ZONE [B] : On tappe, Tic tac, tic tac, tic tac, dans l'usine, le jour entier ...

Vous vous trouvez à présent dans la pièce principale de l'usine. Grande salle très haute de plafond, vous voici arrivés dans la salle de fabrication des armes. Ah oui, on ne vous avait pas dit ? Cette usine est une ancienne fabrique d'armes ... Toutes les machines sont encore présentes, et en état de fonctionner. Chercher bien, et vous pourriez y découvrir des choses très intéressantes ... Qui sait ? Peut-être reste-t-il même des armes ici ...

Spoiler:

Au fond de la salle se trouve un petit escalier donnant sur le toit.

En plein milieu, dirigez-vous vers la grande porte pour arriver près d'un pont cimenté. Empruntez-le pour sortir, mais attention à où vous mettez les pieds ...

INFOS IMPORTANTES :

- Le pont est le seul passage pour changer de zone interne/externe
- Précisez si vous marchez à gauche, à droite ou au milieu du pont et attendez la reponse de l'animateur avant de poster dans l'autre zone.

- Dans cette salle se trouvent un fusil à pompe avec 5 cartouches pleines, et un magnum avec 10 balles 5mm.

DON AUTORISE

Invité

Shiro venait d'être laché avec son petit sac et inutile de dire que si il ne faisait pas le tour du proprio, il a peu de chances de sen sortir, la première chose est de connaître le terrain sur lequel on "joue" et puisque Matsuri n'avait pas hésité à planter un couteau dans la tête d'une des lycéennes qui participait contre son gré comme tout les élèves présent, il devait désormais trouver un moyen de survivre pour l'instant et de ne pas être à portée d'un ennemis ou l'autre pour cela qu'il se dirigea directement vers le centre même de la fabrique tout en étant passé invisible, il pouvait au moins utiliser son pouvoir pour l'exploration sans trop de problèmes puisque bon c'est pas avec ce qu'il a chopé qu'il va faire le truc de sa survie.... Il cherchait ainsi dans les machineries après tout et rien à la fois, si on se basait sur la structure même de l'usine, on aurait dit une ancienne usine de fabrication d'armes, il devrait donc certainement il y avoir des armes qui y étaient restées et du coup inutile de dire que Shiro se mit à chercher plus harmonieusement, il trouva quelques bouts de métal mais rien de particulier avant de manquer de se casser la figure, il regarda alors à ses pieds et apercut un petit flingue, apparemment un magnum déja chargé avec une dizaine de cartouches, toujours utile et il prit donc cette arme la mettant à sa ceinture, il continua alors ensuite son tour de proprio sans faire de bruit et au bout de sa recherche il trouva du fil de nylon. bref on pouvait croire que ces armes étaient destinées à être trouvées mais la meilleure trouvaille serait cependant le fil de nylon très utile dans ce cas, concient des risques engrangés, il activa alors une des machines de l'affaire en terme de bluff et quitta les lieux se dirigant alors plus loin, pour l'instant la furtivité était de mise mais un dernier truc d'abord. Il avait prit donc quelques bouts de métaux sculptés par la machine en activité et se barra ensuite il conjuguerais ces bouts de métaux pointus à son fil de fer. Comme prévu cette usine recellait plein de petites trouvailles mais le tour du propriétaire n'était pas fini, il avait également trouvé sur place une petite boite d'alumettes dont la moitiés de celle ci avaient disparues elle devait appartenir à un des anciens travailleurs, il est vrai que dans le passé on fumait en utilisant des boites d'alumettes pour allumer son petit cigare.

*Bon, continuons un peu la visite vers une autre zone. J'ai déja ce qu'il me faut en matière d'armes désormais faut que je trouve la boite à pharmacie...*

C'est ainsi que le jeune homme continua sa quête heureusement que rester invisible pour lui ne lui coutait aucunes énergies mais il devrait forcément trouvé un partenaire. Il placa donc les allumettes et le fil de fer dans son sac et quitta les lieux discretos histoire de trouver désormais la ou semblaient pouvoir rester les travailleurs, uen salle de repos si on préfère, ce jeu mettait vraiment les chocottes et certains pour sur auraient décidé de liquider les autres pour survivre, d'autres chercheraient à se venger de Matsuri et c'est ce genre de personne que Shiro devrait trouvé qui a dit que l'invisibilité ne peut pas servir à l'espionnage des autres?

Tarée. C'était le mot qui caractérisait le mieux Matsuri. Elle avait tué de sang-froid Karen Lee, qui n'avait rien fait d'autre que parler sans lever la main. Dommage pour elle ... Mais effectivement, après tout, c'était un de moins. Toujours ça de gagné.

Mitsuko avait opté pour la logique. Elle voulait sortir. Il fallait qu'elle aille dehors. Il fallait donc qu'elle tue quelqu'un. Et pour cela, elle irait se poster au centre de l'usine, lieu de passage obligé.

Elle repérait d'ailleurs quelqu'un ... son Don marchait donc ici ... tant mieux ... et tant pis pour sa victime ... Elle ne voyait personne, mais sentait la présence ... Un invisible ? Si c'était le cas, il ne pouvait s'agir que de Yamoto Shiro, lycéen en classe F, tout comme elle. Ok ... Elle ne ressentait personne d'autre pour l'instant.

mode comedienne : ON ...
mode sentiments : confiance ... ON

- Shiro ... Shiro, tu es là ? Je ... J'ai entendu un bruit, et comme tu es invisible ... Oh, s'il te plait, Shiro, dis-moi que c'est toi ... Tu es de ma classe, on ne va pas se tuer, n'est-ce pas ? Tu ne vas pas participer à ce jeu idiot ?

Voix tremblotante, mal assurée ... Elle ne remercierait jamais assez son prof de théatre ... Et avec la puissante onde de confiance qu'elle envoyait, il lui serait très difficile de tirer sur une pauvre fille sans défense ...

Une morte... C'était déjà une victime de moins, tant mieux, n'est-ce pas? Après tout, une victime de moins était aussi égale à une tueuse de moins, tout était bénéfique, non? Après ce brusque incident et dès que Matsuri avait énoncé son nom, Hikari avait pris son sac puis s'était précipitée à l'extérieur de la salle, ses beaux cheveux bleus au vent.

Cette usine n'était pas un lieu très joyeux, non, c'était même l'inverse : il était très malheureux. Ses murs gris et ternes, son sol qui craquait à chaque pas qu'elle faisait, ses objets éparpillés partout en un désordre innommable, n'étaient pas des plus réjouissants. Évitant soigneusement les quelques bouts de murs et certains objets pointus qui auraient pu la blesser, elle continuait sa route. Le couloir assez sombre dans lequel elle se trouvait n'avait pas l'air de vouloir prendre fin, c'est donc pour ça que dès qu'elle vit une ouverture vers sa gauche, un petit filet de lumière qui troublait les ténèbres des lieux, elle s'y précipita. Malheureusement, ce n'était qu'une vieille porte à moitié démolie et bloquée de l'intérieur. La demoiselle tenta bien de la débloquer, mais celle-ci ne semblait pas décider à céder. Seul un rayon de lumière filtrait. Abandonnant l'idée, elle continua dans ce couloir qui semblait interminable.

La chaleur commençait à être suffocante et la lycéenne avançait à grand peine, avait-elle par hasard suivi le mauvais chemin? Peut-être, cependant, elle ne pouvait faire demi-tour désormais : c'était bien trop risqué, elle se devait de continuer dans ce couloir de plus en plus étroit et de plus en plus sombre. Elle ne pouvait pas non plus faire de pause au risque de se faire rattraper par un autre élève qui s'empresserait certainement de l'égorger. Hikari marchait vite mais les objets qui encombraient le passage la ralentissait. Le couloir bifurqua soudainement à gauche, là il y avait une intersection : deux chemins se présentaient à elle, devait-elle prendre celui de gauche ou celui de droite?

Après un petit moment de réflexion elle prit celui de droite et continua quelques minutes tout droit. Elle remarqua alors une grande clarté venant de sa droite : une ouverture de la taille d'une porte d'où s'échappait un flot de lumière. La petite demoiselle regarda dans la pièce, là il y avait des machines, oui, vraiment beaucoup de machines, mais ce n'était pas n'importe quelles machines, ces machines-là ne servaient à rien d'autre qu'à la fabrication d'armes. Elle devait donc se trouver devant l'une des entrées de cette immense salle certainement remplie de choses utiles en tout genre. Hikari prit sa respiration puis entra dans l'atelier, la lumière de la pièce l'éblouit quelque peu après s'être habituée au couloir sombre, elle se retrouvait face à face à la clarté.

La jeune fille regarda à droite puis à gauche : personne. Il n'y avait pas non plus un seul son, autrement dit, elle devait être seule dans cette immense pièce. Elle se décida donc de faire un tour pour y trouver quelque chose d'intéressant, bien que son arme combinée à son don lui suffisse certainement amplement. Des machines, il y en avait, mais des armes non. Elle fit plusieurs tours de la pièce sans rien y trouver. Elle se décida à partir quand elle remarqua un étrange reflet, sur le moment, elle pensa "Un simple morceau de verre" puis sortit de la salle. Mais plus elle avançait dans la direction d'une autre pièce, plus cet éclat l'intriguait. Exaspérée par sa propre curiosité maladive, puis après avoir pousser un léger soupir, elle fit demi-tour et revint dans la salle de fabrication d'armes. Arrivée à mi-chemin, elle entendit le bruit des machines en marche... Quelqu'un était-il rentrer dans la pièce lors de sa petite, toute petite, sortie? Poussée par cette stupide curiosité, elle se dépêcha de retourner près de l'atelier pour en avoir le cœur net.

Aie! Problème! Une personne était entrée. C'était une fille qui devait être au lycée dans une classe qui lui était supérieur car elle ne la connaissait pas personnellement. Cependant ce visage, cette beauté envoutante, oui, ça ne pouvait être personne d'autre que Mitsuko Ogawa : la fille du Directeur. Elle avait cependant une attitude bizarre, elle semblait parler à quelqu'un... Y avait-il une autre personne dans cette salle? Peut-être... au moins, une chose était sûre : s'il y avait bien une autre personne dans la pièce, elle était invisible. Ce qui voulait dire que cette zone était l'une des trois dans laquelle les dons fonctionnaient. Bonne nouvelle... ou mauvaise nouvelle. Même si elle pouvait utiliser son don, les autres aussi le pouvaient aussi et elle n'avait aucun moyen de se protéger contre une personne dont le pouvoir jouait sur le mental.

Alors, lui fallait-il rentrer, ou plutôt repartir de là où elle venait? Un instant de réflexion plus tard, elle se décida d'entrer discrètement dans la pièce. Elle se mit donc à quatre pattes puis, aussi rapidement qu'elle le pouvait, essaya de rejoindre l'autre bout de la pièce, là où se trouvait le mystérieux objet.

Invité

Eh bien il était temps de se trouver un endroit ou se terrer, inutile de dire que Shiro ne va pas faire de choses comme tuer un camarade mais si il le devait, il le ferait sans doutes mais uniquement si ce sont des gens qui seraient capables de tuer, de toutes facons rester invisible pendant toute la durée de ce jeu idiot qui le conduirait à mourrir de toutes façons, mais déja alors qu'ilo se déplacait sans bruit il pouvait sentir une tierce personne qui était rentré dans le batiment et il put apercevoir Mitsuko Ogawa. Tiens donc, la fille du dirlo mais son don est assez ambigu, il parait qu'elle serait capable de manipuler les émotions mais bon Shiro qui est imperturbable le verrait tout de suite si il ressentait la moindre méfiance envers elle s'envoler surtout que apparemment elle semblait l'appeler à le rejoindre et comme prévu par le jeune praticant des arts martiaux, il sentait son envie de se méfier s'envoler. Hors de question de se faire avoir par sa petite tirade, il jugea plus prudent de s'éloigner de l'endroit et ferma son esprit aux ondes réceptives de Mitsuko... L'usine était assez grande pour jouer de l'écho et il allait devoir s'en servir, le bon moyen de tendre un piège, il profita alors de l'écho du batiment...

"Désolé Mitsuko, je ne suis pas dupe, je connais désormais ton pouvoir et je ne peux pas y riposter, sur ce je te laisse, je n'ai pas envie de participer à ce jeu maudit, donc je te demanderais de ne pas t'approcher, hors de question de descendre quelqu'un par erreur!"

Finalisation des paroles, trop parler le ferait repérer mais déja le jeune homme prit quelques bouts de métaux et les lanca ainsi en les faisant s'éparpiller un peu partout, maintenant il lui restait à choisir une direction ou l'autre mais il s'éloignerait de Mitsuko tant que celle ci émettait ses ondes mentales, il put alors apercevoir une autre demoiselle se faufilant pour aller chercher quelque chose mais maintenant il devait se barrer et réutilisa le startagème d'éparpiller les bouts de métaux deux à trois fois histoire de la désorienter définitivement.

*Aller il est temps de se barrer d'ici. Trouvons un équipier.*

L'echo ? Pas mal ... Mais totalement inutile Shiro ... Allons, ne me dis pas que tu ne réfléchis pas ... Tant pis pour toi alors ... Il y avait à présent deux personnes dans la pièce, dont une que Mitsuko repérait à ras du sol. Elle était cependant trop éloignée pour que Mitsuko la reconnaisse. Dommage. Ami ou ennemi ? Plus tard. Elle ne craignait rien ici, puisque son Don fonctionnait ...

Elle se dirigea droit vers la source d'emotions qu'elle ne voyait pas (alias Shiro en mode "homme invisible"), quitte à la suivre si elle se déplaçait.

- Dommage pour toi, je n'ai pas l'intention de laisser quiconque ne m'aidera pas en vie ... Et ton choix vient de te condamner ... A dans une autre vie, Shiro-kun ... En espérant que tu ne souffrira pas trop ...

Mitsuko eut un petit sourire narquois tandis qu'elle sortait l'arme qu'elle avait trouvée dans son sac. Une magnifique mitraillette. Avec ça, difficile de manquer sa cible ... Surtout quand on la localise sans même la voir ... Mais Shiro avait fait son choix, et il était désormais trop tard pour en changer. Elle arma l'arme, et tira une rafale sur le jeune homme, puis alla se mettre à l'abri loin de lui, accroupie derrière une machine, prête à se tirer dès qu'il se rapprocherait trop ...

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Arme : reste : 5 cartouches - 5 balles x] (je dois chercher combien y a de balles par cartouche ...)

EDIT : aha ! xD là, tu es mort trois fois ... alors bon ... tu crois vraiment que tu as une chance de viser juste ? 0=)

Le membre ''Mitsuko Ogawa'' a effectué l''action suivante : a-t-il réussit son coup?

''quitte ou double?'' :
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Invité

Eh bien les choses ne se passent pas toujours comme on le voudrait mais Shiro avait semble t'il eu le temps de s'éloigner sauf que Mitsuko ne se gêna pas pour tirer dans sa direction et malheureusement bien qu'il ne comprenne pas toujours comment il fut localisé, le jeune homme fut touché de manière critique à l'épaule gauche, la deuxième balle ne l'érafla qu'a la joue et la troisième l'évita sauf que les deux dernière touchèrent deux points vitaux, pas difficile de savoir qu'il n'en avait plus pour longtemps mais hors de question de resté couché sans rien faire, sa colère commencait à prendre le dessus mais aussi l'envie de survivre, cela ressemblait à de la folie furieuse mais Mitsuko allait pour la peine gouter à cette folie passagère signe des derniers soupirs de vie du jeune homme, il l'avait localisé au moins trois fois suite au tirs ne s'étant pas allongé, maintenant il pouvait franchement y aller, de toutes façons il allait quand même y passer, laisser une telle fille dans la nature était une chose qu'il ne devait pas faire.

"Mitsuko, ca te dérange si je t'emmène avec moi?"

Bien sur que cela la dérangeait mais déja le jeune homme réapparut à coté d'elle la prennant à revers, son don ne le touchait plus depuis que les balles l'avaient perforé donc pour le localiser elle pouvait toujours réfléchir. Il utilisa alors ses dernière forces dans un sprint dirigé vers Mitsuko en volte/face son magnum à la main et tira ainsi quatre balles en direction de la jeune femme prise ainsi au dépourvu, il mit alors directement un genou au sol respirant avec difficulté et lachant une gerbe de sang cependant il se dirigea avec la seule force de son envie vers son sac laissé la bas et décida que si lui perdait son sac, il ne le laisserais pas à portée du premier venu... La folie avait légèrement gagné son esprit et il utilisa ses dernière forces pour trainer son sac qu'il placa alors sur une des machines avant de lacher l'arme par terre.... Il tituba alors avant de s'affaler par terre. Ayant toutefois appuyé sur le bouton pour que le sac qu'il avait soit broyé, il rammassa alors l'arme qu'il avait utilisé et s'amusa à tirer des coups en l'air depuis le sol, désormais le chargeur était ainsi vidé et tant pis pour les autres, finalement son bras s'affala sur le sol... Il n'avait plus la force pour lutter et ainsi il se laissait emporter par la mort, de toutes façons il serait mort sous peu donc tant pis!

"J'ai perdu la main... Pas de chances.... Je suis même pas sur de l' avoir buté...héhéhé... Bizarrement je... m'en fou...."

Ses yeux ne se fermirent même plus et son coeur s'arrêta de battre, lui qui était pourtant sur de finir par tuer cette prof maudite... Finalement il serait le second à rejoindre les ténèbres de l'enfer, de toutes façons sa maladie l'aurait emporté dans pas longtemps, il aura au moins vécu pleinement....
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Magnum: 10 Balles: 4 utilisées sur Mitsuko et 6 dans le vide = 0 balles restantes. Bonne chances a vous pour la suite je tombe au combat XD

EDIT: Vous tombez avec moi MOUHAHAHAHAHAHAHA
EDIT 2: Bouh Favoristisme >>

Le membre ''Yamoto Shiro'' a effectué l''action suivante : a-t-il réussit son coup?

#1 ''quitte ou double?'' :
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#2 ''quitte ou double?'' :
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#3 ''quitte ou double?'' :
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#4 ''quitte ou double?'' :
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Son avancée était rapide, son corps évitait astucieusement les débris et autres objets qui jonchaient le sol, bref, elle n'avait pas à s'en faire. Sauf si, par malheur, l'un des deux jeunes gens qui étaient dans la pièce ne la découvre et ne veuille la tuer, à ce moment, elle serait bien obliger de répliquer. Mais après tout, n'avait-elle pas décidé de tuer? Elle se devait donc de retirer cette peur, sentiment des faibles, de sa tête. De toute façon, tous ceux dont la peur était le sentiment dominant allait perdre à ce jeu barbare, il lui fallait donc qu'elle reste impassible à tout ce qu'elle pourrait, non, devrait faire pour survivre ici.

L'objet brillant se rapprochait, elle y était presque, c'est alors que des débris de différents métaux vinrent gâcher sa progression. Ils étaient nombreux et il était impossible d'en deviner la source. L'homme invisible l'avait-il découverte? Ou tout simplement, peut-être ne voulait-il pas qu'on le découvre. Un morceau particulièrement tranchant et pointu fonçait sur elle à une vitesse folle. Elle ne pouvait malheureusement pas l'éviter entièrement au risque de se couper avec les morceaux déjà à terre. Elle fit donc un léger mouvement de tête pour l'éviter, cependant, ce n'était pas suffisant et pas plus de deux secondes plus tard, un liquide écarlate coulait de sa joue. La douleur n'était que superficielle, mais ce bout de fer devait être plein e microbes et de maladies, les risques d'infections de cette plaie minime étaient grands. Une question se posait alors dans son esprit : devait-elle oui on non faire apparaître une trousse de secours pour éviter de mourir aussi bêtement? Mais, son énergie était importante, tout aussi importante d'ailleurs que son énergie vitale. De plus, les contrecoups de son pouvoir étaient élevés. Après quelques secondes seulement, elle se jeta sur l'objet brillant qui était désormais à porter de la main. Cependant, la pluie coupante continuait inlassablement, pour le malheur de Hikari qui était de plus en plus couverte de blessures et de coupures en tous genres. La jeune demoiselle se fichait bien de cela et attrapa l'objet de sa convoitise quand, tout à coup, des coups de feu la surprirent. Sous l'effet de l'étonnement, elle lâcha le mystérieux objet en plein saut, ce qui eut l'effet néfaste de le propulser encore plus loin.

Elle était en colère mais ses yeux de glace ne montrait rien de cela, même son visage restait impassible. Un petit laps de temps plus tard, elle était de nouveau maîtresse de ses sentiments et la colère avait disparu, seule restait la curiosité.Qui avait bien pu tirer, Mitsuko ou l'homme invisible? Après un court temps de réflexion, elle décida d'aller chercher l'objet puis de s'enfuir sans dire au revoir. La chose luisante avait été projetée vers l'endroit où avait résonner les coup de feu. Doucement, sans faire de bruit, elle s'approcha. Cette chose était-elle si importante pour elle? Peut-être pas pour elle, mais pour sa curiosité, oui. Elle n'était plus qu'à un mètre de lui quand résonna quatre autres coups de fusil. La jeune lycéenne tourna la tête, elle ne devait plus être loin du couple non plus. Ses yeux de glace fixèrent quelque chose de lointain, qui lui était invisible car caché par d'autres trucs. Tout aussi rapidement qu'auparavant, et toujours à quatre patte sur le sol, elle prit possession de l'objet et regarda de quoi il s'agissait. Ce n'était pas une arme, mais quelque chose de plus poétique et infiniment plus beau. Un collier en argent auquel pendait un pendentif. Hikari approcha sa tête de ce merveilleux bijoux. Le pendentif était légèrement sale mais avait gardé toute sa splendeur qu'il devait avoir eu autrefois. Il représentait une rose, mais la fleur avait une couleur des plus originale : elle était d'un noir d'encre et des fragments de saphir délicatement implanté dans le métal, rendant l'objet encore plus beau et sans l'alourdir inutilement comme l'aurait fait un gros morceau. La fille était en admiration devant tant de beauté, la tige de la fleur était resté en argent et arborait quelques épines. Quelques minutes après la contemplation de la chose, elle la rangea dans son sac. Bien que cet objet était d'aucune utilité pour ce jeu, elle avait décidé de le garder pour on en sait qu'elle raison.

Une flaque de liquide rouge cerise arrêta le cours de ses pensées. A qui appartenait ce sang? Silencieusement, elle tourna à un coin d'une table et là, elle vit deux corps étendus à même le sol. La fille semblait encore vivante, à l'inverse du garçon. Un brusque instinct la poussa à se rapprocher de la scène... Instinct animal peut-être, elle était hypnotisée par ce rouge si pur, si beau dans lequel se reflétait la lumière du soleil passant par les fenêtres brisées. Toujours à quatre pattes, elle s'approcha de plus en plus, toucha du bout du doigt le liquide écarlate qui s'écoulait tranquillement du corps du jeune homme. La main suivit le doigt, puis la deuxième main rejoignit la première dans un bal d'une seule et même couleur : le rouge. Qu'était-elle en train de faire? Ses impulsions était devenues ses maîtresses et Hikari leur obéissait à la lettre. Une de ses mains d'un blanc nacré mais taché de la magnifique couleur, s'approcha de son visage. Sa joue déjà recouverte du liquide ne fut pas l'objet de nombreux changements. Mais son œil, à l'inverse était devenu presque rouge... Sa tête se pencha en signe d'incompréhension comme si elle n'avait pas vécu en civilisation depuis un siècle, comme si elle était redevenue une enfant. Un sourire se dessina alors sur ce visage devenu rouge. Ce sourire semblait cependant si doux, si naturel que personne n'aurait imaginé qu'il eut appartenu à une fille se roulant presque dans une flaque de sang. Promptement elle se saisi d'un bout de métal qui trainait par là et puis commença son chef d'œuvre sur le cadavre, un sourire de folle sanguinaire grandissait de plus en plus sur son visage que le rouge tintait de plus en plus.

Une réflexion arrêta cependant le manège de son cerveau, arrêta la musique qui faisait danser les partenaires de ce bal coloré. Cette réflexion n'était qu'une lutte de sa propre volonté contre cet instinct non humain. Qu'était-elle donc en train de faire? Le démon l'avait-il emprisonnée dans une prison rouge sang. Cependant, c'était déjà trop tard pour renier sa faute, ses mains tenait toujours le bout de métal qui transperçait le cœur du macchabée. Le sourire de fou qui s'était dessiné sur ses lèvres avait disparu plus rapidement qu'il n'en faut pour le dire et l'iris de son œil valide avait retrouvé sa couleur bleu de glace qu'il arborait habituellement. Du sang avait giclé sur son visage, ses bras, ses jambes, ses habits, ses souliers, bref, aucune partie n'avait été épargné par le liquide rougeâtre. La partie qui avait cependant été le plus touchée était son visage, du liquide coulait de ses joues jusqu'au par terre, son cache œil était passé du blanc au rouge, son front n'avait plus sa couleur initiale et même sa paupière avait revêtu une parure de sang. Doucement, elle s'éloigna du cadavre hachuré et découpé, elle l'avait salement amoché, mais bizarrement, elle n'avait pas touché à la fille qui se trouvait un peu plus loin. Un corps seulement avait sans doute été amplement suffisant pour assouvir ses envies meurtrières. Elle était dégoûtée par son geste inhumain qu'elle venait d'accomplir mais son visage n'en montrait rien. Lentement, elle s'approcha de la lycéenne et la regarda dans les yeux. Devait-elle vraiment faire équipe avec elle plutôt que de la tuer? Mais c'est vrai, qu'après tout, elle lui serait sans doute utile, tant qu'elle ne la poignarderait pas dans le temps comme une lâche.

Un long moment de réflexion passa ainsi, mais elle n'avait plus le temps de réfléchir car d'autres personnes risquaient d'arriver. Se décidant enfin, elle prit délicatement le bras non touché de Mitsuko et l'aida à marcher en direction de l'extérieur. Un pont sans doute dangereux se trouvait sur son passage. Trois choix s'offraient à elle : la droite, la gauche ou le milieu. Après avoir pris sa respiration, elle traversa le pont sur la droite en espérant ne pas avoir pris le chemin le plus dangereux, surtout qu'une autre vie reposait entre ses mains.

Annonce radio de Matsuri a écrit:: Bonjour Bonjour !

Déjà un petit moment que vous êtes partis ... Il y a eu un peu d'action, je vous rassure, mais bon, ça reste plat ...

Bon, alors ... la zone qui va fermer est la zone ... C intérieur ! Evitez cette zone, sauf si vous voulez décoller !

A plus tard ! Je vous donnerai alors le nombre exacts et même les noms des morts ...

Misao avait manqué s'étouffer en voyant ce que contenait son sac. Argh ... ils se moquaient d'elle ?! Ce n'était pas possible autrement. Où était-la caméra ? Mais elle avait bien cherché, elle ne l'avait pas trouvée. Dommage, elle aurait préféré.

Elle s'était instantanément dirigée vers la lumière, chemin vers l'extérieur. Manque de bol, elle était arrivée sur un champ de bataille. Elle s'était cachée en entendant les coups de feu. Pas de bol ... Ici apparemment, on participait ... Elle soupira. Heureusement qu'elle avait réussi à choper un pouvoir quand même ...

Lorsque le silence revint, elle s'approcha de l'endroit où ils avaient eu lieu, prudemment. Elle y découvrit un jeune garçon de sa classe. Shiro. Dommage, il était sympa lui ... Enfin, tant pis. Ca ne servait à rien de s'appitoyer sur lui. Elle posa doucement sa main sur son visage, lui fermant les yeux, et sentant en même temps son don faire son effet. L'invisibilité était désormais sienne. Elle s'apprêta à sortir lorsqu'elle se retrouva face à deux filles.

Oops ... Elle leva les maisn en l'air, montrant qu'elle n'était pas dangereuse.

- Je ... je ne vous veux pas de mal ! Bien que même si je vous en voulais, je serais très mal moi-même parce que j'ai rien ... Alors ... euh ... Si je peux vous être utile ... J'ai le Don de vol ... et en ce moment, j'ai invisibilité, et paralysie ... Prenez-moi avec vous ! Je me ferai petite, et je peux être utile ...

Elle s'agenouilla.

- S'il vous plait ... Je ne veux pas mourir sans avoir servi à quelque chose ...

Il riposte ? C'était la première fois que quelqu'un échappait à son contrôle. La dernière aussi, elle s'en fit le serment. Elle évita tant bien que mal les balles avant de tomber au sol. Elle s'agrippa le bras. Aïe ... Pas bon ça ... Découpant le chemisier qu'elle portait, Elle observa la blessure. La balle était entrée dans l'épaule, provoquant une insoutenable douleur à chaque mouvement. N'étant pas ressortie, Le sang ne coulait pas trop abondamment. Elle savait cependant que cela venait sans doute de sceller la suite du jeu pour elle ... Tant pis.

Hika la trouva là, et l'aida à se relever, lui arrachant une grimace de douleur. Alors qu'elles arrivaient au pont, une jeune fille se retrouva face à elles. Elle leva les bras, montrant qu'elle ne leur voulait rien, et s'expliqua. Elle voulait les aider ? Bon ... pourquoi pas, après tout ? Mitsuko était touchée, mais pas morte. Et au cas où Misao se trouverait être dangereuse, mitsuko ne cragnait rien.

- D'accord. Tant que tu ne nous touche pas sans notre accord, tu peux venir. Mais au moindre doute, tu es morte.

Autant mettre les choses au clair tout de suite ...

Les trois jeunes filles partirent donc en direction du mystérieux pin's vert de Mitsuko, empruntant la droite du pont.

La droite du pont est une zone dégagée ...

Les trois jeunes filles sortirent sans encombres.

Le piège changea de place.

Shinji venait de rentrer dans ce qu'on pourrait considérer une salle de fabrication d'arme. La porte par laquelle il venait d'entrer avait du surement déjà être ouverte pour une raison X ou Y... Peut-être parce que quelqu'un était déjà passer par là. C'est alors que le jeune homme eut un doute. Il sentait en lui que son pouvoir n'avait pas disparu. Il en profita alors pour se propulser à toute vitesse vers une machine pour se cacher. Une fois arriver en ce lieu, il scruta les lieux. Rien ne semblait lui porter une grande attention. Rien sauf les flacons qui étaient présents dans cette salle. Les flacons contenaient des liquides inflammables, ce qui pourrait être dangereux vu son don, mais aussi dévastateur comme jamais. Il continua sa progression dans la salle, et plus il avançait, plus il découvrait des choses intéressantes. D'abord des ustensiles de travail comme mécanicien, ce qui n'est pas étonnant pour le lieu où il est. Il prit une clé à mollette dans sa main, on ne sait jamais.

C'est alors qu'il entendit un bruit. Il se cacha, encore une fois. Mais il put vite reprendre sa fouille car il comprit que le bruit n'était que le pigeon qui avait pu entrer par un trou du toit. Il le voyait voler dans cette salle, sans se poser. Le jeune homme continua sa fouille mais rien ne semblait l'intéresser. Mais c'est en arrivant près de la passerelle qui faisait office de lien entre l'extérieur et l'intérieur qu'il fut fort surpris. Il remarqua un garçon qui semblait mort. Les multiples coups qu'il avait eu sur la tête en montrait la voracité de la personne contre qui il s'était battu.

« Ca donne froid dans le dos ça... »

La passerelle était vide, personne dessus, peut-être que l'assassin était déjà partit où continuait dans les environs de l'usine... C'est une possibilité. Il se pencha vers l'extérieur pour écouter le bruit qu'il y avait dehors. Peu de parole, juste le vent et le bruit des oiseaux qui quittent ces lieux abandonné et condamnés par la folie de Matsuri. Il hésita un instant à aller la retrouver, au péril de sa vie, mais après quelques instants de réflexions, le jeune homme préférait garder sa vie. Il était cupide pour cela, comme tout le monde d'ailleurs. Il entendit un coup de feu au loin, surement un nouveau mort parmi les nombreuses personnes qui sont présentes.

« Je me demande comment tout cela va se terminer. »

Il se leva de sa chaise roulante et la laissa où il était il y a encore quelques seconde. Il profita du calme de la salle pour regarder se que composait son sac. De quoi manger, de quoi boire et un arme à feu avec 5 balles... Intéressant mais d'autant surprenant... C'est pas le genre de Matsuri à nous laisser une chance de survivre... Pourquoi avoir mis de l'eau et de la nourriture alors qu'elle aurait facilement laisser les 30 élèves sans rien. Encore un acte de compassion envers ses élèves? Bizarre.

Quand il eut fini, il s'assit contre un mur, sachant qu'il ne savait plus vraiment quoi faire. Avec un peu de chance, personne ne le trouverait et il pourrait survivre à cette mascarade...

Annonce de Matsuri a écrit:: Bonjour bonjour !

Alors .... Quel dommage ... Des élèves ne sont pas sortis à temps de la zone C ... c'est vraiment trop bête. Il faut réagir vite les amis, quand je vous préviens d'une zone qui ferme ... Bon, ce qui vous intéresse tous ... Qui est parti ?

Je vous annonce toutes mes condoléances pour le décès de : Keiko Kohana, Kenshiro Tokisei, Ayumi Lovely, Yamoto Shiro, Mii Kazuka, Aya Usami, Yuki Mori, et Nitsumi Oyota.

8 morts déjà ! dites-moi, vous étiez vraiment motivés ... Mais c'est super ! Parce que le jeu durera ainsi moins longtemps ...

Il ne reste plus que 23 personnes en lice ... 22 à tuer donc ...

Que le meilleur gagne ! Et à tout à l'heure pour la prochaine annonce de fermeture de la zone ...

Invité

Tsukiyo descend les escaliers. Un petit déclic se fait en elle et elle comprend ce qu'il signifie : elle peut réutiliser son don. Alors Tsukiyo sort le plus rapidement son carnet et dessine plein de petit chibis. Cela ne lui prend que quelque secondes puis elle part se cacher.
Elle s'était assise à coté d'une machine bizarroïde. Elle croyait être seule dans cette grande salle. Grande salle qu'elle examina : c'était sans aucun doute la principale pièce de l'usine , elle était assez haute de plafond et très large. Elle était empli des même machines que celle qui était à coté de Tsukiyo. Au fond de la salle, il y a l'escalier qui mène au toit, celui que Tsukiyo vient de descendre, et au milieu, il y a un pont, qui doit sans doute mener à la zone extérieur. En tout cas, il n'inspire pas confiance à Tsukiyo, elle ne le prendra pas.
Tsukiyo aperçut alors un corps gissant sur le sol, un corps inerte, sans vie. Tsukiyo eu un hoquet de sourcil et fronça les sourcils, ainsi le massacre avait commencé! Qui était aussi cruel pour faire cela?
Elle soupira et fit disparaître tout ses chibis, sauf deux, qu'elle envoya à l'exploration de la salle. Au moindre bruit suspect, les chibis se dirigeraient là-bas et reviendraient prévenir Tsukiyo.
Les chibis s'en allèrent en courant de leur 2cms de haut. C'était un avantage qu'ils étaient aussi petits, ils pouvaient se faire très facilement discrets.
Tsukiyo resta ainsi assise contre le mur pendant quelques minutes, mais un des chibis revint et tira la chaussure de Tsukiyo dans une direction, signe qu'il avait trouvé quelque chose et qu'il voulait la lui montrer. Tsukiyo en en catimini le chibi qui la mena à l'autre bout de la salle. Entendant le bruit d'une respiration, elle se cacha derrière une machine. Mais Tsukiyo se cogne et en fit tomber une pièce de la machine par terre, se qui provoqua un brouhaha incroyable. Tsukiyo fit disparaître ses chibis et dit :

- Je ne te veux aucun mal. Je suis incapable de blesser quelqu'un, je suis incapable de tuer quelqu'un. C'est à peine si je sais manier une arme.

Et c'était vrai. Tsukiyo ne savait manier aucune armes, c'est à peine si elle en avait déjà tenu une ( à part le couteau à la cantine bien sur ). Elle voulait simplement rester en vie, simplement ne pas avoir à combattre quelqu'un. Puis, d'une voix tremblante et hésitante, Tsukiyo dit :

- Je veux juste que ce massacre cesse. Je veux que les élèves arrêtent de s'entre-tuer.

Tsukiyo passa la tête de derrière la machine. Dévoilant ainsi son visage et celui du jeune garçon en face d'elle.

tout petit deso >///<

Annonce de Matsuri a écrit:: Bonjour à nouveau !

tourne tourne la roue du destin ... Ici sa voix qui vous parle ... Qui êtes vous, après tout, sinon les jouets du destin ? La roue tourne et continue sans cesse, pantins ou pas ... La roue jamais ne s'arrête ...

Et la roue s'est arrêtée sur la zone A extérieur ! La zone fermera d'ici peu de temps, dépêchez vous d'en sortir !

Je vous annonce également la mort de Kanou Caoga et de Sakura Aï, qui vient de me parvenir ...

N'oubliez pas, la roue tourne, et continue ... avec ou sans vous ... elle ne vous attend pas ...

La Niwa était toujours dans l'escalier... Elle avait vite fait de suivre Tsukiyo quand la voix de Matsuri avait raisonnée sur le toit. Danger de mort imminent. Elle aurait bien aimé aider Ayumi, mais chacun pour. Elle hésitait à sortir de l'escalier, que croyez vous, qu'elle va se jeter dans la gueule du loup? Plutôt mourir. Quand elel s'était précipité dans l'escalier, elle avait entendu un boum. Pas difficile de savoir ce qui était arrivé à la neko. Si elle l'avait aidé,peut être aurait-elle subit le même sort. Chacun pour sa peau. La voix de Matsuri raisonna à nouveau, annonçant les mort. Ainsi, Keiko aussi. Dommage pour sa camarade de chambre... Koro eut un pincement de cœur...

Elle était quand même un peu déçu d'avoir oublié son sac. Plus de bouffe. pas de chance. Voilà ce que ça fait aussi, de se presser. Et maintenant, impossible d'aller le chercher... Il ne lui restait que son poignard... Quelle tuile. vraiment pas de chance...

Elle se demandait si Tsukiyo était encore dans le coin, mais n'osait pas hausser la voix, les rapaces sont dans le coins sans doute. Elle entendit un grand bruit, et passa sa tête hors de la porte pour voir. Elle reconnu Tsukiyo, qui avait fait une jolie descente. Elle s'en serait douté...

- Je ne te veux aucun mal. Je suis incapable de blesser quelqu'un, je suis incapable de tuer quelqu'un. C'est à peine si je sais manier une arme.

Toujours le même discours à ce que je voix. Tsukiyo avait eut de la chance de tomber sur des pacifique du premier coup, mais la chance n'est pas toujours du bon côté, rien de dit qu'elle va se faire tuer par cette personne. Les beaux discours ne suffisent pas à tuer les gens. D'autant qu'elle vient de dire qu'elle est plus que vulnérable... Alalala...

- Je veux juste que ce massacre cesse. Je veux que les élèves arrêtent de s'entre-tuer.

C'est-y pas mignon... Bon, la Niwa non plus n'avait pas vraiment envie de tuer des gens... Mais puisqu'il le faut... De toute façon, ce n'est pas ça qui va arrêter Matsuri.

La Niwa alla vers l'endroit de la pièce où se trouvait Tsukiyo, et pour voir qu'elle tête avait. Attention, pourvoir de voleur en action!! Hé, quand elle s'y met, peu vraiment être discrète. Quand elle fut assez proche des deux personnes elle jeta un coup d'œil et reconnu de suite qui se trouvait en face de Tsukiyo...

- Shinji, souffla t-elle.

Manque de pot, elle finit sa phrase par un magnifique atchoum bruyant. Et alors là, la discrétion et plus que magnifique... Allez, une chance sur deux d'être repérée...on, pas de chance du tout...

Shinji garda les yeux fermer pendant le communiquer de Matsuri, annonçant la mort d'une flopée de personnes dont il ne connaissait rien d'eux. Mais un nom vint frapper la tête du jeune homme si fort que ses yeux s'ouvrirent en grand tel un hibou repérant la plus belle prise de sa journée.

Keiko Kohana... Ce nom résonnait dans sa tête si fort qu'il avait envie de crier à tous les toits, pleurer comme un ange découvrirait la mort de son protégé. Il voulut se lever mais le chagrin l'empêcha de tout mouvement. Il avait du mal à respirer tellement la nouvelle était un choc pour lui. Il avait plein d'image dans sa tête qui défilaient, anéantissant le spectateur.

Les larmes ne perlent plus, ne coulent plus.
Elles s'abandonnent dans un corps vide sans amour, attendant une lueur d'espoir qui viendrait leur indiquer une nouvelle voie.

Ainsi, il se revoyait encore et encore enfant, apprenant la vérité sur la disparition de ses parents. Toujours autant de choc à la vue de ces images qui peuvent émouvoir tous les coeurs, même ceux de pierre.

Mais son chagrin fut vite rattraper par la réalité quand il entendit un brouhaha fracassant qui le ramena sur terre. En cette direction, il pouvait voir une personne montrer son visage tout en parlant.

« Je ne te veux aucun mal. Je suis incapable de blesser quelqu'un, je suis incapable de tuer quelqu'un. C'est à peine si je sais manier une arme. Je veux juste que ce massacre cesse. Je veux que les élèves arrêtent de s'entre-tuer. »

Le jeune homme ne réfléchissait plus depuis l'annonce mortelle. Toutes les paroles qui étaient audibles dans cette pièce ne parvint pas au cerveau de Shinji. Toutes ces paroles n'étaient que du vent pour lui. Mais il n'eut pas le temps de parler avec la jeune inconnue qu'un autre bruit vint faire son apparition dans cette salle. Ainsi, Shinji pouvait voir qu'il n'était plus seul. En quelques secondes, deux personnes pouvaient être les futur tueur ou tuer... Le jeune homme ne chercha pas midi à quatorze heure. Il prit un air de colère et posa une seule question bien distincte.

« Savez-vous où se trouve le corps de Keiko Kohana? L'avez-vous tué? L'avez-vous vu? »

Le jeune homme se leva et gardait le magnum en main, le doigt à côté de la détente. Il laissa la sécurité pour ne pas blesser de personne qui ne doivent pas mourir.

« C'est très simple, je ne veux qu'un meurtre... Celui qui a tué Keiko Kohana va le payer. Pour le reste, je ne veux aucun mal. »

Il garda un ton très sérieux. Il ne voulait rien d'autre. Un nouvel objectif en tête, la mort du meurtrier de sa petite amie ainsi que lui rendre un dernier hommage.

Annonce de Matsuri a écrit:: C'est de nouveau moi !

Le jeu continue encore et toujours ... La zone A externe est désormais fermée ... Heureusement qu'il n'y avait plus personne dedans !

La prochaine zone sera la A interne ! Dépêchez-vous de partir ...

Un seul nouveau mort à déplorer, ou pas : Sakura Aï.

Bonne continuation, mes petits ...

Annonce de Matsuri a écrit:: C'est de nouveau moi !

L'éteau se resserre ... Marya Akatsuky, Toshiro Hakame et Kaede Dellcours rejoigne le ciel pour leur dernier voyage ...

La prochaine zone sera la C externe ! Bougez bougez, petits élèves ... Ou bien BOUM !

Bonne continuation ... ♫

Invité

Un grand éternuement résonne dans la salle. Curieuse, Tsukiyo tourna la tête vers l'origine du bruit : c'était Koro qui avait réussi à descendre du toit avant… la suite. Tsukiyo observa attentivement Koro, elle remarqua qu'Ayumi n'était pas avec elle mais se rappela que Matsuri avait cité le nom de la jeune compagne de Tsukiyo quand elle avait annoncé la liste des morts. Le jeune homme prit la parole :

-Savez-vous où se trouve le corps de Keiko Kohana? L'avez-vous tué? L'avez-vous vu?

Keiko Kohana… Tsukiyo cherche où elle a déjà entendu ce nom… Après multiple réflexions, elle en vient à la conclusion que c'était une jeune fille qui était dans sa classe. D'ailleurs, c'était l'amie de Marya qui avait aidé Tsukiyo à guérir Plume quand elle avait fait une tentative de suicide.
Mais alors que Tsukiyo réfléchit, le jeune homme se lève, son magnum à la main, prêt à tiré.

-C'est très simple, je ne veux qu'un meurtre... Celui qui a tué Keiko Kohana va le payer. Pour le reste, je ne veux aucun mal.

Tsukiyo répond vite, mais bien, enfin, c'est comme cela qu'elle qualifierait sa réponse :

- Alors passe ton chemin. Moi et Koro étions sur le toit. Keiko n'y était pas. Tu peux toujours aller vérifier si tu veux, même si je te le déconseille.

En disant cela, Tsukiyo désigna du menton l'escalier au bout de la salle. Si le jeune homme voulait aller vérifier, alors il était fou. Vu le "boum" qu'il y avait eu quand Tsukiyo et Koro étaient descendues et la fine épaisseur du toit, il ne devait plus rester grand chose.

Puis la voie de Matsuri résonne à nouveau dans la salle. Elle énonce la liste des morts. Tsukiyo prit pour que personne qu'elle connaît soit dans cette funèbre annonce. Pourtant, en tout premier, un nom arrive et résonne. Tsukiyo a l'impression de recevoir un coup de poignard. Elle n'a pourtant pas de plaie… Le mot résonne, et l'écho qui règne dans l'esprit de Tsukiyo transforme ce nom que Tsukiyo trouvait pourtant joli en un cycle infernal . Mais il n'y a que deux mots : Marya. Marye Akatsuki. La première chose qui vient à l'esprit de Tsukiyo est cela, ce seraient les paroles que Tsukiyo aurait adresser à Marya si elle était en face d'elle :

Et alors Marya? Je te croyais plus résistante! Avant de le servir avec les sushis, le daikon doit reposer quelques temps dans l'eau non?

Et puis il y a une larme qui coule sur la joue de Tsukiyo ; mais qu'une seule car son masque de fer garde ses principales émotions à l'intérieur. Elle soupire et dit :

- Cela ne sert à rien de pleurer sur le passé. Mais cela ne sert à rien non plus de penser au futur. Je pense qu'il faut mieux vivre le moment présent.

Il était assez rare que Tsukiyo donne son opinion sans connaître la personne en face d'elle. Le plus souvent, quand elle le faisait, son masque de fer était tombé. Mais pas maintenant. Aujourd'hui son visage ne dégageait aucune émotion. Il était neutre.

Finalement, elle sort son carnet et dessine un gilet par-balle. Elle désigne avec le doigt le magnum :

- Retire sa, je tiens pas à mourir maintenant.

Shinji écoutait la jeune fille qui se trouvait devant lui. Il ne connaissait son nom mais éprouvait de la compassion... Peut-être parce qu'il n'a rien à faire avec elle... Ah moins qu'elle ne soit l'heureuse élue comme il disait: la personne qui a tué son amie. Ce qu'elle démentit rapidement.

« Alors passe ton chemin. Moi et Koro étions sur le toit. Keiko n'y était pas. Tu peux toujours aller vérifier si tu veux, même si je te le déconseille. »

Devait-il lui faire confiance ou pas... D'un côté, il n'avait pas le choix. La seule chose qu'il devait faire était de retrouver le corps de son amie. Et là encore, le défit relevait l'impossible. Comment arriver à retrouver un corps alors que la moitié des personnes présentent veulent te tuer pour être sur de ne pas être tuer. Oui c'est impossible... Mais quoi de plus beau que de réussir l'impossible? Alors autant essayer. Après tout, il n'y a pas d'autres solutions possibles et le temps ne changera rien à son opinion personnel sur cette macabre mascarade.

Un deuxième message de la part de Matsuri vint rajouter du suspens à toute cette folie. On apprends ainsi que le nombre de potentiel tueur diminue... Et encore, il est possible qu'il soit déjà mort et que Keiko soit déjà venger... Il n'avait pas encore songé à ce cas. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il abandonna son idée de vengeance. Après tout, elle sera vengée un jour ou l'autre.

« Cela ne sert à rien de pleurer sur le passé. Mais cela ne sert à rien non plus de penser au futur. Je pense qu'il faut mieux vivre le moment présent. »

Peut-être... Peut-être pas... Après tout, abandonner son passé, c'est nier son présent et détruire son futur. Et quand le passé est douloureux, les larmes nous rappelle à quel point il est difficile de vivre. C'est pour cette raison qu'il faut profiter du temps qu'il nous est donné.

Il observa la jeune fille qui se dressait devant elle. Il pouvait voir qu'elle commençait à écrire ou dessiner sur un carnet. Il ne pouvait savoir rien d'autre la-dessus.

« Retire sa, je tiens pas à mourir maintenant. »

Le jeune homme vit alors que son magnum n'avait pas bougé d'un poils. Il ne faisait plus attention à cette arme depuis le moment où les noms étaient prononcés par la démoniaque Matsuri. Il replia son bras, retirant ainsi l'arme de la visée de la jeune fille. Mais il la garda tout de même en main au cas où il en aurait besoin rapidement. Dégainer une arme est plus lent que de l'avoir sur lui.

« Dans ce cas, je dois vous laisser. Après tout, je n'ai aucune raison de rester ici... »

Il se retourna en faisant un signe de la main voulant dire au revoir. Mais il revint vite sur ses pas.

« Je vous propose une offre. On reste ensemble sans se battre jusqu'à notre propre mort. Et dans le cas ou nous sommes les derniers, on tire à la courte paille... Marché conclut? Je ne veux pas de coups dans le dos... »

Il était sincère malgré l'absurdité de ses paroles... Tirer à la courte paille dans un moment pareille... >.>

La petite fille secouait la tête, une main posée sur sa tempe tandis que son autre bras enserrait avec force sa poupée de chiffon. Elle toussait depuis quelques minutes alors que la fumée commençait tout juste à se dissipée. Sa tête lui faisait vraiment mal, elle n'avait pas tout bien compris mais alors qu'elle sortait du casier, pensant que la voie était libre, un brusque secousse l'avait projetée sur le sol avec violence. Elle était vivante, le faite qu'elle avait mal dans tous le corps le prouvait mais elle pensait n'avoir rien de grave. Du moins, elle l'avait cru, jusqu'a un cri s'échappait de ses lèvres malgré elle. Elle s'empressait de regarder la cause de cette douleur subite, elle remarquait alors quand plus d'être couverte de suie ou de poussière, elle ne savait pas réellement en quel matière était cette poudre noire, qui amochait énormément sa jolie robe jaune, il y avait un gros trou dans celle-ci. Il n'y en avait d'ailleurs pas qu'un dans sa toilette mais également dans son genou. Elle regardait rapidement son environnement pour savoir qu'est-ce qui était la cause de la perforation de sa chair, mais elle ne du pas chercher loin ni longtemps le coupable, car celui-ci était sous ses yeux. Les nombreux casiers en tombant s'était cassée, avec autant de facilité que n'importe quel vase, ainsi un petit morceau de feraille avait foncé directement dans sa jambe.
Il était surement là depuis un moment, mais il avait fallu à la petite fille qu'elle reprenne ses esprits, pour se rendre compte de la douleur ainsi qu'également se servir de ses jambes. Sakura espérait qu'elle n'aurait pas de maladie ou de saleté dans le genre suite à sa rencontre avec le métal.

L'enfant essayait de mettre sa douleur de côté, alors qu'elle avançait mais la douleur lui tirait la grimace et son avancée n'était pas réellement remarquable. Cependant aussi résistante que soit la blonde, elle avait tout de même juste 10 ans, il était déjà étonnant, qu'elle n'ai pas fondu en larme. Même si la petite faisait son mieux pour les retenir car elle avait peur que quelqu'un la découvre à cause de celle-ci. Son regard améthystes regardait vivement autour d'elle, tout semblait avoir était enrobée dans cette poussière noires, elle ne distinguait pas réellement ainsi les traces de lutte, quelque part, ce n'était peut-être pas plus mal. La japonaise avançait prudemment et aussi vite que sa jambe lui permettait mais malgré ses précautions, elle failli tombée une fois de plus, pas à cause de nouvelle secousse mais à cause d'un obstacle. Elle s'agenouillait, malgré la douleur de son genou, puis saisissait la cause de son trébuchement. A sa grande surprise, elle constatait que c'était en réalité un sac, elle observait bien se qu'il pouvait bien faire là, mais surement que l'explosion l'avait soufflé.
Sakura n'attendait pas une seconde de plus pour ouvrir sa trouvaille. Pendant quelques minutes, la petite fille fut tentée de lâché celui-ci, tellement elle était surprise et effrayée de se qu'il contenait. Elle n'avait jamais vu une arme pareil, elle se demandait pas à quoi elle pouvait servir. Après quelques secondes de réflexion, elle décidait de mettre l'objet inconnu dans son sac, cela pourrait toujours lui servir plus tard, ainsi qu'elle sauva quelques vivres mais il n'y en avait plus en belle état.

La blonde prenait une inspiration et décidait de continuer son chemin. Elle ne jetait plus un seul coup d'oeil vers la zone qu"elle venait de quittée. Elle avait un but, il était le même que les autres, survivre, alors même estropiée, elle avait faire de son mieux. Sakura ne savait si un dieu existait ou si elle avait une bonne étoile mais malgré les trainée de sang qui la rendait pistable, elle ne s'en inquiétait plus. Elle venait de trouvé un allié, ou plutôt, celui-ci était comme apparu. L'enfant se serrait la lèvre à faire couler quelques goutes du liquide au goût de faire tandis qu'elle courrait vers la personne qui pourrait certainement l'aidée.

- Shinji ! Criait-elle plus ou moins dans une voix essoufflée mais un sourire ravi sur les lèvres. Elle ne tenait pas à se faire tuée si elle approchait trop, car il ne l'avait pas reconnue ou par ses associés qui pourrait la pensée dangeureuse.