Ail Sud-Ouest [POV: Akatsuki Marya-Ken Tokisei/ Kao Mikari-Ishi Idogawa]

En cet après-midi du 14 février, on ne pouvait pas dire que la chaleur soit au rendez-vous. La neige persistait même à recouvrir même le toit des bâtiments scolaires de l’académie de Takuestu No Gakuen. Pourtant, des élèves de tous niveaux scolaires confondus ne semblaient pas s’en formaliser en se dirigeant vers la piscine couverte de l’académie. Dans leur sac, pas de chocolat ou de jolies cartes roses, seulement des maillots de bain et autres ustensiles de plage. Un haut parleur posé dans un coin grésilla :
« Tous les élèves sont priés de se rendre dans l’aile de la piscine qui lui a été attribué. N’oubliez pas d’aller vous inscrire pour les jeux sportifs…. »

En effet, la piscine en question était de taille assez imposante, se découpant en plusieurs ailes différentes. Une liste de nom d’élèves avaient été placardé sur la porte principale afin d’indiquer à chacun son binôme ainsi que son point de rendez-vous.

Arrivé dans l’ail est, un homme à forte carrure portant un pantalon treillit dans le style militaire les attendait. Ils allaient être sous sa responsabilité, la règle d’or étant de « s’amuser façon Takuestu ». Autant vous dire que les règles des différents jeux allaient être quelque peu changées…

« Bonjour chers élèves !Nous sommes le jour de la St Valentin…donc nous allons faire un parcpurs du combattant ! Quoi de mieux pour s’amuser ? Vous allez être par équipe de deux, en couple avec la personne que l’on vous a attribuée, contre le second duo dans une course à obstacles. Vous pouvez vous entraider entre partenaires.»

Laissant de côté son rire tonitruant pour une voix plus dure, il se décala un peu laissant au petit groupe le loisir de voir un bain de petite taille, un sol couvert de sable qui se terminait par une liasse de barbelé à une dizaine de centimètres du sol bien que celui-ci ne ressemblait pas à un sol normal… une statue ressemblant à un sphinx de couleur pourpre les attendait sagement, alors que, une large bande de sable blanc plus tard, on n’arrivait devant une seconde statuette représentant un dragon doré tenant dans sa gueule une boîte de la même couleur que le sphinx entouré d’un joli ruban or.

«Le but du jeu est d’arrivé tous les deux à la boîte de chocolat que vous voyez là-bas le plus rapidement possible.» dit-il en désignant du doigt d’un air franchement réjoint à cette idée la petite boîte en cœur.
« Vous y trouverez deux chocolats à offrir aux perdants puisqu’ils contiennent une petite surprise.»

[Veuillez postez la rencontre au point de rendez vous par binôme puis, lors du jeu, les deux "courseurs" l'un après l'autre ou duo par duo, au choix. Veuillez attendre le post de l’animateur entre chaque obstacle.]

[Je commmance, donc Kenshiro à toi après ^^ et les autres, bas comme vous voulez ; on suit l'ordre]

-" ... Pff ..."

Oui, c'était bien un soupire : après la période de joie et de bonheur intense, son implaquable visage de pierre était revenue. Elle était redevenue Marya Akatsuki ; en apparence du moins.

D'un regard endormi, elle ballaya l'étrange salle de fond en comble. Ce que cette école était bizare !

Mais le pire ... C'était bien ... Qu'elle avait envie de dire à tout le monde "Fermez-là" : il y avait beaucoup trop de bruits. Et puis juste à côter d'elle il y avait ...

Ah ce que ça pouvait l'énerver ! Elle ne se souvenait que de ça : Des battements de coeur obsédant ... Et le froid ... Et la fatigue ... Et ces pensées ... Non elle ne voulait pas y penser maintenant.

Partenaire. Ils allaient rester l'un à côiter de l'autre pendant minimn trente minute. C'est bien con. Tant pis, il faudrza suporter.

Par contre, quelque chose qu'elle suportera moins, c'est ce mal de poitrine déchirant qui lui percait le coeur ; Son corps n'arrivait pas à colmater la blessure : la douleur devenaiot insuportable de minute en minute. Mais elle survivrai, comme toujours.

Bon, venons en à notre "fête" : S'amuser à la Taku ... Ca promaitait.

-"Excusez-moi ; les don sont-ils autorisé à être utilisés ?"

Ton morne, froid et neutre.

-"Oui, vous pouvez l'utiliser : à vos risques et perils"

Soupire ... Et bien c'était partit.

-"Gambare ... Sempai." [bonne chance]

Tokisei sempai ... Ta musique ... Est trop envoutante ... Pour que je puisse me concentrer en quoi que ce soit ...

[A Kenshi-sempai ^^edit ; xD J'aodre la suite]

La saint valentin, jour de fête pour les amoureux...

C'est bien beau de le dire, mais pour Kenshiro, C'est plus une fête commercial qu'une véritable fête. Et puis, fallait il vraiment attendre une seul journée dans l'année pour prouver à sa moitié qu'on l'aime plus que tout? C'est un petit peu stupide, non? Car sinon, ça fait 364 jours où le dit couple ne s'aime pas....ça fait un peu peur.

Kenshiro s'était inscrit à cette fête pour voir ce que ça donnait, vu que la principale occupation du directeur est de retirer toute forme de plaisir. "S'amuser façon Takuetsu"? Et bien, ça risque d'être un peu glauque comme amusement. Enfin, maintenant qu'il est là, autant qu'il s'amuse.

Dans un sens, il aurai aimé se retrouver avec Ayumi, mais le tirage au sort n'avait pas décidé ça. Au moins, il se retrouve avec quelqu'un qu'il connait bien, Marya. Il se demande quand même si c'est une bonne ou une mauvaise chose, et même si ce tirage au sort est bien honnête. Enfin bon, il se dit que ça aurai put être pire.....

Quand il voit le parcourt d'obstacle, il se demande si il participe à une fête ou à une préparation militaire. En fait, il en aurai la certitude concernant la préparation militaire si il n'y avait pas le belle boite de chocolat dans la geule du dragon.

-Jolie le ruban. Je me demande si le dragon risque de nous cracher des flammes lorsque l'on retirera la boite...

Marya# Gambare ... Sempai.

Kenshiro se tourne vers Marya, un léger sourire confiant sur les lèvres. Il l'a trouve un peu fatigué, mais elle a toujours le même ton et visage sans émotions.

-Oh, ne t'en fais pas, Marya. Pas besoin de chance, tant que l'on a pas des piques qui sortent du sable, des scorpions et des migalles qui nous tombent dessus, des serpent qui apparaissent dont je ne sais où.......

Hep, colonel, il n'y a pas ce genre de truc dans l'épreuve, n'est ce pas?

POur toute réponse, il ne reçut qu'un sourire glauque.

-Et merde

« O Roméo! Roméo! Pourquoi es-tu Roméo? Renie ton père et abdique ton nom; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet. »

~~comme moi /SPAF/~~

~~à qui il manquait une jambe~~

La St Valentin. Qu’est ce que cela pouvait bien représenter ? Ishiro n’avait jamais trouvé d’utilité flagrante pour cette pseudo-fête populaire. Des chocolats par-ci, des je t’aime par là….rien de bien exaltant à vrai dire. Que pouvait bien trouver d’intéressant toutes c’est jeunes impubères qui ce jette sur le premier garçon qu’elles trouvent à peu près mignon pour les faire crouler sous du chocolat. Certaines avaient essayés de procéder ainsi avec le jeune Idogawa…sans forcement les résultats escompter : à la suite des « Tiens c’est pour toi » lancer timidement par une jeune brune, on se rappelle avoir entendu Ishiro répondre avant de tourner le dos « C’est pas mon anniversaire ». Cela dit, à son anniversaire, il n’acceptait guère plus de chose de la part des autres. Pour lui, il était hors de question d’être redevable à quelqu’un de quelques manières que ce soit.

A_ lors pourquoi c’était-il inscrit pour ces festivités made in Takuetsu de la St Valentin ? Parce que ce qui l’intéressait était les épreuves sportives. Sans vouloir s’exposer au autres, il aimait remettre en question ses possibilités physiques. S’il s’était inscrit dans le club sportif de Takuetsu,ça n’était pas pour les compétitions interclasses (car l’administration ne pouvait décemment pas laisser des élèves possédant un don concourir contre le « commun des mortels ») mais bel et bien pour pouvoir user des installations sans limites. Ishiro était très doué pour les sports d’endurances car la forge avait développé ses muscles et son souffle mais lorsqu’on touchait à des sports collectifs, c’était une autre paire de manches. Ce n’est pas qu’il n’était pas doué dans ses sports là mais qu’il n’était pas très doué dans les relations humaines, chose assez utile dans un sport d’équipe.

Ishiro se rendait donc à la piscine. Sa jambe lui faisait encore mal. Quelques semaines auparavant, une jeune fille, Kaoru, lui avait planté une épée dans la jambe. Certes pour le pensionnat, cela faisait partit du train train quotidien mais le fait est que lorsque ça vous arrive à vous, vous tombez toujours des nues. Bref, boitant légèrement car la blessure n’avait pas finit de se soigner, le jeune homme arriva bientôt devant le panneau qui désignait les équipes et l’emplacement de leurs épreuves.

Akatsuki Marya ___________ Kenshiro Tokisei
Kaoru Mikari _____________ Ishiro Idogawa

Quel curieuse chose que le hasard n’est-ce pas ? Alors, il se retrouverait avec la dite Kaoru…bof, il devra faire avec. Il lu aussi le nom des deux autres élèves qu’ils devraient affronter. D’une part, Akatsuki Marya, jeune fille qu’il devait connaître de vue mais dont le nom lui échapper. Elle devait se trouver au collège ou en primaire ( car malgré sa grande stupéfaction, Ishiro dû admettre que les primaires devaient aussi avoir le droit de participer) sinon il la connaîtrait. D’autre part, Kenshiro Tokisei. Lui par contre il connaissait : élève en classe F tout comme Ishiro, ce jeune homme avait pour don la maîtrise du temps, don que Ishiro ne connaissait pas vraiment car il ne s’y était pas vraiment intéressé…il aviserait sur le moment.

U n bref signe de la tête envers son « camarade » de classe et il se dirigea bientôt vers Kaoru. Devant eux s’étalait un véritable parcours du combattant. De l’endurance en première épreuve ? Ishiro avait un léger avantage. Des barbelés ? Là, c’était plus qu’un avantage.

On dirait qu’ils savent s’amuser ici.

Pourquoi cette réplique puait-elle l’ironie ?

L’homme qui les regardait, jugeant silencieusement leur réaction, ne releva qu’une seule des remarques dites par la seule collégienne présente. Akatsuki Marya n’est ce pas ?

« L’utilisation des dons n’est pas interdite. Mais, gardez en tête deux choses si vous les utilisez : tout d’abord, que la puissance d’un don est directement lié à votre énergie, l’utiliser vous affectera donc obligatoirement, la seconde étant que votre pouvoir ne concerne que vous, et vous seul, hors, pour gagner, vous devez franchir la ligne d’arrivée avec votre coéquipier. »

Il marqua une pause, les laissant le temps de digérer les informations. Une fois sur le terrain, ils n’auront plus le temps de réfléchir. Et, il était curieux de savoir la technique que ces jeunes allaient utiliser. L’utilisation des dons les avantagerait-il tant que ça ? Sur le plan physique en tout cas, on notera automatiquement un net handicape.

« Bien, maintenant que vous savez tout, placez vous sur la ligne blanche près de moi, couchez-vous à plat ventre, dos au parcours. A mon coup de sifflet, vous pourrez démarrer. »

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3
2
/siffle/

1er obstacle : Les vagues de la folie.

Un bassin, de forme carré de cinquante mètre sur cinquante, sans aucune rambarde ni rebord, sert de premier obstacle. Au premier abord tout ce qu’il y a de plus banal, c’est un bassin sans fond qui vous fait pourtant face. Au moment où le premier concurrent mettra les pieds dedans, des vagues hautes de plus d’un mètre vont se mettre à déferler. Petit détail en plus, au cas où il y aurait eu un don permettant de respirer sous l’eau, tout l’oxygène présent dans l’eau a été rendu inaccessible par un produit de leur fabrication. Si vous le respirez, vous restez paralyser pendant deux minutes. Cela vaut bien évidemment aussi si vous buvez malencontreusement une gorgée de cette eau. Ce qu’ils ne savent pas forcément, c’est que deux petites clefs argentées flottent inlassablement d’une rive à l’autre, parfois visibles, parfois cachées par les vagues. Hors, si ils oublient de la prendre, il est fort possible qu’ils soient quelque peu bloquer pour la suite du parcours…

[Pour l'ordre de post, je suppose que vous gardez le même. Par contre, si vous voulez éviter que le texte soit coupé, il faut des avatars ou bannières (je ne sais pas ce qui beug) moins larges...]

Donc donc ... C'est partit alors.

Marya se met en position. Elle n'est pas du tout géné par le fait qu'elle porte des vêtements par-dessus son maillot. Parce que vous pensiez qu'elle allait portée le vrai avant le concours peut-être ? Non, un tout simple 2 pièces avec un bas qui s'arrête au milieu des cuisse [elle aime vraiment ça] sous son T-shirt et sa jupette ... Elle va vraiment plonger avec v.v.

Donc en place. Alongée, le sang continu de s'écouler et menace de l'étrangler ... Mais temps pis. Et encore ... Ces foutue battement de coeur ...

Cet entretien avec le directeur lui revenait en mémoir ; elle n'aurait jamais eu de problème si elle avait eu son pendentif ... Au meilleur des cas, elle, l'aurait le premier Mai ... Mais quelle idée aussi d'essayer d'envoyer un message par onde à Haruna ! Elle avait maintenent le coeur perforer ! A force de le faire vibrer, c'est normal que le tissu organique se dechire !

Comme vous pouvez le voir, Marya n'était pas du tout la tête à la course ; elle était concentrer sur d'autres choses qui pour elle avait plus d'importance ; a savoir, son pari.

Mais il y avait ce rhytme obsedant qui la ramenait à la réalitée, la transportant dans le rêve la seconde suivante ;pourquoi était-elle si accros à ce battement de coeur ? Un battement franc, adulte, sain ... Et terriblement reposant.

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Urusai, dooki no baka !
[La ferme, idiote de pulsation!]

2
/coup de siflet/

*sbaf*

Marya se releve rapidement et cours vers le bassin, plonge et commance a nager (sans blague -_-""). [note, Marya ne sais nager que la nage dauphin u_u] se mouvant assez profondement dans l'eau pour ne pas avoir affaire avec les courrant provoquer par son propre corps, elle avance de plusieur mettre sans encombre. L'eau n'est pas froide, mais le changement d'environement est radicale.

Musique d'ambiance

Mais lorsqu'elle tente de remonter pour reprendre de l'air, cela lui demanda un peu plus d'énergie. Elle fait fonctionner plus de muscles, résultat son coeur bat plus vite.

Un craquement se fait dans sa poitrine. La breche s'ouvre encore, la douleur se répend. Le sang continue de s'écouler dans sa grege et attein bientôt sa bouche. Il faut faire vite.

Alors qu'elle manquait d'oxygèe, tendis la main vers la surface qui semblait toute proche. Mais elle semplait s'éloigner et se raprocher. L'eau se déplacait ; des vagues.

Un mla de tête se fit ressentir, Marya continue d'essayer de regoindre la surface, mais commance manquer de force ; elle crache une encre rouge qui se répend dans l'eau sans se mélanger, se sculpltant une forme par les courrant. Vite. Vite.

La vague passe, la surface se raprcohe, Marya sort la tête de l'eau dans un ultime effort. Le bas du visage tacher de rouge pourpre, elle essay de se reperer : les vagues l'en empechent, elle s'étandent partout autours d'elle. Ces mecs étaient malades. Instaurer des bassin à vagues artificiel !

Marya voit trouble, mais essay de se calmer. rechercher so partenaire ; elle avait foncer tête baissée sans faire attention àlui, pensant qu'il s'en sortirait sans encombre (c'est vrai quoi, c'était juste 50 metre d'eau au départ !). Elle vit une rive, tanta de se rapeller de la salle, se dirigea selon. Mais une vague la frappa de plein fouet avant qu'elle ne puisse prendre sa respiration et la renvoit dans les eau. Elle crachotte encore un peu cde sang et le peu d'air qu'elle avait dansles poumons ; elle boit la tasse.

Elle à mal, mais ne peu plus bouger, elle coule. Lentement.

Kenshiro se met en place avec Marya, Kaoru et Ishiro. Ken fut surpris de les voir ensemble, ayant connaissance de ce que Kaoru à fait à Ishiro...Vraiment, on se demande qui est l'idiot qui à fait le choix des équipes. Enfin, l'épreuve allait commencer, et Kenshiro sentait un sacré malaise soudainement. En fait, il n'a jamais vraiment apprit à nager, et il a une phobie concernant les grands bassin. Là, c'était le bouquet, il ne voyait rien de plus qu'un fond noir.

Il tourne sa tête vers Marya, cette dernière semble encore plus pâle qu'avant. Son visage impassible rendait impossible à savoir si elle avait mal, ou si elle avait juste un peu de fatigue. Il se dit alors qu'il attendra un petit instant avant de se mettre lui même à l'eau.

Le coup de feu était partit. Marya avait plongé toute habillée dans l'eau et nagea assez rapidement vers l'autre côté du bord. 50 métre, c'était pas vraiment grand chose pour n'importe qui. Mais Kenshiro avait vu juste, Marya commenca alors à débattre dans l'eau comme une personne paniquée. Lorsque sa tête sort de l'eau, une trace rouge apparait alors sur son visage. Elle crachait du sang.

-Et merde, c'est quoi cette embrouille.

Il décide alors de s'élancer également dans l'eau, mais à sa manière. Ralentisant le temps autour de lui, il put ainsi faie comme Jesus : Marcher sur les flots. Son corps bouge trop rapidement pour qu'il puisse couler, ce qui donne l'impression qu'il cour sur l'eau à vitesse normal.

Arrivé au dernier endroit où Marya est apparut avant de sombrer dans la vague, il arrête son pouvoir et plonge ainsi dans l'eau. Marya était encore à quelque mètre de la surface, elle était récupérable pour Kenshiro. Il s'enfonce dans l'eau essayant d'attraper la main de la collégienne avec la sienne. Empoignant le bras de Marya, il fait demi-tour et essaye de remonter du mieux qu'il peut. A peine eut-il sortit sa tête de l'eau qu'une vague le frappe au visage, ainsi qu'un morceau de férraile.

Une fois la tête de Marya hors de l'eau, il regarde le morceau de métal qui vient de le frapper. Une clé en argent.

-Qu'est ce que ça fout là, ça?

Se disant que ça servira plus tard, il attrape la clé. A présent, il n'avait qu'une seul chose à faire, sortir d'ici. Il doit au moins rester 40 mètres avant de rejoindre l'autre côté, et faire demi tour risquait de leurs faire perdre du temps. Tenant le corps de Marya à bout de bras, et nageant du mieux qu'il peut, il réussi à se concentré assez pour faire de nouveau un ralentissement.

-40 mètres, 30 secondes. C'est partie

Bien qu'étant une pensé positive, Kenshiro n'était pas vraiment sûr de son coup, mais il devait le tenter. Son corps sort de l'eau et s'avance à travers les vagues. C'est bien plus rapide quand le corps n'est pas freiné par l'eau et le vent. 25 secondes, Kenshiro court aussi vite qu'il le peut, mais ce n'est pas facile avec une fille dans les bras. 15 secondes, Ken vient à peine de faire la moitié de la piscine. 5 seconde, Le bord est encore trop loin, à peine 5 mètres, il saute pour combler la distance qu'il manque. Ce n'est pas assez, le temps reprend le cour normal, les deux corps replonge dans l'eau, mais Ken réussi quand même à s'accrocher au bord. Il se retire de l'eau avec Marya, la posant au sol. Elle le regarde, d'un air désolé.

-Fallait que tu me le dise, que tu n'aimais pas l'eau froide. :p

Maillot de bain

Coup de sifflet.

« Les vagues vont m'emporter... »

Coup de sifflet.

La collégienne fut la première à entrer dans l’eau, et toute habillé de surcroît. Fallait-il mettre ça sur le compte de l’inexpérience ou s’était-elle sacrifiée exprès afin que sont coéquipier sache de quoi il retournait ? Nul ne le saura jamais. Toujours est-il qu’à peine elle eut plongée que des bagues de près de un mètres de haut assaillir la surface du bassin. Elle nageait plutôt bien malgré ses vêtements qui l’entravaient. Cette collégienne qui se prénommait Marya n’avait pas eu le temps de voir déferler ces lames d’eaux car elle se trouvait au plus profond du bassin. Mais à peine eut-elle fait surface que les vagues vinrent l’agresser et bientôt on la revit couler, un filet de sang provenant de sa bouche se mélangeant à l’eau.

Réagissant probablement à la vu du sang, Kenshiro se précipita à la rescousse de sa coéquipière. N’y avait-il pas meilleur moyen pour se blesser que foncer aveuglement vers un danger non estimé. Toujours est-il que Kaoru prononça quelques mots qu’elle crut inaudible puis se lança elle aussi. Elle créa quelques épées de bois, manière intelligente de créer un pont flottant. Au bout d’une dizaine de mètres, Ishiro la vit se pencher et ramasser quelque chose de brillant à la surface de l’eau. C’est là que la vague fut sur elle. Elle choisit, sûrement dans un moment de panique de plonger. Cela aurait put marcher si elle s’était décidé à nager mais pour une raison que elle seule connaissait, elle ne faisait aucun mouvement et ce mettait à couler inexorablement. Ishiro se rendit compte que la formule « que elle seule connaissait » se révélait fausse au vue du sourire de coin qu’arborait le responsable de ce bassin. Puis s’avisant que Ishiro le dévisagea, le dit responsable lui lança un regard qui aurait pût vouloir dire : « ben quoi ? Tu fais rien pour la sauver ? ». Remarquant que Kaoru n’était déjà plus qu’une masse informe à peine visible depuis la surface de l’eau, le jeune Idogawa, qui avait retiré son T-Shirt et ses chaussures, commença à arpenter le « pont » de bois que s’était fabriqué Kaoru.

A_ peine avait-il fait 5 mètre que l’inévitable se produisit : Kaoru perdant connaissance, les épées disparurent et ce fut la trempette pour Ishiro qui commença à nager vers le fond pour retrouver sa « collègue » qui pour l’instant lui paraissait surtout être un boulet de première. Quelque chose couvrit la lumière au-dessus de lui et lorsqu’il leva les yeux, il vit Kenshiro marcher sur la surface de l’eau à une vitesse folle. Reprenant sa concentration, le jeune à la chevelure rouge s’enfonça encore plus profondément dans l’eau. Quelque chose attira son attention : en dessous de lui, il sentait la présence d’un objet métallique. Ni une ni deux, il accéléra le mouvement. Bientôt il se retrouva près de Kaoru. Elle avait les yeux fermés et une clé à la main : l’objet qu’il avait sentit. Afin, d’être de ne pas perdre cette dernière, il l’incrusta dans un de ses bracelets puis, prenant Kaoru par la taille, se mit à nager vers la surface. Il leur restait encore 40 mètres.

V ers le milieu du bassin, Ishiro vit son camarade de classe, sa coéquipière sous le bras, courir vers le bord. A vrai dire, à ce moment là, Ishiro savait bien que cette manche là, il ne pouvait la gagner mais l’épreuve ne se résumé pas à ce seul bassin et l’objectif principal du moment était de sortir des flots vivants. Avançant vers la ligne d’arrivée que l’équipe de Kenshiro et Marya venait de franchir, Ishiro ne nager qu’à l’aide de ses jambes et de son bras non-occupé à retenir sa coéquipière à la surface. Quand une vague menaçait de s’abattre sur eux, le jeune homme donnait une impulsion vers le bas pour passer sous la lame aqueuse. Plus que 30 mètres. Les muscles du roux se faisait de plus en plus douloureux et sa respiration haletante. Le fait qu’il ne boive pas la tasse était un miracle en soit. Ses bracelets semblaient peser de plus en plus. Plus que 20 mètres. Un bras ne suffisait plus : il fallait qu’il nage sur le dos, Kaoru sur lui pour qu’elle puisse avoir de l’air. Lui, ne prenait une bouffé d’air que lorsque les vagues voulaient bien le lui permettre. Plus que 10 mètres. Ishiro avait les poumons en feu. Cela faisait une bonne paires de mètre qu’il était en apnée car il n’avait presque plus la force de remonter à la surface. Kaoru ne bougeait toujours pas et son poids sur lui se faisait de plus en plus sentir. Les bracelets étaient quand à eux officiellement relégué au rang de boulet première catégorie mais Ishiro savait que s’il s’arrêtait pour les ôter, il ne repartirait pas. Et toujours ses maudites vagues….

Le bord…enfin ce maudit bord. Réussissant par on ne sait quel moyen à puiser dans ses dernières forces, Ishiro jeta Kaoru hors du bassin. Le jeune Idogawa, quant à lui ne réussit pas à sortir entièrement : les jambes toujours dans l’eau, seul son buste était à terre ferme. Son jeans complètement imbibé d’eau semblait vouloir le tirer vers le fond du bassin mais son buste à terre assurait sa stabilité. S’il arrivait au bout de tout ça, il promettait solennellement d’apprendre à ce « colonel » ce qu’était le sens du mot calvaire.

Tu m’en dois une, Katanagirl…

Deuxième épreuve: lequel est le vrai ?

La seconde épreuve oscille entre illusion et réalité. Des oiseaux colorés se regroupent pour former une forme étrange…votre double…maléfique ! Le même visage, le même corps, les mêmes yeux, tout est reproduit à l’exacte identique. Mais faites attention, il pourrait bien vous plongez dans une toute autre réalité. Vous montrant vous-même en train de faire ce que vous rêvez secrètement de faire. Vos désirs les plus noirs mis au grand jour…Ne restez pas trop longtemps prisonnier de cette illusion, car les sables mouvants provoquant ces illusions vous font petit à petit prisonnier de vos propres rêves. Le don des mots noirs l’emplie. Son but ? Faire ressurgir le pire de vous-même…Saurez-vous le vaincre avant qu’il ne soit trop tard ?

Immobile ... Le courrant de l'eau qui passe, puis la chaleur humaine ...

Ce bruit ... Cet insuportable et déletable bruit !

Unj battement survient ; la douleur avec. Quele douce douleur ... Quelle douceur ... Que ça fait mal !

-"Fallait que tu me le dise, que tu n'aimais pas l'eau froide !
-... * Marya reprend une respiration normal, se cabre et se retourne pour cracher le sang * Mizu janai !" [C'est pas de l'eau]

Haletante, elle essay de reprndre son souffle ; toujours le même son ; ce bruit rauque à chaque respiration. Cette douleur dans sa poitrine ... Elle était engouridie, elle n'avait pas bien la possibilité de bouger.

-"Shikasho !"

Rapide analyse de ce qui se passe autours ; leurs adeversair était à l'eau, un lé"ger retard sur eux. Ils devaient se mettr eà courir et traveser les barbelés ...

Sa vision devenait un peu trouible, la douleur était lacinate, surment à cause de la paralysie. Heureusement qu'elle avait pris de la morphine avant de commancer. Toujours est-il qu'il valait mieux profiter de ce moment de répit face à la douleur pour agir en toute lucidité.

Elle se releve, chacelle et agrippe son partenaire pour le faire sortir de l'eau, bien qu'il fu parfaitement capable de le faire seul et elle totalement innutile vu sa force de mouche du moment.

-"Ikuso" [Allons-y]

N'étant pas capable de courir au sens propre du therme, elle se contanta de trotiner pendant quelques metres. Ils se retrouverent devant le prochaine obstacle, enfin ce qu'elle croyait être le prochaine obstacle.

Une nuée d'oiseau s'envola, et gravita au dessu de leur tête. Les oiseu vierent en face sd'elle, ne formant plus qu"un, une silouette ... La sienne. Son visage, en exacte réplique, son expession détachée ... son reflet, la douleur en moins.

Marya cligne des yeux, Daiichi est là. Elle les ferme encore et essay de se calmer. Quand elle rouvre, Mii et Kaoru sont à côter d'eux. Daiichi court vers elles, s'accroche à elle.

Ca devait arriver

Puis son autre elle s'aproche, pose ses mains sur leur poitrine et lance une onde, leur arrachant un cri effroyable ; leur coeur avait implosé.

Non ... Je ... Ne ferais pas ...

Puis son double prend Daiichi dans ses bras et chante. Marya ferme les yeux de nouveau et repire profondément. Elle réouvre : Daiichi, 10 ans plus tard, face à elle. Elle tends la main, mais il est trop loin ; elle n'a pas la force de faire un pas.

-"Daiichi, je suis la seule personne dont tu a besoin dans tout le monde. Tu es en securité avec moi"

C'est faux !

-"Marya daisuki."

Yame !

Daiichi se raproche de l'autre elle et lui tend la main. Elle l'attrape et l'attire dans ses bras, enfouissant son visage dans son cou.

-"Aïshiteru Daiichi. Anata wa watashi no ... Watashi no ..."

Yamero !

L'autre Marya se couche sur le Daiichi de 15 ans, le serrant dans ses bras et lui murmurant de smots d'amours.

-"Tu es a moi ... Pour toujours c'est promis ... Tu m'appartient..."

YAMERO !

Marya ferme les teux de toute ses forces, tombe sur ses genoux et hurle, sans savoir si elle le disait ou non a voix haute.

-"Non ! Je ne veux surtout pas ! Pas ça !"

Elle entandait les bruit des leur amour, ces insuportables envies ...

YAMETE !

Craquement. Explosion. Silance. Bruit de liquide qui coule.

Marya ouvre les yeux ; Une flaque hétamique s'agrandissait, l'origine était un corps ; le cadavre frai te sanglant de Daiichi. Agenouillée à son côté, l'autre avait les mains baignées de sang, un regard froid et impassible dans les yeux. Celle-ci leva la main, se poita l'index dans l'oreille.

Ya ... me ...

Onde.

YAMETEO !

Marya se tenait la tête dans les main, des larmes coulait sur son visage trop blanc de ses yeux étranges, qui prenaient à présant une étrange couleur. Recrocvillée sur elle même, passant et repassant ces scène qu'elle n'avait jamis imaginer en entier. Elle n'avait jamais oser se le dire vraiemnt. C'était tellement honteux ... Tellement honteux ...

Sa doulkeur était revenue, lui mitraillant la poitrine une fois de plus. Mais en plus d'une envie de cracher du sang, elle aspirait a vomir ... C'était tellement ... Dégoutant ...

Une ombre s'approcha d'elle, elle se souvint de où elle était, ce qu'elle faisait ... Et qui était là. Marya sentait qu'elle était à moitier entérée sous de la terre meuble, allonger et couverte pat cette terre.

Agrippant d'instinc le cou, elle ressera sa prise sur lui et lui dit d'une voix déformée par l'émotion et la douleur, les larmes aux yeux :

-"T'as tout vu ... Personne ne devrait être témoin de ça ... Alors si tu meure, il n'y aura pas de témoin."

Kenshiro s'inquièta un peu pour Marya. Elle semblait prête à bougr de nouveau, mais elle était encore un peu pâle... Bon d'accord, elle est toujours pâle, mais là, elle était transparente même. Ken se demandai même si elle n'allait pas s'évanouir de nouveau d'ici trois mètres. Il poussa un soupir avant de suivre Marya, en jetant un coup d'oeil rapide sur leurs "adversaires". Kaoru s'était aussi à moitié noyé et Ishiro s'était lancé à sa rescousse (C'est du moins ce qu'à comprit Kenshiro)

Se concentrant de nouveau sur la suite, suivant Marya d'assez prèt pour la soutenir au cas où, il vit alors quelque chose d'assez étrange que l'on ne trouve pas souvent dans une piscine : Des oiseaux. Ils étaient assez nombreux, et tès loin d'être sympathique a vu d'oeil.

-Genre...Ils nos font un remake d'Hitchcock?? Mettre des oiseaux ici... a quand les éléphants? Je plains presque la femme de ménage qui devra passer aprés la fête.

Soudainement, les oiseau s'anime et tourbillonnent devant lui, formant par la suite une forme a peu prêt humaine, celle d'un garçon. La forme que prend cette personne le surprend fortement : Lui même. Mais quelque chose d'étrange plane en plus sur ce double. Bien que le visage était identique à Kenshiro, ce visage était déformé par la méchanceté. Un sourire sadique, digne du directeur Ogawa, parcourt le dit visage du double.

-.....Bon, et c'est quoi la suite du programme?

La réponse apparait alors très rapidement, le double de Kenshiro se consume dans les flammes. Ken commence à prendre peur, sa dernière rencontre avec le feu remonte à loin, mais sa peur des flammes est toujours bien présente, il commence même à vouloir rebrouser le chemin, mais il reste tétanisé au sol.

Soudain, des pleurs, ceux d'enfant. Son regard se braque alors sur une petite silhouette qui se trouve à présent à côté de son double. Un viel connaissance, son camarade de classe qu'il avait tenté d'aider lors de l'incendie de son ancien établisement. L'enfant se trouve exactement dans la même situation qu'à l'époque, tout comme Kenshiro.

Une vois satyrique et médisante se fait entendre, celle de Kenshiro, ou plutôt son double.

-Tu n'as pas été capable d'aider qui que ce soit ce jour là, alors comment compte tu l'aider elle?

Les flammes consumme le corps de l'enfant, laissant alors apparaitre Ayumi dans la même posture : Recroquevillée sur elle même en train de pleurer. Kenshiro tente de faire un pas, mais les flammes se font de plus grande, plus intense, plus dangereuse. Le double rit alors de la scène.

-Toujours auss faible, à ce que je vois. Tu endors beaucoup de monde avec tes belles paroles, mais tu n'es même pas capable de les appliquer à toi même.

-Bon..pour commencer, je me calme....je me calme....ça ne peux pas être vrai...c'est impossible.......Mais je dois en être sûr, je ne veux pas que d'autre personne souffre comme ça... Je dois y aller, je dois aidez Ayumi....

Ses yeux se pose sur le corps enflammé de la jeune fille, Kenshiro essaye de trouver la force de bouger, mais les flammes deviennent plus intenses. Mais sa volonté d'y aller est plus forte que sa peur, il se moque de souffrir dans les flammes. Son double se place alors devant lui, le bloquant au passage.

-Dégage

-Je te l'ai déjà dis, tu n'as pas assez de cran pour faire face à ta peur

-J'ai dit "dégage"

Son cris soubla souffler les flammes, fesant disparaitre tout devant lui : Le feu, son double, et Ayumi. Kenshiro respire difficilement et son visage est en sueur, mais ce n'est pas vraiment ça qui l'inquiète, c'est plutôt le fait que son champ de vision est plus bas que d'habitute, beaucoup plus bas, même. Il regarde autour de lui, et remarque enfin qu'il est à moitié ensevelis dans le sable, jusqu'au bassin. Essayant de ne pas trop bouger au début, il réussi quand même à se sortir du sable sans que ce dernier l'angloutisse quand il bouge. Se tapant pour faire partir le sable, il apperçoit non loin Marya en train de pleurer également, elle est aussi à moitié enseveli dans le sable et semble s'en enfoncer d'avantage.

-Et merde...

Il rejoint alors Marya, posant ses mains sur ses épaules.

-Ne te débat pas, je vais te sortir de làaaaAAAARGHHHHH!!!!

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, Marya l'avait attrapé à la gorge et avait resséré son étreinte. Le visage de la jeune fille, d'habitude impassible, était mélangé entre la rage et la tristesse.

Marya# T'as tout vu ... Personne ne devrait être témoin de ça ... Alors si tu meure, il n'y aura pas de témoin.

//SBAF//

Instinctivement, la main de Kenshiro avait attérie sur la joue de Marya, cette dernière fut sonnée, pour ensuite être surprise.

-C'est pas un peu finit, oui? La vache, je suis venus te sauver une fois encore les miches, et tu m'acceuille en me seant la gorge. Je ne sais pas ce que tu as vu, et je veux pas le savoir. Alors maintenant, tu veux que je t'aide à sortir de là ou tu tiens à rester dans ton trou pour méditer?

[Edité. Dsl de vous avoir fait attendre ^^"""]

Miroir, ô miroir. Arrête donc de refléter ma laideur. Tu es brisé, il n'y a que quelques fragments d'une immondité sans pareil, je ne suis plus. Tu n'es plus..

Tu pleures, tu pleures. Tu pleures toujours. Tu pleures encore. Tu es en train de pleurer. Tu pleures tu pleures.. Tu pleures pitoyablement.

'Tu m’en dois une, Katanagirl…'

« On va gagner.. on doit gagner ! »

Tu pleures, tu pleures. Tu pleures toujours. Tu pleures encore. Tu es en train de pleurer. Tu pleures tu pleures.. Tu pleures pitoyablement.

Tu fais le mal...

-comme Kaoru faire cuire le pauvre gamin dans les flammes de l'enfer.. enfant grillé à la sauce "mort toute puissante qui tue tout le monde-

Tu fais le mal.

-"Kaoru-nee ? Tu ne sais pas si tu es méchante ou gentille ? Moi je sais que tu es gentille ! Tu es une très gentille oneechan ! Ca se voit, regarde comme tes ailes sont ..."

Toujours essoufflé de l’effort qu’il venait de fournir pour sauver la vie de Kaoru, le jeune Idogawa se remit péniblement debout pour aller l’épreuve suivante. Chose très étrange d’ailleurs. Pourquoi l’avait-il fait ? Vous me direz, vous, que c’est parce que c’est un être humain et qu’il est naturelle de secourir son prochain mais cette raison est erroné. Humain, certes, mais as comme les autres. Il avait le Don. C’était un Réceptif et malgré le fait qu’ils soient tous de l’espèce humaine, les réceptifs en étaient différent. Ishiro, lui, se démarquait des autres pour l’indifférence extrême dont il pouvait faire preuve vis à vis de certaines choses tel que la mort de certaines personnes. Il n’en éprouvait aucun remord, il pensait juste que c’est un fait du Destin et que ce n’est pas son affaire, qu’il n’a pas intervenir. Effroyable n’est ce pas ? Mais ce n’est pas si horrible que ce que cela laisse imaginer. Pour pouvoir comprendre, il fallait réfléchir de la même façon que le jeune à la chevelure rouge. Mais je m’égare et ce n’est pas en radotant sur le caractère et comportement de Ishiro que je ferais avancer l’histoire.

Ishiro n’attendait même pas de se faire remercier par la jeune fille qu’il venait de sauver. Il avait seulement fait ça dans le but de ne pas être éliminé de la compétition mais l’inconscience de Kaoru les avait grandement ralentit. Les deux adversaires qu’était Marya et Kenshiro avait une grande longueur d’avance car on les voyait, plus loin, fricoter avec ce qui semblait être des oiseaux. Si la prochaine épreuve était d’affronter des volailles, ce serait chose aisé : quelques coups bien placés, quelques cris et le tour serait joué...encore que, de la part de Takuetsu no Gakuen, il fallait s’attendre à tout. Tandis que Kaoru allait de l’avant d’un pas sûr, Ishiro, lui, s’avançait prudemment. Tournant la tête pour tenter de discerner l’ombre qu’il avait vu au coin de l’œil, il ne revit plus Kaoru dès ce moment. Elle semblait s’être volatilisé ainsi que les opposants. Etrange.

Et c’est alors qu’apparut la nuée d’oiseaux qui avait vu au loin. Ishiro s’élança et donna un grand coup de pied dans la masse de volatile mais il tapa quelque chose de dur qui lui rendit des sons de métal : il se trouvait face à sa propre image qui s’était protégé avec une de ses propres techniques.

Qui es-tu ?

Ton froid de la part du vrai Ishiro car il n’appréciait que très modérément qu’on l’imite. Le regard qu’il posa sur son sosie était plein d’une colère froide. Ses pupille avait pris la couleur métalliques qu’elles prenaient lorsque Ishiro s’énervait.

La question serait plutôt qui es tu TOI ?

Les bras de Ishiro lui tombèrent. Devant lui se formait l’image d’un petit village composé de maison en bois en train de flamber. Il y avait des corps et du sang partout. Au pied du sosie, un bébé pleurait tenant les manches des habits de ce qui devait être ses parents, Morts. Le double avait un ricanement discret d’où cependant s’exhalait tout son plaisir de contempler pareil carnage.

Moi je suis toi . Mais toi qui es-tu ? Je sais tout de moi et donc de toi. Tu aimes ton Don, tu n’aimes pas qu’on te suive ou te donne des ordres. Tu adore…le sang et la mort.

Ce…c’est faux

Oh que si c’est vrai. D’ailleurs tu ne serais pas contre tuer le premier venu….Pourquoi pas lui d’ailleurs ?

Le sosie leva la main et pointa du doigt une silhouette qui approchait. Sans le voir, Ishiro savait de qui il s’agissait. C’était Itashi, son père adoptif. L scène qui se déroulait tout autour de lui était ce qui s’était passé 18 ans auparavant, quand Itashi l’avait trouvé au pied des corps inanimés de ses parents biologiques.

Je ne … Je ne ferais pas de mal à Itashi.

La voix du jeune élémentaire se faisait plus faible que jamais. Au fond de lui, il se savait totalement indifférent du sort de chacun. Mais il avait toujours eu peur que cela nuise à Itashi.

Bien sûr que tu vas le faire, c’est dans ta nature. Tiens regarde, tandis que tes mots disent non, ton Don dit oui.

Ishiro sentit quelque chose dans sa main. Le métal de ses bracelet était en train de se modifier contre son gré pour former une dague. Des larmes, les premières depuis 18 ans, roulèrent sur les joue du jeune homme. Pendant ce qui lui sembla être une éternité, il voyait Itashi s’approcher de plus en plus et à mesure qu’il approchait, une soif de sang inextinguible monter en lui.

Je ne p…je ne peux pas.

TUE LE

Et tout ce passa en quelques instants. Itashi arriva au niveau des deux Ishiro. Le sosie souriait tandis que le vrai bondit sur son père et lui asséna un coup de poignard entre les côtes. Itashi était à terre se vidant de son sang, arrivant à peine à articuler des ‘pitié’, des ‘je souffre’ et des ‘achève moi’.

L’entends tu ? Il te faut en finir désormais, il te faut le …

A_ vec vitesse surhumaine, Ishiro attrapa son sosie par le col, le mit à terre et le poignarda en plein cœur.

Com..comment ?

Itashi ne demanderai pas pitié, c’est ton erreur. Même si c’était moi qui l’avait attaqué, il m’aurait affronté, combattu jusqu’au dernier souffle.

Le décors se volatilisa peu à peu. A la fin il ne resta que Ishiro et l’illusion de Itashi dans un vide absolu. Itashi eu un sourire et avant qu’il ne disparaisse on l’entendit dire ‘je suis fier de toi, Ishiro’. Tout devint noir, puis la lumière revint tendis que Ishiro ouvrait les yeux. Il se trouvait dans des sables mouvants et s’était enfonçait jusqu’à genou. Prenant appuis sur la terre ferme alentours, il se sortit du piège d’eau. En se retournant, il vit s’enfoncer une dague couverte de sang : la dague qu’il avait créé dans l’illusion. Portant sa main à la joue, il la sentit humide.
Se tournant d’un bloc pour voir ou en était les autres. Il vit Kenshiro mettre une grande beigne à Marya et surtout, il vit Kaoru sortir de ses sables mouvants. Au moins cette fois-ci, il n’aurait pas à la sauver. Un hochement de tête entendu des deux coéquipier net ils se mirent à courir de conserve vers la troisième épreuve.

Troisième épreuve : Miroir, Miroir, fredonne moi un doux air..
Alors que chacun se dégage de la zone sablée à son tour, les quatre participants se retrouvent devant une énorme statue couleur propre, yeux rouges : le sphiiiinx. Très soudainement, ils sont enfermés, encerclés par de très grands miroirs, bien sûr impossible à briser. De part et d'autre, se trouvent 10 encoches, et sur une table, 10 petites boules de cristal. Pour pouvoir sortir de la prison, il faudrait poster les boules dans les bonnes encoches..

Je veux bien sûr les réponses dans l'ordre, et je veux absolument le nom de l'animé, ou du jeu vidéo (et en entier) ; peu importe qui poste les réponses, elles ne seront validées que lorsque les deux coéquipiers auront posté. Aussi, merci de poster entre les balises hide pour ne pas que les autres voient les réponses.

Code:: [Hide] vos réponses pour ceux qui ne savent pas faire en hide.. [/hide]

Puis parce que je suis gentille, des indices :

6 génériques français
2 génériques japonais
2 musiques jeux vidéos

Bonne chance~

[Merdouille ...Bon on verra parès pour les réponse j'en connais quelques uns, il y en à un que je connais mais dont je ne sais plus le nom -><- rageant ... Musique trop belle au piano **]

Ne jamais ... Pas de témoins ... Ne jamais savoir ...

//SBAF//

[Oui, les onomatopés et moi v_v]

- ... la gorge. Je ne sais pas ce que tu as vu, et je veux pas le savoir. Alors maintenant, tu veux que je t'aide à sortir de là ou tu tiens à rester dans ton trou pour méditer?

C'est pas ... Possible ...

Marya le regarde avec des yeux perdu, toujours aussi humide. Tiens ... Il y a comme une douleur dans sa machoire ... Et puis cette sensation d'être humide et sec à la fois ... Et aussi, cette sensation que le sable vous entours presque ... Et bien sur ... Cette douleur au coeur ... Reveil.

-Kenshiro ... Est-ce que par hazard ... J'ai tanter de te tuer ?

La question était strictement inutile. Elle veniat de le faire. Elle venait de nuire à la viue d'autruit à son propre profit, rombre la promesse qu'elle s'était faite à elle-même en faisant fabriquerle pendantif des religions. Celui de la tolérance, celui qui remplacait son nom même, qui l'effacait au profit des autres. Elle qui ne croyait en rien, qui n'était rien si elle n'était pas Akatsuky Marya, Akatsuky no Hime. [Princesse des Lunes Rouges/~~De L'Aube~~] Elle ... Qui ne meritait pas ...

Instictivement, elle dressa son index sur sa tempe. C'était tellement simple ! Pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt ? Elle l'avait fait tant de fois ce jeste ... Mais pourquoi s'était-elle arrêter ?

Daiichi.

Un hélan la pris au coeur, elle se redressa violement, percutant Kenshiro au dessus d'elle. A genoux, les doigts sur les épaule.

Vibration. Nerf. Paralysie.

Une douleur sans nom lui parcourue tout le long des bras, et ceux-ci tombère mollement sur son corps, attiré par la seule force de la gravitée.

-C'était de peu.

Les bras hors services, difficile de continuer l'épreuve. Mais Plus important qu'un jeu à présant, c'était sa propre vie qu'elle protègeait.

Ces mains sont aussi dangereuse que des flingue, il vaut meiux que je les tiennent hors service.

Kenshiro le regardait d'un air incredule, ce qui est bien normal en soi.

-Gomen Sempai. Oublie ça ; tu n'a pas besoin que je t'aide cette fois-ci.

Son regard était redevenue impassible, son visage était gorgée de sang. Le blanc et le rouge se détachait dans cet environement neutre.

Ce qui venait de se passer redefila dans sa tête. Un violente envie de vomir la pris. Elle se pencha en avant et cracha un liquide ; Jaune et rouge. De la bile. Du sang encore.

Elle se releve, se remet gauchement sur ses deux pieds. Elle continue d'avance, suivit de Kenshiro aparemment. La douleur lui lacerait les entraille, mais il fallait avancer.

Parce que c'est devenu ... Trop fatigant de courir.

Et toi tuv veux les rejoindre ?

... Oui.

Ce n'est pas le moment ... Il faut encore ... Avancer un peu... Il ne faut pas le laisser continuer seul ...

Ils arrivent devant une statue ; Un sphinx. Ils s'avance, puis, comme tomber du ciel, s'abbatent des glaces tout autours d'eux. Marya ferme les yeux un instant pour avaler sa salive goût de fer. Quand elle les réouvre, un table avec 10 balles perles est aparue.

Reflechissons. Reflechisson. Qu'est ce que ça veut dire ?

Marya# Gomen Sempai. Oublie ça, tu n'a pas besoin que je t'aide cette fois-ci..

Kenshiro n'eu pas le temps de repondre à la remarque que Marya devint encore plus pâle qu'auparavant et se courba en avant. Elle dégobilla tout ce qui lui restait dans le ventre, c'est à dire pas grand chose. Mais ce qui frappa le plus Kenshiro, c'est qu'elle vomissait également du sang. Kenshiro la retient par les épaules, au cas où elle tombe de nouveau dans les pommes entre-temps.

-Désolé Marya, mais je n'ai pas envie de te voir continuer dans cet état. Il faut abando.....

Le jeune fille le regarde avec un oeil persant, le regard d'une personne qui n'a pas envie d'abandonner si près de la fin. Elle décide d'avancer, tant bien que mal, vers la suite des évenements. Kenshiro était prêt à l'assomer et à l'emmener en dehors du parcourt, et il allait le faire, mais en voyant le visage sadique de l'autre, il décide d'attendre encore un peu. Il ne désire pas que le directeur puissent se réjouir d'une telle nouvelle. Il espère seulement ne pas faire d'erreur.

Ils arrivent en premiers vers le lieux de la prochaine épreuve. Prit par surprise, Kenshiro et Marya se trouve prisonnier de grand mirroir. Le Sphinx soummet l'egnime, assez tordu pour tout dire.

-Bon, et au prochain coup, on a quoi? Un ours en deltaplane? Non, mais sérieux, votre histoire reste drole deux minutes.

Aucune réponse ne survient.

-Tant pis, on va devoir se débrouiller seul. Ca tombe très bien, j'adore les enigme de ce genre. Bon, voyons voir ça d'un peu pus prêt.

-....Et voila, toutes les sphères sont à leurs places. On peut sortir? J'ai l'impression d'être narcisique à force de me voir sur toutes les facettes.

« Wooh.. »

« Euh ouais, d'accord. »

Ils repartaient enfin ensemble, le cœur léger, main dans la main, le soleil chauffant leur visage infantile, en chantant d’une voix guillerette…..Pourquoi dites vous que cela ne reflète aucune vérités tangible ? Bon ok, revenons à situation actuelle. Ishiro et Kaoru couraient comme jamais ils n’avaient couru tentant de rattraper leur retard tant bien que mal. Derrière eux ? Une nuée de volailles hallucinogènes, des sables mouvants, un piscine à vague dont l’eau est empoisonnée….What else ? Les deux jeunes avaient réussis à passer les épreuves sans trop de dommages. Enfin quand je dis les deux jeunes, c’est surtout Ishiro qui, pensait-il avait tout fait depuis le début. On pourra s’accorder sur le fait que l’épreuve de la piscine aurait pût tourner au drame sans le roux. Sur l’épreuve des sables mouvants, il n’aurait pas été faux de dire que chacun avait fait sa part des choses.

Mais tandis qu’ils couraient, ils virent apparaître un sphinx. Quoi de plus normal ? //SBAF// Sans un mot, les quatre élèves qui étaient de nouveau réunis virent des mur de miroir les encercler, les enfermer. Face à eux, des trous. A porté de mains, des boules. Ni une ni deux, Kaoru tomba dans une crise infantile et se mit à mettre les boules dans n’importe quel, recommençant quand elle se rendait compte que la combinaison n’était pas bonne. Ishiro la regarda faire puis quand il vit que les adversaires commençait à se remuer, pris les boules des mains de Kaoru.

Bon, on va arrêter de faire mumuse et on va se remettre au boulot, hein ?

D’un geste sûr et sans le moindre doute, Ishiro commença à placer les boules dans les trous qu’il pensait correspondre.

Ishiro se posa devant son œuvre et attendit un mouvement, une réaction.

Doucement… Les boules placées dans les interstices s’illuminèrent. Une lumière provenant directement du centre de la table se répercuta alors sur chacune des boules de couleurs différentes puis, vers les miroirs. Si la boule était à la bonne place, le miroir tombait… Dans le cas contraire, il s’allongeait.

Mais, ne vous pensez pas tirer de cet enfer aménagé spécialement pour vous sous prétexte que vous avez réussi à atteindre le sphinx, car, la dernière épreuve visible reste et restera la plus difficile de toutes. Vous vous pensez fatiguée ? Vous pensez avoir tout surmonté ? Vous pensez avoir tout vu ? Vous ne croyez pas en la merveilleuse ingéniosité de la Takuestu No Gakuen ?
Grand malheur vous en face… Vous ne pourrez trouver la chemin du retour…

Vous souvenez vous des barbelées que vous avez aperçu juste avant de pénétrez dans la piscine ?

Quatrième épreuve : Alice Humans Sacrifice…

A l’instant même où le dernier miroir pénètre dans le sol, celui s’enfonce peu à peu… Impossible de s’accrocher, les parois sont lisses et sablonneuses. Quelques pas dans le seul sens possible vous mènent à une porte peu commune car entièrement composé de métal. Pas besoin de l’ouvrir, elle vous reconnaîtra et laissera place à un petit lapin blanc aux yeux roses.
« En retard… en retard… » Soufflent les voix du vent qui murmurent inlassablement à vos oreilles.

Mais, gardez-vous bien d’oser le rejoindre de l’autre côté de la porte car, à peine le dernier joueur en lisse entré, elle se refermera et la petite peluche blanche détalera… Loin très loin… Vous vous retrouvez alors pris au piège d’un immense labyrinthe, mais, à la place des talus habituellement disposé, les organisateurs ont préféré installé des barbelés de plus de cinq mètres de hauteur. Ne laissez pas vos mains traînez, vous le regretteriez.

Mais où a donc pu aller ce lapin ? Vous n’y avez pas prêté la moindre attention ? Voilà qui est fâcheux… car lui seul connaît le chemin qui vous mènera jusqu’à la sortie. Il ne vous reste donc plus qu’à vous lancer et à choisir sur quel chemin vous souhaitez vous engager.
Mais, il serait bien trop simple de ne faire que passer les barbelés. Oh oui… beaucoup trop simple et certainement moins amusant. Aussi, quelques « obstacles sympathiques » ont-ils été disséminé aléatoirement sur le terrain.

A droite :

Minou...minou...minou...viens mon chaton...Viens me grignotter le bras...
Vous avez décidé d’aller sur le chemin bleu ? Vous rencontrez bientôt un arbre avec mille et unes inscriptions. Elles sont toutes fausses…sauf une. Saurez-vous retrouvez laquelle ? Oh, mais suis-je bête, vous n’en aurez pas le temps, vous serez bien trop occupé avec le gros matou, le chat du Cheshire version Géantausore. Nullement là pour vous guider, ce magnifique matou capable de voir plus haut que les barbelés aux mailles étroites n’a qu’une idée en tête, que vous lui serviez de repas pour son goûter.
[don mis en œuvre : gigantus]

Quitte ou double?
Vous êtes toujours vivants ? Merveilleuse surprise ! Vous allez pouvoir rencontrez Tweedledee and Tweedledum. Il vous chanteront des chansons et vous jouerons la comédie mais de façons très spécifiques puisque ainsi, ils vous empêcheront de passer. Il s’agit en réalité d’un don de décuplement et, pour arriver à passer, il vous faudra découvrir lequel est le vrai et lequel est la copie puis, appuyez sur le nez de la copie. Rien de plus simple n’est ce pas ? Mais, si vous vous trompez, ils vous chatouilleront jusqu’à ce que mort s’en suivent… Sadique les jumeaux…
[don utilisé : dédoublement]

"Carte...joli carte... révèle moi mon destin... "
"Tu vas te faire guillotiner mon enfant"
Un croisement, et une armée de cartes de carreau…
Les suivrez-vous en tournant à droite ou préférez vous les éviter en allant à votre gauche ?
Un conseil avisé, suivez les, vous n’avez rien à perdre et puis, n’est ce pas le petit lapin blanc là, qui se fraye un passage entre les cartes ? Si vous ne les suivez pas, vous tomberez après cinq minutes de marches tranquilles sur un cul de sac. Non, je ne parle pas d’un simple mur de métal, mais plutôt d’un bassin de verre coupé. Vous n’êtes pas suicidaire tout de même ?
Dans l’autre cas… hum, si en fait, vous devez l’être un petit peu pour vous jetez dans la geule du loup ainsi. Le sol est recouvert de cartes de carreau… Des As, des deux des trois et compagnie. Prenez garde à être silencieux et discret où, au moindre crissement de pas suspect, il se jèteront sur vous, vous captureront et vous mèneront jusqu’à la capricieuse reine de cœur. Et… « Qu’on leur…coupe la tête ! » En passant, éviter de trop frôler les barbelés, vous risqueriez de vous écorcher…quoi que, vous en tenir trop éloigner signifierait risquer de tomber dans l’un des trous cachez par une carte de 3 de carreau et là, adieux la discrétion. La seule chose qui pourrait encore vous sauver si vous préférez la diplomatie à la voix bourrine serait d’aller discuter avec cette reine et de lui racontez tout ce que vous avez sur le cœur… enfin, peut-être ?
[don utilisé : carte détéctrice]
….

A gauche :

Vous prendrez bien une tasse de thé?
Le chemin rouge gentils jeunes gens ? Mais, ne voyez vous pas que, plus vous avancez, plus vous rétrécissez ? Pourtant, le lièvre que vous apercevez au loin n’était pas si gros il y a un instant. A peine arrivée à sa hauteur, vous sentez bien que vous avez fait une bêtise… Mais, les gâteaux entreposés sur la table ont l’air si appétissant… Et, le simple fait de les voir vous met en appétit… Le lièvre de Mars, car c’est son nom à ce bel animal aux oreilles brunes si longues et portant une motte de paille sur sa tête, vous proposera mille et unes friandises jusqu’à l’arrivée du chapelier fou à votre table. Il s’agit la représentation holographique de celui qui a donné la parole au lièvre. Aussi lui est-il éternellement reconnaissant et applique-t-il à la lettre ses consignes. Alors, lorsque le Chapelier excentrique lui demandera de vous servir le thé, il s’appliquera à sortir toutes ses belles théières. Mais, comme dans le célèbre comte, un peu fou et distrait sur les bords, il vous enlèvera la tasse dès que vous l’avez en main pour la déposer hors de votre portée… Pourtant, voilà bien votre seule chance de retrouver votre taille normale. Du moins, si vous buvez le bon thé…
Un détail, par pitié, ne prenez pas garde aux miaulements dans le lointain… Vous risqueriez d’avoir quelques surprises…
[don mis en œuvre : don de la parole, don de la cuisine.]

Jaque à dit...pas touche à la grenadine.
Retrouvez votre taille normal ? Mieux vaut pour voir où vous devrez aller chapardé un morceau de champignon de la chenille. Autant vous dire que si elle vous voit, elle vous garde avec elle jusqu’à la fin du jeu, vous forçant à continuer à avaler des champignons jusqu’à ce que votre coéquipier gagne le défi. Sinon, elle vous dédaignera, et fumera longuement avant de déclamer d’une voix calme que vous allez jouer à « Jaque-à-dit fait ce que je te demande ». Ne croyez alors pas qu’elle va vouloir vous observer courir, vous asseoir ou quoi que ce soit d’autre, non :
« Jaque à dit : saute par-dessus la mer de grenadine. »
Des rondins ont été disposés jusqu’à l’autre rive sableuse. Mais, entre chacun, c’est un véritable gouffre que l’on peut entrevoir. Rien de bien dangereux en somme puisque, si vous tombez ou glisser sur le cinquième ou le septième rondin qui ont été imbibé d’eau savonneuse ou bien que vous avez peur des termites qui rongent le dixième et dernier rondin, vous tomberez longuement avant de vous engluez dans la sirupeuse grenadine. Ais-je oubliez de mentionner qu’il est impossible de revenir en arrière puisque les rondins disparaissent au fur et à mesure toutes les 80 secondes ?
[don utilisé : transformation animale, erase]

Le temps passe...et tu trépasses...
Tic-tac…Tic-tac… le temps imparti est écoulé, vous voici devant la cabane du pélican.
Deux choix s’offrent alors à vous, le suivre et faire confiance à une peluche animée ou bien prendre les jambes à votre cou et prendre le chemin sans couleur de gauche. Etrange qu’il n’est plus de couleur… et pourtant logique puisque la forêt qui s’offre à vous a eu droit à un transfert du don de méduse. Chaque arbre projette des rayons hasardeux qui, si ils vous touchent comme ses pauvres animaux solidifier au sol, vous transformeront en statue de sel.
Si un chemin est fait de sel, la logique voudrait que le second aime le sucre. Vous avez décidé de suivre le pélican dans la cabane ? Alors attendez-vous à être fait prisonnier d’un sablier géant qui déverse sur vous sa montagne de sucre. Cela aurait pu être utile tout à l’heure pour boire le thé, mais maintenant, il devient dangereux de le goûter étant donné sa couleur noirâtre…Quel sourire carnassier ce pélican vous jette-t-il ! Il ne serait tout de même pas en train de se dire que des humains à la broche font parti de la gastronomie de Takuestu ?
[don utlisé : méduse, illusion]

Oh ! Le lapin blanc ! Le lapin blanc !

[là… vous avez intérêt à mettre un certain nombre de tours où je vais craquer. @@]

« ... Surtout, pas un mot.. t'as rien vu du tout. »

« En retard… en retard… »

« Alice.. au pays des Merveilles ! C'est le monde d'Alice au pays des Merveilles ! »

« Par là ! »

`Please would you tell me,' said Alice, a little timidly, for she was not quite sure whether it was good manners for her to speak first, `why your cat grins like that?'
`It's a Cheshire cat,' said the Duchess, `and that's why. Pig!'

`I didn't know that Cheshire cats always grinned; in fact, I didn't know that cats could grin.'
`They all can,' said the Duchess; `and most of 'em do.'
`I don't know of any that do,' Alice said very politely, feeling quite pleased to have got into a conversation.
`You don't know much,' said the Duchess; `and that's a fact.'

Tout s’imbriquait parfaitement. Des lumières jaillirent dont ne sait où et vinrent illuminer les boules qui venaient d’être placées. C’est alors que les miroirs, reflétant et baignant dans tout ces halos de lumière, tombèrent l’un après l’autre laissant la voie libre à l’étrange assortiment que formait Ishiro et Kaoru. Cette dernière d’ailleurs, ne résistant plus à ce que Ishiro déduisit être un instinct tribal primaire, se mit à effectuer une sorte de danse de la victoire, assez incompréhensible il faut dire, tout autour du jeune Idogawa et l’acheva en effectuant le plus inattendu des gestes : elle prit Ishiro dans ses bras. Comment le roux devait réagir à cela ? Il ne savait pas. En tant normal, il l’aurait repoussé ou, faisant dans l’extrême, l’aurait frappé. Mais là, c’était différent. Presque, il ne souhaitait pas qu’elle le lâche. La aussi, on avait affaire à ce que Ishiro qualifia d’instinct tribal : l’envie de reconnaissance. C’était lui qui l’avait sauvé elle des flots de cette maudite piscine empoisonnée. C’était lui aussi qui venait de résoudre l’énigme de ce sphinx trop rapidement partit à son goût. Ainsi, ne trouva-t-il pas superflus ce qu’il pensait être un geste de reconnaissance.

... Surtout, pas un mot.. t'as rien vu du tout.

Mais oui !!! Il était de notoriété publique que Ishiro s’amusait à crier sur tout les toits ce qui lui arrivait. Et le verbe voir n’était pas approprié car c’était le verbe sentir qui l’était. En fait, ce qui avait le plus étonné Ishiro, c’était ce contact peau contre peau car ne l’oublions pas, depuis l’épreuve de la piscine, Kaoru était en maillot de bain et le jeune Idogawa, lui, était torse nu. Donc, c’est ce contact étrange qui lui avait été demandé d’effacer de sa mémoire.
Mais à peine avait-il le temps de commencer seulement à remettre de l’ordre dans ses pensées que le sol lui sembla moins palpables et que la descende vers ce qui s’avéra être une porte en métal ne portant aucune poignée. S’approchant lentement et posant sa main délicatement sur la porte, il estima que la faire fondre le ferait s’écroulé de fatigue avant la moitié du travail.
Il fut sortit de ses réflexions quand quelque chose percuta ses jambes. : c’était un lapin blanc qui était à l’origine de sa chute par manques d’appuis. Ce même lapin vit s’ouvrir devant la porte sans que personne ne pousse le battant et chose encore plus étrange, Ishiro sembla entendre le lapin parler. Décidément, cette nage forcée dans la piscine l’avait plus atteint qu’il ne l’avait cru de prime abord.

Passant la porte désormais ouverte, Ishiro et Kaoru se retrouvèrent au milieu d’un immense champ de barbelé de cinq mètres de haut. Le jeune Idogawa poussa un souffle de soulagement tandis qu’il sentit sa coéquipière se raidir momentanément. Mais elle repris un peu le déçu et sur un ‘Par là !’ elle entraîna Ishiro plus profondément encore dans ce qui s’avéra être un labyrinthe de barbelé. De plus en plus fréquemment maintenant, des panneaux sont queue ni tête ponctuait leur parcours. Kaoru semblait être redevenu petite fille vivant un rêve éveillé ce qui ne fit qu’accroître en Ishiro le sentiment que *MIAOU* quelque chose de cataclysmique allait lui tomber dessus….attendez…n’avez vous pas entendu un miaulement ? Je ne parle pas du miaulement aiguë et agaçant d’un banal chat mais plutôt un miaulement plus grave, plus puissant et surtout beaucoup plus angoissant.
Face au deux jeune gens, se trouvait le plus gros, le plus grand et surtout le plus terrifiant chat qu’Ishiro ait vu de sa vie.

Le premier coup de patte fusa.

Enfermer dans leur prison, Marya ne savait plus comment se concentrer sans être ramener de ses reflèxion par la douleur intense qui traversait son corps. Elle regardait ces boules, mais ne les voyait qu'a moitier, et ne parvenait pas à visualiser les possibilitée de compatibilitées. Un jeu comme celui-ci était pourtant quelque chose de bien simple pour un ordinatueur embulant comme elle ; sauf que c'est Kenshiro qui effectua le plus gros du travail, Marya s'étant écroulée comme un sac à patate une fois entourée de miroir. Elle regardait, pensait comprendre, puis un poignard se plantait dans son coeur comme seul réponse, la laissant incapable de raisonnner.

Kenshiro placait les boules, parraisait comprendre le système, si bien que bientôt elle furent toute dans les encoches. Un lumière jaillit, mais le mur s'allongea. Marya pensa deux seconde. Reflechir, reflechir. Ken semblait aller plus vite qu'elle, mais elle continua. Ne paniquons pas. Elle entendit vagement des bruits de pas à l'exterieur, surement leurs adversaire qui ratrappait leur retard. Elle se leva tant bien que mal et sortit un boule d'une encoche, baraguouina quelque chose d'inchompréhansible par un japonais ou même un étranger, puis finit par atriculer quelque chose.

-Sempai, kore ...

Elle designa du doigt une autre encoche, fit signe en pivotant le poiget deux doigt lever de les inverser. Elle dona sa boule à son partenaire et pris l'autre, ils recommancère l'opération. Cette fois, les murs tombaient.

Marya s'éffondra et respira avec un râle rauque, la gorge emplie de sang. Le sol s'enfonca, elle 'y préta pas plus d'attention. Ils se trouvère bientôt dans un couloir à ciel ouvert, sans possibilité de retour. Marya n'avait ps la force de monter, d'escalader ... Ce serait un miracle si elle arrivait à se relever ; la fatigue et les tournis la harcelait. Cependant, il fallait continuer. Elle ne put que suivre son patenaire dans ce couloir, et faillit se congner à l'immense porte de métale qui était en face d'eux. Elle n'avait plus la force de frappe, elle se sentait comme ces jours qu'elle avait passer dans la rue, après s'être battue contre des chiens et des voyous de Tokyo, cherchant une maison qui l'acceuillerai elle et Daiichi pour la nuit. La faim, la douleur, la fatigue ... Ici, le premier élément était à présent remplacer par un manque, surment du à la dépendance à la morphine qui la prenait quand la douleur était trop forte.

Soudin, la porte s'ouvrit sur des couloir de barbelés, laissant entrer une lumière aveuglante dans les globe oculaire de notre pricese blanche, quoiqu'un peu rouge à présant. Elle ne fit pas un pas en avant qu'il raisona des voix opréssante sur ses tympan trop sensibles :

En retard, en retard !

Un petit lapin plus blanc que la colégienne et aux yeux bien plus brillant aparut, lui chatouillant les jambes et celle de son coéquipier pour détaller plus loins.

-Yume da ... Yume daro ... [C'est un rêve ... C'est un rêve n'est-ce pas]

Marya se sent tomber et tente de se ratrapper contre quelque chose ; le seul soutien qu'elle rencontra fut les barbelés accérés qui lui entallèrent les mains, lui arrachant un cris de douleur et de rage. Elle se reourna, l'arrière avait disparu.

-Yume ka ... [Ah, c'est un rêve]

Elle continua à avancer sans regarder bien devant elle, à moitier endormie, sans faire attention à son partenaire qui semblait la suivre. Quelle importance ? Si ce n'était qu'un rêve, elle se reveillerai. Si ce n'en était pas un, elle était zen train de nager en plein cauchemar Takuetsunien, et elle n'allait pas tarder à mourir ... Et là, et bien tant pis pour Daiichi. Daiichi devait lui aussi rêver à l'heure qu'il est non ?

Tourner ... A gauche. Rouge, rouge le sol ... rouge les épines métalique, comme si du sang avait couler dessus juste avant leur arrivée. Rouge, rouge... Grand grand. Kenshiro, tu disais quelque chose ? que c'était étrange ? Mais quoi donc ? Je ne t'entant plus, je ne sias plus, je suis perdue ... A tu disait ? Immense n'est-ce pas ? oui c'est très grand, très grand ... Tiens ? Tu ne trouve pas que c'est grand ici ?

- ... Sempai ... Je ne t'entends plus ... C'est très grand ici ... ?

Ils étaient minuscules. Ridiculement minuscule. Et étonemment, ils y avait des annimaux tout aussi immenses en face d'eux ... Tiens ? des annimaux dans un champs de barbelés ?

-Ce doit être ça qui est plus grand ... On ne peut pas avoir rétrécit comme ça ...

Mais si qu'il était petits, oui que c'était eux qui était ridiculement réduit à la taille d'insectes. Mais que pouvait-être cet insecte blanc et son ami de couleur infefini ? Qu'st-ce qu'était ces petites bête-là ? Marya ne regarde plus devent elle, Marya ne sait plus ce qu'il se passe ... Kenshiro parle, semble négocier ... avec qui avec quoi ? Marya ne suit plus, Marya ne sait plus, Marya reste à portée de vision, mais Marya est morte.

Marya est à la table d'un lièvre et d'un homme. Qui estcet homme à l'allure originale ? Kenshiro parle, parle, Marya est un fantôme ... Marya s'assoit distraitement et regardesans voir. Kenshiro la vois-tu ? Elle s'est arrêter, elle ne dit plus rien ... Elle perdue, elle est perdue.

Soudin retentit un miaulement rauque, un bruit disgracieux à faire froid dans le dos, à faire tramlber l'échine. Mais ce n'est pas ce que Marya entend ; Marya entends bien des choses que vous n'entendez pas ; la fréquance au dessus est plus effryante encore ; la fréquance de 20 000 à 20 100 Hz fait peur, fait peur ... Kenshiro, la vois-tu, elle tremble comme une feuille, et si elle avait pupille, elles se seraient dillatées, si elle avait autre chose que deux bille lisse et terne pour oeil, elle aurait surement suplier du regard le premier qui croiserai le sien. Elle te regarde et pleure ; serait-elle devenue folle ?

Marya se lève lentement, interomp son ainée dans ses discution : elle lui prend la manche et lance d'une voix plaintive ;

-Sempai ... Dit leur de se taire ...

Kenshiro ? Kenshiro entends-tu ? Pourquoi ne pas les faire taire ? Tu ne le peux pas ? Tu n'en a pas le pouvoir ? Tant pis, elle tremble, tant pis elle pleure. Elle s'proche ets'acroche, et cris un peu plus fort :

-Urusai ...

Et ça continue de miauler, et ça continu de blablater ! Dis-moi Kenshiro, tu sais ce que c'est d'entendre un son qui ferrait lacher les nerf te ta pauvre tête ? Avoir la tête en vrac par la fatigue, la tête en vrac par ce vilain cauchemard qui n'en finit plus ? Qu'il est charment ce miaulement, charment à faire se faire dessus un enfant, alors imagine ce que c'est, quand tu a un bourdonement permanant dans les tympan, très aigu, et très glauque ! Quel son horrible n'est-ce aps ? Et bien pas de chance ; c'est ce qu'entend Marya-chan !

-Urusai ...
- *Kenshiro, tu dis quelque chose ?*
-Urusai ...
- *Elle n'entends pas elle n'entends pas*
- URUSAI !

Et voilà qu'un verre se brise sous les ondes sonore que la petite expulse tout autour d'elle ; elle a mal, si mal, si mal, si tu savais : elle est tombée par terre, allongé contre des liquides de toute sorte : des tasses aurai éclater pendant son cri du coeur ? manque de bol, il coule de sa bouche un filet rouge continue, sa poitrine à un ématome au point pendentif, qui malheureusement est caché par le vettement. Ses yeux remplit de larmes, larme qui se mélangent au sang, sang qui se melange à un thé aux arômes lointin ...

[J'avais de l'inspi *oo*]

[La vache, je suis pas prêt d'avoir finit le poste. C'est clair que tu avais de l'inspiration sur le coup. La vache. et c'est moi qui doit négocier avec le chapelier fou et le lapin débile.]

Les miroirs partent comme ils sont venuent, c'est à dire par le sol. Kenshiro aide Marya à se relever, cette dernière semble encore bien faible, mais elle désire encore continuer. Il rejoigne Kaoru et Ishiro, avant de se séparer de nouveau. Ken et Marya prirent le chemin rouge, et le jeune homme se demande bien dans quel folie ils viennent encore de tomber. La réponse apparait sous la forme d'un lapin, un lapin qui parle. Marya, chochotant quelque chose, s'ouvrit la main en se tenant aux barbelés. Ken se retourne et voit la main écarlate de la princesse blanche.

Marya# Yume ka ...

-Si il faut que tu ai mal pour savoir si c'est réel ou pas, demande le moi, je te donnerai des giffles. Quelle idiote.

Kenshiro prend un morceau de ses vêtements et fait une pensement de premier soin. Marya ne semblait même pas avoir entendu sa remarque. Ils continuèrent à avancer, jusqu'à ce que Marya lui fasse la remarque sur la taille du coin, ainsi que la leurs. Le jeune couple atteind un nouveau lièvres, brun.

-Tiens, voilà Mars. Laisse moi deviner, tu nous invite participer au gouter de "non-anniversaire"?

Mars# "Tout à fait, mon petit. C'est mon 93eme non anniversaire. Et c'est d'ailleurs dans cette fête que vous touverez le moyen de retrouver votre taille normal. Depêchons, depêchons, la fête va bientôt finir."

-J'espère juste qu'il va pas nous donner du thé à l'arsenic ou des madelaine au clou rouillé

Arrivé à la table, ils trouvent le chapelier toqué. Kenshiro aide aors Marya à s'assoir et commencealors à discuter, tout en surveillent attentivement ce que versent les deux comperses. Le temps commence à passé, et Kenshiro aimerai vite finir ce jeu avant que Marya ne finisse entre quatres planches de sapin.

Le toqué# "Bien, bien. Et maintenant, voici la fin de la fête : votre remède."

Le chapelié verse deux tasses d'un étrange thé jaune clair. Mais quand Ke essaye de se les approprier, le lièvre attrape alors les deux tasses et s'éloigne avec. Kenshiro, jurant dans sa tête, essaye de se rappeler la recette du ragout de lièvre aux champigons noirs, pensant fortement en avoir besoin pour ce soir. Soudain, Marya attrape la manche de Kenshiro, le visage, encore plus blème qu'avant, était défiguré par la peur et la colère. Elle tremblait de tout ses membres, au point même que Kenshiro en oublis ce satané lièvre.

-Sempai ... Dit leur de se taire ...

-Calme toi, Marya. Même si j'admets que le lièvre à une voix et une manière de parler bien enervante, je..

-Urusai ...

-Marya??

Le mot n'était pas dirigé vers Kenshiro, et encore moins vers les deux autres. Quelque chose semblait attaquer l'ouïe de Marya, et c'était apparament aussi agréable que de s'essuyer le corps avec du papier de verre. Des larmes commencent alors à tomber sur le sol, la jeune fille n'en pouvait plus.

-Urusai ...
-Marya, calme toi. Ecoute ma voix, ne fais attention qu'à ma voix
-Urusai ...
-Marya, reste calme, MARYA...
- URUSAI !

Kenshiro avait l'impression qu'on lui avait mit la tête entre deux haut-parleur branché sur un micro, avec lequel on s'amusait à l'approcher des enceintes. Sa tête allait litterralement explosé, l'onde sonore brisa même les tasses et les assiètte. Toutes les personnes proches furent projeté au loin.

Kenshiro se reveille quelque instant plus tard. Marya vomissait à moitié du sang, inanimé sur le sol. Paniqué, Kenshiro s'approche d'elle, la retourne et approche son oreille de la poitrine de la jeune fille : son coeur bat et elle respire faiblement. Le lièvre et le chapelier ont disparut, l'antidote est renversée sur le sol. Il posa la tête de la princesse blanche contre lui afin de lui offrir un meilleur confort.

-Fait un effort, Marya, ne me laisse pas comme ça.