Flood Fiche Kenny

Hey Kenneth,

Bon ba là je serais presque déçue... j'avais déjà lu en diago et validé le don...Mais en fait c'est encore mieu que ce que je pensais parce que je ne trouve rien à redire. ô___è

So, je valide le code et continue comme ça pour l'histoire. =D

Oo dur, rien à redire..quelle décéption, j'imagine *sbaf*
Bienvenue très cher ~~universitaire sexy~~
amuses toi bien!

Je viens de me rendre compte que je ne t'avais pas encore dis bienvenue D: (C'est tu pas assez triste? *ironie à l'extrême*) Bonne continuation et n'essaie pas de faire une ligne la semaine ^^ (Idem pour moi xD mais là, on est dans TA fiche, dear :3) Doooonc, Baiba-iiiii

Passé

What Hurts The Most~

Son histoire :

Once upon a time...

I Don't Care ~ Just don't deny it, and deal with it

La vie est injuste. Tout le monde sait ça. Ce n'est évidement pas un secret pour chaque être humain sur cette terre. Quoiqu'il y en a qui n'ont pas à se plaindre. Il n'y a rien de plus énervant qu'une personne qui passe son temps à se lamenter sur son sort, encore plus, une personne qui a tout pour elle.

Moi, Kenny McCormick, descend d'une ligné irlandaise. Je crois que j'ai un peu de sang écossais, si on en juge par mon nom de famille. "McCormick"… C'est typiquement écossais. Même que "Kenneth" est un nom écossais. Je suis né dans une petite ville perdue dans les montages, proche de Denver dans le Colorado. En gros, malgré mon sang irlandais et le millième de sang écossais dans mes veines, je suis typiquement Américain. Remercier mes parents. Ce sont eux qui ont atterrie au Colorado. Depuis que je suis né, j'ai vécu dans un environnement pauvre; nous habitions dans un gettho. Mon père, ma mère, mon grand frère, et ma petite sœur. La raison de notre pauvreté était sans doute du à mon père; un alcoolo endurci. Ma mère aimait bien le crier à tu tête.

"Si tu laissais de côté tes bouteilles et que tu te bougeais à te trouver un emploi, on n'en s'rait pas là, crétin." qu'elle aimait bien dire.

"T'as qu'à faire pareil" était la réponse, sauf qu'il devait y avoir un juron.

Notre condition n'était pas si pire, comparer à d'autres gens, comme ceux dans les pays bas. On avait un toit, bien qu'il y avait de nombreux trou et que la pluie passait au travers. On avait quelque chose à se mettre sous la dents, même si la plupart du temps, c'était des gaufres surgelées. Petit plus, on avait même l'eau courante. J'en étais même habitué. Quoique les blagues sur ce sujet avaient dont de me foutre en rogne. J'aurais préféré des blagues sur les Irlandais et comment ils dont ami-ami avec les leprochaunes. Ou encore, sur les stéréotypes comme quoi, nous les Irlandais, aiment à coups sur le vert et qu'on aime se saouler comme des trou… Duh, bien que le dernier stéréotype me sied à la moitié. Oh, mais qui n'aime pas boire, hein?

La vie à la maison n'était pas trop pire, nos parents, comparé à des croyances populaire, ne nous battaient pas. Et même s'ils semblaient ne pas se préoccuper de nous, nous savions qu'ils nous aimaient. Toujours mieux que dans d'autres familles, non?

Et puis, j'aime bien mes parents, ils sont cool. Si je compare avec les parents qui prennent leurs enfants comme s'ils étaient leur esclave attitré. Ou encore, des parents qui chantent à tu tête… Et qui font exprès de torturé verbalement, musicalement, visuellement et toutes les autres choses qui finissent en "lement". Enfin de compte, j'aime mes ivrognes de parents. Où vais-je donc trouver des idées comme ça? J'ai seulement une très bonne imagination~

Afraid ~ I look for you, I can't see your face

Donc voilà l'intro finit. Ce n'était pas trop pire, huh?

Je ne sais pas vraiment quoi raconter, puisque ma vie est similaire à presque toutes les personnes vivant en Amérique. Faux. J'ai plein de machins à raconter, mais elles sont toutes si bizarre les unes les autres qu'on pourrait m'enfermer et me mettre sous prozac. Ce qui est plus ou moins tentant.

Comme je le disais plus haut, mes parents devaient être déjà en Amérique depuis un bout de temps, du genre, quelques années avant que je ne sois au monde. Je n'ai jamais éprouvé l'envi de leur demander (faute de communication dans la famille~). Bref, j'ai vécu une vie typiquement Américaine.

Ma vie avait son train-train quotidien. Et comme il faut un élément déclencheur quelque part; ma vie bascula à demi.

J'étais âgé d'environ quinze printemps, la vie était tout aussi monotone, quand tout à coup une grosse masse adipeuse m'avait empêché de voir.

"Hey, dude, bouge, j'vois plus rien."

"Imagine toi, que c'est ça, le but. Po'boy."

J'avais soupiré avant de tout simplement bouger de quelques centimètres pour me dégager la vue. Avec le temps, j'avais appris à ignorer le type devant moi; un crétin d'enfant gâté. M'enfin, c'était un ami. Sauf quand l'humeur de faire enrager les gens ne lui prenait pas. Aujourd'hui, je n'avais pas une telle chance, il avait décidé d'être persistant.

"Alors, qu'est-ce que tu veux?"

"Oh, mais je ne peux plus embêter mon best buddy?"

J'avais roulé des yeux et l'avait gratifié de mon regard "non-sérieux-tu-veux-quoi-?", ce qui sembla rien lui faire apparemment.

"Awww, mais Kenneeeeh, pourquoi tu ne me crois pas? Ok, c'est pas parce que je me place devant toi avec une expression presque suppliante que je veux absolument quelque chose."

"Ah, non?"

"'Kay, j'veux ton devoir de math."

"Nope, pas fait."

"Mais Kenneeeeeeh."

"I couldn't help, j'avais prévu d'empreinter… " lui soupirai-je avant de prendre mon sac qui était installé confortablement sur mon épaule et qui ne souhaitait en aucun cas d'en être délogé. Je l'ouvris donc et montra le contenu à Éric. "Tu vois, que dalle."

Je le re-zippai et le remis à sa place. Quand mon cher ami fût satisfait, on avait continué notre route, tout en discutant du "pourquoi il y avait des playboy dans mon sac?". Sans nous en rendre compte, nous avions marché jusqu'à un feu de circulation. Aucun de nous deux n'avais pris la peine de regarder des deux côtés de la routes. Ça paraît débile, mais parfois, il faut vraiment le faire. Donc, je continuais à défendre mes playboys, lorsque quelque chose m'avait percuté sur le côté.

S'ensuit un coup de clackson, suivit d'une affreuse douleur à la côte, ainsi qu'à d'autre endroit dont j'ignorais l'existence

Et semble-t-il, j'ai cru entendre un: " oh my god, he killed Kenny!" suivit d'un:" you bastard"~

Dirty Little Secret ~ When we live such fragile lives, It's the best way we survive

Se prendre une voiture est une expérience moyennement enrichissante. De un, elle apprend à regarder et à donner une certaine attention au conducteur de tout les autres. De deux, regarder le feu de circulation et de trois, ne pas laisser un copain ou des magazine vous distraire.

Lorsque je m'étais réveillé, j'étais à l'hôpital. On m'avait branché à du soluté et ainsi que diverses machines. J'avais eu la mauvaise idée d'essayer de me levé, ça avait eu pour conséquence de me provoqué une intense douleur au niveau de l'abdomen. J'avais rapidement constaté que j'avais une fracture à ma côte gauche. Un peu plus tard un médecin était venu et m'avait expliqué ce qui s'était passé et il m'avait même rappeler les règles de sécurité. Gentil, le doc. Il m'a dit que j'avais pu y rester car la voiture qui m'avait heurtée m'avait propulsé un peu plus loin et que j'avais manqué me retrouvé dans une forêt de piquets pointues, alias, petite clôture. Par la suite, il m'avait expliqué qu'il avait fallu plusieurs soins, du genre points de sutures et autre machins médicaux, dont je n'y comprendrais malheureusement rien, pour retirer certains débris qui s'étaient glissés dans mon corps. J'ai perdu beaucoup de sang à ce qu'il y paraît... Le doc avait même pensé que je finirais peut-être légume…

Encore est-il qu'il ne pensait plus que j'avais de chance, parce que mon moniteur n'était pas stable, et une fois, qu'il m'a dit, le moniteur s'était presque arrêté et après quelques minutes de folie, avait repris un rythme stable. Mais il fût agréablement surpris de constater que j'étais toujours en vie. En faite, grâce à ça, sa réputation allait prendre un sacré coup et sa paye allait monter. Quand j'y repense, il n'avait pas pensé à me remercier pour ça. Duh, il avait même gueulé qu'il était génial et que j'étais une sorte de miraculé. Malheureusement, il avait prévenu mes parents de ma "possible" mort et donc ceux-ci avait commencé à planifier mes funérailles. Ma mère n'avait pas trop été satisfaite de savoir qu'elle venait de gaspiller du précieux argent dans une pierre tombale bon marché. Je me souviens aussi de son regard noir quand elle a vu la note que la famille devait débourser pour mes soins. À ce moment là, j'avais juré qu'elle voulait m'étriper.

Donc, j'y étais presque resté. Pour surveiller mon état, on m'avait conseillé de rester quelques jours à l'hosto. J'avais accepté, car ce soir, ça voulait dire, pas de conserve avec ma mère et mon père. Ah non, ce soir là, j'aurais du aller chez un copain… Au moins, j'ai évité de lui demander ses restes.

Quand je pu quitter l'hôpital, j'étais retourné chez moi, le trajet n'avait pas été de tout repos~

Vanilla Twilight ~ I'll watch the night turn light-blue

Depuis cet accident, ma vie changea. Quel phrase cliché. 'Fin bref, elle changea dans le sens que je découvris que j'avais une habilité à rester en vie. Comment l'ai-je su? Quand j'étais chez moi, j'avais descendu les escaliers à la course et m'avait enfargé dans un des jouets de ma sœur qui traînait dans les escaliers… Ça avait eu pour conséquence de me casser le cou. Malgré la douleur, j'étais encore envi. Imaginez donc ma surprise. Donc, mon cou était brisé et si je sortais comme cela, j'allais m'attirer des regards, donc je m'étais rendu dans la salle de bain devant le miroir pour m'arranger un peu. Je du remettre ma tête dans un bon angle… Et l'expression "It's hurt like a b*tch" collait pile poils avec la douleur que je ressentais. Pour le reste, je n'eu pas le choix de retourner à l'hosto pour me faire mettre une prothèse.

On peut dire que c'est comme ça que j'ai réellement découvert mon habilité. Non seulement, j'étais devenu plus négligent, parce que si je me blessais, je ne pouvais pas mourir, mais je profitais plus de la vie… Code pour dire que les bars et moi on fessait ami-ami. Et dire que je n'avais même pas dix-huit ans… Enfin, avoir des contacts, ça aide.

Mais, je devais essayer de cacher ce don à mes copains. Parce que s'ils le savaient, ils n'allaient pas me rejeter, mais ils allaient faire exprès de me pousser devant des voitures. Ils sont c*n comme ça mes amis… Aussi, mes parents posaient problèmes. Les fraies d'hôpital n'était pas donné. Donc, je devais être plus prudent malgré moi, sinon, mes parents allaient se demander pourquoi y a-t-il autant de facture du médecin? Pour éviter tout cela, je devais donc faire profil bas.

Pas que cela me dérangeait, mais c'était mieux que ma mère ou mon père ou encore ma sœur ou mon frère me voient accidenté et se demandent pourquoi diable suis-je toujours envi? Quoique mes parents seraient déçus de savoir que je ne mourais pas; une bouche de plus à nourrir… Là, il ne faut pas se méprendre, mes parents m'aiment. J'en ai aucun doute, même lorsqu'ils se battent et yada. Mais en ce qui concerne l'argent, car l'argent est un sujet assez délicat dans notre famille, ça ne leur dérangerait pas de perdre un môme (surtout celui qui coûte le plus cher à s'occuper). Je ne peux pas leur en vouloir, on est tous comme ça dans la famille. Je ferais presque n'importe quoi pour des tunes.

En somme, c'est contradictoire, mais bon, je fais, ou du moins, j'essais de faire mon mieux, parce que je savais que si on savait que j'avais un habileté quelconque, où me*de finirais-je ? Les laboratoires ou les cirques, ce n'est pas tentent. Et puisque mon don c'est de survire, j'imaginais déjà les expériences potables que l'on pouvait me faire. Je suis peut-être sado-maso, dans le sens que j'adore en lire, mais le vivre, c'est autre chose!

Je m'éloigne un peu, mais c'est comme la fois où j'ai malheureusement tombé sur une jeune fille qui se trouvait à posséder un don (Maintenant, je sais au moins que je ne suis pas le seul…). Son don consistait à faire pleuvoir des enclumes… Bizarre, huh?

Et donc, elle était en plein expérimentation et puisque j'étais –et je suis toujours- un aiment à situation mortelle, un de ses enclumes m'avaient tombé dessus. Et ça fait un mal de chi*n, mine de rien. J'avais le crâne fracassé et j'étais sonné. C'est sans pour dire que la douleur, quand tu as une enclume de –presque- coincé dans la tête proche du cortex, est élevé. Passé inaperçu avait été aussi facile que d'aller dans la rue sans vêtement. Voyez l'ironie? Oui, ok. Heureusement la cré-, la demoiselle m'avait offert son aide et yada

Il m'est donc arrive plein de mésaventures de ce genre. Il y en avait des débiles et des sérieuses. Pour les sérieuses, je n'avais pas le choix d'aller autre part que chez moi. Si ma sœur me voyait blessé et quelque chose, elle s'aurait fait un plaisir d'aller tout cafter pour que moi, son grand frère qu'elle aimait plus ou moins, se ramasse avec moins de bouffe et qu'elle, ma démoniaque petite sœur, se retrouve avec ma part. Qui a dit que les enfants étaient adorables? Au moins, mon grand frère Kevin ne s'en préoccupait pas. Étant tous plus ou moins pervers, il s'occupait de… Hm, ses affaires. Avec lui, c'était cool~

Five Become Four ~ What I've become, what I've done?

Ce sont ces événements qui ont fait de moi, Kenny McCormick, ce que je suis. J'ai vécu la vie que j'ai vécue jusqu'à mes dix-huit ans. Et c'est quand l'on est majeur qu'on se rend conte que l'on ne peut plus faire ce que l'on fessait avant. Comme un dix huit, ne peut plus faire comme un quinze. Pas que cela me dérangeait! Parce que maintenant, je pouvais voir de l'alcool sans me faire saisir et risquer des peines. Je me suis aussi rendu conte que je ne pouvais plus vivre d'expérience ayant un lien avec l'enfance. Comme avoir un best friend ou un super best friend. Ou encore avoir un lien super fort avec quelqu'un. Et que d'un certain côté c'est regrettable et tout et tout. Ça m'avait fait prendre conscience qu'on avait qu'une vie est des expériences à vivre et que l'on ne pouvait pas tout faire même si on pouvait résister à la mort comme dans mon cas. En somme, même dans mes moments les plus noir, je ne pouvais pas prendre la voie dite facile, car si j'essayais d'admettons me couper, je pouvais bien saigner jusqu'à ce que mort s'en suive, mais j'allais seulement agoniser, inutilement. Il allait rester tout de même une bonne dose de sang pour empêcher justement la mort, mais l'hôpital resterait, elle. Et la facture aussi. Dammit... Ça m'a aussi fait comprendre que l'argent avait une certaine valeur aussi. C'est aussi dans cette période que je suis devenu plus "playboy" qu'avant. "Avant", je "flirtais" sans plus ni moins… Mais là, je suis rendu plus pire. Donc le temps n'a pas corrigé cette partie de moi. Entre nous, ce n'est pas comme si c'était grave. Ah c'est aussi dans cette période que je suis passé de "l'autre côté" et que je suis devenu bi. M'enfin, là n'est pas le point le plus important. L'important est que c'est à dix-huit ans que je suis allé à Takuetsu. La façon dont je l'ai découvert était cocasse, quoique bizarre.

Il était environ vers huit heures du soir et j'étais sur le chemin pour rentrer à la maison. J'étais âgé de dix-huit ans et demi et puisque mon grand frère n'avait pas voulu faire les courses, j'avais dût les faire à sa place. C'est ça l'amour fraternel, hein? Bref, j'avais décidé de prendre un détour en passant par le lac à canard qui était situé non loin de la ville. Le ciel s'était obscurci rapidement, s'en était dingue. Et là imaginez la "oh-combien-désuet0petite-scène-que-l'on-retrouve-ou-qui-est-presque-toujours-le-début-des-films-d'horeur-les-plus-naze". Parce c'est ce qui s'était passé; j'étais seul dans le noir et un moment donné, en train de fumer une clope, un bruit retentit. J'avais tourné la tête vers la source de bruit comme toutes personnes feraient et j'aperçu un maniaque en sortir. C'est classique, j'en conçois, mais ce genre de situation est réel dans la vie et encore plus en Amérique. Allez savoir pourquoi.

Evidemment, l'home était très stéréotypés; alcoolique, armé, agressif et pas super intelligent non plus… Néanmoins, il en restait violent… Alors, après un petit discours où il expliquait ce qu'il allait me faire si j'osais de faire quoique ce soit, il commença à m'attaquer. Raconter comme ça, cela n'à l'aire de rien, mais dans la vie, ça existe des sauvages. Plus, à ce moment là, je commençais un peu à paniquer. Ce qui me retenait de péter les plombs était sans aucun doute que j'avais mon don, ajouté à cela mes multiples expériences ratées de la vie ou j'achevais en agonissant.

Finalement, ceci n'était pas si différent des autres fois. Sauf que… Cette fois, il y avait un témoin…

La scène s'étant déroulé comme tel:

J'avais fait croire à l'autre ordure que j'étais mort. Ce qui avait été assez facile, vu le sang qui coulait des lésions qu'il m'avait fait. Ensuite j'avais fermé les yeux et quand l'autre débile m'avait cru mort, je m'étais relevé.

"Et me*de," avais-je marmonné. Je devais trouver un endroit pour essayer d'arranger mon état. Lorsque je m'étais retourné pour voir le chemin le moins voyant, je m'étais retrouvé nez à nez avec un inconnu. "Aw… Sh*t."

L'autre était invraisemblablement calme, comme si voir un jeune homme couvert de sang et de cicatrices était chose normal.

"Eh, ce n'est pas ce que tu crois…"

Mon interlocuteur continuait de me fixé, sauf qu'en plus, il avait un sourire en coin. Ce fût à mon tour de le regarder comme si c'était lui qui n'était pas normal.

"À ce que je vois," avait-il commencé, "tu possèdes aussi un don."

"Uh-huh…"

"Oh, ne t'inquiète pas, je connais plusieurs personnes comme toi. Tu n'as donc pas à t'en faire." Je ne pouvais détacher mon regard de ce type. Peut-être parce qu'il était trop bizarre? Voyant que j'avais peine à cligner des yeux, il se fit une joie de poursuivre. "Regarde, je vais faire comme si je n'avais rien vue et tu pars. Bien entendu, je vais t'aider à t'arranger un peu, mais à une condition. Tu acceptes que l'on se revoie et que l'on discute. 'kay?"

J'avais incliné la tête dans un signe d'approbation. De toute façon, je n'imaginais pas qu'un type comme lui puise me retrouver pour discuter. Ma ville avait beau être petite, certes, mais n'en reste qu'un étranger pouvait se perdre~

Where'd You Go ~ I feel like sh*t, I wanna quit, and just be normal for a bit

Quelques jours plus tard, j'eu le plaisir de recroiser le même homme. À croire qu'il avait un détecteur de dons. Et après une longue discussion dans le premier café du coin, j'appris l'existence de Taku'.

"Donc, comme je le disais, tu pourrais devenir l'un de ces élèves. Tu as quoi? 18 ans? Tu serais donc au lycée." Avant que je ne puisse placer un mot, il reprit dans un ton qui se voulait professionnel, " L'établissement accueil pas mal tout les degrés. Donc, cela t'intéresse?"

"Je voudrais bien, mais j'ai pas d'argent," fus ma courte réponse.

"Hm, on pourrait t'arranger cela. Mais j'ose percevoir que l'offre t'intéresse?"

"Duh, bien sure que ça m'intéresse. Du genre, n'importe quoi pour quitter cette petite ville et mes parents… C'est dur de dire ça, en fait, non, mais mes parents et leurs alcoolismes m'énervent. Quoique, j'aime bien mes amis… Mais à bien réfléchir, Internet est super, donc je pourrais bien garder contact avec eux… Surtout, que j'ai entendu dire que les japonaises étaient pas mal mignonnes… Donc, où est-ce que je signe?"

"Hm… Ok… Il n'y a rien à signer. Donc, je vais y aller et dans une semaine, tu aurais quitté le Colorado."

"Atta boy!"

"Au passage, petite conseil, tu devrais te mettre aux cours de japonais."

"Ah…"

"Je ne t'y oblige pas, mais si tu ne veux pas avoir l'air perdu…"

"'Kay. S'il faut que ça. N'importe quoi pour quitter ma famille et ses conserves."

Et c'est comme ça que j'ai atterris à Tak'. Bizarre, huh? Âgé de maintenant 20 ans, je suis un universitaire qui étudie dans les relations sociales et qui vie du mieux qu'il peut dans un environnement hors du commun.
Ses rêves :
Until The Day I Die

Une personne comme moi n'a pas de "grands" rêves. Seulement que des petits. Comme, vivre une vie facile, sans trop d'accidents et de trucs dans le genre. Rencontrer de belles filles, ainsi que des garçons… Et puis, rencontrez quelqu'un et vivre une belle vie. Donc, vivre en enchaînant les petits bonheurs de la vie est comme… mon rêve.

Hé Oo fait moi de la pub pour le don è_é je suis toujours plein d'idée pour les news... ^^

Matt' t'inquiète, je fais déjà de la pub pour ton don, même si ça passe inaperçu ^^

Au fait, j'ai terminé.

Kewl ton histoire même si je l'ai lu à la diagonale! Ouaaais! Y'a l'enclume!!!! =DDD Le pire, c'est que tu ne te souviens même plus c'est quoi que je devais faire pour que tu fasses ça XD T'es bon, Kenn'! Cool

En plus, c'est drôle... Avec l'accident de voiture, je ne me sens pas concerner *sifflote*
En espèrant (pour toi) que tu vas être vite validé!! o/ XD

OMG x')

Bon, bon commentaire, commentaire *_*

D'abord de uno, personnellement, j'adore ton histoire, c'est super bien écrit, et sa change de d'habitude, j'a-do-re!

Certe, y'a quelques fautes d'ortho, mais bon vu la longueur de la fiche, c'est vrai qu'il y a eu quelques oublies, je vais pas t'en tenir rigueur, mais juste une précision, c'est " en vie " au lieu de " envi ". Puis une fois où deux, tu t'es trompé de temps, mais bon, même moi j'aurai fait l'erreur * genre cette fois-ci j'étais concentrée :D *

Enfin, bref, vu que Yuk a validé le début, je valide l'histoire, donc toute ta fiche =D
Bienvenue chez les Univ Ken', Bon RP et Amuse-toi Bien.
N'oublie pas de faire ta fiche de lien, ton agenda Rp et répondre aux différents topiques concernants les Univ =')