Takuetsu no gakuen
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Megumi Matsukaze

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Megumi Matsukaze
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Megumi Matsukaze

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Megumi Matsukaze Vide
MessageSujet: Megumi Matsukaze Megumi Matsukaze EmptySam 20 Déc - 1:41

« Behind The Mask »



MySpace Music Playlist at MixPod.com




« Je suis dur, Je suis tendre
Et j'ai perdu mon temps, A rêver sans dormir
A dormir en marchant, Partout où j'ai passé
J'ai trouvé mon absence, Je ne suis nulle part
Excepté le néant...»

Jaques Prévert...



_ I D E N T I T E

    _ Nom : Matsukaze
    _ Prénom : Megumi
    _ Age : 17 ans
    _ Date De Naissance : 21 Décembre 1992
    _ Niveau scolaire : Classe E
    _ Forme du Don : Indéterminé
    _ Date d'Arivée a Takuetsu Eté 2000
    _ Sur le plan Scolaire Stéréotype de l'Intello, élève très studieuse.
    _ Pouvoir : Télékinésie

    • Niveau 1 : Capacité à déplacer les objets
      1.1 Déplacer les objet, plus ou moins léger
      1.2 Déplacer les objets plus ou moins lourd
      1.3 Déplacer les objets à un rayon de X mètres, sans les voir
      1.4 Déplacer les objets d'un poids important.

      Niveau 2 : Capacité à contrôler la matière organique
      2.1 Les êtres végétaux
      2.2 Les êtres du type animal
      2.3 Les êtres humains [ Pour elle acquis, pour les autres non acquis, elle peut juste pour les membres du corps séparés. Si elle réussi cette formule, l'énergie qu'elle usera pour cela, sera transformer, en un hallot de couleur autour du corps de la victime, et son énergie, contrera les énergies émergeant du cerveau de la victime, ce qui fait qu'elle devient invulnérable, et le corps ne recevra plus les informations provenant du cerveau. Technique qu'elle ne maitrise évidemment pas...]

      Avantages ~> L’avantage pour la jeune fille, c’est qu’elle n’est pas obligé d’utiliser ses mains, contrairement aux élémentaires, la plus part des choses se passent dans le mentale. Même les yeux fermés, si elle a déjà vu l’objet en question une seule fois, elle pourra le déplacer.

      Inconvénients ~> Ce qui est un avantage, peut aussi être un inconvénient. Le mental. C’est bien le problème, c’est que tout ce passe dans celui-ci. Si par exemple, vous arrivez à porte une maison (oui c’est lourd) avec vos bras, à un moment ils ne tiendront plus, et vous lâcherez. C’est la même chose pour son esprit, si le poids de la chose est trop important, elle n’aura qu’un très court l’abs de temps pour exercer son emprise sur celle-ci, au risque d’avoir premièrement quelques étourdissement, puis si la chose se renouvelle, elle pourra être victime de plusieurs pertes de subite de mémoire, comme des souvenirs plus ou moins importants, puis pire encore la perdre totalement… Cela lui est déjà arrivée deux fois auparavant, mais ce ne fut rien de grave, juste des détails mineurs, mais ce manque peut se manifester par un oublie d'histoire, d'évènement, de lieu de personnes...


    _ Membre ou non de Jiyuu ?: Négatif
    _ Avec ou Contre l'ecole ? : Approximativement, nous dirons "Avec".



_ L A J O U E U S E

    _ Prénom : Tout le monde le connais déjà >w<
    _Âge: 15 ans
    _Comment avez vous connu le forum ôô ? : Tout à commencé le jour où une admin's avait une signature voyante...
    _Qu'en pensé vous : Il est encore mieux qu'au début =P
    _Code ? : [ Validé By Moi-Même ]


Dernière édition par Megumi Matsukaze le Mer 28 Oct - 14:38, édité 22 fois
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Megumi Matsukaze
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Megumi Matsukaze Vide
MessageSujet: Re: Megumi Matsukaze Megumi Matsukaze EmptyDim 3 Mai - 13:33


« Tu n'existes pas seulement pour toi.
Dans ce monde, il n'est aucun être qui s'appartienne pleinement.
Chacun a des liens avec les autres. Et des choses qu'il partage avec autrui.
C'est pour ça que personne n'est libre. C'est pour ça que la vie est intéressante...
Et triste aussi... Et que l'amour existe. »

_ P S Y C H O L O G I E



  • Megumi n’est pas une jeune-fille difficile à cerner aux premiers abords. Pour tout dire, elle est très paradoxale. De nature prévisible, beaucoup sont ceux pouvant prédire ses prochaines actions et paroles. D’apparence calme et posée, elle s’amuse de beaucoup de chose et possède une drôle d’aura tout autour d’elle. Bien que beaucoup trop calme et très timide, la jeune fille, est tout de même très sociable, car elle a su s’entourer. Pourtant elle n’éprouve pas le besoin d’être toujours entourée, et de ce fait, elle affectionne énormément sa solitude. Elle aime mystifier certains moments avec des secrets et s’amuse souvent avec ses poupées de Porcelaine. A son âge ? Oui, car Megumi dans un certain sens, a gardé son juvénile, quand il s’agit de « jouer » avec ce genre d’objet, celles-ci lui rappelle sa défunte mère. Megumi possède aussi un humour désarmant, en total contradiction avec sa personnalité taciturne. Malgré ce que l’on peut penser d’elle, c’est une jeune-fille déterminée, qui s’implique dans ce qu’elle fait, tout ce qu’elle veut, elle l’obtiendra, même si ça n’en a pas l’air. Toujours prête à aider les autres, elle se pliera en quatre, pour vous aider à obtenir ce que vous lui avez demandé. Digne de confiance, vous pouvez vous confier à elle, sans craindre de voir vos secrets ébruitez le lendemain. Tout aussi studieuse, la jeune fille accorde une grande importance aux études, et cela paye car, elle a souvent de bons résultats. Néanmoins, la jeune fille reste très naïve, et peu gober presque toutes vos paroles, et c’est bien ça, ça plus grande faiblesse, pourtant, c’est cela aussi qui fait son charme.

    Hum… Papa et Maman ne vous ont donc jamais dit de ne pas vous fier aux apparences ? Ne vous pas étrange, de pouvoir lire en Megumi comme un livre ouvert ? Il y a de quelques choses de faux en elle, comment peut on être à ce point si proche du stade de la « perfection ? ». Bien, on ne le peut pas. Bien que quelques côtés de cette personnalité sont réelles, la plus part ne lui correspondent pas. En réalité, derrière le masque, se trouve une tout autre personne, que vous ne tarderez pas à découvrir. La fille que je vous ait décrite, n’est qu’un rôle jouer…

    Égoïste, elle estime que ce qui lui appartient, lui appartiendra toujours. Aussi calculatrice que manipulatrice quant elle le veut, elle ne peut pas s’empêcher d’envisager toutes les possibilités qui lui sont offertes. Elle sait saisir chaque opportunité qui sera suseptible de l’aider à atteindre son but, on peut donc la qualifiée d’opportuniste. Notamment très observatrice, elle sait tout sur tout le monde, et se sert de ses informations seulement si elle juge cela obligatoire. Megumi n’apprécie pas le fait qu’on puisse lui imposer des choses par la force et peut devenir particulièrement agressive si la situation l’exige. Cynique par rapport au monde qui l’entoure, elle est plutôt pessimiste et imagine toujours le pire. Plus passionnée qu’elle veut bien le faire croire, il lui arrive de laisser tomber son masque de politesse pour laisser place à une jeune-fille délurée et entrainante. Malheureusement, cela reste assez rare. Légèrement puérile d’un côté, elle n’est pas spécialement patiente et déteste par-dessus tout qu’on l’importune lorsqu’elle est de mauvaise humeur, même si elle est bien obligé de faire quelques efforts, pour ne pas faire tomber le masque... Blasée à propos de pas mal de chose, il est impossible d’obtenir une réaction d’elle lorsqu’elle est dans sa bulle. Autonome, elle se débrouille très bien toute seule et éprouve une certaine irritation vis-à-vis des personnes incapables de se prendre en main. Malgré tout, elle détient un esprit fin, très aiguisé.

    Megumi aime à espérer qu’un avenir excitant et plein de promesses se dessinera devant elle à sa sortie de l’Académie, mais terre à terre, elle a la fâcheuse tendance à briser elle-même ses rêves avec l’opinion qu’elle a de la vie et de la société actuelle. Elle adore taquiner les colériques et venir en aide aux plus prétentieux, histoire de leur rabattre le caquet. Megumi peut avoir l’air aussi douce qu’entêtée, elle possède aussi un sens de la répartie surprenant et piquant à souhait, d’où son mauvais côté ironique et sarcastique. Bien qu’elle préfère se faire passer pour quelqu’un de stoïque et calme elle sait se montrer dur et cruelle. Elle ne dévoile jamais ses sentiments profonds, jugeant cela plus « correct » par rapport aux autres. Moins les gens en savent sur elle, mieux elle se porte. Elle aime laisser son esprit divaguer quelques instants et se complait certaines fois à rêver, mais seulement quand elle est sûre qu’on ne pourra pas la surprendre. Elle aussi passé maître dans l’air du sarcasme et de l’ironie. Excellente oratrice quant il le faut, elle sait se faire entendre. Maligne et subtile, retourner les situations à son avantage, elle adore. Plus insolente qu’on pourrait le croire, elle sait faire du mal aussi bien physiquement que psychologiquement. Très protectrice avec les gens qu’elle aime, elle devient très cruel lorsqu’on touche à une personne qui lui chère. Megumi sait s’entourer, les quelques fois où on peut l’apercevoir en compagnie de tout un groupe, c’est qu’il se trame quelque chose. Bien que plutôt douée pour le social, elle préfère marcher seule, même si elle n’en a que peu l’occasion, ne souhaitant pas s’attacher et le regretter ensuite et puis cela correspond mieux a sa nature d’insoumise. Très sensible, bien qu’on puisse en douter, Megumi est facilement découragée. On pourrait très facilement la prendre pour quelqu’un de bien, mais comme elle le dit elle-même : « Je ne suis et ne serais jamais un ange ». Tout bonnement indomptable et indéniablement complexe, Megumi est une jeune-fille fascinante tout simplement, bien dommage que peu de personne connaisse son « véritable elle », il est tout aussi séduisant, voir plus, que ce rôle qu’elle joue. Côté amoureux, la jeune fille comme je l’ai dit plus tôt, n’ayant pas vraiment d’attache, n’a jamais connu l’amour, et d’ailleurs ce demande si il y a bien une personne sur cette Terre, qui pourrait la comprendre. Elle n’est pas du tout pressé, le moment viendra, néanmoins, quelques fois, même si elle n’aime pas en arriver là, il lui ait arrivé d’utiliser de ses charmes…



    _ Qualités : [/b]Ambitieuse, Sur d’Elle, Sympathique, Intellote
    _ Défauts : Hypocrite, Sarcastique, Double Jeu, Orgueilleuse, Egoïste

    _ Aime / Aime Pas :
    Il faut savoir, qu’il y a une seule et unique choses qui traîne dans la tête de Megumi. Celle-ci c’est la musique ! Megumi n’est pas une fan de musique, elle est la musique, elle la vit. En effet, c’est presque sa seule activité ici. Elle adore sa guitare, le piano, avec lequel elle se débrouille, mais moins que la guitare, bien évidemment la scène, le public. Oui, Megumi aime être applaudis. Elle dit toujours sa phrase fétiche « Haaan, vous êtes sûr que vous avez aimé ? Je me suis sentit vocalement très limitée. » Et, pas à sa grande surprise tout le monde renchéri « Naaa ! Tu as été super ! ». Oui, c’est vrai elle adore les compliments, et elle ne s’en cachera pas. Elle joue le jeu, de la fille pas sûr d’elle, pour que les compliments coulent à flot. Il n’y a pas vraiment de honte à cela ?

    Sinon, a part la musique, elle adore la cuisine asiatique, elle en raffole, c’est diététique et super bon. Elle aime aussi l’originalité. Les gens qui suivent la mode comme des moutons, et qui copient les autres, très peu pour elle. Elle aime les gens uniques, qui ont un style et un caractère, très propre à eux-mêmes. Question films, ceux qui trônent dans l’esprit de la Megumi, sont les films romantiques. Elle adore les roses, tout ce qui parle d’amour, car bien que difficile, Megumi veut trouver son prince charment. La pauvre ne l’a pas encore trouvée, mais elle sait qu’il faut prendre son temps. En attendant, elle adore se gaver de chips, devant un film à l’eau de rose bien attendrissant, qu’elle ne cessera, quand même pas de critiquer à cause de la fin trop attendue. Elle en a tellement vu, qu’elle pourrait en créer un…

    Megumi aime l’art. Tout ce qui est danse, ou alors cinéma, photographie, elle adore tous les arts, même si elle n’a pas tout le temps la force et le temps de les appliquer. Car, la demoiselle, est une étude addict, malgré elle. Elle ne peut pas s’empêcher de travailler sans arrêt. Ses matières préférés, son les langues, et la biologie. Sinon, elle se débrouille, tout aussi bien dans les autres.

    Pour finir, on va parler de nourriture. Eh bien, je vous aie dit qu’elle adorait la cuisine asiatique ? Oui, c’est un fait, mais à part ça, elle ne se nourrit, d’une seule et unique chose. Les pâtisseries. On va dire que c’est son péché gourmand. Chaussons, éclairs, charlottes, elle les connaient tous. Délicieux ? Pire, elle en raffole. Enfin, tout ça pour dire que si un jour, vous remarqué, qu’elle a quelques kilos en trop, c’est à cause des pâtisserie, espérons que ça n’arrivera jamais…

    _ Avis que l'Ecole :Pour elle, rien n'est tout blanc, ou tout noir...



_ P O R T R A I T :

  • La beauté est trop classique aujourd’hui, dévoyée. Elle a perdu de son sens, les gens ont chacun leur charme. Il est trop facile d’être beau. La beauté s’observe, s’arrange, se soutient, se contemple, et se pose pour ainsi dire sans cesse dans un miroir imaginaire placé devant elle. C’est un attribut facile à adopter, et que l’on porte comme un bijou. C’est une beauté perdue, une simple trace de soleil sur un visage endormi.

    Quel que soit votre âge, votre sexe ou votre classe sociale, vous vous retournerez forcément sur le passage de Megumi. Au contraire de ce que l’on pourrait croire, on ne la dévisage pas que pour son apparence physique, mais pour sa prestance, la manière qu’elle a d’arpenter vivement les couloirs de l’Académie, l’aura qui se dégage de ce corps frêle et la façon qu’elle a de poser ses yeux sur vous lorsque vous lui adressé la parole. Même si, au premier abord, elle vous semble aussi douce qu’élégante, le ton de sa voix, un somptueux soprano, chassera de votre tête l’idée qu’elle puisse être asociale. Sa démarche est souple, légère et aérienne. Lorsque votre regard s’attarde sur Megumi, vous devinez une jeune-fille de taille moyenne, ne dépassant pas les 1m75, à la silhouette élancée et au port de tête droit. Mais vous vous doutez de part sa façon d’être, qu’elle n’en fait pas l’éloge et qu’elle-même n’a pas pleinement conscience de l’effet qu’elle peut produire. Désormais désirant de dissiper vos pensées lubriques, vous dirigez vos prunelles en direction de son jolie minois, qui est d’ailleurs encadré par une indomptable chevelure brune, parfaitement entretenus, mais aussi naturellement soyeux lui arrivant un peu en-dessous des épaules. Vous ne vous éternisez pas sur le front lisse et blanc de la jeune-femme, vous préférez de loin scruter les iris envoutants de l’adolescente. Ses yeux sont bleus, d’un beau et doux bleu foncé légèrement mordoré.

    Ils sont entourés de cils assez voyants qui rappellent les yeux d’une biche. Son nez aquilin, lui confère un petit air mutin qu’elle sait adorable. Sa bouche aux lèvres fines est joliment rosée, et s’étire bien souvent en un sourire amusé. Vos yeux s’écarquillent un brin lorsque vous constater la blancheur de sa peau, dangereusement diaphane. Puis vous jugez brusquement utile de vous intéresser à son style vestimentaire, et vous découvrez que Megumi possède un look simple et à la fois recherché, plutôt sobre mais préparé et féminin. Elle a gardé ses petites jupes, et ses collants montant jusqu’aux genoux, ses chemises, et ses gilets, elle a gardé le style Anglais, qu’elle a depuis longtemps, toujours dans les tons plus ou moins blanc/bleu/noir/gris. Pressentant que la jeune-femme adore les bijoux de part les innombrables bracelets et collier qu’elle porte, vous devinez qu’elle les accorde toujours avec soin à ses habits. Enfin, vous êtes subitement tiré de votre contemplation par un de vos camarades, et le temps que vous jetiez un dernier regard à la jeune-femme à la beauté douce et subtile, elle a déjà disparu, ne vous laissant qu’un souvenir éphémère et brûlant.


    _ Autres :
    En plus de cette aspect de perfection, la jeune fille, adore être admirée, quoi de plus normal ? Eh bien, pour cela, la jeune fille à déployé de grands stratagème. Par exemple, au naturelle, elle est droitière, comme les trois quart, des personnes en ce monde. Mais très peu pour elle. Elle a appris, à écrire de la main gauche, et c’est plutôt réussi. De plus, depuis cinq ans, elle est devenue végétarienne. Pas pour une noble cause, naa, juste pour attirer l’attention, comme d’habitude. Sinon, autre signe particulier, la jeune fille ne se comporte pas de la même façon avec certains. Ceux avec qui, ses relations sont ambiguë, la jeune fille ne peut jouer la comédie, et montre ses vrais côtés… Ca promet…


Dernière édition par Megumi Matsukaze le Mer 19 Aoû - 13:14, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Megumi Matsukaze Megumi Matsukaze EmptyVen 29 Mai - 21:09

« Ce que je n'ai jamais digéré,
C'est de voir mes sentiments d'amour constamment repoussés et méprisés...
Ça me faisait si mal... J'avais l'impression que j'allais mourir...
C'est pourquoi, je l'ai caché profondément dans mon cœur...»



    _ F A M I L L E :


    Edmund Matsukaze : - Extrait de son ancien journal -
    « Edmund ??? Mais qui c'est ça ??? Ah vous voulez dire Mumu !!! Non non je l'appelle pas comme ça directement devant lui, j'ai pas des envies suicidaires après tout... Mais j'ai prit l'habitude de le surnommer comme ça avec mon frangin, alors bon... Mon papa, c'est lui. Il paraît qu'il vient d'une riche famille anglaise, j'ai souvent entendu ma mère dire qu'il a un bâton dans le derrière. Je crois qu'elle veut dire par là qu'il est distant et froid et surtout très réservé. Prude aussi. Bref, il a pas grand qualités celons elle. Moi? Je le connais pas vraiment. Il passe ses journées dans son bureau ou au travail en ville, alors je le vois que très rarement. Je sais même pas dans quoi il travaille en fait, je me suis jamais posé la question. Je sais juste que je tiens de lui mon regard de tueuse, quand je suis énervé et qu'il m'aime pas beaucoup. Je crois qu'il voulait un fille un peu plus... Eu... Adulte? Ouais, il s'attendait à avoir une fille comme lui, distingué et calme, mais surtout intelligent qui pourrait reprendre sa compagnie... Il a eut moi à la place. C'est pour ça que j'ai changé, à cause de lui ! Mumu, il a de longs cheveux blancs qui sont supposément blonds et une peau très pâle. C'est de lui que Ewilan tien son teint je crois... En gros, c'est un iceberg qui passa sa vie à me critiquer. » -

    Magdalena A. Matsukaze : - Extrait de son ancien jounal intime -
    « Aaaaah ma douce maman chérie! Si vous saviez comme je peux l'aimer celle-là... C'est pas croyable d'aimer quelqu'un à ce point. Ma maman, c'est une japonaise téméraire et qui sait ce qu'elle veut. Elle est pas du genre à rester submissive et réservée, comme mon père le voulait, mais plutôt du genre à se tenir la tête haute et ne jamais lâcher le morceau. Je l'admire beaucoup et c'est elle qui m'apprit à aimer le Japon. Ma mère, elle est super grande, elle a des courbes d'enfer, de longs cheveux blond très passionnés et de magnifiques yeux verts olive. C'est une femme qui se fait souvent regarder par les hommes dans la rue et elle en est fière. Des fois, je me demande vraiment ce qu'elle fait avec mon papa... Mais quand je lui demande, elle me dit juste avec un sourire que c'était une décision dont ses héritiers bénifieraient pendant des lustres après sa mort... Peut-être qu'elle pensait à l'argent? » Ecrit par Megumi le 8 Juillet 1999 -

    Ewilan Matsukaze
    « No Comment for this man, because I hate Him... My Brother.»

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MessageSujet: Re: Megumi Matsukaze Megumi Matsukaze EmptyMer 19 Aoû - 15:32

_ S T O R Y

    Magdalena Aishter de son nom de jeune fille, s’est mariée à Edmund Matsukaze, son cousin par alliance, le22 mai 1988. Fiancé depuis leur plus tendre enfance, il s’agissait d’un mariage arrangé. Edmund , occupant un post influent à Londres, et Magdalena vivant en Ecosse avec sa famille, ils se voyaient peu, et s’en contentait très bien. Il n’y a jamais eu d’amour dans leur relation. D’ailleurs, Regan était connue pour ses innombrables aventures extra conjugales et Jasper pour ne vivre que pour son travail. Venant tous deux de familles bourgeoises, ils ont toujours eu ce qu’ils souhaitaient et ont toujours vécus dans le luxe. De cette bien triste Union, naquit tout d’abord leur premier fils Ewilan, puis quelques années plus tard leur fille Megumi. C’est alors que sa mère fut obligée d’emménager à Londres, près de son mari, pour le bien de leurs enfants. Le père bien trop occupée, par son travail, ne les voyait que quelques fois pas ans, et leur mère, bien que très aimante, trop occupée à son jeune âge à découvrir le monde, les voyait certes plus que leur père, mais tout de même pas assez. Megumi et Ewilan, était sous la tutelle de leur grands-parents maternelle. Rien de très extraordinaire pour le moment, une enfance normale pour un enfant issu de ce milieu.

    Ne manquant de rien, la jeune fille put s’épanouir tranquillement dans le milieu familial. Mais toute bonne chose à une fin, et c’est à l’âge de 5 ans, que Megumi dut apprendre les dur réalités de la vie, et revenir au monde réel. Bien que Magdalena et Edmund ne s’aimaient pas, au fil du temps ils ont même commencé à se détester. Edmund trouvant sa femme trop volage, et jaloux du succès qu’elle avait sans faire le moindre effort, alors que lui travaillait d’arrache pied, il entretenait une forme de jalousie envers elle. En ce qui concerne la jeune femme, adoptant un comportement puéril et ne comprenant pas assez le sens des affaires lui avait fait perdre une des meilleures occasions de sa vie. Depuis quelques mois, plusieurs disputes éclataient, et Magdalena finit par emménager en France, avec ses enfants, coupant tout les liens avec leur père. Le niveau de vie était le même, et la jeune fille toujours avide de nouvelle connaissance, finit par ce familiariser avec la langue. Trouvant tout de même le système bien trop différent de l’Angleterre, elle restait dans le cocon familial, avec une mère beaucoup plus présente, et un frère qu’elle apprit mieux à connaître…malheureusement.

    Intéressons-nous plus à ce frère. D’un naturel assez agité, le jeune homme n’a cependant pas été le centre d’attention premier de la famille, mais cela ne le dérangeait pas plus que ça. Cependant, il a toujours refoulé une certaine haine envers sa sœur, qui réussissait tout ce qu’elle faisait, et qui était, elle le centre d’attention majeure, mais pourtant ne l’a jamais exprimé. Mais cela n’allait pas tarder. En quelques mois, il changea complètement. Des petites pichenettes sur la tête, il passa au coup de poing sur les épaules, et autant dire que malgré les deux années qui les séparaient, le garçon restait beaucoup plus fort que la petite fille fragile. Megumi ne disait rien, relativisant la situation, elle prenait cela pour une forme d’affection, mais un jour, il exagéra…

    Comme tous les après-midi, Megumi avait le droit a sa leçon de musique. Sa mère l’avait initié à la musique, voulant lui faire partager sa passion. Pendant ces deux heures, sa mère s’éclipsait complètement, laissant son frère a part. A la fin du cours, comme d’habitude, Megumi alla chercher l’encas que la gouvernante lui avait préparés, mais cette fois-ci, ne le trouva pas. Cherchant partout, mais ne le trouvant pas, elle décida de s’en faire un elle même, mais n’eut même pas le temps d’essayer d’accéder aux armoires supérieurs à l’aide d’une chaise que son frère arriva. Toujours le sourire aux lèvres, elle lui demanda s’il voulait quelques choses, mais lui ne répondit rien. Inquiète, elle se rapprochait de lui de plus en plus, mais arrivé à quelques centimètres, celui-ci la poussa brutalement, puis elle tomba au sol. Ensuite vint une série de question, ou le jeune homme voulait la remettre en cause… « Megumi, pourquoi es-tu en permanence le centre d’attention ? » « Pourquoi suis-je en permanence éclipsée ? » « Devrais-je jusqu’à la fin, vivre dans ton ombre ? » « Réponds-moi, Megumi, pourquoi es-tu… TOI ? »

    Plus le garçon parlait, et plus il haussait le ton. Reflexe humain, elle prit peur, et essaya de sortir, mais le garçon la retint. On pouvait voir, quelques larmes cristallines qui coulaient sur son visage si sombre. Des cris s’en suivent, puis le garçon, perdu la tête. Le jeune garçon, prenait ce qui lui passait par la main, et les jetait au sol… Verre comme assiettes. Certains éclats finissaient par atterrir sur Megumi, mais n’était-ce pas ce qu’il souhaitait ? Avant que cela ne puisse aller plus loin, la gouvernante arriva à temps, alerté par les bruits de porcelaine cassée.

    N’ayant jamais eu à faire fasse à ce genre de situation, la mère décida de prendre rendez-vous avec un psychologue, et après quelques mois de longues séances, le résultat était clair, Ewilan, l’esprit trop torturé, et l’esprit bien trop violent, dût intégrer une maison de correction au Japon. La vie, n’était plus du tout la même. Megumi se rendait peu à peu, que les gens étaient envieux. La jeune fille, en fit les frais, car elle fut le sujet de nombreuses moqueries et coups bas, et appris que ses vrais amis, ne l’était pas… c’est ainsi qu’elle commença à se rétracter sur elle-même. Mais Magdalena la reprit rapidement, et lui expliqua clairement, qu’il n’y avait que les apparences qui comptaient, qu’on avait beau haïr les gens, il ne fallait pas leur montrer, car de toutes les façons, ils ne changeraient pas.
    Mais tout cela ne s’arrangeait pas. Ses parents, bien obligés de se parler depuis la crise d’Ewilan, n’allaient pas mieux, leurs relations allant le pire en pire. Megumi entendait souvent quelques uns de leurs appelle téléphoniques, et ce n’était qu’à bas de cris et d’insultes. A quoi bon vivre aisément, alors que l’amour n’était pas là ? La jeune fille se le demandait bien.

    Une soirée, alors que la jeune fille était sortie une des rares fois chez une amie, qu’elle ne connaissait pas vraiment. En fait, sa mère avait payé la famille de celle-ci, pour que leur fille, puisse être amie avec Megumi… c’était toujours comme cela, des amitiés fausses et achetés. Mais Megumi ne s’en souciait pas vraiment, tant qu’elle faisait plaisir à sa mère. La soirée fut ennuyeuse, sans aucun grand intérêt. Le lendemain elle rentra chez elle, et une surprise l’y attendait. Alors qu’elle cherchait sa mère dans la demeure entière, elle ne la trouvait pas. Il faut dire que leur maison était immense, juste pour deux personnes. Elle finit par se précipiter aux sous-sols, seul endroit où elle n’avait pas encore cherché. Il y avait une odeur assez nauséabonde, qui la gênait énormément… Le temps de chercher l’interrupteur, et d’allumer, son regard fixé au sol, le levant peu à peu, elle vit un corps, pendu. Le corps d’une femme, qu’elle connaissait, elle reconnu directement sa mère. La peau plus que blanche, et le regard blanc, on ne voyait plus ses iris. Le premier réflexe de la jeune fille, ne fut pas de crier, mais de s’approcher lentement du corps sans vie de sa mère… Elle prit sa main, puis la mit dans la sienne, puis quelques larmes coulèrent sur son visage. Elle ne savait pas quoi dire, ni quoi faire, en fait, elle ne voulait plus rien faire… C’est ainsi qu’elle resta, un bon moment en face du corps de celle-ci, sans rien dire, laissant parler, pour une fois ses véritables sentiments.

    Un an plus tard… La jeune fille avait déjà neuf ans. L’enterrement de sa mère avait été douloureux, mais elle apprit à faire sans. Elle était enfin revenue en Angleterre, pour vivre avec son père. La France ne lui manquait pas tant que ça, et elle avait plutôt une bonne capacité d’adaptation. Sachant que plus rien ne pouvait lui arriver, le pire était déjà passé, elle n’avait plus peur de la vie. Pourtant, elle était encore loin de ses surprises. La découverte de son don fut assez étrange. Alors que la jeune fille, voulant apprendre quelques matières en fantômes, et autres esprits de l’au-delà, elle s’était préparée, pendant une soirée à invoquer les esprits. Se prenant au jeu, elle fit comme il était indiqué dans son guide. Essayant d’invoquer un esprit, à l’intérieur d’un objet, elle agita les mains, mais au lieu que ce soit l’esprit qui apparaisse, ce fut l’objet qui se mit à virevolter dans les airs. Elle n’y croyait pas vraiment, et pensait que c’était un phénomènes physiques qui pouvait s’expliquer, mais non, rien ne pouvait s’expliquer, et elle comprit, qu’elle avait ce « don ».

    Elle garde cela pour elle, et croyait que personne ne le surautn mais un jour, elle vit dans son carnet à musique un lettre, de l’Académie « Takuetsu No Gakuen ». En résume, il fallait qu’elle intègre cette Académie, pour pouvoir rencontre d’autres élèves comme elle, mais Megumi, ne voulait pas… Alors d’un clic, elle déchira en plusieurs morceaux ce papier, puis fit comme-ci, elle n’avait rien lu, et rien reçu.

    Un mois plus tard, alors qu’elle rentrait chez elle, quelques hommes en noir, posté devant sa maison. Intriguée, elle ne passa pas par l’entrée principale, mais fit le tour, pour entre comme une clandestine, mais a sa grande surprise, ceux-ci se trouvaient une fois de plus sur son chemin. Elle avait beau être petite, et pouvoir se faufiler partout, elle ne put rien faire, contre ses trois baraqués… Trois ? Pourquoi au fait, un aurait suffit d’ailleurs. La jeune fille se débattait comme elle le pouvait, mais il ne la lâchait pas. Elle criait le nom de son père comme elle le pouvait, mais personne ne venait, puis elle se tue.

    « Si vous ne me lâchait pas tout de suite, vous allez avoir de sérieux problème ! Vous ne savez pas a qui vous avez à faire ! Je suis la fille de… »

    « De Monsieur Matsukaze… »

    Comment savaient-ils cela ? Elle commença à begueiller, ne sachant plus quoi dire. Ensuite, son père finit par les rejoindre. Il avait l’air au courant de se qui se trappait. Il s’avança doucement vers sa fille, puis lui releva le menton, en lui parlant droit dans les yeux.

    « Grace à toi, j’ai fait une bonne affaire… Continu à être sage, comme tu l’as toujours été, et nous nous reverrons peut-être dans une quinzaine d’années… Bon voyage… »

    Puis, elle fit une bise sur le front. Venait-elle réellement d’être vendue par son propre père ? Elle criait, ne voulait pas partir, pleurait à chaude larmes. Finalement on l’endormit de force… Quelques heures plus tard… Non, même quelques jours plus tard, elle se réveilla, dans un endroit qu’elle ne connaissait pas du tout… C’était l’Académie Takuetsu No Gakuen, elle serait avec des gens comme elle, et apprendra à maitriser son don. Rapidement, comprenant qu’ici le nom, la renommée, la famille et l’argent ne servait presque à rien, elle essaya de se faire un nom, par son caractère et ses relations avec les autres, et c’est ainsi, qu’elle commença à endosser ce « rôle ». C’était surement le début de la fin…

    Fiche Validée Megu', bienvenue en Classe E ! *w*
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Megumi Matsukaze

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