Un soir; 11:32 pm

Sujet: Un soir; 11:32 pm Jeu 11 Juin - 22:04

[ Les seules personnes pouvant répondre à ce topic sont les suivantes : Ayumi Suzuki, Mai Kobayashi, Sumire De Galliant, et Akatsuki Marya. ]

Il était une fois. C'est ainsi que commencent les histoires. Histoires qui finissent généralement par "et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Mais sera-t-il le cas de l'histoire d'aujourd'hui? Commençons donc par le commencement. Il était une fois, quatre élèves de l'académie Takuetsu, répondant au nom de Ayumi Suzuki, Mai Kobayashi, Sumire De Galliant, et Akatsuki Marya. Pour une quelconque raison, lors d'une terrible nuit où la pluie régnait, elles furent réunies dans la salle de classe du collège, certaines peut-être assoupies depuis un moment, d'autres s'étant peut-être retrouvées enfermées soudainement en voulant récupérer un livre. Oui, vous avez bien lu enfermées : le temps d'une dizaine de secondes où l'obscurité régna dans la salle suffit pour les prendre au piège. Impossible d'ouvrir la lumière, et ne comptez pas sur les professeurs, ils ne vont pas venir vous récupérer, bien trop préocuppé par le voyage du lendemain. Les portes sont fermées... Et soudainement, des bruits. Des espèces de.. grésillement? Des souris? Non, ce sont des cafards. Avez-vous déjà fait face à des cafards d'Asie? Tout gros, avec de très belles antennes, volant dans tous les sens. Surprises, c'est ainsi que les quatre élèves se retrouvent prisonnières dans un piège royaume des cafards, plongées dans l'obscurité le plus total.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Ven 12 Juin - 19:02

Programe : 1. Emploie du temps 2. Programation, programer, un logiciel de manière à réagir à tel ou tel action ... ou un truc dans le genre.

Programe de Marya : 1. Son cerveau orgniser come un ordinateur 2. Son emploie du temps chargé qui lui impose de ne jamais être en avance, comportant le travail scolaire, les cours de ratrappages, les visites à Daiichi et les besoin primaires tel dormir et manger quoi que cela sont encore peu exploités.

Marya se promaine ? Non ; elle fait ses devoir, essaye de ratrapper son niveau très moyens en culture générale pour ne pas dire catastrophique pour une collegienne de 14 ans, étant donée qu'elle n'a jamais apris la carte du monde (vous croyez qu'on va lui apprendre la géographie européenne alors qu'elle n'était pas senser quitter le japon et même Tokyo de toute sa vie ?), puis elle va chercher Daiichi pour l'emmener voir Megumi à qui elle prend 5 minutes pour la vanner un peu puis elle repart en lui laissant un regard glacial et tueur pour finalement revenir dans sa chambre où elle ferra un peu de point de croix avant le retours de sa collocataires, et enfin elle se rendra compte qu'elle avait vu des bouquins pas mal dans la salle de classe pour pouvoir réviser ses maths, et se dit qu'elle avait le temps de s'écarter de son programme pour aller y jetter un oeil. Résultat, assez tard dans la soirée, elle part sans un mot pour la salle de classe, faisant attention à ne pas se faire reppérer par les passants (oui, un prof qui passe et qui vous demande où vous allez à cette heure-ci, c'est énervant et très bruyant) en se servant d'un effet secondaire de son Don que vous connaissez tous ; son ouïe surdévloppée. Après qu'il y est le moins de monde possible dans les couloir, direction salle de classe.

Marya ouvre la porte coulissante, se retrouve dans la salle de classe qui n'est pas animée par la magie des don ce soir ; au lieu de la rivière qui passait dans la prairie, il n'y avait qu'une salle banale, vide où plusieurs bureaux étaient allignés, devant une chaise, bien rangé. La lumière déclinante du crépuscule éclairait d'un orange rouge la pioèce qui dans quelque minute serrait si sombre que des yeux inacoutumés risqueraient de se perdre pour devenir des aveugles. Vers le fond de la pièce, des étagères, une bibliothèque pratiquement vide mis à part les dictionnaires poussièreux et deux ou trois livres pour les têtes en l'air qui avaient zappers les leurs, ainsi que des encyclopédie dattent de l'age de pierre pour des plus passionnées qui n'existaient malhereusement pas ...

C'était sans compter Marya.

Elle fait un pas, le laisse raisonner dans toute la pièce et se répercutter dans ses tympan. Elle continue d'avancer avec un lenteur prononcée, puis finit sans s'en rendre copte par arriver devant les dits documents. Se demandant si elle allait tous les prendre ou si on verrait trop le vide le lendemain, elle entrepris de les feuillté pour en choisir quelques uns histoire de passer la nuit sans derranger Haruna , car oui, quand on dort pas, il aut bien s'occupper ; pour Marya, couture ou lecture, et la lecture c'est de loins ce qu'il y a de plus silencieux.

Elle en prend, un, l'ouvre, regarde rapidement son contenu endiagonal puis le pose sur la table la plus proche. Puis un autre, où elle prend un peu plus de temps, s'interessant à l'ouvrage. Puis elle fini par plonger dedans, et ce n'est que lorsque ses yeux lui réclamèrent une pose pour travail intense qu'elle se rendit compte de l'absance de lumière. En relevant la tête, elle compris qu'il faisait nuit. Haruna ne s'inquiéterai pas, elle penserai surmnent qu'elle était encore au QG ...

Puis alors qu'elle se préparait à partir, elle entendit des pas dans le couloir, au loin. Elle posa les livres, se mit dans un cion sombre et attendit, rassemblant un maximum d'information sur le pas et le son produit.

1 ; c'était une fille.
2 ; Marya senti que son programe avait planter.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Ven 12 Juin - 22:40

Assise dans un recoin de la bibliothèque, Mai Kobayashi, 16ans et jeune collégienne bien étrange, était confortablement installée sur l'une des nombreuses chaises que comptait la pièce, accueillant ainsi des élèves souvent très studieux, en somme tout le contraire de la demoiselle. Malgré tout, elle bouquinait tranquillement un de ses bouquins du genre romanesque qu'elle aimait lire à ses heures perdues. Pourtant, elle aurait mille et une autres choses à faire, ses devoirs par exemples. Habituée à ne pas les faire et encore moins d'aller en cours, elle se fichait totalement de ses résultats scolaires tout de même acceptables voir parfois brillants dans certaines branches, ce qui excédaient drôlement ses professeurs qui ne savaient plus quoi faire d'une étudiante aussi peu encline au travail.

Enfin bref, la bibliothèque commençait à se vider peu à peu annonçant bientôt sa fermeture, mais la jeune fille n'y prêta aucune attention. De ce fait, aux environs de 20h, la responsable des lieux lui demanda gentiment mais avec une certaine sécheresse de quitter l'endroit afin qu'elle puisse terminer son travail correctement. Mai soupira, embarqua son livre et se rendit directement dans son dortoir qui était vide. Elle ne croisait qu'occasionnellement sa colocataire ce qui la dérangeait nullement. C'était une fille à l'apparence froide et dure que l'on osait pas approcher. Ceux qui avaient tenté de briser la glace furent vite déçus et comprirent que ça ne valait pas la peine de parler à un mur. Cela faisait sourire intérieurement la demoiselle et elle se demandait si quelqu'un arriverait un jour à être assez intéressant pour qu'elle outre-passe les limites qu'elle s'était fixées : ne pas créer de liens avec d'autres humains. Pourquoi ? Juste une précaution... Pas besoin de souffrir inutilement, d'après elle. Mais bon ce n'était qu'une façade, trop bien sculptée à mon goût. Pourtant, peu de monde s'en était réellement rendu compte.

Affalée sur son lit, Mai termina bientôt son livre. Satisfaite de la fin, elle le déposa délicatement sur sa table de chevet avant de fixer le plafond blanc de sa chambre. Elle ferma quelques instants les yeux et divers choses lui traversèrent à ce moment-là l'esprit. Soudain, elle se leva et quitta précipitamment le dortoir, avant de ralentir la cadence évitant ainsi de faire trop de bruit et d'attirer l'attention des surveillants. Car oui, à cette heure bien tardive, chaque collégien était sensé être dans son petit cagibi.

La jeune fille arriva, donc tranquillement et en toute discrétion dans le bâtiment du collège. Elle traversa quelques couloirs et gravit deux escaliers, avant d'arriver à destination : sa salle de classe "officielle". Elle poussa délicatement la porte et choisit de ne pas allumer la lumière, ce qui risquerait d'attirer l'attention des profs, quoique à cette heure-ci ils devaient terminer les préparatifs pour le voyage scolaire du lendemain que Mai allait tout simplement sécher. Elle se dirigea vers le fond de la pièce, près de la fenêtre, là où demeurait son pupitre qui avait été utilisé peu souvent ces temps-ci. La demoiselle en inspecta le dessous et en tira le tout nouveau i-pod qui venait de sortir, il y a peu. Mai lâcha un petit soupir de soulagement : elle avait crains qu'un élève s'empare de son petit bijoux.

La demoiselle n'avait pas encore remarqué la présence d'une autre personne dans la salle, mais pas le temps de s'en rendre compte, des pas rapides résonnèrent dans le couloir. Alors, par précaution au cas où se serait un prof, Mai s'assit dans le coin de la pièce près d'une armoire, là où aucun individu n'aurait pu la voir, même la lumière allumée.

Invité

Ayumi avait mal dormi cette nuit, très mal dormi. Son sommeil avait été hanté par un affreux cauchemar. Elle avait rêvée qu’elle resterait enfermée dans la salle de classe du collège avec trois autres filles. L’une d’entre elle était dans sa classe, la classe F. Elle la connaissait de vue mais ne lui avait jamais adressé la parole, elle avait l’air distante avec la majorité des élèves. Les deux autres lui étaient inconnues, elle ne les avait jamais vues. Peut-être les avaient-elles imaginées… ? Mais attendez, ce n’est pas tout, ensuite, une horde de cafard surgirent de toutes parts et elle fini vite engloutie sans savoir où les trois autres étaient passées... C’est à ce moment là qu’elle se réveillait. Au bout de quelques minutes, effrayée par l’idée de se rendormir pour retourner dans ce monde obscur. Ayumi décida de se lever. Ses yeux étaient cernés, ses cheveux ébouriffés comme une chiffonnière et sa couverture jonchait le sol, cette nuit avait été décidemment très mouvementée. Elle enfila rapidement son uniforme, sans prendre la peine de faire son lit, et sortit. Discrètement, la lycéenne enchaina les couloirs. Toujours sur la pointe des pieds, elle sortit enfin du prestigieux bâtiment pour se retrouver dans le parc. La jeune fille consulta sa montre, il était tout juste six heures du matin. Rien que de voir cette heure s’afficher sur le cadran de sa montre argentée, ses paupières se faisaient plus lourdes. Mais ce rêve semblait trop réel.

La jeune fille se promena dans le parc. Entre les bancs, les fleurs, l’herbe recouverte de rosée et les sentiers de terre battue. Elle pensait à tout et à rien à la fois, comme en transe entre un mode irréel et un monde réel, les yeux vides. Après une bonne heure, elle remonta dans sa chambre. Ses pas étaient toujours aussi lourds. Arrivée dans sa modeste demeure, elle finit de se préparer et paressa un peu en écoutant de la musique. Peu de temps après, une sonnerie retentit, c’était déjà l’heure d’aller en cours. Comme probablement tous les élèves de Takuetsu [qui commençaient à huit heures], Ayu’ se rendit dans sa salle de classe pour quatre heures interminables de blabla peu intérressant.
Bientôt, il était déjà midi, Ayumi mangea une salade au réfectoire puis remonta dans sa chambre. Une autre sonnerie, une autre série de cours. La journée était banale, trop banale après cette nuit anormalement agitée. Enfin, la libération eu lieux. Là, Ayumi put enfin paresser, allongée au soleil qui était dorénavant en train de se coucher. Après quoi, elle alla se changer comme tous les soirs. Cette dernière avait encore du mal à s’habituer à ce nouvel uniforme. C’est pourquoi elle s’habilla avec sa toute nouvelle acquisition : un short en jean qui lui arrivait au dessus des genoux et un tee-shirt en lin blanc assez ample et léger. Pour ce qu’il s’agissait des chaussures, elle enfila des ballerines noires vernies.

Il était à présent onze heures pile. Ayumi s’ennuyait toute seule dans sa chambre. Elle ne savait vraiment pas quoi faire. En désespoir de cause, celle-ci erra dans les couloirs. Explorant tous les étages, tous les recoins de cet immense pensionnat qui était Takuetsu.
Il y avait quelques enfants qui jouaient au loup dans la cour des primaires. Cela rappelait des souvenirs plus ou moins mauvais à notre chère lycéenne. Ensuite, elle se retrouva à l’étage des collégiens, là il n’y avait personne. Pas un bruit. Normal, Ayumi avait entendu dire qu’il y avait un voyage de prévu pour le lendemain. Ils devaient surement être en plein préparatifs. Marchant, dans la pénombre de l’internat, la rebelle aperçut une porte entre-ouverte.

*Tiens, tiens, tiens*

Sa curiosité la poussa à aller voir. Quelqu’un devait avoir oublié de refermer la salle. Ayumi entra en silence, elle fit le tour de la classe à pas de loup. Il y avait quatre rangées de tables individuelles parfaitement alignées face à un tableau noir. Il y avait quelques livres sur une étagère au fond de la classe. La salle n’était pas très différente de celle des lycéens, bien qu’elle ne fût plus petite. En plein dans son inspection des lieux, Ayumi reversa malencontreusement le contenue de son sac à main. Le bruit des cahiers de cours, du maquillage et d’un Keitai heurter la dureté et la froideur du sol brisa le silence oppressant.

*Put*n !*

Ayumi se retint de jurer ou encore de grogner comme elle sait si bien le faire et s’empressa de tout ramasser. Mais elle cru entendre un bruit. Quoi ? La jeune fille ne put déceler de quoi est-ce qu’il s’agissait. Il y avait quelqu’un ? Ayumi leva furtivement les yeux, tout en continuant d'enfouir son bazar dans son sac. Rien. Juste la pénombre. Mais la jeune fille le sentait, il y avait une présence. Après avoir tout rangé, elle fit le tour de la salle, d’un pas lent et régulier. Tous ses sens étaient en éveil. Soudain, elle cru apercevoir une silhouette dans un coin. On aurait dit une fille mais la pénombre empêchait de l’affirmer. Ayumi s’en approcha dangereusement. Lorsqu’elle fut à environ un mètre d’elle, la lycéenne put la détailler plus précisément, ses cheveux semblaient courts et assez clair. Blanc ? Mais… Cette fille, oui elle la connaissait, c’était exactement la même que dans son cauchemar… Mais Ayu tenta de faire abstraction de cela, ce n’était qu’un rêve, point. En tout cas, cette personne semblait de cacher. Eh bien, oui, que ferait un élève dans un coin de la salle de classe des collèges à une heure pareille ? Tout en la fixant, elle lui dit d'un ton assez neutre et légèrement malicieux :

« De quoi te caches-tu... ? Aurais-tu peur ? »

Ses paroles raisonnèrent dans la salle.

Invité

Ah.. Sumire ouvrit grand les yeux, ah? Oui.. elle avait fait un cauchemar. Oh direz-vous ce n'est pas très grave mais habituellement Sum' ne faisait jamais de cauchemar mais comme on dis, il y a une première fois à tout, nan? Enfin, Sumire se leva elle commença ensuite à se diriger vers la porte mais fit rapidement demi-tour et bien oui! Qui voudrais voir Sumire en pyjamas, enfin non.. même, elle n'avait pas envie d'avoir la honte. Elle s'habilla donc assez vite fait, elle n'allait pas se faire jolie alors qu'il était si tard. So, la jeune fille sortie de sa chambre sans réveiller sa colocataire, oui car elle avait une colocataire.. même pas Mitsuko, injustice what else?! Enfin la grise avança tranquillement que faire, mais que faire.. elle s'ennuyait à mourir et elle ne pouvait pas embêter les élèves car la plupart dormaient, méchante? Peut-être.. ou pas mais là n'est pas la question, il fallait absolument qu'elle trouve quelque chose à faire pour sortir de ses pensées.. oublié ce cauchemar si réellement malgré son don.. enfin c'était peut-être un cauchemar normal et pas un élève qui essayait de rentrer dans ses rêves, rêves qu'elle n'avait pas d'ailleurs mais pour elle cela n'avait aucune importance.

La jeune fille toujours dans les couloirs, sortie son Keitai.. elle avait envie de réveiller Mitsu' en lui envoyer un message mais c'était un peu vache donc naa.. c'était la seule personne à qui elle ne ferait pas de vacherie, oui la seule! Elle vit ensuite une salle éclairée.. un sourire mauvais apparue sur son visage, pas bien de ne pas respecter les consignes donnés.. Tiens deux filles étaient présente dans la salle. Sumire voyant les ombres se refléter sur le mur, elle avança doucement et s'appuya contre le mur, elle avait juste entendue une phrase. Elle avait toujours un sourire mauvais après tout, elle n'allait pas leur sourire.

-Tss, tss.. mais que voyons-nous là.. des filles.

Voix froide.. tellement froide, glacial son regard gris était de même. Elle ne les connaissaient pas, ces filles mais elle s'en fichait quoi que la fille aux cheveux roses.. elle était dans sa classe mais Sumire ne lui avait jamais parler puis qu'elle ne restait qu'avec Mitsuko.

-Que faites-vous là?

Comme si cela l'intéressait.. Sum' demandait ça parce que.. parce que quoi au juste? Qu'est qu'il lui avait prit de leurs adresser la parole, elle aurait mieux fait de partir mais peut-être que maintenant, elle allait s'amuser.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Lun 15 Juin - 17:05

[Marya à les cheveux long, mais ils sont attachée a vec un bandana ... il peuvent parêtre courts.]

Pourquoi il y avait d'un coup 3 personnes dans la salle ? Il ne pouvaient pas simplement dormir comme tout le monde ? Apparemment non, alors il allait falloir faire avec et se barrer vite fait ... Avec ou sans bouquin ? On verra ...

-J'espairai pouvoir sortir sans me faire repérer, c'est tout ... Pas vraiment peur. Et, toi, elle regarde la dernière fille à être entrée, je pourrais te retourner la question, mais ce ne serai pas interessant.

Elle sortit de son cion, repris les bouquin et les remis dans la bibliothèque, et puis alça "dans le vide" :

-Tu peux sortir, je pense ; reprends ton baladeur avant de te le faire piquer.

Puis après un soupire, elle se diragigea vers la sortie ; enfin la porte car ...

Il n'y avait pas de sortie.

Lorsque la fille aux cheveux gris étaient entrée, elle avait laiusser la porte coulissante se refermer. Marya tenta de tirer, elle resta bloquée. Elle chercha l'interupteur, appuya, en heut en bas, rien. Noir complet. Elle utilisa son don, rien à faire ; ce n'était pas ses petites ondes qui alait débloquer la barre de métale qui s'était glissée par ici, empêchant la porte de s'ouvrir.

-Oi, la porte.

Les trois autres jeune filles semplèrent lui préêter attention.

-Elle est bloquée, j'arrive pas à l'ouvrir.

Elle frappe, appelle ; aucune réponse. Pas la peine de recomancer, c'est innutile. De toute manière, sûre que les trois autres s'empresseraient de le faire à sa place. Marya se retourna, les laisant devant la porte (sûrement à tambouriner comme des malades pour réclamer de l'aide), traversa la salle, essaya d'ouvrir une fenêtre ; aussi vain que pour la porte.

Ordinateur dit :

Aucun programe ou logiciel n'est installé pour traiter ce dossier/fichier/document.

-Bloquées ...

[trop court x/]

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Sam 20 Juin - 16:30

Assise contre l'armoire, Mai entendit entrer une autre personne qui s'adressa à quelqu'un. Tiens donc, elle n'avait pas été seule depuis le début ? Entre temps, quelqu'un avait allumé la lumière ce qui dû attirer l'attention de quelqu'un, puisque bientôt une autre fille débarqua dans la salle. Dans quoi s'était-elle encore fourrée ? Mai secoua la tête avec un air atterré. Il ne restait qu'une chose à faire et c'était assez simple. Se lever et partir sans regarder qui que se soit. Alors qu'elle allait s'exécuter, une voix l'interpela :

-Tu peux sortir, je pense ; reprends ton baladeur avant de te le faire piquer.

Ce devait être la fille qui était déjà dans la classe avant son arrivée. Mai sortit alors de sa "cachette". Trois adolescentes se tenaient debout toutes éparpillées dans la salle. La première personne qu'elle remarqua fût cette, sans doute, lycéenne, au teint pâle et au visage glaciale. Sûrement la dernière arrivante. Mai tourna ses yeux bleus pour les poser sur la demoiselle aux cheveux roses et aux yeux violets. Elle aussi devait être au lycée. Puis son regard se posa sur un personnage au physique peu commun. La dernière avait des cheveux d'un blanc immaculé qui étaient retenu par un bandana, sa peau était de la même couleur. Elle était vraiment très étrange.

Alors que celle-ci se dirigea vers la porte, Mai rangea soigneusement son i-pod dans la poche de son short. A peine avait-elle terminé son action que la voix qui l'avait interpelé peu auparavant, s'éleva à nouveau dans la pièce.

-Oi, la porte. Elle est bloquée, j'arrive pas à l'ouvrir.

Cette annonce fit soupirer Mai qui se rendit vers les fenêtres. Elle tenta d'en ouvrir une. Celle-ci resta figée. Alors, la collégienne tenta sa chance avec celle d'à côté, mais en vain...

-Tiens... Les fenêtres sont bloquées...

Déclara-t-elle plus pour elle-même que pour les autres...

*Génial...*

Agrémenté par un soupir, furent les seules traces d'agacement que l'on put décrypter. Bientôt, Mai s'était recomposé son visage sans expression, celui qu'elle arborait habituellement. Elle s'appuya contre un mur, attendant la suite des évènements.

Invité

Alors qu’Ayumi était face à la jeune fille aux cheveux étrangement blancs tout comme son visage pale, une autre entrait. Mais comment se fait-il qu’autant d’élèves rodaient dans les couloirs à cette heure-ci ? Ayumi n’eu pas besoin de tourner la tête pour distinguer tant bien que mal l’autre ombre entrer dans la salle. Son pouvoir, bien que faible comparé à certains était parfois pratique. Celle-ci semblait être de sexe féminin et avoir les cheveux longs. Cette dernière marmonna quelque chose qu’Ayumi ne put comprendre malgré le silence qui régnait en maître dans la salle.
La lycéenne reporta son attention sur la fille qui se tenait devant elle. Mais en fait, elle était déjà partie dans un coin après lui avoir lui avoir cloué le bec. Ayu se retenu de surenchérir ou de faire un scandale comme elle le faisait si bien mais se contenta de se mordiller la lèvre inférieure en signe de mécontentement. Elle n’aimait pas que l’on lui manque de respect comme cela bien qu’elle ne soit pas toujours digne de respect...
Tiens, tiens, tiens, il semblait y avoir quelqu’un d’autre caché derrière l’armoire, oui, une silhouette sortit de sa cachette, une fille de plus. Elles étaient à présent quatre dans la salle. Dans cette même salle qui avait hanté les rêves de la lycéenne. Avec quatre filles, toujours comme dans son rêve. Bien qu’elle pensait que cette réalisation était impossible, elle voulut tout de même se diriger vers la sortie, on ne sait jamais si des cafard allaient débarquer. Ce serait terrible. Alors qu’Ayumi s’apprêter à aller vers la porte, une des trois filles – celle à qui elle avait parlé – tentait tant bien que mal de l’ouvrir.

« Elle est bloquée, j'arrive pas à l'ouvrir »

La porte semblait coincée, elle refusait de coulisser. Loin d’être démoralisée par son « échec » et de s’apitoyer sur son sort, elle se dirigea vers les fenêtres ; mais sans plus de succès. A l’entente de cela, la collégienne qui venait de sortir de sa cachette tenta d’ouvrir une à son tour fenêtre, puis deux… toujours en vain. Ayumi leva les yeux au ciel en signe d’exaspération et se dirigea, d’un pas rapide et soutenu vers la porte. D’après elle, cette fille irrespectueuse n’avait juste pas de force ou ne savait pas s’y prendre correctement. Sure d’elle – trop sure d’elle - comme toujours, Ayu prit place devant l’entrée coulissante et tira de toutes ses forces. Rien. La jeune fille continua de tirer en mettant un pied sur le mur d’en face pour s’aider, toujours rien ; si ce n’est qu’elle commençait à avoir mal aux mains. Elle abandonna tout en poussant un grognement puis donna un coup de pied dans le mur. Rien, rien, rien.
Ayumi jeta un regard à celle qui avait tenté avant elle. Il n’y avait vraiment rien à faire. Mais qu’est-ce qu’il clochait ce soir là ? Aucune idée… Ayumi ne cria pas à l’aide pour se ridiculiser un peu plus, de toute façon, cela ne servirait à rien et ce n’était pas son genre.
Tout se bousculait dans sa tête. Elle cherchait tant bien que mal une solution. Porte bloquée, fenêtre bloquée, il n’y avait pas d’issues. Déjà, voyons ce qu’elle avait dans son sac. Il y avait tellement de choses que l’une d’elle pourrait être utile. Du maquillage : non, une bouteille d’eau : non, un keitai : oui. Ayumi l’alluma, elle n’avait que l’adresse de Shinobu. La jeune fille soupira, elle ne pouvait pas compter sur elle après ce qu’elle lui avait fait les dernière fois. Ah, il y avait aussi Aya, l’inconnue. Ayu tenta de lui envoyer un message mais elle n’y parvenait pas. L’écran continuait d’afficher : « Impossible de répondre à votre demande ». Les dents serrées, Ayumi tentait se calmer, elle avait envie de tout casser. Les nerfs à vif la tignasse rose bonbon avait bien envie de se défouler sur quelque chose. Après quelques profondes respirations, elle continua de fouiller son sac. Des lunettes de soleil : non, une lampe torche (sans piles) : non, un paquet de mouchoir : non. Ayumi n’insista pas. Elle referma son sac à mains et s’affala bruyamment sur la chaise la plus proche. Là, elle lança à l’adresse des autres filles :

« Coincées… »

Après une courte pause, elle reprit :

« Bon... J’sens qu’on va passer la nuit ici à moins que l’une d’entre vous ai une meilleure idée … ? »

Invité

Frappée.. Oui, un sourire méchant apparue sur son visage.. elle allait lui mettre une baffe, non.. Elle devait rester zen et calme après tout si Sumire avait demander ça, c'était pour mieux les dénoncées.. Akatsuki Marya.. Rien à faire d'elle, la grise ne la taperait physiquement.. mais mentalement, Sum' avait eut vent que cette Marya tenait très fort.. à un certain Daiichi mais chuut, c'était secret comme d'habitude Sumire reste mesquine, on dit bien merci Mitsuko. Elle sortie de ses pensées quand Akatsuki lança que la porte était fermée.. qu'elle imbécile, elle avait sûrement du la bloquer.. Sumire ne s'approcha même pas, les insectes on les écrases.. on devient pas amis avec eux so.. La grise s'éloigna des trois filles, elle ne voyait rien.. c'était chiant si on pouvait dire. Elle regarda l'autre fille aux cheveux roses se diriger vers les fenêtres.. fermés tout était fermé en gros, elles étaient tout simplement enfermés toute les quatre.. Keitai, elle le sortie.. elle pouvait envoyer un message à Mitsuko, elle viendrait. Sumire se dépêcha de l'envoyer mais.. Echec de l'envoie.. Merde! Arf stop les grossièretés mais là, c'était trop.. et si elle tuait cette Marya maintenant.. Elle n'était pas susceptible, bon juste un peu mais cela restait acceptable.. mais pour une fois qu'elle essayait de faire du social.. bon même si c'était pour les piéger.. Sumire fit un sourire innocent..personne ne résistait au sourire de Sumire, elle avait un sourire.. tellement.. kawaii, oui tout à fait. Quand la grise souriait inonçament c'était vraiment très mignon, on avait l'impression de voir une petite fille, on avait envie de lui accorder sa confiance.. mais en faisant ça, c'était comme vendre son âme au diable sauf que ça, personne ne le savait sauf Mitsuko et ceux, celle au quelle Sumire avait jouée un vilain tour

Tiens, elle.. Ayumi leur parlait, Coincées. Sum eut un rire cristallin.. elle allait peut-être plus s'amuser que prévue, qu'elle plaisir elle aurait des les manipuler. La grise souriait assez gentillement.

-Non pas vraiment.. Oh.. chut... vous entendez?

Sumire haussa les sourcils en entendent un sorte de grésillement.. des couinements.. des souris? .. Des rats, elle déglutit et sortie un briquet en y repensant que Mitsuko lui en avait acheter un la dernière fois. Elle lâcha un soupire et eut un petit sourire.

-.. Quelqu'un a un insecticide?

Humour.. ou pas, car quant on regardait bien on pouvait voir des tâches marrons... des tâches assez grande, trop grande pour n'être que de simple tâche. Des cafards, il n'y avait que ça qui était gros et moche..

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Dim 21 Juin - 13:49

« Bon... J’sens qu’on va passer la nuit ici à moins que l’une d’entre vous ai une meilleure idée … ?
-Non pas vraiment.. Oh.. chut... vous entendez?»

Ça faisait longtemps que Marya avait entendu, évidemment ... Question idote ! Ah oui, c'est vrai qu'il sont pas tous au courrant pour l'ouïe de Marya ...

Que ça grisille en se cognant contre les mur, que ça vole, que c'est mimi ...

Cafards de 5 centimètres de longeur ...

-... Quelqu'un a un insecticide ?
-Tu te balade souvant avec un insecticide dans tes poches toi ?

Le ton de Marya était toujours plat, impossible comme toujours de savoir si elle était serieuse ou si c'était de l'ironie totale ... Elle fit un pas vers les sons ...

-Parce que c'est pas mon cas ...

Elle tendit le doigt en fermant les yeux, se fiant à ses oreilles.

-Mettez vos mains sur vos oreilles.

Prête ou pas prête, ...

Un petit bruit sourd, court et lourd, comme une détonnation, se fit entendre dans la pièce, acompagné par un couinement innomable, puis un choc au sol, comme un morceau de plastique jetté à terre.

Un blanc.

Marya s'avance, se penche, rammasse un de ses jolis cafards, les membres à moitié déboités, puisl'examina rapidement, comme un scaner ...

-C'est bon, c'est rien de dangeureux ; c'est juste desagr&able en sentir ramper sur la peau mais sinon, pas de raison de vouloir sortir.

Toujours aussi monochrome, la voix ... Toujours est-il que Marya, si toi tu te fous totalement de ce genre de chose, tu as devant toi (ou plutôt derrière) trois filles normales, oui, normalepment constituer qui ont 50 à 70 % de chance d'hurler à l'aproche de ces machins ...

Marya lâcha le cadavre miniature qui s'écrasa lamentablement au sol, puis elle mit, d'insinc, son doiht dans sa bouche, se tenant le bras entier ; elle venait de faire vibrer tout son bras et de lancer une ondeprécise et renfermée directement par un seul doigt, ce qui provoquait une ajitation interieur qui elle était bien plus désagréable qu'un petit insecte volant-rempant ... Le sang, les muscles, les nerfs, tout venait de partir dans tout les sens quite à se séparer les uns des autres, seul ses os étant imusiner cointre cette attaque ...

C'était la même chose que pour son coeur ...

Marya n'avait pas fait ça sur un coup de tête ; elle voulait juste verrifier que ce n'étit pas des insecte capable de nuire aux êtres humains, et il était inutile de courir dans tout les sens pour en attrapper un. Alors ...

Elle dirigea son regard vers une des fenêtre ; recomancer serait faire courir un risque à son coeaur et ses membres, d'autant plus qu'il lui nececiterait bien plus de vibrations et d'énergie pour briser le verre ... Hors de question de risquer ce qui s'était paser à l'hopitale lorsqu'elle s'était faite soignée pour sa dernière bléssure causé par son don ...

Puis elle se tourna vers les trois autres jeunes filles, le visage toujours ausi peu aceuillant, toujours aussi froid, en les observant.

-Les bips ... C'était vos téléphones portables, non ? Ils ne foncitonnent pas je suppose ...

Puis elle s'assit sur le rebord d'une fenêtre, soupira (encore une fois, comme d'habitude) avant de lancer à tout hazard ...

-Vos Dons.

S'il y en a un qui peut nous sortir de là ...

Marya s'adosse, puis ferme les yeux ; innutile de s'exiter, juste reposer l'esprit. Ecouter les battemnts de coeur, les grisillements des cafards, les silances, puis son propres coeur, son propre corps ...

Orditanteur : Fermeture du systeme, veuillez ne pas toucher à l'unité centrale.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Dim 21 Juin - 14:33

« Bon... J’sens qu’on va passer la nuit ici à moins que l’une d’entre vous ai une meilleure idée … ? »
-Non pas vraiment.. Oh.. chut... vous entendez?»

Mai se concentra alors pendant quelques secondes. Des petits bruits bizarres venant de derrière les murs se faisaient entendre. Qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Des souris, des insectes... ?? Soudain, des tâches brunes jaillirent de nulle part. De magnifiques cafards d'au moins cinq centimètres de long grouillaient sur les murs blancs de la salle de classe.

-... Quelqu'un a un insecticide ?
-Tu te balade souvent avec un insecticide dans tes poches toi ? Parce que c'est pas mon cas ...

Mai n'écoutait que d'une oreille la conversation. Alors qu'elle était en pleine réflexion, la fille aux cheveux blancs annonça de son ton plat :

-Mettez vos mains sur vos oreilles.

Réflexe ou pas, la collégienne s'exécuta. Et elle l'avait bien fait, car à peine une fraction de seconde plus tard, une sorte de détonation retentit dans la salle. Des centaines et des centaines de cafards envahirent alors la pièce. Tout ça était pour le moins peu ragoutant...

-C'est bon, c'est rien de dangereux ; c'est juste désagréable en sentir ramper sur la peau mais sinon, pas de raison de vouloir sortir.

Déclara la fille aux cheveux blancs. Pour Mai, c'était bon. Tant que ces bestioles étaient inoffensives, ça ne lui faisait pas peur du tout. Mais un autre problème venait de surgir dans son esprit. Si ces insectes continuaient à affluer de la sorte, la classe se remplirait très rapidement et là ça deviendrait pour le moins dangereux pour leur vie à chacune.

-Les bips ... C'était vos téléphones portables, non ? Ils ne fonctionnent pas je suppose ...

La collégienne ne l'avait pas sur elle et à proprement parler, il aurait été totalement inutile.

-Vos Dons.

Voilà quelque chose de censé ! Mai ferma les yeux et un léger halo bleu entoura la totalité de son corps. Elle tendit ses mains devant elle. Dans chacune des paumes, une légère lumière commença à scintiller et se transforma en un flash aveuglant qui fit apparaître deux petits pistolets qui tournoyaient avec légèreté dans les airs. Mai les attrapa avec facilité. Toute cette scène s'était passée en quelques secondes à peine. Puis, la collégienne se leva et slaloma entre les cafards pour atteindre la porte principale. Elle visa la poignée à l'aide son pistolet à appuya sur la détente... Mais là, rien.

*Impossible !*

Alors elle se retourna et visa ensuite un petit tas d'une centaine de ces cafards hideux. Mai appuya sur la détente. La balle sortit du pistolet et lorsqu'elle eut atteint sa cible se transforma en pique de glace s'enfonçant dans le sol et tuant ainsi les insectes.

*Bizarre...*

Elle retenta sa chance sur la poignée de la porte, mais à nouveau, rien ne se passa.

-Il faut croire que quelqu'un doit bien se marrer en ce moment...

Déclara-t-elle en s'asseyant sur l'un des pupitres de la salle de classe.

Invité

Personne ne pouvait les sortir de là. Tampis, il faudrait attendre. Ayumi se mit à regretter amèrement d’être venue ici et détestait Takuetsu tout entier ainsi que ses élèves.
Soudain, un grésillement se fit entendre. Un bruit horrible. Ayumi se figea. Comme dans son cauchemar. Exactement pareil sauf que là, c’était la réalité. Elle se pinça plusieurs le visage en espérant se réveiller. Mais elle était toujours dans cette classe froide avec ces trois mêmes filles qui, elle aussi avaient entendu ce mystérieux bruit ; qui aurait pu l’ignorer ? Cependant, elles ne semblaient pas aussi atteintes qu’Ayumi. Soit elles ne savaient pas encore ce qui les attendait, soit elles étaient étonnement immunisée contre les insectes.

« ... Quelqu'un a un insecticide ? »

Ayumi rit intérieurement d’un rire angoissé, sa pensée était à l’image de la réponse de la collégienne à qui elle avait parlé tout à l’heure. Avant que les cafard n’apparaissent, la lycéenne courut de réfugier dans un coin de la salle avec hâte. Celle-ci se recroquevilla pour se faire le plus petite possible. De toute façon, les autres ne la verraient pas, merci la nuit. Elle ne voulait pas passer pour une chochotte, mais il était peut-être trop tard pour cela. Les secondes ressemblaient à des minutes, les minutes à des heures. Son cœur battait à cent à l’heure et elle avait l’impression de suffoquer. Ayumi resta stoïque, elle essayait de se rassurer.

* Ce n'sont rien que de simples insectes… Comme on dit : « Les petites bêtes ne mangeant pas les grosses ». M'enfin ... *

Il arriva ce qu’il devait arriver. Des cafards. Ils surgirent d’on ne sait où dans la salle, certains volaient, d’autres grouilles sur le sol. Gros, poilus avec de grandes antennes. Elle resta immobile, jusqu'à ce qu’elle sentit quelques choses lui chatouiller le bras. Elle osa un coup d’œil. Simultanément :

-C'est bon, c'est rien de dangereux ; c'est juste désagréable en sentir ramper sur la peau mais sinon, pas de raison de vouloir sortir.

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!! »

Un cri strident. Plus strident encore que celui des filles peureuses dans les films d’horreur. Ayumi se leva d’un bond en agitant les bras pour tenter d’enlever ces bestioles qui rampaient sur elle en lui suçant le sang – bien sur elle hallucinait car il n’en était rien, ces bêtes étaient inoffensives.
La jeune fille sentait qu’elle en écrasait quelques uns en marchant dessus. Mais ils étaient tellement nombreux qu’elle ne pouvait marcher entre. Il y en avait beaucoup, beaucoup trop et ils ne cessaient d’affluer. Bientôt elles finiraient englouties, toutes les quatres. Ayumi continuait de gigoter mais en vain, ils étaient toujours plus nombreux à se coller à elle.

-Vos Dons

Comme si le don d’Ayumi pourrait leur être utile. Pour le moment, c’était plutôt à son désavantage – ou avantage – car elle voyait des marres marronnâtes grouiller dans toute la salle où qu’elle pose les yeux. Elle regarda les trois jeunes filles à tour de rôle. Deux d’entre elles ne semblaient pas effrayées le moins du monde. Tandis que l’autre tentait, tant bien que mal de faire quelque chose en utilisant son don. Ayumi, quand à elle, devenait hystérique, elle n'avait nullepart où aller, aucune issue de secours.

-Il faut croire que quelqu'un doit bien se marrer en ce moment...

Quoi ? S’agirait-il d’une vulgaire plaisanterie ? En tout cas, si c’était le cas, notre mademoiselle Suzuki l’étriperait avec joie. En tout cas, le niveau de cafard augmentait. Plus le temps de savoir à qui la faute, il fallait agir. Mais Ayumi était bien trop occupée à essayer de se dépêtrer de ces immondes bestioles…

Invité

So.. cette Marya commençait à lui taper sur les nerfs.. mais elle resterais impassible comme à son habitude, elle eut quand même un petit sourire narquois envers la fille aux cheveux blancs.. Moquer, elle allait se moquer.. parce qu'elle était moqueuse, enfin cela ne servait à rien de le penser de toute façon, comme elle le disait tout à l'heure elle ne pouvait la provoquer maintenant car pour l'instant étant donnée qu'elle était toute les trois enfermées.. ça allait être un peu dur et pourtant.

-Voyons Akatsuki.. tu ne connais pas l'humour?

Elle s'arrêta un instant mais croire que Sumire allait s'arrêter, c'était vraiment mal la connaître.. Jamais, elle ne s'arrêtait, c'était assez embêtent du moins pour les autres car pour elle ça lui faisait ni chaud, ni froid. Elle reprit une voix moqueuse.

-Oups.. excuse-moi, c'est vraie que tu ne connais pas l'humour.

Malgré son teint moqueur, la voix de Sumire était acide.. perfide, ce qui montrait qu'elle n'était pas aussi gentille qu'elle n'en n'avait l'air, tant pis pour son plan, d'être gentille après tout, elle ne cessait de le répéter elle ne faisait pas du social, elle mais, elle voulait bien faire des efforts et tant que l'autre fille ne se calmait pas, elle ne le ferais pas non plus. Arf, c'est qu'il était moche quand même ces cafards. Arf, elle se couvrit les oreilles. Non pas pour écouter Marya mais plus parce que le crie strident qui avait été poussée lui avait fait mal aux oreilles.. Les dons.. bon, pour le moment le don de Sumire n'était en aucun cas utile. Elle eut un léger souffle et regarda la collégienne avec ces pistolets.. manque de bol, ça marchait pas.

-Sûrement..

Oui.. sûrement que quelqu'un se moquait d'elles.. mais qui? Tel est la question, elle ne pouvait pas faire la remarque à voix haute.. sinon, hm.. Que faire, que faire, réfléchie Sumire.. réfléchie, déjà qui pourrait être derrière tout ça, elle ne voyait pas. Elle sortie un petit couteau, chose qu'elle avait toujours sur elle.. bizarre mais bon, après tout c'était Sumire.. La lycéenne commença à tuer les cafards, de toute façon tant que personne n'avait un plan de sauvetage, elles devraient rester là, toutes les quatre.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Mar 23 Juin - 20:51

Marya à entendu, certe ... mais elle est toujours en mode veille :

Ne pas déranger, ne pas toucher à l'unité centrale.

Car cette fille, elle venait de dire "Oups, excuse-moi, c'est vrai que tu ..."

D'où connaissait-elle Marya ? A coup sûre, si elle l'avait ne serait-ce que croisée, ou quand bien même aurait juste entendue parler d'elle, elle s'en serait souvenu. Alors, qui était cette fille qui maintenant s'amuser à détruire les pauvres petits cafards ? Marya ne pouvait pas lui sortir que c'était des être vivant, elle venait d'ne bousiller un juste devant elles alors ...

Recupération ... 15%. Energie totale 80%. Possibilitée d'utilisation maximale imédiate, 63%.

C'était donc évidement qu'elle avait entendue parler d'elle, et que mine de rien elle en savait assez sur elle pour se permetre de la vanner ... Tu vien de faire un grosse erreur ...

-Namae.
[nom]

Entre Miss Je-sais-tout-et-je-amssacre-des-cafar-à-coup-de-couteau et Armes-ineficaces-et-Ipod-dans-une-classe-sans-surveillance-où-passent-trente-dexu-élèves-Girl, il y avait Fille-noramle-c'est-à-dire-qui-cri-très-fort-en-voyant-des-insectes ... Admétez que ces surnoms n'était pas prononcable à haute voix, car un, c'était bien trop long, et deux, pas agréable à entendre ...
Il semblerai que si elles passaient toutes quatres la nuit ici en attendant qu'on veuille bien leur ouvrir, il vaudrait mieux éviter de les interppeller de la sorte ...

C'était parti pour les présentations ... Les cafards mis à part ...

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Mer 24 Juin - 17:33

Perchée sur son son bureau, Mai avait allumé son i-pod et écoutait de la musique tout en veillant à ce que les insectes ne l'envahisse pas trop. Plongée dans ses pensées, elle sursauta tout de même en entendant un cri strident qui couvrit carrément sa musique.

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!! »

La demoiselle en question s'agitait dans tout les sens en tentant d'échapper aux cafards de plus en plus nombreux. Mai soupira, éteignit son appareil et le rangea soigneusement tout en ôtant quelques insectes qui s'aventuraient curieusement sur son avant-bras droite.

-Voyons Akatsuki.. tu ne connais pas l'humour?

Demanda alors la fille aux cheveux gris qui semblait bien moqueuse.

-Oups.. excuse-moi, c'est vraie que tu ne connais pas l'humour.

Mai en déduisit que la Akatsuki était la fille aux cheveux blancs. Rien de surprenant, en fait. En tout cas, elle ignora royalement l'autre nana qui ne semblait attendre qu'une chose : qu'elle riposte.

*Pathétique...*

Fut la seule pensée de la collégienne à ce moment précis. Elles étaient toutes dans une sacré galère, mais non, elle préférait chercher des noises aux autres. N'importe quoi, vraiment !

-Namae.

La jeune fille ne répondit pas tout de suite. Elle ne souhaitait pas forcément se "présenter" aux autres, mais réflexion faite, ça pourrait devenir utile pour la suite des évènements qui se présentaient on ne peut plus périlleux.

-Mai.

Dit-elle sur un ton indescriptible. La collégienne leva alors son pistolet et d'un coup tira en direction de la porte. Cette fois, la balle était sortie du flingue, mais avait rebondi sur la cible avant de tomber sur le sol et se transformer en pic de glace, tuant aux passages quelques indésirables. Ca la rassurait dans un sens parce qu'au moins ça prouvait que ce n'était pas son don qui était affecté, mais bien l'endroit qui avait un souci...

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm Lun 24 Aoû - 0:15

Des cafards.. des cafards, des cafards. Un de tué. Et puis quelques autres qui suivirent le même sort. Ecrasé, applati, dans un grésillement insupportable. Enfin qu'importe... un de tué, dix de retrouvés? C'était un peu le cas, car les cafards se faisaient de plus en plus nombreux, comme s'ils voulaient envahir et prendre possession de la salle. Bientôt, la salle allait être innondée de ces bestioles pas très agréables à regarder.
Mais après quelques secondes, elles commençaient à disparaître du sol. Méfiez-vous, ce n'est pas non plus très bon signe... Car voilà que ces cafards s'assemblaient, pour ne plus devenir qu'une seule, et énoooooorme bête, presqu'un monstre. Oui, c'est exactement ce qui arrive toujours dans les livres de fictions, un grand classique après tout : cela devient ridicule, inintéressant, incrédible de toute manière.. Mais et si vous étiez face à une si grande bête? Et comme si ce n'était pas suffisant, la bête est violente, très violente... Pourtant, il va falloir la tuer avant de pouvoir s'échapper de cette salle de cours.

Sujet: Re: Un soir; 11:32 pm