Ail Sud-Ouest [POV: Akatsuki Marya-Ken Tokisei/ Kao Mikari-Ishi Idogawa]

« iiiiiiiiiiiiiiiiiih !!! »

(ça.. c'est l'abus de jeux vidéos. =_=)

« Faut qu'on libère un passage ! N'importe lequel ira ! »

« Paaaar ishiiiiiii ? Ou par là-baaaaaas ? Nyaouuuuu »

[désolée pour le grugage, mais le temps prsse > de toute manière, tout est déjà dit. Kenshiro > tu à le choix pour dire ce qu is'est passer pendant que je faisait un somme.

Mes bras ... me font mal ...

La paralysie avait mla été faites, elle en subissait à présant les consécances.

Mon coeur ... n'arrête pas ... de se vider ...

Une envie de vomir s'insallait, il lui était pourtant impossible de cracher quoi que ce soit.

Je suis fatiguée ... Je n'en peux plus ...

Elle ressantait cette chaleur et ce tambours qui battait juste contre elle.

Atatakai ...
[C'est chaud]

Des bras se tendire vars le ciel, ne rencontrant qu'un visage.

-Oniisan ... Daskete ...

Puis plus rien. Rien que des moiuvements saccadés. Comme si on la portait, on la posait. Du mouvement. De la douleur. Au bout d'un moment, elle ressentit même quelque chose sa glisser dans sa bouche, quelque chose dont la texture rendait dificile à macher et à avaler.

Machroom ?

Elle entendait vagment, mais étaiot totalement perdue. Ça tournait, ça tangait, il fait noir, nonpas noir. C'est juste cette absance de lumière derière nos paupières ... Ça ne s'arrêterai donc jamais ? C'est trop loud, trop douloureux ... Marya avale, s'étoufe un peu. Se sent portée à nouveau. Les sons se déformaient et s'étouffait. Un grand noir mélangé, sa tête tourne et tombe.

Il fait noir, Oniisan ... Il fait noir ... Kaoï no [j'ai peur]

Marya s'agrippe, au bout d'un moment, ses pied touche le sol, elle marche vagement ... On essayait de la trainerQuelque part. Marya essaye d'ouvrir les yeux. Inutile. Elle marche sur quelque chose d'instable, est prête à tomber. On la rattrpee. Son ouie commance à revenir, mais de manière floue et defragementée. Au bout de quelques pas, son pied rippe, elle tombe dans un liquide. Liquide qui d'ailleur n'était pas aussi fluide que de l'eau. Elle s'englue, s'enfonce ... Marya n'avait plus la force de se débttre, elle sombrait dans un someil profond.

Oniisan ... Koaï no ...

Fin de cette intrigue.

Marya avait sombré dans la grenadine. Il lui était maintenant impossible de s'en dépetrer ce qui annonçait la fin de l'aventure pour son duo car Kenshiro ne pouvait pas continuer seul. Le gros chat de Cheschire disparu comme par magie .La glue qui emprisonnait Marya se changea en un sol carelé. Les murs de barbelés s'enfoncèrent dans le sol alors que celui remontait au niveau des bassins. Tout repris sa place comme si rien ne s'était passé.

L'homme qui avait attendu patiament jusque là sur le bord des tribunes, s'avança vers eux, demanda au second groupe sa clé et ouvrit la petite statuette avec. Il sortit de celle-ci deux petits embalages contenant un chocolat noir chacun.

"Vous avez bien mérité la récompense car vous avez très bien joué sans desespéré. Chaque chocolat contient un gage que vous pouvez donner au perdant de votre choix. J'espère que vous vous êtes bien amusé tout de même..."

Sur ces dernières paroles, il quitta la piscine, n'ayant probablement pas envie de se retrouver confontrer à un débat avec les adolescents sur le risque que représentait les jeux de l'académie. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que à tout moment, si l'un d'eux avait vraiment été en danger mortel, le jeu se serait arrêter de lui même.

L'homme s'arrêta sur le seuil de la porte pour se retourner une ultime fois.
"Monsieur Tokisei, vous devriez emmener Mlle Akatsuky prendre un peu l'air, cela lui fera du bien."

[Kaoru et Ishiro ont tous les deux le droit de choisir ce que leur papier comporte comme gage tout comme ils ont le droit de le donner à la personne qu'il souhaite.]

Le jeu s'arrêtte, et c'est tant mieux, dans un sens.

Kenshiro se demande encore ce qui à bien pu se passer juste avant, et souhaite arrêter d'y penser pour le demi-sciècle à venir si possible. Tout revient alors à la normal, ou du moins c'est ce que Kenshiro espère. De toute manière, ils sont à Takuestsu, donc où peut bien se trouver la norme dans ce lieu dirigé par des sociopaths en puissance, le directeur le premier. S'amuser façon Takestsu? la bonne blague. Elle serait même drôle si la situation n'était pas aussi alarmante.

Marya se trouvait encore dans les bras de Kenshiro, complétement inconsciente et aussi pâle qu'avant. Kenshiro en est même à parié que si elle blanchit encore, il pourrait voir à travers elle sans avoir besoin de lui demander de se pousser. La seul chose qui est encore de la couleur sur elle, se sont ses vêtements et le filet de sang qui lui coule sur la joue.

L'homme qui contrôlait le bon déroulement du jeu avait désigné le couple Kaoru-Ishi vainqueur. Peu importait, le jeu finit, Kenshiro pouvait enfin envoyer Marya à l'infirmerie se faire soigner. Alors qu'il quitte la pièce, l'examinateur se retourne vers le lycéen et lui ajoute une phrase qui vrille les oreilles de ce dernier.

Anim# "Monsieur Tokisei, vous devriez emmener Mlle Akatsuky prendre un peu l'air, cela lui fera du bien."

-"Vraiment? Je pensait juste l'achever et la découper en morceau pour ensuite l'entérer dans le jardin. Imbécile, ça t'arracherai la peau du cul de venir me donner un coup de main."

Kenshiro se lève, portant Marya dans ses bras. Il se tourne vers Kao et Ishi.

-"Bon, j'emmène cette sauvage se faire soigner. Pour les chocolats et les gages, ce sera pour un autre jour, je pense."

Le floue gagnait ses yeux, une brume, un voile d’une pâleur fantomatique recouvrit son for intérieur, enfermant son cœur meurtri dans une lassitude profonde qui lui était habituellement procurée par l’anesthésiant de Morphée. L’image s’évanouissait dans un blanc immaculé, le son lui s’amplifiait à chaque seconde. Elle a froid.

Daiichi ? Daiichi tu vas bien ? Je vais mourir ? Non, n’est-ce pas ? Je ne peux pas mourir maintenant … Je me sens seule, si seule … où est-tu ? Tu vas bien ? Tu deviendra fort n’est-ce pas ? le jours où je quitterais cette terre. Tu sera fort, tu sera toi même, tu sera quelqu’un de bien …

Marya entendait ce son, celui d’un battement simple et bon, ce battement adulte et fort … elle l’entendait, oui, il raisonnait et faisait vibrer son crane telle une cloche d’église au somnomne de sa chanson éclatante. Ce son était si doux et puissant à la fois …

Daiichi … Deviendra tu fort ?

L’image d’un Daiichi presque adulte se montra à elle. Daiichi, dans 10 ans. Daiichi qui lui souriait, Daiichi qui pouvait tenir. Qui pouvait la tenir.

Daiichi j’ai froid. Est-ce toi qui me tiens chaud avec ton corps d’homme ? Est-ce toi qui me tien et me réchauffe ?

Est-ce toi qui m’aime ?

Marya avait froid. Marya avait cet impression de manque. Entre Daiichi qui devait grandir et devenir fort, il y avait cette envie d’être prise par la main, relevée … Cette envie irrésistible de donner tout ce qu’elle avait à quelqu’un, absolument tout, jusqu'à ce qu’il n’y ai plus rien d’elle-même. Se réchauffer. Elle voulait se donner, elle voulait aimer, elle voulait être aimée.

J’ai si peur d’être seule.

Soudain, dans le blanc de sa vision apparut un visage. Pourtant, l’image de Daiichi grandit restait.

C’est à ce moment là que tout se détraqua.

Daiichi, 15 ans, jeune homme souriant et heureux se tenait devant elle. Elle était juste sur lui. Elle tendit la main, caressa son visage.

-Daiichi …
-Nee-san …

Quelle jolie voix qu’il avait ce jeune homme fort qui l’aimait. Daiichi l’aime non ? Il l’aime beaucoup ? et elle l’aime aussi ? Alors il ne pouvait pas lui refuser : lui refuser de lui donner son amour.

-Dai … ichi … Aishiteru … Ontoni Aishiteru … Dakara onegai …
[Je t’aime, je t’aime vraiment, c’est pourquoi s’il te plait]

Elle ne ressentait plus cette douleur emprisonnant ses mouvements, plus cette douleur qui l’empêchait de bouger. Elle était libéré de liens qui l’aurait empêcher de montrer à Daiichi combien elle l’aimait.

Aichiteru Daiichi.
[je t’aime]

Elle se releva avec lui, mit ses bras autours de son cou, posa sa joue contre la sienne.

Atatakai …
[chaud]

Elle fit glisser son visage sur le sien, ses lèvres caressèrent celles de son partenaire. Puis elle enroba lentement ces dernières, laissant libre court à sa passion, ce besoin de donner.

Puis le rêve prit fin, la douleur revint, et le temps reprit son court. Daiichi viens d’avoir 5 ans, il est petit et fragile. Ça n’a plus de réalité, elle se souviens que c’est impossible. Marya ne lâcha pas prise, resserra son étau. Elle ne laisserai rien s’en aller, elle ne laisserai pas s’envoler ce moment où elle pouvait donner assez pour oublier cette douleur. Pas celle de son cœur, mais de son âme.

En réalité, peu importait. Elle aimait Daiichi Plus que n’importe qui, n’importe quoi ; elle voulait qu’il devienne fort, oui, mais pour se suffire à lui même, pas la combler. En fait, n’importe qui quel homme pouvait la satisfaire. Elle avait besoin de chaleur, besoin qu’on la prenne, qu’on la berce, qu’on l’aime ; n’importe qui.
Alors peu importe la personne qui se tenait devant elle. Il n’y avait plus de Daiichi, il n’y avait plus de rêve. Plus qu’un besoin irrésistible de se perdre en quelqu’un.

C’est chaud … Ça fait du bien … Mais ce n’ai pas assez pour me décharger de ce mal. Que ce passe-t-il ? Je ne sais pas. J’ai comme une peur du vide. Cette personne en face de moi … elle m’aime ? Supporte-t-elle de me regarder en face ? Je ne sais pas, je ne sais plus … Je m’en fous …

J’aime bien ces lèvres … elle sont douces … J’aime ce corps … Il est chaud … Je déteste cette envie … d’aller plus loin.

Si c’est toi Daiichi, est-ce que tu me permettrait de ne faire qu’un avec toi ? J’ai tellement besoin de disparaître …

Les forces emporté par cette saute d’énergie, Marya tombe soudain d’une fatigue qui l’attire au sol. Elle se détache de cette personne, ses bras la lâchent, elle retombe à terre. Ces lèvres humides se gèlent. Marya s’endort parle encore une fois dans son someil.

-Daiichi … Daiichi Aichiteru … Dakara onegai … Tuyoi maru …

[Je t’aime, c’est pourquoi je t’en prie, deviens fort]

Il y avait bien quelqu'un en face d'elle. Il y avait quelqu'un. Mais en face de lui se tenait la personne qu'il aimait, en face de lui se tenait celle à qui il aurait du donner cet amour qu'il venait de recevoir.

Plus qu'une main tendue, un port pour faire accoster mon coeur en peine.

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Kenshiro transporte aussi vite qu'il le peut la jeune fille vers l'infirmerie. Mais la distance entre cette salle et la piscine est....comment dire...assez grande. Rapide vous dîtes? Mon oeil, Ken doit se taper plus de la moitié de l'institu pour l'emmener à bon port. Et pour rajouter la difficulté, la fatigue et le poid de la jeune fille (Elle est pas lourde, mais bon....elle pèse quand même son poid la bougresse) Kenshiro à de plus en plus de mal à reprendre son souffle aprés tout ce qui viens de lui arriver. L'utilisation de ses pouvoirs l'avait énormément épuissé, bien plus qu'il ne l'aurai pensé sur le moment.

Son visage se tourne vers celui de Marya, la lèvre empourpé de la princesse blanche lui donnait l'impression d'avoir mit un rouge à lèvre. Il essaye d'avancer rapidement, mais la fatigue décide de n'en faire qu'a sa tête et veut le forcer à s'arrêter. Il n'en peut déjà plus, alors qu'il n'a même pas atteint le mis chemin entre les deux établissements. Il décide de se reposer un peu avant de continuer, voyant que l'êtat de Marya s'ammeliore et qu'elle n'est pas en danger. Elle ne vomissait plus du sang comme tout à l'heure, et son visage retrouvait son teint normal (On peut pas dire qu'elle reprend des couleurs, elle est toujours blanche comme un cachet d'aspirine.)

Kenshiro s'assoit sur un banc, le corps de Marya encore dans ses bras. Il met la tête de la jeune fille sur son épaule, afin qu'elle soit installé le plus convenablement possible pour la pose. La respiration de Kenshiro est rapide, il cherchait à retrouver des forces le plus rapidement possible. Celui de Marya était devenu un peu plus calme qu'avant, presque serein, elle donne même l'impression qu'elle est en train de dormir plus qu'autre chose. Kenshiro avait l'impression de tenir en main une poupée de porcelaine, magnifique et sans vie (enfin, presque sans vie.)

-Mais qu'est-ce qui a bien pu te passer par la tête pour participer aux épreuves dans ton état. Si j'avais sû, j'aurai abandonné bien plus tôt. Qu'elle andouille je suis aussi, de t'avoir fait continuer pour deux morceaux de chocolat à la con. Il vaut mieu que je ne rencontre pas l'imbécile qui à inventé ces jeux, elle risquerai de subir des souffrances bien pire que Marya.

Soudain, Marya commence à parler, doucement, au point que Kenshiro n'entend rien de ses paroles. Mais il est content de voir qu'elle est encore consciente et en état de parler. Il l'aide à se redresser mais la retient un peu.

-Et bien alors, c'est maintenant que tu t'emmerge? Comment tu te sent?

Les yeux de Marya était encore fermé, mais le visage blanc de la jeune fille se tourne vers celui de Kenshiro, s'approchant dangereusement des lèvres du jeune homme. Il recule sa tête du mieux qu'il peut mais finit par être bloqué par la limite de taille de son cou. Les bras de la jeune fille se pose derrière la tête et commence à se pendre avec. Kenshiro n'y échappe pas, la jeune fille lui donne un baiser assez....intense. Le baiser ne dure que quelques secondes, mais a quand même lieu. Alors que le jeune homme reste presque tétanisé par ce geste, la jeune fille perd de nouveau ses forces et risque de tomber au sol. Ken la ratrape de justesse, mais reste toutefois choqué par l'action de la jeune fille. Une phrase à moitié dite sort de la bouche de Marya, qui avait un sourire aux lèvres.

Marya# "Aichiteru … Dakara onegai …

-C'est quoi cette embrouille à la con???????????

et alors qu'il essayai de trouver une réponse intéligente à cette question, il apperçoit qu'il n'est pas tout seul sur les lieux, et il s'agit de la personne qu'il désirerai le moins voir sur le moment.