Takuetsu no gakuen
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Takuetsu no gakuen


 
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Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ...

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Amamiku Matsuri
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Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Vide
MessageSujet: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyMar 5 Mai - 19:13

Matsuri se trouvait dans le car. Elle avait été nommée responsable du voyage. Pas vraiment étonnant cela dit, car il fallait bien pouvoir défendre le car en cas d'attaque extérieure, bien que la plupârt des SA fassent partie du voyage. Il était tôt, la journée s'annonçait merveilleuse et ensoleillée. Bref, un temps où l'on aurait plus envie d'être déjà arrivé plutôt que d'être levé aux aurores et assis-allongé dans un bus, dans une position plus qu'inconfortable. La plupart des élèves ne dormaient d'ailleurs pas, trop excités à l'idée de l'endroit où ils passeraient leurs grandes vacances : une île privée au climat tropiqual une eau bleau turquoise, et du farniente à volonté ... ou alors juste parce que le bus était inconfortable ? Peut-être un peu des deux.

Le voyage s'annonçait agréable. Le chauffeur avait mis une radio plutôt branchée juste suffisemment fort pour qu'on puisse entendre sans que ce soit énervant. Les petites soufflettes au-dessus des sièges avaient été activées, car le pâle soleil matinal qui tremblait loin à l'horizon promettait de brûler avec effervescencce quelques heures plus tard.

Sauf que ...

A environ 100 km de Takuetsu, à une heure de route, Matsuri alla voir le chauffeur et lui chuchota quelques mots à l'oreille. Il hocha la tête. Elle retourna ensuite plus près des élèves, se positionna au centre de l'allée, bien en vue de tous, et parla d'une voix forte et claire afin d'être entendue de tout le monde.

- Nous allons nous arrêter sur une aire de repos pour que vous puissiez grignoter des petits trucs si vous avez faim, et aller aux toilettes si besoin est. Ceci dit, j'aimerais autant que possible que vous restiez groupés par 2 ou 3, voire plus, car on ne sait jamais qui il y a. Je demanderais en particulier aux plus agés de bien vouloir m'aider en surveillant les plus petits.

Chose étrange, son regard s'arrêta à ce moment sur 4 personnes. 4 visages dont le coeur venait soudain de se serrer lorsqu'ils avaint croisés les yeux oceans du professeur. Des yeux teintés très légèrement de compassion. Rien d'anormal au premier regard, sauf pour eux. Eux savaient ce qui allait suivre. Pourtant, ils ne pouvaient rien faire. Et même prévenir les autres, ce qu'ils n'auraient jamais pensé à faire, ce serait révélé inutile à ce point-là. La chose fut encore plus étrange lorsque son regard glissa sur une cinquième personne que, d'habitude, elle evitait soigneusement.

Alors que le chauffeur ralentissait pour se glisser sur la bretelle de sortie, Matsuri retourna devant vers son siège, près de la porte, et porta un objet qu'elle avait sur son sac à sa bouche. Une sorte de petite bulle de plastique. A ce moment, la porte du bus s'ouvrit. Des hommes en noir provenant d'une voiture qui s'était soudainement rapprochée du bus envahirent l'intérieur du vehicule, tout en balançant des gazs soporifiques à effet rapides, presqu'instantanné. En très peu de temps, les élèves étaient tous endormis. Le chauffeur fut rapidement évacué, et un des envahisseurs pris sa place. Matsuri n'avait pas bougé. Elle regardait les élèves dormir.

La route repris. La destination changea.

/////////////////////////////

Peu à peu, les élèves reprenaient connaissance. Assise sur un coin du bureau, Matsuri, en kimono chinois rouge eclatant, chignon egalement chinois, les regardait, son habituel sourire ironique au coin des lèvres, le visage impénétrable. Elle attendait patiemment que tous les élèves se soient réveillés pour se metrre en mouvement. Le bruissement soyeux de son kimono lorsqu'elle se leva fit taire instantanément toutes les conversations. L'attention fut automatiquement captée sur elle. Elle se plaça au centre de l'estrade aménagée dans la salle.

Car le lieu où ils se trouvaient n'étaient autre qu'une salle paraissant assez vetuste, aménagée rapidement en salle de classe improvisée. Un peu plus grande cependant qu'une salle de cours normale, elle contenait aisément les élèves du voyage. La salle était lumineuse grâce à une rangée de fenêtres sur la gauche. Plusieurs lampes étaient présentes, bien qu'éteintes (cela dit, on ne savait pas si elles se seraient allumées le cas echéant) car le soleil était déjà - ou encore ? - assez haut dans le ciel. Ils n'avaient en effet aucune idée du temps qu'ils avaient passés endormis.

Elle frappa dans ses mains, faisant sursauter plusieurs élèves, et se mit à parler d'une voix clairement audible et en apparence assez neutre, avec une petite pointe de joie en arrière fond, difficile à capter pour toute personne non extrêmement attentive.

- Bonjour très chers élèves ! Je suis ravie de vous accueillir ici. Quelques uns me connaissent déjà, pour les autres, permettez-moi de me présenter. Je suis Melle Amamiku, ou Amamiku-sensei. Professeur des SA. Ou plutôt devrais-je dire, "ancien" professeur, car je ne le suis plus. J'ai décidé de partir. Je vous expliquerais bien les raisons de mon depart, mais je suis pressée par le temps, je dois en effet rencontrer dans peu de temps mon nouvel employeur, un grand industriel chinois, et je ne voudrais pas être en retard ... Mais vous vous demandez sans doute ce que vous faites là. C'est très simple. On m'a demandé d'emmener avec moi le meilleur de l'académie. Pour cela, je vais organiser un petit jeu auquel vous allez tous participer.

Elle laissa planer un silence pesant, lourd de sous-entendus. Pas un mot. Mais bientot, cela changerait du tout au tout. elle entendait déjà les cris de protestations qui allaient s'élever contre elle. Mais peu importait. Elle avait son metier à faire. Et elle allait le faire.

- Maintenant, laissez-moi vous expliquer les règles de ce petit jeu, d'accord ? Elles sont on ne peut plus simples. Vous allez vous entr-tuer, voilà tout. Aucune pénalité. Seul le dernier survivant aura l'honneur de venir avec moi et l'immense privilège de vivre encore. N'est-ce pas magnifique ? Je sais, certains d'entre vous doivent trouver ces règles bien décevantes, mais la vie est parfois faite d'imprevus qui pimentent le quotidien ... Il faut toujours se tenir sur ses gardes ...

Elle fit signe à un des hommes en noir que personne n'avait remarqué. Plutôt grand et mince, il s'approcha avec un grand sac donc il ouvrit la fermeture eclair qui le fermait, laissant apparaitre d'autres sacs, plus petits.

- Dans quelques minutes, vous allez sortir d'ici un par un. Juste avant, nous vous remettrons un sac dans lequel vous trouverez de l'eau et de la nourriture, en quantité limitée. Vous découvrirez également une arme. Chaque sac en contient une différente des autres, car chacun ayant des dispositions naturelles particulières, j'ai décidé de pallier ces différences par un élément aléatoire. Je donnerais les sacs au hasard, en prenant le premier de la pile à celui qui se présentera. Votre paquetage contient egalement une boussole et une carte de l'usine. Oui, je ne vous l'avais pas dit ? Comme terrain de jeu, j'ai choisi cette ancienne fabrique d'arme abandonnée dans les années 50 car elle n'était plus conforme aux règles de sécurité ...

Elle fit un grand sourire.

- Soyez donc prudent en vous déplaçant ! L'usine s'étend environ sur 1ha, elle est entourée d'une epaisse foret, coupée du monde, et donc, j'ai le regret de vous dire que vos portables ne vous serviront à rien. Nous sommes actuellement dans la salle de gestion des machines, dans le batiment principal, et accessoirement l'unique du terrain. Je m'y tiendrai en permanence, mais n'essayez même pas de vous en approchez pour une simple et bonne raison, celle qui se trouve autour de votre cou.

Etonné, les élèves commencèrent à tater leur cou autour duquel avait été placé un collier couleur argent. Lisse, plutôt léger, il se faisait très discret. Oubliable.

- Ce collier n'est pas retirable, quel que soit votre don. Il nous informe en temps réel de votre état de santé, et de votre position. Dès que vous serez sortis, il sera programmé pour exploser lorsque vous vous approcherez à moins de 5 mètres de cette zone. Je vous laisse imaginer à quoi vous ressembleriez ... Bref, l'usine est divisée en 6 zones, 3 extérieures, 3 intérieures. Vous serez répartis au hasard chacun au départ entre l'intérieur et l'extérieur, mais sachez que vous êtes libres de vous déplacer où vous voulez quand vous le voulez. Ceci dit, regulièrement, des zones vous deviendront interdites, vous serez prévenus quelques heures avant. Je vous conseille alors de déguerpir vite, car sinon ...

Elle pris son temps pour faire durer le malaise ...

- ... BOUM ! Plus d'élève ! Il y a un troisième cas où le collier explose ... C'est si personne n'est tué au bout de 24 heures. Dans ce cas, TOUS les colliers exploseront ... et plus de survivant ... mais tant pis, après tout, c'est une offre qui m'est proposée, je ne suis pas obligée de prendre un élève. Voyez-vous, je n'ai pas que ça à faire d'attendre, alors j'instaure cette règle. Mais personnellement, je la trouve inutile. Je suis sûre que parmi vous, il y a déjà des élèves motivés ... N'est-ce pas ?

Elle sourit, augmentant le malaise de la classe. Déjà, des regards en coin se faisaient ressentir. Ils se soupçonnaient. C'était le but, cela dit. Elle n'était pas mécontente de l'effet produit ...

- Des questions ?

[hrp : Ce "pavé" n'est pas très dur à lire, alors merci de le lire en entier car il contient les règles du jeu. De plus, à la suite de la lecture de ce message, vous êtes considérés comme ayant accepté les règles de l'intrigue, notées ici. Tout manquement de respect à ces règles se verra sanctionné d'une disqualification immédiate.

A la suite de ce message, vous êtres priés de poster en lançant les 2 dés (BR et inter/exter), cela afin de gagner du temps tout simplement. Si vous ne savez pas comment marche le lancé de dé, un membre du staff se fera un plaisir de vous l'expliquer en MP ...

Le post peut ne faire que quelques lignes, bien qu'il soit propice à d'autres pavés, mais je vous demanderais de ne pas prendre d'initiative. Les sacs seront donnés dans un autre post :
NE PRENEZ PAS LE VOTRE.
Merci de vous limiter à des réactions, ou des actions peu importantes.

Si vous avez une quelconque question que vous vous posez IRP, postez-là dans votre message. Si cette question concerne l'IRL, de même, MP un membre du staff qui vous l'expliquera.]

[pour lancer le dé, allez dans option en dessous de "prvisialisation" et clicker sur "ext-int' pour le premier lancé. Puis "ajoutez un lancer" et pour le second clickez sur "BR". Laissez faire un post se créera automatqiement.]
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 19:11

Shinji eut des frissons dés la fin du message de Matsuri... Comment est-ce possible de créer un truc pareil? Ils veulent tuer tous les élèves de l'académie, c'est ignoble!!! Malgré cela, il ne pouvait faire autre chose que suivre son propre destin, c'est à dire d'éliminer toutes les personnes qui sont en ce lieu. Pour lui, ce sera un défit d'un ampleur qu'il ne connait encore. Il devra pour sa propre survie, éliminer Yuka, Ayumi, Atsushi et pire encore... Keiko. Il sentait en lui que ce serait un jour qu'il va détester plus que tout comme étant celui de sa mort mais aussi celui où il sera le plus traitre. Traitrise envers tous ses compagnons d'académie. Il sentait en lui que ce jour sera noté dans les annal comme était le jour où les élèves de l'académie Takuestu seront tous morts dans des souffrances inimaginables. La pire de tous sera la traitrise mais Shinji savait au fond de lui qu'il y aurait aussi de la torture.

Shinji se doutait que le collier qu'il avait autour du cou ne se délivrerai pas facilement. Il se doute même qu'il soit indestructible vu le métal utilisé qu'il ne peut reconnaître. Néanmoins, il savait aussi que ce collier était la pire de toutes les armes qu'il y aurait dans cette usine. Elle détruirait tout le monde, toutes les personnes qui se trouvait en ces lieux. C'est assez flippant comme situation.

Il regarda autour de lui, regardant une dernière fois chaque visage. Il savait que ce serait la dernière fois qu'il les verrait et qu'il les côtoyait. Au fond de lui, une immense tristesse jouait de toute son émotion, comme si la terre allait cesser d'exister pour de bon. Il sait que la mort est au bout de ce voyage, il le sait très bien. Il se doute fort que le gagnant s'en sorte indemne. Comme si Matsuri allait tout faire pour garder le meilleur. C'est une prof sadique, elle ne peut se satisfaire d'un gagnant. Allait-elle le changer en monstre? Ou alors lui donner une chance de rester à ses côtés pour la protéger? Deviendrions-nous des esclaves de toute cette organisation? Est-ce un test? Une blague?

Shinji sentit ses nerfs lâcher. Pour la deuxième fois de sa vie, il sentait que le monde disparaissait autour de lui. Il savait éperdument que tout était fini. La première fois avait lieu à l'annonce de la disparition de ses parents. Pour lui, tout était fini, il n'avait plus aucune raison de vivre. Il était en dépression alors qu'il ne connaissait même pas le mot, à cet age-là, on ne se rend pas compte de tout mais lui, il était lucide et c'était rendu compte de l'atrocité qui s'était passé en lui.

Il se retourna une dernière fois vers ses compatriotes, le regard remplit de larmes et de peur. Il repensait à toute la nostalgie des temps passés. Les premières missions où il ne s'était pas amusé car il devait tuer des personnes. Mais il faut avouer une chose, il y trouvait parfois du plaisir, surtout quand la cible est en faite un trafiquant d'arme qui tue des innocents à coup de balles dans la tête... Bref, la nostalgie des temps passés resurgissait en lui. La première personne qu'il reconnu parmi toute cette foule d'élèves fut Atsushi Ootani. Il eut un léger sourire, repensant à sa rencontre avec le jeune garçon quand il était tout jeune. Il repensait à tous ces jeux qu'ils pratiquaient, dans le genre gendarme et voleur. Le bon vieux temps de l'insouciance. Il repensait aux nombreuses fois où ils jouaient aux héros de bandes-dessinées. Où ils essayaient d'éliminer l'homme oiseau qui n'était qu'en faite un bête pigeon qui se nourrissait des morceaux de pain lancés par une vieille dame. Ou encore l'incroyable homme-gluant, qu'il reconnaissait par son poids trop élevé ainsi que par sa peau, toute lourde qui tombait par l'attraction terrestre. Que de beaux moments passés à faire les fous dans un parc aux milles et une couleurs. C'étaient les belles couleurs du printemps qui l'attirait pour jouer dehors. Il regarda une dernière fois Atsushi. Au revoir pensa le jeune homme, mais il n'osa pas lui dire de peur de fondre en larmes devant tous ses compatriotes. Il chercha ensuite une nouvelle personne qu'il reconnaissait. Il trouva non loin du jeune homme Yuka Kunimoto. Ah son premier amour secret. Il était comme ébahit à chaque moment qu'il passait avec elle. Le savait-elle? Je ne peux le dire puisqu'il ne lui a jamais dévoilé. Serait-ce de la timidité? Ou alors une peur du futur? Je ne sais le dire. Il sentait, grâce à elle, toute une joie de vivre. Mais aujourd'hui, il ne sentait plus rien. Le désespoir le ronge plus que toutes ses autres préoccupations. Il se rappelait de sa rencontre avec Yuka, dans le même parc que celui dans lequel Atsushi et Shinji s'était rencontré. C'était un beau moment. Ils étaient devenus le groupe des trois, se réunissant le plus possible, le plus tôt pour jouer un maximum ensemble. C'étaient des beaux moments qu'il ne voudrait jamais oublier. Mais est-ce que la mort fait tout oublier? C'est une question sans réponse qui ne pourra s'éclaircir qu'au moment où son coeur lâchera. Il lui dit au revoir, enfin dans son esprit. Espérons que la télépathie marche avec eux. Sinon, il est mal barré. Il passa à la personne suivante, Ayumi Lovely. Il n'arrivait pas facilement à s'entendre avec elle. Elle semblait être désespérée par les deux jeunes hommes mais elle arrivait à mieux s'entendre avec Atsushi qu'avec Shinji. Le pauvre, il l'aimait bien aussi. Mais le destin à voulut que tout change. La première image qui lui revint à l'esprit était la première ''réunion'' du Jiyuu. Je mets entre guillemets car c'était dans sa chambre et ce n'était que le projet et toute cette instigation. Que de beaux souvenirs... Il lui dit au revoir, toujours par télépathie, de peur de fondre en larmes. Il passa ensuite à la personne en qui il comptait le plus. Keiko Kohana. Il eut un sourire, il voulait aller l'embrasser une dernière fois mais il craignait une situation pire que celle déjà présente. Il préféra donc garder ses distances. Il repensa à ce beau jour où il la rencontra dans une cafétéria, où il lui renversa de l'eau et l'aida à sécher toutes ses affaire mouillées. Mais surtout, c'est son premier baiser qui lui revint en tête, le plaisir des deux lèvres, l'une contre l'autre. Ou encore le jour où il dut la sauver d'un homme qui voulait l'agresser. Une journée bien difficile pour lui mais il en garda un bon souvenir, vu le happy end. Il lui fit un baiser volant, tout en laissant couler une larme sur la joue droite. Il pensa aussi à tous les jours où la jeune fille passa quand il était à l'infirmerie. C'est grâce à elle qu'il se sentait bien dans cette chambre. Sinon, il n'aurait que broyer du noir. Il lui doit tout ce bonheur pendant cette période difficile. Il passa ensuite à Megumi Matsukaze. La personne qui lui sauva la vie, sans elle, il serait un tas de cendre dans une salle de combat. C'est triste à dire mais c'est la vérité. Il revivait la scène dans sa tête, comme si tout ce qui s'était passé était en train de ce faire devant ses yeux. Du début du combat à la crise de folie, le jeune homme pouvait tout voir en tant que spectateur. Il trouva la scène plutôt violente. Il repensa aussi aux nombreux arrêts cardiaques que le jeune homme eut au cour de ces journées. Il y voyait comme un signe du destin, le nombre d'arrêts cardiaque qu'il a eut mais il en est sortit vivant. Tout cela lui semblait être un signe. Comme s'il était devenu invincible, avec un souffle divin qui le protège de toute attaque. Il deviendrait invincible aux yeux de tous. Ou alors c'était juste de la chance.


Dernière édition par Shinji Gerard le Dim 10 Mai - 21:33, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 19:11

Le membre 'Shinji Gerard' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

#1 'battle royal' :
Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... 090331072010623443405487

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#2 'inter/ext' :
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 20:32

Un voyage de rêve? De l'enfer plutôt. en plus, si c'est l'autre tordue qui est chargée des élèves... Ce serait surprenant de visiter une île paradisiaque. Malgré ses doutes sur leur destinations, Koro ne pouvait pas refuser. Au pire, elle se cacherait et attendrait que ça se passe. Elle savait très bien que ce ne serait pas de superbes vacances; Elle en savait bien assez pour s'enfuir au premier trucs suspect. en fait, le plus suspect est sans doute la sérénité qui régnait dans le bus.

Evidement, personne ne pouvait se douter de ce qui allait leur arriver, même pas elle. Mais connaissant la prof des SA, il faut s'attendre à tout. Elle s'assit donc dans le bus en soupirant. Vacances de rêves ou de cauchemars? Bof, pourquoi chercher à savoir, elle finirait bien par connaitre le but de ce voyage. C'est sur cette idée qu'elle ferma les yeux. Dormir ne lui fera pas de mal. Enfin, espérons le.

A son réveil, changement de décor, mais pas de prof. Quel dommage qu'elle en se soit pas perdue en cours de route. Tiens, elle s'était changée. Ces vêtements lui allaient très bien. Mais de toute façon, ce ne sont pas des buts de tissus qui vont changer quelqu'un. Elle était toujours aussi dangereuse, même sapée comme ça.

L'endroit où Koro se trouvait n'était plus un bus. C'était... Euh, un salle, avec une estrade et une prof. C'est déjà ça...
Matsuri se mit a parler... Tant mieux, faut qu'elle réveille ceux qui dorment encore. Elle s'en va. Quel chance. Dommage que Koro se retrouve ici. Un petit jeu hein? Et quel genre de jeu? Koro se leva et jeta un coup d'œil dans la salle. Si elle avait envie de semer le doute parmi les élèves, elle avait réussit.

Matsuri commença ses petites explications. A, quand même, ce n'était pas rien. Tuer ses compagnons. Marrant. Elle allait bien s'amuser on dirait.Tuer, et avoir des armes au hasard... Noon, pas le hasard, elle à aucune chance elle... Une fourchette serait déjà suffisante pour sa pauvre chance.

Matsuri continua ses explications. Au fur et à mesure, Koro comprenait que c'était rudement bien pensé. Impossible donc de tourner les talons. Dommage, elel se serait bien enfui. les proies sont prises au piège. Matsuri avait le pouvoir de faire vivre et mourir comme bon lui semble. Bizarrement, ce rôle lui allait à ravir.

L'attention de Koro ce porta sur ce collier. il était pas très beau. Quand même, ils auraient pu faire un effort sur la déco. ne serait ce que pour donner un peu de couleur dans un avenir tout tracé. Koro le tata un peu, pour voir s'il y avait une chance de l'enlever. En même temps, c'était trop bien pensé pour qu'il y est une faille. Mais ça vaut le coup de chercher.

Elle nota avec joie à quel point le hasard avait une importance ici. manque de pot pour elle, la chance, c'est pas son fort. Et ici, elle aurait peu de chance de survivre. Espérons seulement qu'elle tomberas sur une bonne arme, sinon, il ne lui reste plus qu'à se cacher dans les arbres pour zieuter les gens et jouer à la conscience (si jamais elle ne tombe pas de son arbre).

Matsuri s'arrête enfin. Elle avait l'air contente de faire boum. koro jeta vite fais un coup d'œil dans la salle. Keiko, Yuka, Ayumi et, Nakao... Espérons que la chance de les mettras pas au même endroit qu'elle. Elle se vois mal tuer des gens qu'elle aime bien. Peut être qu'au fond, elle ferais mieux de mourir de suite. Mais elle 'irait pas non plus au suicide. Ce serais stupide de le faire... Allez, on verra avec le temps, quoique le temps est maintenant un ennemis...

Alors, Chance ou pas?


Dernière édition par Koro Niwa le Dim 10 Mai - 20:54, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 20:32

Le membre 'Koro Niwa' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

#1 'battle royal' :
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#2 'inter/ext' :
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 20:52

Day -7
Un simple voyage scolaire pour permettre l’intégration des élèves. Voilà le seul descriptif qu’on avait donné à Ishiro quand il vint demander quel était ce séjour auquel on l’avait inscrit. Ile paradisiaque, l’océan, un soleil continu. Cela aurait pu paraître idyllique pour une grande majorité de personne mais pour le jeune homme au cheveux rouges sang, ce n’était qu’une contrainte de plus, une obligation aussi futile que débile qu’on lui imposait.
Certes, je n’aurais pas la mauvaise foi de dire qu’Ishiro est la personne la plus intégrée au sein de Takuetsu – peut être était-il même l’exact opposé – mais on peut dire avec une certaine certitude qu’avec ou sans le voyage, cela ne changerait rien à la vision qu’avait Idogawa des autres étudiants ou élèves : des personnes superficielles, se reposant trop sur leurs dons et très souvent imbues de leur personne. Aussitôt, dans la tête de l’élémentaire, le visage de tous les élèves de SA dont le nom figuraient sur la liste des participants – désignés volontaires – allait se rattacher à cette notion de sentiment de supériorité déplacé. Mais cette vision semblait s’altérer dans son esprit.
En effet, ce que l’on pouvait qualifier de ‘rencontre tonique’ avec Yuka Kunimoto avait grandement changé l’opinion qu’avait Ishiro de certains SA….pas tous évidemment mais certains. Peut-être certains n’étaient-ils pas imbus d’eux même mais juste complètement détachés de ce qui les entourent…détachés comme...comme…oui, comme Ishiro l’était lui aussi à vrai dire. Mais Ishiro avait de bonnes raisons…….Je sais : explication quelque peu puérile mais le fait était que Ishiro les savaient différents en quelque chose et ce quelque chose en rendait certains plus que suffisant. Mais ne nous étendons pas sur de pareils choses car avec ou sans SA, le choix ne lui appartenait pas : Idogawa serait obligé d’aller dans ce lieu idyllique….quelle plaie !

Day –2

Seul dans la nouvelle chambre qui lui était alloué, Ishiro préparait ses bagages pour le départ en car qui approchait inexorablement. Il n’était pas pressé d’y aller, certes, mais cela n’empêche en rien d’être prévoyant qu’il l’avait toujours était, n’est ce pas ?
Dans les couloirs de l’université de Takuetsu, tous le regardait différemment depuis quelques jours : sur certains visages, on lisait de l’envie et sur d’autres, de la haine. Beaucoup aurait aimé être au milieu de toute cette attention, passer pour supérieur à ce qu’ils étaient et tant d’autres… Idogawa agissait bien différemment lui. Cette soudaine attention ne lui inspirait qu’une certaine haine envers les organisateur de soi-disant voyage d’intégration. Plus : son idée que les autres élèves étaient superficiels venait d’être confirmé. S’intéresser au voyage que d’autre allait faire était leur principale sujet de discussion – sujet que certains participants aimaient alimenter en détails divers et variés – n’était-il pas le parfait reflet de la futilité Takuetsienne ?
Quelques minutes suffirent et le sac fut prêt.

Day 1

Lever depuis sept heure du matin, Ishiro attendait avec les autres élèves la venue d’un bus qui se faisait tarder. Parmis les visages, pour certains extatiques, Ishiro en reconnus quelques uns mais notamment Kaoru et Yuka. Le voyage ne s’annonçait pas tout rose avec pareils co-participantes. Mais le regard du jeune Idogawa ne trahissait, comme à son habitude, aucune émotion. Ses yeux bleus métalliques scrutait l’horizon avec l’espoir de voir arriver très rapidement le bus dans lequel il pourrait bientôt prendre place et replonger dans un sommeil quasi-léthargique.
Le sommeil fut de très courte durée. Au bout d’une petite heure, à ce que pus en juger le jeune universitaire, une jeune femme qui ne pouvait être autre que l’accompagnatrice et titre, pris la parole pour annoncer une pose. ‘Déjà’ fut la première pensé qui traversa l’esprit du jeune homme et bientôt , il en vint à penser qu’avec pareils arrêts toutes les heures, ils mettraient deux fois plus de temps pour atteindre leur destination. Bienfait ou non ? Ishiro s’en fichait, du moment qu’on le laisse tranquille rattraper quelques heures de sommeil.
Bientôt, le bus prit une bretelle pour se diriger vers le probable ‘arrêt grignote’. Le moyen de transport ralentit puis s’arrêta complètement. Tandis que certains élèves se levé pour sortir, les portes s’ouvrirent, laissant entrer des hommes tout de noir vêtus lançant dans tous les coins du bus des sortes de grenades d’où s’échapper un panache de fumée bleutée. Un premier élève tomba, puis un second, les chutes s’enchaînèrent.
Les bracelets autour du bras du jeune homme à la chevelure rouge se mirent à tourner à un rythme effréné. Quand une grenade fut lancer dans sa direction, le jeune la réexpédia d’un regard…mais le mal était fait : les volutes soporifiques l’entourait. Quand son visage se cogna contre le sol et avant qu’il ne s’endorme, Ishiro remarqua le détail qui fit de sa tentative une attaque vaine : les agresseurs portaient tous un petit objet devant leur bouche les protégeant des gaz, la prof des SA avait le même.

Et …merde…



Le réveil se fait tout doucettement. Ishiro se retrouve dans ce qui s’avère être une salle de classe….non….une reconstitution de salle de classe.
Assis sur sa chaise, il regarde autour de lui les gens revenir a eux. L’énervement monte en lui. Ses yeux devinrent légèrement gris métallique et ses bracelets….restent immobiles ? Qu’est ce qu’il se passait ? En tant normal, quand Ishiro s’énerve, ses bracelet se mettent à se mouvoir comme se fut le cas dans le bus. Mais là, rien. Pas même un petit tressaillement.
Portant ses mains à ses comme c’est le cas lorsqu’il se met à réfléchir, ses doigt croisèrent en chemin un collier. C’est alors que la prof des SA commença ses explications.

Fin des explications. Ishiro songe sincèrement qu’il doit avoir le dessus sur ce qui semble être une frêle accompagnatrice mais son pouvoir à elle avait-il disparu aussi. Et quand bien même aurait-il maîtrisé la jeune femme, qu’est ce qui empêcherait les gars en noir de se jeter sur lui ?
Les élèves allaient devoir s’entre-tuer…
Ishiro leva la main et quand la professeur des SA lui accorda la paroles, le jeune Idogawa demanda :

Notre pouvoir ne marche pas ici. En sera-t-il de même dans le reste de l’entrepôt ?

Ce n’était pas que Ishiro se sentait sans défense sans son don : il était quand même le fils adoptif d’un grand professeur d’art martiaux mais il lui fallait savoir si les autres auraient l’occasion d’utiliser leurs dons contre lui.
Ishiro savait que ce voyage serait une plaie.


Dernière édition par Ishiro Idogawa le Dim 10 Mai - 20:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 20:52

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 21:09

Juste étendue sur une banquette, du mal à respirer par cet air malsain ... Vous savez ? Quand vous vous lever très tôt pour faire un voyage en car, avec beaucoup de monde autours ... Cet espèce de mal des transport en commun ... Ouais, Marya c'était un epu ça. Mais le pire ? C'était le bruit ; cette incessant bruit rhytmée, bien mal rhytmée par ces cris et ses discution tappageuses autours ainsi que cette musique potable qui passait à la radio.

-Use ... 'maetashi ... [Vos gueules, vous tous]

Lorsqu'elle entends la voix de cette femme si mature pour annoncer une pause, Marya respire un grand coup. Il était temps. Sauf qu'a ce moment là ...

Respirer deviens de plus en plus difficle, comme un poid presque solide qui vous entre dans la bouche, le nez et la gorge, puis se répend lourdement dans vos bronche. Le corps reffuse de faire un mouvement de plus, les eyux commance à nous démanger, on à même plus la force de fermer les paupoière ; elles s'executent non par notre ordre, mias par celui de la gravité et du subconciens.

Lorsque Marya se reveille, elle n'ouvre pas tout de suite les yeux. Elle sens quelque chose de geler, plus froid que son ras-de-cou sur son artère. Elle lève la main et constate un nouveau collier ; elle entends le grissillement numérique raisonner de l'objet inconu.

Soudain, alors qu'elle était rester allonger et que les élèves s'étaient mis à parler, une femme en tenue traditionnelle chinoise qulinquante (celle qui était dans le bus en réalitée, ayant changer de toilette) pris la parole ; le son de sa voix la dégouta ; une joie sadique raisonnait jusque dans le coeur.

- Bonjour très chers élèves ! Je suis ravie de vous accueillir ici. Quelques uns me connaissent déjà, pour les autres, permettez-moi de me présenter. Je suis Melle Amamiku, ou Amamiku-sensei. Professeur des SA. Ou plutôt devrais-je dire, "ancien" professeur, car je ne le suis plus. J'ai décidé de partir. Je vous expliquerais bien les raisons de mon depart, mais je suis pressée par le temps, je dois en effet rencontrer dans peu de temps mon nouvel employeur, un grand industriel chinois, et je ne voudrais pas être en retard ... Mais vous vous demandez sans doute ce que vous faites là. C'est très simple. On m'a demandé d'emmener avec moi le meilleur de l'académie. Pour cela, je vais organiser un petit jeu auquel vous allez tous participer.

Nandesuka sore ...

[c'est quoi ça]

Elle laissa volontairement un silence de mort peser sur tous, dans cette pièce fort peu interessante à décrir des yeux, pourtant étonamment grande.

- Maintenant, laissez-moi vous expliquer les règles de ce petit jeu, d'accord ? Elles sont on ne peut plus simples. Vous allez vous entr-tuer, voilà tout. Aucune pénalité. Seul le dernier survivant aura l'honneur de venir avec moi et l'immense privilège de vivre encore. N'est-ce pas magnifique ? Je sais, certains d'entre vous doivent trouver ces règles bien décevantes, mais la vie est parfois faite d'imprevus qui pimentent le quotidien ... Il faut toujours se tenir sur ses gardes ...

Sadique.


C'était le seul mot pour décrire ça ; c'était encore pire que le directeur lui-même ; quoique, si ça se trouve, il est de mêche.

Un des fammeux hommes en noir de Taku s'avança, porteur d'un sac contenant cdes élément mous ainsi que des objets au moins partièlemment métalique d'après ce que pouvait entendre Marya.

Ça sent pas bon ...


- Dans quelques minutes, vous allez sortir d'ici un par un. Juste avant, nous vous remettrons un sac dans lequel vous trouverez de l'eau et de la nourriture, en quantité limitée. Vous découvrirez également une arme. Chaque sac en contient une différente des autres, car chacun ayant des dispositions naturelles particulières, j'ai décidé de pallier ces différences par un élément aléatoire. Je donnerais les sacs au hasard, en prenant le premier de la pile à celui qui se présentera. Votre paquetage contient egalement une boussole et une carte de l'usine. Oui, je ne vous l'avais pas dit ? Comme terrain de jeu, j'ai choisi cette ancienne fabrique d'arme abandonnée dans les années 50 car elle n'était plus conforme aux règles de sécurité ...

Marya avala sa salive, regarda du coin de l'oeil ses futurs ennemis. Elle regarda le visage de Amamiku ; un sourir à la limite du sadisme, effectivement, s'étendait de manière douce et tendre sur son visage d'une beautée bien trop effrayante pour être soit bonne soit vraiment réelle.

- Soyez donc prudent en vous déplaçant ! L'usine s'étend environ sur 1ha, elle est entourée d'une epaisse foret, coupée du monde, et donc, j'ai le regret de vous dire que vos portables ne vous serviront à rien. Nous sommes actuellement dans la salle de gestion des machines, dans le batiment principal, et accessoirement l'unique du terrain. Je m'y tiendrai en permanence, mais n'essayez même pas de vous en approchez pour une simple et bonne raison, celle qui se trouve autour de votre cou.

Marya ne pris pas la peine d'agir come tout les autre par reflexe ; ce bruit agacant suiffisait à lui rappelr la présence de quelque chose d'anormale autours de ce qui servait à soutenir sa tête ...

- Ce collier n'est pas retirable, quel que soit votre don.

Effectivement, c'était beaucoup trop risquer de se faire sautter la nuque ou les cervicales pour retirer cet objet dont la composition étaient inconue ; le sucide, elle avait décider que non, c'était pas le moment ; plus tard, plus tard ... Dès que Daiichi serait .... Comment pense rà Daiichi dans une situation pareille ? Elle allait mourir ! près d'une chance sur quarente étaient disponible pour survivre, et encore, ce ne serait même pas pour retourner auprès de Daiichi !

-Il nous informe en temps réel de votre état de santé, et de votre position. Dès que vous serez sortis, il sera programmé pour exploser lorsque vous vous approcherez à moins de 5 mètres de cette zone. Je vous laisse imaginer à quoi vous ressembleriez ... Bref, l'usine est divisée en 6 zones, 3 extérieures, 3 intérieures. Vous serez répartis au hasard chacun au départ entre l'intérieur et l'extérieur, mais sachez que vous êtes libres de vous déplacer où vous voulez quand vous le voulez. Ceci dit, regulièrement, des zones vous deviendront interdites, vous serez prévenus quelques heures avant. Je vous conseille alors de déguerpir vite, car sinon ...

Sans blague espèce d'allumée !

- ... BOUM ! Plus d'élève ! Il y a un troisième cas où le collier explose ... C'est si personne n'est tué au bout de 24 heures. Dans ce cas, TOUS les colliers exploseront ... et plus de survivant ... mais tant pis, après tout, c'est une offre qui m'est proposée, je ne suis pas obligée de prendre un élève. Voyez-vous, je n'ai pas que ça à faire d'attendre, alors j'instaure cette règle. Mais personnellement, je la trouve inutile. Je suis sûre que parmi vous, il y a déjà des élèves motivés ... N'est-ce pas ?

Tiens bha au moins, il y aurrait un mort ; vous pariez sur qui ? En tout cas, les dirlo ont gagnés.

- Des questions ?

Silence de mort.


Vous voyez Marya perdre le contrôle pour autre chose que Daiichi ? Voilà Marya sous son vrai jour. Marya qui ne ressent pas, qui pense. Tout n'est qu'un jeu de logique, parfois dédalle sans issue, tout n'est qu'un calcul pour peser le pour et le contre ... Et cela juque cette mort qui semblait tellement proche.

C'était fini ; Daiichi, elle ne le reverait plus jaamis, même si elle était vivante. Alors à quoi bon être vivante ? Surtout pour de nouveau soufrir des meutres qu'on s'était promis de ne pas comêtre, surtout seule ...

Les autres la regardait d'un air ou ébahi ou frustré. La regardait, car elle aprlait toujours sur ce ton morne, ce qui lui donnait un caractère d'accors total avec ce que venait de dire la femme sadique. Elle ne pouvait faire que ça maintenant ;

J'ai perdu ... Ok ... Il n'y a plus rien à faire de ma vie ...


Elle ne regarde pas devant elle, respire un grand coup. Soupir soupir.

Sayonara mina ... Daro ...


Dernière édition par Akatsuki Marya le Dim 10 Mai - 21:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 21:09

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 21:40

Un voyage de fin d'année dans une île paradisiaque. De quoi en faire rêver plus d'un...Même si il faut se lever aux aurores et se trouver dans un bus plus qu'inconfortable? Bah Haruna n'allait pas faire la difficile. Elle était assez contente de pouvoir partir se détendre pendant quelques jours. Même si c'était avec l'autre timbrée qui s'occupait de la SA. Pourquoi c'est cette prof qui a été choisie pour les surveiller, ça on l'ignore...Et on s'en fout... Et puis il faut croire qu'elle n'était pas si cruelle que ça vu qu'elle leur permis de descendre pour grignoter et se dégourdir les jambes. Une pause de cinq minutes mais qui serait quand même bien agréable. La jeune fille le pensait dur comme fer mais un bruit la tira de ses pensées. Des hommes en noir rentrèrent soudainement dans le bus, une sorte de masque à gaz devant le nez. Matsuri portait le même. Haruna s'apprêta à se lever, sentant la magouille mais elle retomba rapidement sur le siège abimé du bus dans un sommeil profond...

Dans quoi je me suis encore embarquée?

L'adolescente émergea doucement de sa torpeur. Elle trouvait le fauteuil sur lequel elle était assisse bien dur. Et quelque chose sur son cou la gênait plus que tout. Mais il fallait se rendre à l'évidence. Elle n'était pas sur un fauteuil et encore moins dans le bus. C'était une sorte de salle de classe beaucoup trop grande qui semblait être placé dans un batîment surement désafecté. La prof des SA, en kimono chinois, commença ses explications. De bien longues explications...

S'entretuer...Quel jeu drôle et distrayant...

De l'humour bien sûr. Sauf que là, Haruna n'avait pas du tout envie de rire. Elle allait devoir tuer des gens pour survivre. N'est-ce pas tout simplement horrible? Surtout quand certaines de ces personnes sont vos amis. Elle tourna la tête pour observer qui était là exactement. Même si elle ne les connaissait pas tous, elle ne pouvait pas imaginer une seule seconde pouvoir les éliminer pour sa propre survie. Des circonstances atténuantes mais une bonne dose d'égoïsme à la base. Et la jeune fille pensait que ce serait une mort lente et douloureuse, étant plus proche de la torture que de la mort...Aujourd'hui, sa vie allait s'arrêter car elle pensait bien ne pas sortir gagnante de ce jeu. Et voilà, elle n'avait pas eu le temps d'apprécier le fait d'être en vie qu'elle devait déjà y renoncer. Et quand bien même, elle survivrait...Comment peut-on vivre après avoir tuer un certain nombre de personnes dont certaines d'entres elles sont vos amis? Comment peut-on se relever d'une chose affreuse...

Haruna frôla de ces doigts le collier accroché à son cou. Mais non, impossible d'analyser quoique soit. Ni de définir ce qu'il y avait à l'intérieur à part un puissant explosif. Au moins, si elle n'arrivait pas à tuer quelqu'un, elle pourrait toujours se suicider...De toute façon, ils allaient tous mourir si personne n'était mort d'ici 24 heures. En fait, c'était un peu comme un film d'horreur hyper réaliste...Mais, justement, c'était vraiment réaliste. Et c'était le plus embêtant. Ils n'auraient pas de deuxième chance.

La jeune fille se concentra pour ne pas éclater en sanglots. Elle se mordit violemment la lèvre et prit sur elle. La situation était déjà assez tendue comme ça. Elle se prit le visage entre les mains pour réfléchir, tant qu'elle le pouvait. Quand le "jeu" serait lançé, tout ne serait plus que traque et finirait en bain de sang...En bref, une horreur sans nom. Donc, aucun échappatoire possible. Il fallait juste subir la folie de la professeur de la SA. Ah oui, au point où on en est, c'est même plus que de la folie...C'était même sûr...Matsuri était complètement frappadingue et vraiment, vraiment très sadique! Et impossible de perdre son calme sinon la situation ne ferait qu'empirer.
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 21:40

Le membre 'Haruna Yogachi' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:25

Sakura avait fait la pire erreur de sa vie. Elle n'avait que 10 ans pourtant elle en avait déjà commis beaucoup, enfin plutôt c'était la deuxième grosses erreurs qu'elle commettait, la première resterai à jamais et sans nulle doute d'avoir suivi son père ce jour là, quand elle avait 5 ans.

Elle était assise sur une des dernières banquette du car, elle ne pouvait s'empêcher de regarder les autres, chacun avait un regarde horrifier voir même empli de terreur, des murmures de désapprobation avait lieu tout autour d'elle, murmure car personne n'osait hurler son indignation d'être transformer en jouet pour le professeur de SA. Elle observait plusieurs personne regarder vivement le collier qu'elle sentait autour de son cou, ce n'était sûrement pas de l'argent ou de l'or, sa peau n'allait pas tarder à être mise à lourde épreuve. Les regards étaient fixés sur le bout de métal ou encore sur le sensei.
Sakura savait qu'elle n'aurait jamais eu la femme comme enseignant mais cela ne la motivé pas pour aller en cours. Car elle soupçonnait que la moitié des instructeurs devait être du même genre que Mitsuri, si ce n'était pas quasi la totalité bien entendu.

L'enfant restait plus ou moins calme tandis que les gens autour d'elle était soit tendu à l'extrême ou alors recroquevillé en boule. Elle donnait l'impression de se cacher puisqu'elle s'était mis dans un coin plus ou moins à l'ombre mais d'où le maître du jeu, devait quand même l'apercevoir. Serrant fort sa poupée dans ses bras, Sakura essayait de réfléchir à la situation. Son minois pourrait la sauver un certain temps, il n'y avait pas que des brutes sans coeur ici, ainsi il préférait plutôt tuer des gens plus dangereux qu'elle, puis on ne s'en prenait pas à un ''innocent'' facilement. Elle pourrait les éloignés et survivre un moment mais elle savait qu'elle ne ferait pas long feu. Autant jouer le jeu de l'adulte, voir combien de jour elle parviendrait à tenir avant de devoir rendre l'âme, après tout...cela faisait presque 6 ans maintenant que sa mort avait chaque fois été reportée, la faucheuse devait commencée à sérieusement s'impatientée.
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:25

Le membre 'Sakura Komatsu' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:34

Keiko comprenais que trop bien se qui se passait. Et c'était justement sa qui l'inquietait, c'était du délire total! Depuis quand on laché des élèves, de tout âge en plus, dans une usine avec pour seule consigne de s'entre tuer. Elle voulait juste faire un voyage, ce voyage était censé être agréable. En destination d'une île paradisiaque, mais biensure. Sa n'avait était écris nul part que leur bus se ferait arréter. Et que l'île merveilleuse en question, se trouvait être une vielle usine toute délabrée. En prime elle ne pourrait sans doute jamais revenir de ce voyage. Jamais plus elle ne retournerait à l'Académie. Quoique enfaite, sa ne lui manquerait pas, de plus cette prof avait l'air d'une vrai sadique. Si touts les professeurs devaient lui ressembler, rien ne lui manquerait. Rien venant de l'Académie du moins. Ils devraient tous mourir? Un seul survivant? Juste un, sur toutes les personnes ici. Elle se regarda un peu à droite à gauche pour essayer de compter combien ils étaient. Elle compta: cinq, dix, quinze... En tout trente-deux, l'équivalant d'une classe bien rempli. Un seul survivant parmis eux, et de plus si personne ne mourrait aujourd'hui ils finiraient par tous exploser avant la fin de la tombée de la nuit. Très appréçiable, pour une première journée d'arrivée en vacance.

Keiko ne voyait pas tellement de chance de survis dans cette petite compétition qu'avait organisée Matsuri. Elle soupira, cette prof Matsuri, venait de faire remarquer à touts les élèves la présence de collier autour de leur coups. Keiko porta la main à son coup, comme beaucoup d'autres autour d'elle. Elle sentit sous ses doigts un métal froid et lisse, elle les fits glissés tout le long. Essayant de trouver quelque chose, un défault ou quelque chose pour le retirer. Mais comme sa chère professeur l'avait dit quelques minutes avant, ils étaient sans faille. Nouveau soupire, sa en devenait angoissant. Elle n'avait pas encore cédée à la panique, espérant et croyant que d'ici quelques minutes Matsuri se mettrait à rire et leur annoncerait que c'était une blague. Mais pour l'instant rien ne venait, elle continuait son monologue, captivant tout le monde. Annonçant froidement la mort de chacun, sauf un. Elle parla de sac, qui contiendraient leur ration et une arme. Keiko espérait juste qu'elle serait la manier. Si tout aller devenir une question de chance, elle n'avait plus qu'a éspérée en avoir.

Elle finit enfin son discours, certains se mettaient à chuchotter et regarder autour d'eux. Keiko fit de même, elle reconnu quelques élèves. Et elle eu la nette impression que son coeur reçu des aiguilles glaciales qui le transperçait. Elle connaissait ces personnes, maintenant tous reliés par une même fin. Une chose était sur, elle ne voulait tuer aucun d'entre eux. Mais si elle ne devenait pas une tueuse, se serait elle qui se ferais tuer. Elle cherchait d'autres options, il devait surement y en avoir. Tuer ou se faire tuer, elle réfléchissait, il y avait une autre option. Il y avait toujours des alternatives, elle la trouverais.
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:34

Le membre 'Keiko Kohana' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:54

Tsukiyo se trouvait dans le car. Elle s'était levé tôt evoulait dormir un peu pour passer le temps. Malheuresement, comme chacun sait, les cars sont très, très inconfortable. Tsukiyo eu beau essayer mille et une poses, aucune ne lui convenait. Elle se résolut à ne pas dormir. Elle voulut proposer à son voisin de faire un jeu de carte, mais se rendit compte qu'elle n'en avait pas... Pour une fois, Tsukiyo regrettait d'être seule. C'était le premier voyage aussi long qu'elle faisait, elle ne savait pas commment s'occuper. Elle dessina alors plusieurs Chibi avec qui discuter. Cela l'occupa assez pour pouvoir ne pas pensé à l'incorfontabilité des sièges et à la musique pas super qui était en boucle depuis un bout de temp. Environ une heure plus tard, Matsuri, la prof' des SA, annonca alors que le car allait s'arréter pour prendre une petite pause.
Sitôt dit, sitôt fait, le car s'arrete et les portes s'ouvrent. Mais alors que Tsukiyo détachait sa ceinture, ce ne sont pas des personnes qui sortent, mais des adultent en noirs qui entrent et qui difusent un gaz qui, pour le grand bonheur, endormit tout le monde.


Plus tard...

Tsukiyo se réveille, elle a les yeux qui grattent. Elle ne se trouve plus dans le bus, mais dans une petite salle de cour. Sur une estrade se trouve Matsuri, qui prend rapidement la parole.

- Bonjour très chers élèves ! Je suis ravie de vous accueillir ici. Quelques uns me connaissent déjà, pour les autres, permettez-moi de me présenter. Je suis Melle Amamiku, ou Amamiku-sensei. Professeur des SA. Ou plutôt devrais-je dire, "ancien" professeur, car je ne le suis plus. J'ai décidé de partir. Je vous expliquerais bien les raisons de mon depart, mais je suis pressée par le temps, je dois en effet rencontrer dans peu de temps mon nouvel employeur, un grand industriel chinois, et je ne voudrais pas être en retard ... Mais vous vous demandez sans doute ce que vous faites là. C'est très simple. On m'a demandé d'emmener avec moi le meilleur de l'académie. Pour cela, je vais organiser un petit jeu auquel vous allez tous participer.

Grand silence... Tsukiyo se doute bien que ce jeu ne va pas être "je te tien, tu me tien, par la barbichette" mais, rien de ce qu'elle pouvait imaginé était à la hauteur du jeu de Matsuri.

- Maintenant, laissez-moi vous expliquer les règles de ce petit jeu, d'accord ? Elles sont on ne peut plus simples. Vous allez vous entr-tuer, voilà tout. Aucune pénalité. Seul le dernier survivant aura l'honneur de venir avec moi et l'immense privilège de vivre encore. N'est-ce pas magnifique ? Je sais, certains d'entre vous doivent trouver ces règles bien décevantes, mais la vie est parfois faite d'imprevus qui pimentent le quotidien ... Il faut toujours se tenir sur ses gardes ...

Tsukiyo eu un hoquet de surprise, s'entre-tuer? Cette femme était-elle malade?
Matsuri fit signe à un homme en noir que Tsukiyo n'avait pas remarqué. Celui-ci tenait dans ses mais un grand sac remplit de plus petits sacs.

- Dans quelques minutes, vous allez sortir d'ici un par un. Juste avant, nous vous remettrons un sac dans lequel vous trouverez de l'eau et de la nourriture, en quantité limitée. Vous découvrirez également une arme. Chaque sac en contient une différente des autres, car chacun ayant des dispositions naturelles particulières, j'ai décidé de pallier ces différences par un élément aléatoire. Je donnerais les sacs au hasard, en prenant le premier de la pile à celui qui se présentera. Votre paquetage contient egalement une boussole et une carte de l'usine. Oui, je ne vous l'avais pas dit ? Comme terrain de jeu, j'ai choisi cette ancienne fabrique d'arme abandonnée dans les années 50 car elle n'était plus conforme aux règles de sécurité ...

Tsukiyo eu un autre hoquet, non pas de surprise, mais de colère! L'usine était en plus non conforme au règle? Tsukiyo réalisa bien vite qu'elle allait mourir aujourd'hui, elle n'était pas capable de tuer des personnes!
Matsuri fit un grand sourire.

- Soyez donc prudent en vous déplaçant ! L'usine s'étend environ sur 1ha, elle est entourée d'une epaisse foret, coupée du monde, et donc, j'ai le regret de vous dire que vos portables ne vous serviront à rien. Nous sommes actuellement dans la salle de gestion des machines, dans le batiment principal, et accessoirement l'unique du terrain. Je m'y tiendrai en permanence, mais n'essayez même pas de vous en approchez pour une simple et bonne raison, celle qui se trouve autour de votre cou.

Tsukiyo regarda avec incompréention son cou. En effet, il y était accroché un collier discret que Tsukiyo n'avait même pas remarqué.
- Ce collier n'est pas retirable, quel que soit votre don. Il nous informe en temps réel de votre état de santé, et de votre position. Dès que vous serez sortis, il sera programmé pour exploser lorsque vous vous approcherez à moins de 5 mètres de cette zone. Je vous laisse imaginer à quoi vous ressembleriez ... Bref, l'usine est divisée en 6 zones, 3 extérieures, 3 intérieures. Vous serez répartis au hasard chacun au départ entre l'intérieur et l'extérieur, mais sachez que vous êtes libres de vous déplacer où vous voulez quand vous le voulez. Ceci dit, regulièrement, des zones vous deviendront interdites, vous serez prévenus quelques heures avant. Je vous conseille alors de déguerpir vite, car sinon ...

La prof' laisse planer le suspence, tout le monde la regarde, impatients de savoir la suite.

- Ce collier n'est pas retirable, quel que soit votre don. Il nous informe en temps réel de votre état de santé, et de votre position. Dès que vous serez sortis, il sera programmé pour exploser lorsque vous vous approcherez à moins de 5 mètres de cette zone. Je vous laisse imaginer à quoi vous ressembleriez ... Bref, l'usine est divisée en 6 zones, 3 extérieures, 3 intérieures. Vous serez répartis au hasard chacun au départ entre l'intérieur et l'extérieur, mais sachez que vous êtes libres de vous déplacer où vous voulez quand vous le voulez. Ceci dit, regulièrement, des zones vous deviendront interdites, vous serez prévenus quelques heures avant. Je vous conseille alors de déguerpir vite, car sinon ...

Tout le monde devina la suite...

# Edit modo : on ne prend pas son sac, merci.
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:54

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:57

Amamiku Matsuri....Une vrai prof sadique. La pire prof connue à Takuestu. S'entre-tuer...De la folie! Tuer des gens juste pour que cette prof s'amuse? Elle est devenue totalement cinglée! Kaede prit d'une très grande colère envers la professeur, lança des éclairs avec ses yeux, enfin pas des vrais éclairs, juste pour dire qu'elle fusille du regard le professeur en tenue chinoise. Des délais, et une trentaine de personnes...Un seul survivant... Kaede prit conscience que sa vie était maintenant en jeu et que ce n'était pas vraiment le moment de penser à trucider la prof. Un moment de solitude, des élèves chuchotaient entre eux. Kaede les regarda...Certains visages familiers, d'autres qu'elle connaissait bien. Comment tuer des gens auxquels on tient? Elle pouvait tuer, elle l'avait même déjà fait quelques fois pour sauver sa vie et celle de ses coéquipiers...Mais la situation était différente. C'était du chacun pour soi...

Le discours terminé, les chuchotements se faisaient plus nombreux. Comment survivre? Elle n'avait pas l'intention de tuer celle qu'elle connaissait. Un collier autour du cou, lisse, et sans faille perceptible. Aucun moyen de l'enlever, la seule façon de survivre : se battre pour sa vie...
Le jeu de Amamiku Matsuri allait commencer...
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 22:57

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:12

« Chauffeur si t’es champion... appuie sur le champignon !!!! »

Atsushi braillait comme un fou durant le trajet en car, toutes les chansons et autre rythmes stupide qu’il connaissait. Et son répertoire était large, allant de la sacrosainte « Janeton prend sa faucille » jusqu’à « la digue du cul »... Ses cordes vocales était déjà en feu, et sa voix était digne d’un bluesman rongé par l’alcool et le temps. Immortel et rocailleuse. La claaaassseeee...

C’était une chouette escapade en bus vers une île déserte et paradisiaque, avec des élèves qui hurle des sempiternelles chansons paillardes et énervantes à un conducteur d’or et déjà blasé et des millions, que dis-je des milliard de filles en maillot sur la plage à l’ombre des cocotiers ! Ce séjour s’avérait de l’enfer ! Si seulement Atsushi savait à quel point il avait raison... Mais ce n’était pas encore l’heure...

Minutes – 5 : « Janettttton prend sa faucillllllleeee !!! »
Minutes – 3 : « La rireeeettte.... »
Minutes – 1 : « De Nantes à mont-eiguûe !!!!! »
Minutes – 0 : des gaz et des monsieur en noirs... over... à vous tour de control...

Atsushi s’endormie d’un sommeil profond et fis un rêve très bizarre. Mais je ne vous le raconterais pas car il implique d’autres personnes dont je n’oserais pas citer le nom de peur de la bienséance...

« promenons nous dans les bois pendant que le loup y est pas ».

En vérité je vous le dit :
Ce qui aurait du être un agréable voyage sur une île paradisiaque, une sortie tout ce qu’il a de plus sympatoche et amusante, un moment de drague inoubliable (quel contexte parfait, j’en frémis d’avance), s’avère en fait, être une hideuse mascarade où, en fin de compte, on va tous crever ! Ou presque...

Matsuri annonçait le programme des festivités : colliers explosif, morts répété, élimination obligatoire, équipe interdite, tout le panel de la solitude et de la violence. Génial, on va s’éclaté à jouer au chat et à la souris dans une vielle usine désaffecté au lieu de se prélassé mollement sur un plage à des kilomètres de là. Sans compté la part prépondérante du hasard sur l’arme que l’on obtiendra. Voilà qui est fort sympathique au demeurant... Vous connaissez Didier Super ? « On va tous crever ! On va tous crever ! Il y a la fin du monde qui est proche et nous on fait la fêêête... » ça vous dit rien. Et bien, ‘est un peu le thème de la soirée d’aujourd’hui.

Cependant, Atsushi n’était pas le plus déstabilisé par cette nouvelle. A vrai dire il l’était plus par la tenue de Matsuri : une belle robe chinoise, un kimono d’un rouge flamboyant, qui laissant parfaitement voir les courbes élégantes de sa plastique. Moult motifs chinois élégamment dessinés, comme à l’encre de Chine, tels des dragons ou des fleurs de lotus, remontaient gracieusement en sinuant tout au long de sa physionomie, se glissant dans le courbes, ressortant sur les formes. Elle se tenait droite, le cheveux attachés dans un petit chignon serré parfaitement fais, qui lui donnait l’allure d’une parfaite petite secrétaire... on s’en contentera à la place des filles en maillot –‘...(SBAFF)².

Regardant rapidement autour de lui, il remarqua que certain élèves étaient largement plus paniqués que lui même. En effet, en tant que SA, il avait l’habitude des missions dangereuses où on risquait la mort à chaque instant (ça fait Rambo dit comme ça...) et avait direct retrouvé ses réflexes de « survie » . Règle n°1 : écouter Matsuri. Règle n°2 : croire Matsuri, même si on peut pas y croire !

Mais pour l’instant, il se sentait comme un chien avec un collier à puce, un superbe collier à puce explosif, retourné à l’état de nature, obligé de bouffer ses congénères pour survivre... En fait, ce n’était rien qu’un jeu de chasse gratuite, un énorme chasse aux hommes, où, plutôt que ça soit pour manger, il fallait tuer pour survivre, bêtement. Un peu glauque au final. Mais c’était l’effet voulu. En effet, une tartine dans un grille-pain (oui je psychote sur les grille-pain) doit ressentir à peu de chose près la même sensation : celle de l’étouffement, entouré de toutes part par un piège immense trop bien préparé et trop complexe, brûlé à petit feu, sans sortie visible ou apparente autre que la mort, avalé par le grand méchant mangeur de petit déjeuner !
Atsushi observant les autres participant calculait ses chances de survie :

Shin = Ne pas tomber sur lui ou mourir...

Le problème, c’est que les autres, il ne les connaissait pas. C’était donc, du hasard pour leur don. Surtout que le sien n’était pas très combatif, ou si l’utilisait pour se battre, il pouvait dire adieu à sa santé et par là même, sa vie.... Mauvais plan en clair ! S’en sortir vivant allait être dur. Non pas qu’il ait foncièrement envie de finir assistant de Matsuri, mais il préférait quand même rester en vie encore un peu...

C‘est donc, la mort dans l’âme qui attendit le début de l’ « épreuve ». En fait, c’était un peu comme une compet de gym extrème...


Dernière édition par Atsushi Ootani le Lun 11 Mai - 19:03, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:12

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:18

Cela faisait déjà plusieurs heures que le car transportant les élèves, roulaient à une allure tranquille.
Les joies des voyages scolaires bien organisés: un soleil de plomb qui venait frapper la carlingue du véhicule,des élèves entre coma et excitation, et pour finir une route qui n'en finissait pas.
Sakura tranquillement installée au fond du bus,les écouteurs vissés sur les oreilles, regardait le paysage défilé à travers les fenêtres poussiéreuses, en espérant qu'un événement inattendu viendrait casser ce rythme monotone et ennuyeux. Ce calme commençait à la chagriner,trop peu d'action à son goût.
Cependant la jeune fille ne devait pas connaître le dicton populaire: « on est jamais conscient de ce que l'on a avant de l'avoir perdue ». Et bientôt la rose allait regretter sa tranquille petite vie bien rangée. Mais pendant ce temps elle profitait futilement des dernières minutes de tranquillité sans savoir vraiment ce qu'il attendait une fois à destination.
La suite du voyage fut plus tumultueux que prévu: des hommes en noirs, des gaz soporifiques, puis plus rien...un vide comme si on lui avait effacé la mémoire.

Elle se réveilla comateuse, après quelques instants de réflexion,elle se souvint d'une seule chose: le voyage scolaire. Si on osait encore l'appeler ainsi, car cette excursion avait pris une bien étrange tournure. Tous les élèves étaient réunis dans une grande salle qui semblait appartenir plus à un entrepôt désaffecté qu'à l'île paradisiaque promise. Matsuri se tenait sur une estrade qui surplombait le groupe d'élèves. Le professeur des SA fit taire l'assemblée et commença un bien curieux discours,qui laissa à Sakura une étrange sensation: à mi chemin entre la peur,le mal être et l'excitation.

Tous les élèves venaient de comprendre une chose: ils étaient tous prisonniers comme des animaux en cage et le seul moyen de s'en sortir c'était de tuer ses compagnons. Il fallait avouer que d'un point de vue purement logistique tout cela était parfaitement organisé, mais d'un point de vue humain, ce que les étudiants s'apprêtaient à faire était tout bonnement un ignoble jeu de massacre. Il fallait donc se laisser submerger par les instincts les plus violents et les plus primitifs que l'Homme avait enfouit au plus profond de lui même dans cette société moderne. La jeune fille aux cheveux rose se sentait mal et préféra se mettre à l'écart des autres élèves. Elle s'assit tapis dans l'ombre, essayant de comprendre ce qu'il allait se passer à présent. Elle enfouit sa tête dans ses mains pour ne plus entendre le brouhaha ambiant. Mais il y avait toujours cette voix douce et calme, ce murmure qui se propageait dans son cerveau sans qu'elle ne puisse rien contrôler.
-« Tu as bien compris:c'est eux ou toi...tu le sais pertinemment comme moi. Alors pour cette fois laisses moi m'en occuper...
- Non pas question va t'en sort de ma tête, je t'en pris arrête ça...
- Mais enfin tu sais très bien que tu ne le penses pas ...tu ne veux pas mourir alors tues les.
- Je ne peux pas...je veux ne pas,ils ne le méritent pas.
- Ne me fais pas rire, ne me dis pas que tu ne peux pas tuer...tu l'as déjà fait ,n'est- ce- pas ?
-Non...c'était un accident.
-Mais tu voulais le voir mort... tu as été soulagé de voir son corps inanimé. Après tout tu es comme moi,tu es un monstre.
 »

La jeune fille sentait qu'elle perdait pied, que son alter égo prenait le dessus. Mais pourtant elle gardait son contrôle. La rose s'était résignée à mourir ici, à se laisser tuer. Malheureusement pour elle et pour les autres son double n'était pas du même avis. Elle se sentait d'humeur joueuse et était littéralement obnubilée par le goût du sang, qui coulerai bientôt...


Dernière édition par Sakura Ai le Dim 10 Mai - 23:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:18

Le membre 'Sakura Ai' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:33

Jamais, non jamais Yori n'aurait pensé que sa journée deviendrait pire qu'un film d'horreur ! Il devait faire un mauvais rêve, oui c'était certainement ça ! Il savait très bien que les hommes étaient capables des plus grandes folies, mais là ! Non, non ! C'était impossible ! Et pourtant...

Très tôt ce matin, les élèves inscrit pour partir en vacance sur une île paradisiaque s'étaient donnés rendez-vous à l'arrêt de bus de Takuetsu no Gakuen. Après avoir déposé leur valise dans le coffre du car, ils s'installèrent tous sur un des sièges, peu confortable. Le voyage commença rythmée par l'immense excitation de chacun. Bronzer à la plage avec en guise un panorama spectaculaire que demander de mieux ?

Cela faisait maintenant une bonne heure que le bus filait bon train à la destination féerique. Mais soudain, la responsable du voyage, la dénommée Matsuri Amamiku, la bête noire des SA, annonça une halte ce qui eut le don de réjouir Yori qui n'attendait plus qu'une chose ; se dégourdir les jambes. Or lorsque l'engin s'arrêta sur l'air de repos, une chose bien particulière se produisit. Le chauffeur sortit précipitamment du car, tandis que Matsuri se protégea ses voies respiratoires avec un espèce de masque à oxygène. Soudain, des hommes en noir débarquèrent et sans crier gare balancèrent des gaz soporifiques. Tout le monde s'endormit en moins de deux.

Assis au fond d'une salle sordide, Yori se réveilla d'un sommeil sans rêve. Il regarda autour de lui et constata que les autres élèves reprenaient également connaissance. Mais c'était quoi ce délire, bon sang ! Pas le temps de réfléchir. La voix de Matsuri Amamiku s'éleva dans la pièce d'une voix claire et froide. Elle se mit alors à débiter une nuée d'informations. A l'évocation d'un collier métallique, le lycéen toucha son cou et rencontra quelque chose de froid. Était-ce vraiment la fin ? La professeur continua son monologue sans aucune trace d'émotion sur son visage. Yori savait qu'elle était sadique, mais à ce point ! Tuer des innocents, pour quoi en fait ? Ah non, rectification, le but du jeu, si l'on peut le décrire ainsi, était de s'entretuer pour être le dernier survivant. Encore mieux, tiens donc !

Tout à coup, le SA posa son regard sur elle. Tout les moments passés avec cette personne défila en une fraction de seconde dans la tête du garçon. Ça devait déjà finir ? Et dans cette manière de plus est ? Il ne l'accepterait pas et la protégerait quoiqu'il lui en coûte ! Il refusait qu'elle y laisse sa vie. Lui s'enfichait pas mal de la sienne ! Tout, mais pas elle ! Yori était du genre pacifiste et il le serait, à moins que quelqu'un ose lui faire du mal et cette fois-ci, il ne retiendrait pas ces coups.

Matsuri termina son long discours. Lorsque chacun aurait récupérer son sac, les dés seront jetés...
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MessageSujet: Re: Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... Welcome to the dream ... oh ! To the nightmare, I mean ... EmptyDim 10 Mai - 23:33

Le membre 'Yori Akiba' a effectué l'action suivante : Le sac choisi contient:

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