peu trop de lycéen, à présent. Je pense qu'il serait bien de se faire vraiment discret.

Ayumi# Recoucou

La jeune fille lui avait sauté au cou dans son dos. Il n'avait pas pensé qu'elle serait aussi légère, et il se retien de rire en voyant la jeune fille avoir ses pieds dix centimètres au dessus du sol. Elle était pendu à son cou, c'était le cas de le dire. Aprés l'avoir posé sur le sol, il se retourne et il regarde sa nouvelle tenu.

-[b]Jolie robe. Au moins, tu aura moins froid qu'avec l'autre tenue. Tu es également craquante comme ça. Tiens, tu as aussi retirée tes lentilles?[b]

-Avec plaisir... Mais, dis-moi, tu compte caser Koro-san et Kuroshima-san ensemble ? Si oui, je suis avec toi, ils vont plutôt bien ensemble. Dit-elle avec un sourire espiègle.

Cette remarque l’étonna fortement. Les caser ensemble ? Ah non, rien à voir…Yuka n’aimait pas s’immiscer dans les histoires de cœur des autres. Elle s’était engagée à aider Nakao à se sociabiliser, pas à lui trouver une petite amie même si en tenant compte de son succès auprès de la gente féminine dans le style beau-brun-ténébreux-mystérieux, cela ne devrait pas être si difficile que cela. La jeune fille finit par hausser les épaules afin de répondre sur un ton détaché :

« Ce n’était pas mon but premier…Et puis, ils finiront ensemble sans que j’ai à m’imiscier dans leurs affaires, tu verras. » Termina-t-elle par un sourire confiant avant de l’entraîner vers la piste.

Nami dansait très bien, s’accordant au rythme de la musique. Et, à elles deux, elles formaient un duo d’enfer. Un petit groupe c’était déjà formé autour d’elles afin de les encourager.
Yuka jeta un œil au groupe de garçons, cherchant à vérifier si à tout hasard, l’un d’eux pourrait faire un cavalier potentiel pour la prochaine danse. Mais, ses yeux noisettes s’arrêtèrent sur une carrure qu’elle semblait connaître. En observant mieux, elle pu distinguer son ami, et squatteur de première, Jack’. Il en avait mis du temps avant de se pointer ! D’habitude, il ne se faisait pas prier pour venir lorsque Yuka lui disait qu’il y avait une fête à tel ou tel endroit. A moins que…Aurait-elle omis de le prévenir ? Oups…
Elle venait une fois de lus de lui donner une occasion en or de l’embêter et de jouer les grands frères…Flûte de zut !

L’adolescente le perdit des yeux à travers la foule un bref instant. Sauf que, lorsqu’elle le retrouva, il était collé à une fille aux cheveux sombres attachés. Celle-ci portait une magnifique robe, mais Yuka ne pouvait discerner clairement son visage…Difficile de savoir de qui il s’agissait sans cela. Enfin, Jack’ avait l’air d’avoir bon goût tout de même.
Mais, alors qu’elle allait changer de partenaire de danse pour laisser Nami avec l’un des garçons, la Kunimoto put très nettement voir les traits de la personne qui positionnait maintenant les mains de son ami sur sa taille.

Rectification…Tu as très mauvais goût Jack !

Non pas que l’adolescente ne soit pas belle, bien au contraire, Mitsuko Ogawa était réputée pour son incroyable beauté. Ce qui l’inquiétait plutôt était ce qu’elle allait faire à son ami si elle le laissait entre ses griffes acérés. Yula connaissait assez la fille du directeur pour savoir que, lorsqu’elle voulait quelque chose, elle mettrait tout en œuvre pour l’obtenir. Et elle n’avait pas particulièrement envie d’impliquer Jackson là-dedans…
S’excusant de devoir partir si vite et lui souhaitant de bien s’amuser, Yuka quitta la collégienne pour se diriger vers ce pseudo-couple, et, sans se poser plus de question, sauta sur le dos de son ami afin de lui cacher les yeux de ses mains.

« Devine qui c’est ? » Lâcha-t-elle imperturbable face au regard meurtrier qui l’englobait.
Aucun son ne se fit entendre en réponse, alors, comme si elle venait soudainement de s’apercevoir de la présence de la lycéenne, Yuka lança :

« Oh ! Mitsy-chan ! Je ne pensais pas te croiser ici…Matsuri ayant formellement interdît tous les lycéens…D’ailleurs, je me demande où elle est passée…La dernière fois que je l’ai vue, elle discutait, enfin faisait comme si, avec ton père… »

« Yuka… » Soupira enfin le garçon en reposant la gamine plus ou moins délicatement par terre.
Son regard était encore lointain, comme si il émergeait d’un profond sommeil. La Kunimoto saisit donc l’opportunité :
« Je t’emprunte ton cavalier, il me doit une danse ! »

Invité

Un épais brouillard semblait englober entièrement son esprit. Il flottait dans un océan sucré, se sentait bien auprès de cette inconnue au sourire doucereux. Il s’était laissé entraîné sans opposé aucune résistance (j’ai trop vu de film policier moi… --‘) jusqu’à la piste de danse. Pourtant, il ne se souvenait pas avoir eu à un moment envie de danser…À vrai dire, il ne se souvenait pas de grand-chose à cet instant précis. Seul cette fille aux yeux sombres et à la voix envoûtante. Oui, c’était le mot, Jackson Wolf était littéralement envoûté par cette séduisante sorcière des ténèbres répondant au prénom sophistiqué de Mitsuko.

Il n’arrivait même pas à regarder ces mains positionnées sur les hanches de la jeune fille de peur de perdre le contact si grisant que lui procurait ses iris. Aussi, quelle ne fut pas sa surprise en recevant un sac à patates sur son dos. Sac à patates ayant apparemment des bras puisque ces yeux à lui étaient maintenant cachés.

« Devine qui c’est ? »
Gnéh ? Qui que quoi ?
Ah, parce que cela parlait aussi ?

« Oh ! Mitsy-chan ! Je ne pensais pas te croiser ici…Matsuri ayant formellement interdît tous les lycéens…D’ailleurs, je me demande où elle est passée…La dernière fois que je l’ai vue, elle discutait, enfin faisait comme si, avec ton père. »
Au fur et à mesure que ces paroles étaient prononcé par la délicatesse incarnée ce soir en la personne de Yuka, que le jeune demi-loup se sentit sortir de sa longue léthargie. Comme si il venait de se réveiller, il se reconnecta brusquement à la réalité, réalisé qu’il était en ce moment même en train d’enlacer la taille d’une lycéenne, une collégienne sur le dos…Etrange…

D’un geste il fit descendre cette dernière sur le sol en soupirant.
« Yuka… » Mais déjà, la dites Yuka l’entraînait plus loin sans qu’il n’ait son mot à dire.
« Je t’emprunte ton cavalier, il me doit une danse ! »
Ah ? Il ne se souvenait pas avoir entendu ça quelque part. Ce n’était pas le style de Yuka d’ailleurs de l’éloigner ainsi des autres filles. Qu’avait donc bien pu faire celle-ci pour qu’elle s’y sente obligé ?

« Woh là, tout doux pucinette…Où m’emmènes-tu donc ? »
Pucinette…Un surnom trouvé bêtement, il ne se souvenait plus comment…Mais, cela agaçait toujours Yuka lorsqu’il l’appelait comme ça, allez savoir pourquoi…Probablement parce qu’elle n’aimait pas qu’on la prenne pour une gamine à protéger.

« Le plus loin possible de la fille du directeur mon Woofy-chou. »
Ouch…Contre attaque. Woofy faisant directement référence aux petites bestioles blanches qu’il était si difficile de définir. Une sorte de croisement entre le chien, le chat et le yeti. Si il se souvenait bien, ce surnom-ci datait de la période « mon petit animal à moi » de Yuka…Toujours est-il que ce fut à son tour de grimacer.

Voilà d’ailleurs qu’elle s’attaquait à la crème chantilly…Pas malin, elle allait s’en mettre partout…N’est ce pas ?
Quelques minutes plus tard, vous aviez droit à deux gamins jouant au chat et la souris autour du buffet, chacun armé d’un pot de crème chantilly. Ce fut pourtant Jackson qui l’emporta dans cette course poursuite puisqu’il réussit à l’attraper, se retrouvant juste derrière elle, un bras entourant son ventre plat, sentant aussi bien dos au travers de sa robe que les battements saccadés de son cœur après cette course poursuite. Le temps suspendit quelques secondes son envol, laissant à la jeune fille le temps de comprendre qu’elle s’était faite capturée et à son bourreau gourmand de resserrer sa prise car il connaissait les penchants de Yuka pour trouver une échappatoire dans n’importe quelle situation.
Mesurant chaque mouvement, très doucement, il plongea sa main dans la crème blanche avant de l’avancer toute aussi doucement vers le visage de Yuka. Petit à petit, centimètre par centimètre, il pouvait presque entendre le murmure mentale qu’elle lançait…Il toucha le bout de son nez, le changeant momentanément de couleur. Mais, alors qu’il allait étaler le reste sur la totalité de son visage, il entendit une voix l’appeler :

« Jack’ ? »

Pourtant, personne ne se trouvait là. Enfin si, mais personne ne paraissait l’avoir appelé.
Il se retourna de nouveau vers sa prisonnière mais tout ce qu’il y rencontra fut une masse fraîche et molle. Et derrière…sa propre main !
Lorsqu’il la retira, se fut pour affronter le sourire triomphant de Yuka, toute contente de son coup.

« Ok…T’as gagné pour cette fois. Attends moi là, je vais me rincer le visage. » Dit-il amusé en se dirigeant vers l’intérieur du bâtiment pour y chercher les toilettes.

... Lorsque soudain une collégienne fit irruption auprès d'eux, sautant sur le dos du jeune homme. Malgré tous les efforts de Mitsuko, le charme était rompu, la jeune fille ayant apparemment trouvé un moyen de défaire le jeune homme de l'emprise de son don, mais cela s'expliquait sans doute par la surprise provoquée chez Matsuri qui lui avait fait relacher son attention un moment, et qui n'arrivait pas à se reconcenter suffisemment ni à recapter l'attention de Jackson pour le réenvouter. Mitsuko aurait baffé la jeune fille, mais elle n'eut pas le temps de réagir et surtout, les paroles de la jeune fille lui coupèrent tout mouvement.

# Oh ! Mitsy-chan ! Je ne pensais pas te croiser ici…Matsuri ayant formellement interdît tous les lycéens…D’ailleurs, je me demande où elle est passée…La dernière fois que je l’ai vue, elle discutait, enfin faisait comme si, avec ton père…

Là, c'était clair : elle était suicidaire. Mitsuko était furieuse, retenant une colère froide qu'elle savait dévastatrice. Cette fille allait lui payer l'affront qu'elle venait de lui faire subir ... Yuka Kunimoto, puisque c'était le nom de la collégienne, élève de cette chère Matsuri, partit bien vite avec le collégien, prétextant une danse que le garçon lui devait.

*Mon oeil, oui ! Si tu crois que ça va suffir pour que je te laisse tranquille ... Non seulement tu me prends mon cavalier d'une manière incorrecte, mais en plus tu oses prononcer le nom de Matsuri devant moi, et l'associer au nom de mon père dans la même phrase ...*

Mitsuko suivit les "danseurs ... jusqu'au buffet ! Non mais quels goinffres ceux-là, et ils commençaient à faire mumuse avec la chantilly. Mitsuko attendit patiemment son heure, qui vint lorsque le jeune homme décida d'aller se nettoyer le visage. Bingo ! C'était l'occasion à ne pas manquer. Mitsuko surgt devant lui au détour du chemin et, usant de tout son charme pour qu'il ne fuie pas, s'approcha et lui prit la tête entre les mains.

- Tu m'apprécies, n'est-ce pas ? Ne réponds pas, je sais que je dis la vérité, et le sais aussi bien que moi. Mais vois-tu ... J'ai mal, je souffre, Jackson. Yuka ... elle me fait atrocement souffrir, elle est mechante envers moi, et je ne peux pas me défendre ... Je t'en supplie Jackson, défends-moi, fais-la souffrir autant que je souffre ...

En excellente comédienne, Mitsuko avait les larmes au bord des yeux. Ca allait marcher. Elle le savait. Et même si Yuka trouvait encore une parade, Jackson, perdu dans ses sentiments, ne atrderait pas à devenir complètement fou, ce dont Yuka se doutait peut-être, et essaierait d'éviter. La soirée promettait d'être riche en rebondissements ... Mais avant cela, elle devait terminer de conquérir sa proie.

- Fais-le en toute discrétion, je ne voudrais pas qu'il t'arrive quelque chose, Jack' ... Je tiens trop à toi ...

Elle se hissa légèrement sur ses talons et embrassa le beau collégien [naan ! pitié les filles, me tuez pas !!], avant de l'enlacer fortement, se collant à lui comme si sa vie en dépendait. Ah ! Les comédiens signeront notre arrêt de mort de mort à tous ... Mais voilà, Même si Mitsuko était certaine d'avoir tout fait, et que Jackson semblait aussi perdu qu'avant que Yuka les interrompe, Mitsuko ne voulait pas laisser passer sa chance de porter un coup fatal.

- Je compte su toi, Jack' ... Ne me deçois pas, d'accord ?

Réembrassant le garçon (paf ! deuxième couche !), Mitsuko s'éloigna, prétextant une mission urgente. En réalité, elle se cacha derrière le muret le plus proche, observant Jackson, qui alla se débarbouiller avant de retourner voir Yuka. Elle ne pouvait pas prendre le risque qu'il se "réveille" si cette fille arrivait à le faire, et même s'il devenait perdu, et délirait, cela ne suffirait pas à Mitsuko. Elle demandait une vengeance complète. Utilisant son don, elle modifia les sentiments de Jackson. Violence. Colère. Haine. Désespoir. Elle "aveugla" le jeune homme de sentiments plus violents les uns que les autres.

Invité

« Rima Touya, non ? Tu es dans la classe SA avec moi, je crois »

« Moi c’est Atsushi, mais tu peux m’appeler Atsu ou Sushi à ta convenance et à ton bon plaisir. Tu ne m’en veux pas trop pour t’avoir forcé à danser avec moi sur cette musique douce, ce malgré ton refus et ta mise en garde ? »

« Après tout braver les interdits, c’est toujours stressant mais incroyablement amusant. Surtout lorsqu’on le fait en compagnie d’une aussi jolie personne. »

« Il faudra donc que tu tiennes le coup. »

« Je pense que nous devrions y aller, il commence à se faire tard… »

« En effet, je croule de sommeil... et de douleur. Ca sera de ta faute, si je ne peux plus marcher demain...Pourquoi tu m'as frappé ? »

« Tu te sentiras mieux normalement maintenant. »

« A demain. »

Ouais, à demain et merci pour les mikados...

/ A noter que ce message a été fait en partie avec Atsu. ^^

Invité

Une magnifique silhouette se dessina devant ses yeux après seulement quelques pas. Mitsuko revenait à sa rencontre. Avant qu’il n’ait eu le temps de prononcer le moindre mot, il était déjà sous son contrôle. Jackson pouvait sentir les mains de la belle sur son visage, et son souffle chaud caresser doucement sa peau, mais, il ne pouvait rien faire d’autre…A moins que ce ne soit qu’il ne veuille rien faire d’autre.

« Tu m'apprécies, n'est-ce pas ? »
A ces mots, il déglutit difficilement, et se sentit soulager qu’elle ne lui demande pas de répondre mais reprenne plutôt :

« J'ai mal, je souffre, Jackson. »
Que cela signifiait-il donc ? Elle avait des problèmes ? Et elle avait décidé de se confier à lui ? Pourquoi ?
« Yuka… »
Yuka ? Mais que venait donc faire son ami là-dedans ? A moins que…

« Elle me fait atrocement souffrir, elle est mechante envers moi, et je ne peux pas me défendre ... »
Il ne comprenait plus rien. Flottant dans un monde de barbapapa où une ombre venait gâcher le tableau. Qui avait bien pu oser laisser pourrir le sucre pour le faire virer à ce noir intense dans son rêve ?

La suite se fit flou…il capta vaguement les mots « souffrir » ou « pour moi »…Oui, à ce moment là, il avait l’étrange impression de tout pouvoir faire pour elle. Une irrésistible envie de la contenter. Un mot ou plutôt une phrase retint son attention : « Je tiens trop à toi. »
Le jeune homme leva ses yeux vers ceux de la lycéenne, n’y découvrant qu’une sincérité tintée de tristesse. Encore une fois, elle avait été plus rapide que lui et il goûtait déjà sans comprendre les lèvres qui le narguait depuis un moment déjà. Il ne répondit pourtant pas à ce baiser forcé, perdu dans cet estampillage de sentiments coulants en lui comme une rivière folle ayant perdu son nid.
Petit à petit, cet échange brouillon avec lui-même laissa place à un seul et unique sentiment : la colère. Une colère sombre, qui criait haine et vengeance. Se dégageant d’un signe de tête de Mitsuko, il essuya la crème chantilly qui lui restait d’un revers de manche et partit vers les arbres. Un coup, deux coups…il ne se souvenait plus bien…

S’apercevant à peine que son corps devenait brûlant, il se changea en loup garou. Un chien au pelage sable s’élança donc avec une idée fixe en tête : retrouver une certaine jeune fille. Les arbres sur son passage ne faisait pas long feu, pourtant, il semblerait que certain est déjà été coupé par une bête sauvage. Incapable de réfléchir plus, il se dit qu’il s’agissait probablement de son imagination et, sans le vouloir, laissa son instinct animal dominé. Son subconscient sombra. Les seules paroles qu’il entendit furent :

« Non Jack’ ! Arrête ! Tu ne peux… »
Une patte fit terre une jeune fille, gisant maintenant sur le sol entre une table et un gâteau à demi-grignoter.

La bête s’enfuit à travers le bois…Rêve ? Cauchemar ? Etait-ce réellement Jackson Wolf ? Rien n’était moins sûr…Quand bien même, même lui ne se souviendrait plus de cela au petit matin…

Invité

Chapitre 3 - Souvenir - Les Chimeras !

La lune était bien ronde ce jour-là. Anass s'en souvenait parfaitement, évidémment, on ne pouvait oublier une telle scéne. Peu de personnes pourraient croire à une telle aventure, mais le jeune Tokami était persuader de ne pas avoir rêver. Dans la nuit noir, le jeune garçon était en compagnie de son équipe de Chasseur de Chimeras. Puisque il ne voulait pas combattre et avait la manie de se laisser attaquer malgré qu'il voyait le coup arriver, on le mit à l'arrière du groupe afin d'être prôtéger d'éventuel attaque. Yumi et Kumi se trouvaient dans le bal organisé pour les primaires et les collégiens. Ces deux-là étaient chargé de protéger les enfants en cas de probléme et de dire s'il y avait du mouvement dans leur secteur. Anass et les autres étaient dans les alentours, dans la forêt plus précisément. En effet, on leur avait annoncé qu'une bête étrange rôdait dans les alentours de l'académie. Certains se disait avoir rêvé, d'autres avaient inventé leur rencontre avec la bête, afin de se donner plus de valeurs. Son histoire venait à peine de naitre, qu'on en fit rapidement une légende. A la tête de l'équipe se trouvait Kaito, derrière lui, Yomaru et Michon et au bout du groupe, le jeune Tokami qui roupillait et se faisait trainer par le colosse Yomu.
- Allez, bouge toi ! S'écria le géant en levant le garçon avec un seul bras. J'ai envie de passer un noël tranquille, moi ! Alors, on finit le boulot et on rentre, ok ?
- Tais-toi Yomu... Ordonna Kaito. Je n'arrive pas à repérer la bête.
Le jeune homme s'excusa aussitôt tendit qu'Anass lui tirait une grimace en boudant et dit de son ton toujours aussi blasé :
- Moi je voulais faire dodo ! Je voulais rester tranquille dans mon lit ! Puisque je boss pas, pourquoi me ramner ? Je vous gène, non ?
- Tu fais partie de l'équipe. Répondit aussitôt Michon avec un ton assez colérique. Et tant que tu en fais partie, boulet ou pas, tu nous accompagnes.
Anass fut déposé au sol et il lâcha un soupir d'ennui. La survie de l'académie l'importait peu. Que les chimeras soient la cause de la destruction de l'académie, tant pis, ce n'était pas son probléme. Si on pouvait le laisser tranquille. Il avait fallu qu'un idiot insiste pour qu'il fasse partie des Chasseurs de Chimeras. On lui avait même pas demander son avis. Il lâcha un nouveau soupir et suivit ses compagnons qui s'aventuraient dans la forêt. N'ayant rien d'autre à faire que les suivre, il en profitait pour écouter les mouvements gracieux de la nature. Le vent soufflait doucement entre les feuilles, donnant une petite mélodie aux sons aigue. Les oiseaux nocturnes battaient des ailes vers leur demeure, ou vers leur proie. Certains animaux sortaient de leur terrier pour prendre on ne savait quoi, par-ci par-là. La nature bougeait beaucoup, cette nuit-là. Rassurant ? Un peu oui, une nature qui bouge est une nature qui ne voit pas de danger. Soudain, ils s'arrêtèrent, Kaito leva la tête en l'air et dit :
- On est plus trés loin...
- Kaito-sama, que savons-nous de cette créature ? Demanda Yomaru en s'approchant un peu plus du jeune homme.
- Pas grand chose malheureusement. Répondit Michon avant le chef de l'équipe. On sait seulement qu'il fait beaucoup de dégât, cependant on ne peut pas encore dire s'il s'agit d'une Chimera.
- Cela veut-il dire qu'il se peut que ce soit un humain ? Demanda Yumu, un regard inquiet sur ses compagnons.
- Oui, cela se peut... Répondit Kaito.
- Ca veut dire que les autres ne sont pas humains ? Coupa aussitôt le jeune Tokami, malgré qu'il devrait avoir un ton énervé, il gardait son caractére blasé.
Kaito se retourna et hocha la tête. Anass détourna aussitôt le regard et lâcha un soupir inhabituel. Celui du dégout et ce sentiment était dédié aux chasseurs de Chimeras. Cet unique soupir provoqua un long moment de réflexion pour chacun des membres de l'équipe. Des soupirs de désesspoirs se firent entendre malgré que ceux-ci se mélangeaient à la mélodie du vent. Le jeune garçon avait un peu du mépris pour eux. Normal, aprés tout, qu'était une chimera ? Une bête ? Un monstre ? Pourtant, d'après ce qu'on lui avait expliqué, ils s'agissaient d'être humains, d'homme, de femme et d'enfant. L'unique probléme était que leur organisme a eu une réaction différente que la leur lorsqu'ils furent en contact du nouveau géne. Ainsi, ils devinrent des monstres. C'étaient des bêtes monstrueuses, avec des poils, des crocs, des griffes mais autrefois, ces choses étaient humaines. Ils n'avaient pas choisis à être comme ça. Ne devions-nous pas les aider ? C'était injuste d'agir de la sorte. Les éliminer car les aider serait plus compliqué. De plus en plus ces réflexions donnaient une atmosphère peut agréable au sein du groupe. Le bal se terminait. Yumi et Kumi avaient prévenu qu'elles quittaient les lieux lentement pendant que celui-ci se terminait. Ils s'apprêtèrent à lâcher un nouveau soupir lorsque soudain, un bruit étrange se fit dans la forêt. Des bruits sourds, des cris stridents, une respiration rauque et tout cela à une distance pas trés éloigné d'eux. Ils se précipitèrent en direction des sons étranges et lorsqu'ils y arrivèrent. Ils n'y avaient rien. Enfin, c'était une façon de parler car en effet, une dizaine d'arbre était tombé, des traces de griffes jonchaient le sol et les troncs. Kaito toucha les traces avec attention et annonça à l'équipe :
- Elles sont fraiches...
- C'est une chimeras ? Demanda Yumu avec attention.
- Difficile à dire. Répondit le chef. Ces traces auraient trés bien pu être marqué par un animal...
- Seul ? Un animal ? Coupa Yomaru avec ironie.
- Je n'ai pas dit qu'il était seul. Probablement un homme, quelqu'un qui l'accompagnait. Ajouta Kaito.
Michon s'avança et toucha les traces à son tour, elle ferma les yeux pendant un long moment, elle se releva et toucha de nouvelles tâches, puis d'autres et encore d'autres. Elle se tourna vers ses compagnons et dit :
- C'est étrange, on dirait un loup, y a des traces qui y ressemble. Mais plus gros et plus grand. Dit la jeune fille, avec un regard inquiet vers ses amis.
- Trés bien, donc on ne sait ni si c'est une chimeras, ni autre chose. Répondit le chef en soupirant.
Il se tourna vers Anass avec surprise, celui-ci ne bougeait pas et semblait être devenu trés sérieux. Chose inhabituel pour lui, il était plus du genre à accepté de recevoir les pires choses mais à cet instant, il était parfaitement concentré. Kaito demanda d'une manière aussi inquiéte :
- Qu'est-ce qu'il y a Anass ?
- La nature... Murmura-t-il. Elle est devenu trés silencieuse.
A ces mots, tout les jeunes enfants se mirent à tendre l'oreille. En effet, il n'y avait plus aucun bruit, pas un seul animal qui bougeait, pas un seul insecte qui rampait, même le vent soufflait de moins en moins fort. Ce genre de moment était clait, la forêt se sentait en danger et même en trés grand danger.
- Il faut partir... Murmura le jeune Tokami.
Ces paroles furent un peu tard, car aussitôt surgissant de nulle part. Une bête sauta sur son dos, Michon le tira par le bras, l'évitant d'être blessé par la bête. A cet instant, le jeune garçon eut le temps d'appercevoir la chose. Une tête de loup, la couleur de sa fourrure était indeterminé à cause de la nuit et de la faible lueur du clair de lune. Son corps était grand et ses poils était d'une épaisseur moyenne. Ses crocs étaient effrayant et lorsqu'il bondit sur le sol avec ses longues griffes, on attendait une attaque trés dangereuse. La bête tourna la tête vers eux. Aussitôt elle bondit et frappa dans tout les sens détruisant ainsi une vingtaine d'arbre. On aurait cru qu'il s'agissait d'un ouragan. Les aptitudes de ce monstre était sur-développées et trés effrayant. par chance, ils avaient reculé du rayon de mort qu'avait formé le monstre. Yomaru et Michon voulurent sortir un appareil photo mais aussitôt qu'ils le sortirent, aussitôt il se brisa en plusieurs morceaux. D'ailleurs, les vêtements des chasseurs se déchiraient lentement et des plaies s'ouvraient à vue d'oeil. Aprés environ moins de 5 minutes. Le monstre cessa son carnage et semblait se diriger vers d'autres proies. Les chasseurs bien que tremblant, tentaient de suivre cette chose. Yomaru, Yumu et Michon tremblaient comme des feuilles, leur marche devenait maladroite. Ils essayaient malgré cela d'accélerer mais la peur les emportaient. lorsque soudain, un cri familier parvint à leurs oreilles. C'était celui d'une jeune fille, une jeune fille d'environ 13 ans. Une jeune fille timide mais terrifié.
- Yumi... Murmurèrent-ils d'une même voix.
A cet instant tous les chasseurs se dirigérent vers l'appel au secours de leurs amis. Celles-ci étaient sûrement partis les rejoindre après le bal et seraient tombé sur la bête. Même Anass s'était mis à courir et était même en tête du groupe. Il courrait si vite, qu'il arriva à la scéne bien avant ses compagnons. Lorsqu'il arriva, Yumi avait les mains sur la tête devant Kumi allongé, le bras en sang. Le monstre était là dans les bosquets s'en allant lentement. Ses yeux jaunes restèrent briller dans la forêt.
On vint au secours des jeunes filles. Kumi fut envoyé à l'infirmerie, elle fut rapidement soigné et fort heureusement, elle n'avait rien. Yumi était terrorisé et beaucoup voulait la réconforter. Le groupe de chasseurs étaient resté ensemble cette nuit-là. Tous, sauf un. Anass bien évidémment. Il était retourné devant la forêt, le monstre l'avait-il fascine ? Ou terrifié ? Seccoué ? Il ne savait pas vraiment lui-même. Mais une chose lui trottait dans la tête, était-ce une chimeras qu'on appelait le loup-garou ? Ou une espéce de loup évolué et peut être accompagné ? Ou encore, une personne ne maitrisant pas son don ? Quoiqu'il en soit, même Anass s'était mis en tête que cette chose devait être arrêté. Il ne voulait pas recourir à la violence mais en tout cas, il voulait aider.