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 Sujet: Nitsumi H. -- Again me >w< Ven 27 Mar - 0:48 |
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Votre personnage
- Nom : Hajime
- Prénom : Nistumi
- Age & date de naissance : 10 ans, née le 10 février.
- Niveau scolaire : Primaire
- Pouvoir : Elle est capable de créer des vocaloids. Ils peuvent être autant ses confidents que ces armes ... Même si c’est plus souvent sa première option !
- Membre ou non de Jiyuu ?:
Non.
- Caractère :
Nitsumi est timide. C’est ce que tout le monde remarque dès qu’ils la voient. Du genre à ne pas trop regarder devant elle, elle rougis limite quand elle se prend quelqu’un ou un simple poteau ... Elle pleure aussi très facilement. A la moindre échardes ou petites blessures, elle se met à la place de la fontaine publique ... Elle est aussi très en retrait quand elle est dehors. Quand tout le monde va vers les autres, jouent et courent, Nitsumi, elle, se pose dans un coin, et attend. Enfin, si elle n’est pas avec ces vocaloids ... Avec eux, elle est plus douce, plus attachante et surtout un peu moins pleurnicheuse. Avec eux, certes, elle sens qu’elle peut se livrer. Mais question de principe ! Elle tente d’être plus forte, mais c’est trop dur pour elle ... Les autres lui font plutôt peur, En fait, elle en a marre d’eux. Si elle le pouvait, elle irait s’enfermer dans un tour très loin d’ici, avec pour seule compagnie ces vocaloids. Cela étant impossible, elle s’est promis de le faire à ces 18 ans, si elle ne trouvait pas quelqu’un qui lui ferait changer d’avis ... Trop timide pour aller vers autrui, elle ne cherche pas à se convaincre !
Donc, au premier abord, elle ne parle pas trop. Elle est craintive. Si tu la brusque, ou fait quoi que ce soit contre elle, elle se met ( au choix ), soit à pleurer, soit à rougir et baisser la tête. A moins que tu ne sois super gentil et patient ( si tu es ultra compréhensif ... Pas besoin de patiente, je crois ! ), elle auras du mal à te faire confiance. ( ce dit, pourquoi dis-je ‘tu’ ? Pour le lecteur actuel, certainement ... )
- Aime & aime pas :
Elle n’aime pas son ancien orphelinat, l’établissement en lui-même autant que les enfants qu’il abrite ( l’établissement ... ). Elle n’aime pas qu’on dise du mal des vocaloids, mais jamais elle n’arrivera à le faire signaler ( pour le moment en tout cas ! ).
Elle ne déteste pas les autres, mais ne les aime pas non plus. Disons qu’elle reste craintive à leurs égards. Elle est également assez neutre sur l’endroit où elle se trouve, du moment qu’on lui fiche la paix ( ce qui est rare ... ). Mais encore une fois, elle ne le dira jamais !
Elle aime beaucoup ces vocaloids, ( plus que tout, en fait ! ) qui contrairement aux autres, la protègent. Elle apprécie énormément leurs présences. Il n’y a peut-être qu’avec eux qu’elle s’ouvre !
- Ce qu'il pense de l'école :
Elle est très neutre pour le moment. D’une certaine manière, elle s’éloigne de ses anciens camarades ( ce qui est un bon point ), mais elle a peur que cet endroit soit pire que l’ancien ( ce qui donne à réfléchir ! ) !
Nitsumi fait la même taille que toutes les petites filles de dix ans. C’est à dire, je ne sais combien de centimètre ... Je ne suis pas aller voir ! Sinon, elle a un charmant visage au joues roses et aux yeux brillants. Ces-derniers d’un couleur marrons pâles léger argenté ( gris, ok, gris ... ) sont plutôt grands, et expressifes. Son nez rebique peu ( contrairement au mien ... ), et sa bouche fine ne dit aucune grossièreté ( contrairement à la mienne aussi ) ! L’air enfantine et très fragile, cela ne fait qu’accentuait son caractère. Ces cheveux blonds aux tendances orangé sont à la fois lisse, et à la fois ondulés, certainmenet dû à ses nattes fréquentes ... En effet, la fillette attache ces cheveux e deux nattes basses, pas assez longues pour attendre le nombril, mais quand même ... Sinon, rien de spéacial sur elle. Ces yeux brillent facilement, dû à ses pleurs. Physiquement, comme je l’ai dit, elle parait fragile, sans muscle très devellopé, et à la faible constitution. De ce fait, elle est plutôt mince. Juste pour accentuer sa fragile existence ...
Nitsumi porte honorablement l’uniforme, pas juste pour l’apparence. Quand pour certains, c’est obligatoire, elle, elle le met avec bonheur et bonne humeur ... Chaque centimètre est en ordre ... Sinon, quand elle doit porter les vêtements de son choix, c’est plutôt dans les teintes bleux foncés et marrons/beige. Ces motifs sont les carreaux, et les formes des tee-shiryts manches longues et col roulés. Pas très adepte des gants, elle préfère les poches chaudes des vestes. Elle porte toujours ( sauf quand on lui demande de l’enlever ) un bonnet noir, à peine poser sur le haut de sa tête, mais qui pourtant, tiens très bien !
[list][*]Son histoire :
Nitsumi est née dans un milieu plutôt moyen. Ni riche, ni pauvre, la famille vivait dans le bonheur. La fillette prenait des cours de violon ( vive les classiques ! ) et travaillait dur pour y arriver. Sans grand talent et très jeune pour cela, elle voulait tout de même jouer la même mélodie que ces parents écouter des fois le soir. La chanson avait beaucoup plu à l’enfant. C’est de cette simple mélodie, un solo au violon ... Même si elle tombait presque sous le poids de son instrument, elle voulait vraiment y arriver. En dehors de sa nouvelle passion, Nitsumi ne sortait qu’avec sa mère, pour faire les courses ou ce genre de choses. Elle n’allait déjà pas vers les autres ... Déjà une solitaire timide ! Pourtant, ces parents ne s’inquiétaient pas pour cela. Si l’enfant ne voulait pas voir autrui ... Ils n’allaient pas la forcer ! Cette fillette fragile était leur plus beau cadeau, et si elle souhaitais être avec eux ... Pourquoi refuser ? Nitsumi était donc très heureuse dans ce milieu plus que favorable pour elle. A chaque voeu, elle souhaitais que sa famille reste la même pendant de longues années ... Mais le bonheur ne dure jamais, et les voeux ne sont pas forcés à se réaliser. Le jour de son anniversaire, Nitsumi avait alors cinq ans, ces parents étaient alors aller acheter avec elle un gâteau pour cet événements ... Nitsumi rentrerait très bientôt à l’école ... Elle aurait alors plus de chance de se faire des amis ... Mais rien ne dure ... Et ces parents partir. Le coupable, un employés venant de noyer sa peine dans l’alcool ... Nitsumi était un mètre devant ces parents, tentant de sauter d’une marque blanche à une autre sur le passage piéton. Ils rirent. Une voiture freina, l’enfant se retourna, surprise. Et elle ne rit plus.
Elle fut emmené dans un orphelinat, où grand nombre des enfants trouver une famille, dans l’année qui suivait. La fillette encore jeune, on espéra qu’elle se trouve un nouvel habitat rapidement. Mais son coté mignon et fragile avait beau éveillé des envies de protection envers l’enfant, personne ne s’attacha à elle. Nitsumi, elle, ne faisait pas attention à son nouvel entourage, qui a force de l’ignorer, se pencha sur son cas. Dans tous les lieux réunissant des enfants, adolescents ou non, on trouvait le souffre-douleur, celui qui était persécuté, qui servait à soulager la pression des autres. Pour le moment, il n’y en avait pas de fixe. Mais l’arrivée de cette boule blonde au milieu des bruns et des chevelures ébènes donna à tous la même idée ... Elle auras pour rôle ... Celui du punching-ball ! Au début, tout commençait lentement. Trop jeunes pour la martyrisaient vraiment, les enfants se contentait de lui faire de mauvaises blagues, sans aucun intérêt, pour rire. Ces blagues pouvaient même ne pas marcher, l’important était de les faire. Et d’avoir le cran pour ... On lui mis de la terre sur ces tabliers, ou marcher sur ces dessins. Nitsumi supportait au début. Elle s’évader par la musique. Ayant emporter avec elle son précieux violon, elle avait décidé d’arriver à jouer cette mélodie pour ces parents défunts. Promesse à des morts, n’est-ce pas mignon ? Revenons en aux méchants gamins ... Nitsumi craqua au bout de deux semaines. Les enfants avaient cachés une grenouille trouvé dans un étang peu loin ... Dans son lit ! L’enfant, en pyjama, avait senti un truc lui monter dessus. En sortant et voyant l’animal, elle ne put s’empêcher de crier un bout coup, pour se mettre à pleurer. Tout le monde arriva en courant, même les garçons. Sous les regards attristés des surveillants, les enfants se mirent à rire, et renommèrent la fillette. Elle fut appeler : ‘ Crapaude’. ( référence aux crapaud .... Oui >w< )
La fillette détesta rapidement le lieu. On oubliez sans cesse son existence, son anniversaire aussi. A Noël, elle recevait des gâteaux en forme de crapaud de ces camarades ... La fillette haïssait cet endroit, mais elle n’osa pas le dire ...
Les surveillant et ceux qui s’occupaient des enfants, ne savaient rein du traitement que commençait à subir la blonde. Celle-ci avait à la fois trop honte de ne pas savoir se défendre, et à la fois trop peur de la réaction des adultes. Elle était quand même surprise que ceux-ci ne remarqués rien ! Ce n’était pourtant pas invisible ... C’est ce que finis par croire la fillette. Ce qu’elle subissais ne pouvait être vu ... Elle ne pouvait elle-même être vu ... Ce n’était qu’une enfant, trop seule et trop isolée.
Pour ces sept ans, les enfants décidèrent d’offrir un cadeau à la fillette. Ne la frappant pas, ne l’insultant pas non plus de la journée, celle-ci commença à croire qu’ils allaient la laisser tranquille ... Elle fut encore plus surprise en découvrant le paquet rose et bleu sur son lit, le soir venu. Ne sachant de qui cela venait, elle ne l’ouvrit pas. Elle le cacha sous son lit, et quand les filles de son dortoir lui demanda si elle l’avait apprécier, elle répondit que oui et s’était endormi. Etais-ce un rêve, ou les filles eurent un air dégoûté à sa réponse ? Nitsmi voulu le noter dans un coin de sa mémoire pour ne pas ouvrir le paquet ... Mais elle ne réussit pas ! En se réveillant le lendemain, elle se cacha derrière le bâtiment pour l’ouvrir. Une blague ou cela était sincère ? Tremblante, elle l’avait ouvert ... Et se promit de ne plus jamais ouvrir quelque chose dont elle ne connaît pas l’expéditeur ! Un gâteau fait de boue se trouvait à l’intérieur. On voyait dessus de la chantilly, posait pour faire en sorte que ressorte la phrase : « Pour Crapaude ». De honte, elle le jeta, et ces camarades crurent vraiment qu’elle avait apprécier ... Le surnom de ‘Crapaude’ muta en ‘Boueuse’.
On ne la frappait pas comme on frappe un crétin qui vous agresse. Elle, on lui tirait les cheveux, notamment ces nattes. On la bousculait dans les couloirs, en évitant tout de même les escaliers. On la faisait trébuché en lui faisant des croches-pattes. On lui envoyé de l’herbe dessus, des boules de neige l’hiver. On lui sauté dessus pour faire la boulette générale. Elle était la cible de tout le monde. Un jour, précisément huit mois et cinq jours après ces huit ans, Nitsumi demanda à un garçon pourquoi il faisait tout ça. Il avait bêtement hoché des épaules en maugréant un léger : « Pour que tu chiale, je pense ... ». Nitsumi avait alors posé la même question à une fille, dont l’hobbie principale était de taillader les les vêtements de la fillette. Celle-ci avait marqué un temps d’arrêt, et marmonna, incertaine : « Parce que tu es moche, et que te voir pleurer est marrant ... ». La fillette demanda à un garçon qui entraînait facilement les autres, s’ils arrêteraient si elle ne pleurait plus. Il avait rit, et rétorqua : « Crétine ! T’es moche, t’es moche ! Tu peux pas changer ça ! ». Nitsumi en avait donc conclu : « Ils se battent sans raison ... Ce sont des monstres, ils ne sont pas humains ! Et s’ils le sont ... Je ne veux pas être l’amie d’humains ! ». Et ce jour-là, elle parla à sa peluche, décidé d’avoir un ami imaginaire, quelqu’il soit.
Pendant l’année de ces neuf ans, Nitsumi constata une chose. Les enfants préparaient quelque chose de gros. Sans trop se préoccuper, elle apprécia ces journées moins stressantes qu’avant. Avaient-ils grandis ? Décidaient-ils d’arrêter ? La fillette perdit l’habitude de parler à sa peluche, qu’elle perdis également, et tout simplement. Elle resta seule, et tremblée, sans trop le vouloir, à la vu des autres.
Elle comprit leur plan le 10 février, anniversaire de ces 10 ans. Quand elle s’était levée, le dortoir était vide, et elle s’était demandé pourquoi. Aimant ce moment de solitude, elle traîna avant d’aller au réfectoire, ou cantine pour certains. Elle entra, et vit que tout le monde était là, souriant. Pas d’adultes, Nitsumi déglutit. Que voulaient-ils ? Finalement, ils étaient encore tous des enfants ? Elle se posa à sa place habituelle, seule dans le fond. Un garçon habituellement non impliqué dans les histoires de la fillette, s’approcha d’elle, et lui souhaita joyeuse anniversaire. Elle répondis timidement ‘merci ...’, t elle l’entendis rigolé. Elle se redressa, et vit que plusieurs filles portaient un paquet énorme. De la taille d’un grand gâteau. Se rappelant ces sept ans, elle ne voulait pas l’ouvrir. On l’y força. A partir de là, elle était certaine que ce paquet n’était pas normal ... Pourtant, il était comme ceux qu’elle recevait avant : gâteau fait de boue. Elle ne réagit pas, les yeux qui tremblés juste à peine ... Puis, pour changer à ceux d’avant, on lui découpa une part, et la posa devant elle. Nitsumi regarda tristement le morceau marron qui dégoulina mollement., sans vie. Une cuillère vînt attraper un cuillerée, et deux garçons attrapèrent la fillette par les aisselles. Elle tenta de se débattre un moment, puis laissa tomber. On l’obligea à ouvrir la bouche, et quand cela fut fait, on introduisit la cuillère dedans. Au final, la fillette finit par avaler la boue, qui coula dans sa gorge, salement. On lui rigola au nez, et elle partit en pleurant, décidée à ne plus jamais faire confiance aux autres.
Elle se rappela de cette peluche qu’elle n’avait plus. Elle observa ces larmes coulaient au sol. Plus rien n’allait ...
« J’ai besoin d’aide ... Je ne veux plus les voir, je ne veux plus être avec eux ... Je veux qu’on m’aide ... Un ami ... »
C’est à ce moment que fut créer Hatsune. Nitsumi ne se souvient plus trop de ce moment, c’est comme vague dans ces souvenirs. Mais elle savait qu’elle avait créer son ami ... Enfin, son amiE.
Puis, elle fugua. Grande initiative pour elle. Malheureusement très vite retrouvée, on découvrit Hatsune, et donc par conséquence, le don de la fillette. On l’emmena ici. Arrivée depuis un moment, elle s’est fondu dans la masse, se cachant. Ignorer pour être mieux ignorer ... Derrière ses yeux brillants de peur, elle fuit ...
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