Takuetsu no gakuen
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Hikari Saname [V]

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Hikari Saname
Classe E ☆ ☆
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Hikari Saname

Féminin
Nombre de messages : 607
Age : 39
Localisation : In this wonderful world <3
Emploi/loisirs : Collégienne, flooder, manger du chocolat, RP, dessiner, les animes, les mangas, lire, dormir, rêver
Humeur : Hetaliaaaaaaaa! United Kingdom... Arthur... I love you ♥ America I loooooove you too! Spain ! Prussia ! I love all of them *O*
Date d'inscription : 09/02/2009

Feuille de personnage
Don: Peut faire apparaître des objets par la pensée en échange de son énergie vitale (Wah! La classe *w* /SBAF/)
Chambre: 16F
Côté coeur <3: Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip... Dead x_x /SBAF/

Hikari Saname [V] Vide
MessageSujet: Hikari Saname [V] Hikari Saname [V] EmptyLun 16 Fév - 4:11

Triple post, again, je sais que c'est mal, mais ma fiche ne passe pas en deux parties --'
Merci à ceux qui ont posté des commentaires ^^
Merci aussi à ceux qui auront le courage de lire ma fiche jusqu'au bout ^^
_______________________________________________________________________

Votre personnage


    Identité



  • Nom : Saname
  • Prénom : Hikari (surnom le plus courant : Hika)
  • Age & date de naissance :: 29 février 1993 et a donc 17 ans (bien qu’elle n’est pas vécu seize 29 février) [Hors Fiche : J’ai demandé l’avis à Yuka et elle est d’accord pour que ma perso soit né le 29 février 1993, bien que cette date n’existe pas réellement ^^’]
  • Niveau scolaire : Lycèe, classe E
  • Pouvoir : Peut faire apparaître des objets en y pensant et les faire léviter autour d’elle. Ce don est malheureusement très instable et peut même devenir parfois incontrôlable selon ses humeurs. Lorsqu’elle n’est pas assez concentrée, elle doit penser à l’objet et dire son nom simultanément.
  • Membre ou non de Jiyuu ?: Non, elle n’en a même pas encore connaissance.
  • Forme du don: Son don appartient à la troisième catégorie, il lui prend de son énergie vitale à chacune de ses utilisations.
  • Sur le plan scolaire? : Hikari est une très bonne élève. Elle écoute consciencieusement en cours et fais ses devoirs. De plus elle ne sèche que très rarement ; cependant, il se peut qu’elle arrive en retard au premier cours de la matinée car le réveil n’est pas son point fort.




    Personalité



  • Caractère : Hikari n’est pas une personne qui a une cote de popularité élevée. Non, c’est même l’inverse, soit on ne la remarque pas, soit elle a une mauvaise réputation. Ce fait est du à son caractère très déplaisant à la plupart des gens car ils doivent s’habituer à ce caractère peu commun. Hika est très solitaire, elle ne s’occupe pas des autres et n’essayent pas de se faire des amis, elle s’est enfermée dans une sorte de carapace que personne, pour le moment, n’arrive à percer. Aussi elle est très distante et froide, vous ne la verrez sourire que très rarement, mais quand elle le fait, ce sourire est si doux, si innocent qu’il peut vous emporter loin. Elle a donc une nature très asociale et peu de gens l’approchent, en partie à cause des mystères qui l’entourent. Elle ne parle pas et est de nature taciturne, elle ne vous parlera que si vous l’intriguer. En plus de ce caractère des plus étranges, elle peut se montrer très curieuse. Si vous l’intriguer, elle pourra peut-être même chercher des information sur vous. Elle fait de nombreuses fiches comme celle-là, sur chaque personne qu’elle rencontre, elle amasse des informations, le plus souvent, elles ne lui servent pas. Haki ne s’adapte donc pas à la société qui est la notre aujourd’hui.
    Mais elle peut aussi avoir par moments des côtés très mignons et sympathiques. Elle est prête à tout pour ses amis, elle accepterait même de mourir pour eux. Elle est donc facilement manipulable si vous êtes entré dans sa coquille. Ceci peut être compté comme une qualité ou comme un défaut, elle est très intelligente, c’est peut être ça qui a formé une frontière entre elle et les autres. Elle n’étudie pourtant pas tellement mais elle comprend très vite, en quelques sortes, on peut la qualifié de surdouée. Et petite dernière chose, elle peut avoir de nombreuses sautes d’humeur et peut s’énerver rapidement si vous insultez ou dîtes du mal de ses amis. En colère, elle peut changer presque radicalement de personnalité.
    Passons désormais à une autre partie de sa personnalité, sa partie «combattante», on pourrait l’appeler ainsi. Comme dit précédemment, lorsqu’elle se bat, elle peut parfois changer de personnalité, c’est sur cette dernière que nous allons nous pencher désormais. Cette «autre elle» est impitoyable, tel un robot, elle exécute tous les ordres. Mais, lorsque Hikari est dans ce «mode combat», sa force est grandement plus importante. Elle ne perd cependant rien de son côté taciturne mais devient plus sadique, sans pitié, sans le moindre sentiment pour les vies qu’elle prend, qu’elle arrache. Le plus souvent, elle ne fait pas souffrir ses victimes avant de les tuer, à moins que vous comptiez la douleur psychologique à la vue de vos camarades morts avant vous, elle leur donne directement le coup fatal, en se fichant bien de s’ils ressentent ou non de la douleur. Hika devient cette autre personne lorsqu’elle perd le contrôle de son corps. Des psychologues se sont penchés sur cette dangereuse anomalie. Ils ont émis une hypothèse comme quoi certains humains en difficulté, ou qui ont subi un choc traumatisant dans leur vie, et qui veulent échapper à la réalité pouvaient développer des symptômes comme une double personnalité ou des pertes de conscience plus fréquente qu’un humain normal. Hikari déteste cependant ce côté-ci de sa personnalité. Elle le trouve barbare, inhumain, violent, impitoyable etc.
  • Aime & aime pas : Hika adore par-dessus tout les sucreries et autres friandises comme les bonbons, les gâteaux, les caramels, les toffees, le réglisse, les glaces, enfin bref, tout ce qui est sucré. Ses sucreries préférées restent néanmoins les sucettes, Hikari est capable de vous en vider un stock entier en l’espace de moins d’une semaine. Malgré ce penchant très prononcé pour toutes ces choses qui font grossir, elle ne prend pas un gramme et garde sa taille de guêpe.
    Elle aime beaucoup aussi tout ce qui est mignon, ainsi, elle adore les peluches, elle avait même commencé une collection, qui a malheureusement été détruite peu après son commencement.
    Son passe-temps préféré est la lecture. Elle lit les livres à une vitesse fulgurante et adore ça. Le petit problème est que ce passe-temps lui est quelque peu coûteux à la longue, en conséquence, elle peut lire deux fois le même livre en l’espace de seulement une semaine. Son animal fétiche est le lapin, elle les préfère de couleur blanche, car elle adore l’histoire d’Alice aux Pays des Merveilles (ou Alice in Wonderland). Elle trouve ces animaux trognons avec leurs deux oreilles qui bougent au moindre petit bruit.
    Son arme de prédilection est le katana, elle trouve que c’est la plus belle arme qui existe au monde et l’utilise presque à chacun de ses combats, elle s'est d'ailleurs entraîné, et s'entraîne encore aujourd'hui, jours et nuits pour maîtriser parfaitement plusieurs styles.
    Le blanc est la seule couleur qu'elle sépare des autres. C'est sa couleur préférée, celle qui la rend heureuse. Mais peut-on vraiment appelé ça une couleur? Car, en réalité, elle ne l'aime que parce qu'elle est neutre, sans rien. Rien que du blanc, comme un mur où tout se serait effacé avec le temps, tout aurait disparu. Elle aime aussi la solitude, la tranquillité, bref, les espaces vides, neutres, sans personne, que l'ont pourrait qualifié de blanc, avec uniquement elle, silencieuse pour peupler ce paysage désolé.
    Sa saison préférée est l’hiver, elle adore les paysages enneigés des hivers blancs. Elle a aussi un penchant pour tout ce qui est froid comme de la glace ou de la neige, ces deux éléments-là sont d’ailleurs ceux qu’elle préfère. Peut-être est-ce par ce qu’ils lui rappellent sa nature et son caractère, distante, froide, taciturne et asociale.
    Le feu est, à l’inverse, est l’élément qu’elle déteste le plus, il lui rappelle sans doute le jour où elle a tout perdu, et aussi, le feu qui la dévore lorsqu’elle commence à se battre. D’ailleurs, elle déteste tout autant cette partie d’elle, si brutale, violente, indisciplinée et barbare, et qui, malgré tous ses efforts ne veut pas se laisser enchaîner. La jeune fille déteste aussi qu’on lui mente, même si c’est pour la protéger. Et elle ne peut pas supporter le mois de février. Elle le trouve trop court, sans doute à cause de sa date de naissance, et aimerai bien qu’il fasse vingt-neuf jours à la place de vingt-huit. Elle n’aime pas du tout la viande et refuse souvent d’en manger. Ses quelques amis comptaient énormément pour elle, avant que l’incident ne les efface et, avec eux, les quelques moments heureux de sa vie. Hikari n’aime pas que l’on tourne au tour du pot, elle préfère que l’on soit franc et direct. Elle peut même, si vous tournez trop longtemps, partir en vous ignorant comme si vous n’existiez pas. C’est ce dernier fait qui a fait qu’elle a souvent été réputée comme une fille asociale, louche, sur qui on ne peut jamais compter même quand on a des problèmes.
    Elle déteste aussi qu'on colporte des ragots sur elle ou sur l'un de ses amis. Elle trouve cela très vil, mauvais et méchant de la part de ceux qui y participent. Elle n'y prête d'ailleurs jamais attention, c'est sans doute pour cela qu'elle n'est pas au courant pour Jiyuu.
  • Ce qu'il pense de l'école : Elle ne s’y est jamais vraiment intéressé. Elle prend l’université pour une école comme les autres, à l’exception peut-être que ce ne sont pas des humains qui y étudient mais des surhumains, en quelques sortes. Elle se fiche complètement de ce qui peut bien s’y passer de suspect. Elle n’agira que si elle est elle-même touchée ou si c'est l'un de ses rares (et futurs) amis.



    Physique



  • Portrait : Hikari est une personne très belle. Elle serait très populaire si son caractère ne repoussait pas tous les garçons. Elle de petite taille, 1m57, et est très fine (on pourrait même dire maigre), 38 kilos. Malgré toutes les sucreries qu’elle avale, elle ne prend pas un gramme et conserve sa taille de guêpe. Lorsqu’elle est rentrée à l’académie, certaines filles, jalouses de sa finesse, croyait que son don était de ne jamais grossir, ce qui est faux, elles ont d’ailleurs appris son véritable don peu de temps après. Elle n’a cependant quasiment aucune forme apparente et est, comme on le dirait aujourd’hui, plate.
    Mais, elle est aussi mignonne qu’une petite fille, aussi elle y ressemble énormément avec son visage et ses traits fins, sa petite bouche dont les lèvres sont légèrement rosées, sa peau blanche, ses sourcils fins, ses jambes et ses bras fins, et enfin, ses beaux yeux couleur de glace.
    Ces derniers, de couleur bleu très clair, sont, comme on pourrait dire, vides, aucune lueur n’apparaît, même lorsque Hikari est en colère, aucun feu ne survient pour illuminer les profondeur de ses prunelles. Personne n’a jamais vu, à l’académie, une quelconque lueur et beaucoup ont tenté maintes fois d’illuminer ces pierres de glace, mais toutes leurs tentatives ont été vaines. Ces beaux yeux pourront tout de même entraîner certains, pendant un moment plus ou moins long, dans leurs profondeurs, mais ils pourront paraître pour certain aussi morts qu’un paysage d’hiver blanc sans personne. Ce phénomène dépend de nombreuses choses, mais principalement de son humeur et de votre caractère.
    Sa peau blanche ressemble à celle d’une poupée de porcelaine et ses yeux bleus clair ne font que faire ressortir d’avantage son teint pâle.
    Ses cheveux sont courts, très rarement attachés et d’une couleur peu commune, il sont bels et bien bleus naturellement. Il peuvent paraître plus ou moins de cette couleur selon l’éclairage et sont habituellement raides, mais, quand l’humidité de l’air est trop importante, leur bout commence à onduler. Elle ne s’occupe pas particulièrement de sa chevelure, mais cette dernière reste toujours douce et soyeuse. Par contre, elle est assez indisciplinée, lorsque ses cheveux sont très raides, ils commencent à rebiquer, surtout au niveau de la tête. Mais cela ne la préoccupe cependant pour le moins du monde.
    Bref, où que l’on puisse regarder Hikari ressemble en tout point à une magnifique poupée de porcelaine. Il n’y a jamais de rose qui empourpre ses joues, pour la bonne et unique raison qu’elle n’est jamais gênée de quoi que ce soit, un garçon peut même la voir en sous-vêtements, cela ne la gênera pas.
    Une seule chose la différencie cependant à cet emblématique objet de la beauté, elle ne sourit pratiquement jamais. Son visage reste de marbre, sans qu’aucune expression ne le traverse. Ses sourires, pourtant si doux et si naturelles, font sourire les autres à leur tour. Son visage n’a ni une expression sérieuse, ni une expression en colère, c’est plutôt une expression distraite, comme si elle était dans la lune, les nuages. Même lorsqu’elle lit, son visage ne change quasiment pas.
    Ainsi, beaucoup de gens sont tout de même attiré par le mystérieux entourant l’étrange personne qu’est Hikari. Il y a une sorte d’aura attirante tournant autour d’elle qui procure le résultat est qu’elle attire l’attention et les regards curieux alors qu’elle est presque aussi bavarde qu’un mur d’une salle de classe. Les personnes l’approchant s’étant quelque peu retrouver à parler toute seule, quelques médisances se sont vites propagées sur elle, mais, à force, au vu que cela fait plusieurs années qu’elle est dans l’académie, elles ont aussi vite disparues qu’elles n’étaient apparues.
    Son style vestimentaire est, tout comme elle, neutre et n’a rien de bien particulier. Il est tout de même parfois assez spécial lorsque l’uniforme n’est pas obligatoire. Elle porte souvent des jupes de couleur foncée, avec, en haut, une superposition de deux ou trois vêtements. Les longues chaussettes rayées sont, elle aussi, souvent portées. Son style reste tout de même neutre et n’a rien de bien différent que les autres, à part peut-être sa veste blanc cassé [H.F. : voir dans le profil].
    Hikari n’a donc rien de bien spécial, à part qu’elle est dotée d’une beauté mystérieuse qui fait tomber de nombreux garçons sous le charme, mais ces derniers abandonnent vite, à cause du caractère de la jeune fille.

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Hikari Saname
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Hikari Saname [V] Vide
MessageSujet: Re: Hikari Saname [V] Hikari Saname [V] EmptyLun 16 Fév - 4:13

Suite...
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    Passé



  • Son histoire : « Je suis une personne normale ! » C’est ce que je scandais lorsque j’étais plus jeune. Personne ne voulait de moi, j’étais si… seule. Je m’en souviens comme si c’était hier, ce sentiment de délaissement, celui qui me faisait si mal à l’intérieur. Pire qu’une maladie, c’était la douleur de la solitude. Mes parents, voyant ce que je pouvais faire, s’en sont pris à moi très rapidement, le soir même où j’ai montré ce que je savais faire ma mère, je n’avais que 4 ans ce jour-là, elle a crié d’effroi et m’a fouettée jusqu’à ce que je m’en évanouisse. Mon père, lui, est tombé dans l’alcool et ne m’a plus jamais reconnue comme étant sa fille, me battant chaque fois que je l’appelais papa. Seule ma grande sœur s’occupait encore de moi, jusqu’à ce qu’eux, ils déménagent, me laissant, seule, dans la peur du noir de la cave, j’avais froid, j’avais faim, je pleurais.
    Je suis restée ainsi pendant une semaine, sans boire et sans manger, lorsque les policiers m’ont retrouvé, j’étais évanouie, à moitié morte, allongée à même le sol. Il s m’ont ensuite livrée à un orphelinat, mais, où que j’aille, j’étais rejetée, de part mon apparence et de mon pouvoir si mystérieux.

    A mon souvenir, je ne me suis sentie heureuse, après que mon pouvoir est apparu, qu’une fois dans ma vie. La période qui me fait cependant le plus souffrir aujourd’hui. Je vais vous raconter cette histoire, mon histoire.

    Je me suis retrouvée dans un énième orphelinat, j’allais alors avoir 6 ans, mais, j’étais toujours seule, je pleurais souvent, j’étais maltraitée par les autres élèves, je n’avais plus d’attache, j’étais en quelques sortes un fantôme dans un corps de petite fille. Des médisances se disaient sur moi, n’en pouvant plus, je perdais le contrôle de mon pouvoir, et, je me faisais enfermée dans des pièces sombres, des pièces terrifiantes. On me narguait, on m’évitait, on ne voulait pas me voir, on ne voulait pas de moi, même les professeurs faisaient comme si je n’existais pas. J’étais pourtant très intelligente, lorsque les autres élèves ne trouvaient pas, je trouvais, mais, rien n’y faisait, que j’ai tort ou raison, les réactions étaient les mêmes, tantôt du mépris, tantôt de la peur, tantôt du dénis. Personne ne voulait de moi, et moi, tout ce que je voulais, c’était disparaître.
    Mais, un jour, une fille, aux cheveux longs et de couleur or m’approcha, ses beaux yeux verts pétillaient de malice, c’était la première à m’approcher ainsi. Croyant qu’elle allait me frapper, comme bon nombre de mes camarades, je me recroquevillai sur ma chaise. Mes cheveux bleus étaient longs à cette époque, ils me couvraient mon visage et mes yeux, effrayés regardaient le sol fixement, n’osant pas regarder cette jeune fille normale, mon contraire, en somme. Elle me regardait toujours fixement, je le sentais, mais, de ce que j’osai regarder de son visage pendant cette longue minute c’était ses lèvres, roses, qui s’étiraient en un grand sourire. Elle commença alors à rigoler, d’un rire si cristallin, si beau, si claire. Je levai lentement les yeux vers elle et lui adressai un léger sourire. Aussi rapidement qu’il était apparu, il disparut la peur était encore omniprésente en moi, je sentais tous les regards des autres élèves posés sur nous, la classe entière nous observait. La fille releva alors ma tête avec sa main douce et retira les quelques mèches de cheveux qui me cachaient le visage. Elle lança alors d’une voix si belle et si douce :

    « -Je m’appelle Saya, Saya Naguchi ! Ravie de te rencontrer, tu dois être Hikari Saname ? »

    Comme simple réaction, je hocha la tête et me recroquevilla encore plus sur ma chaise. A cette époque, j’étais déjà petite pour mon âge, et, j’étais maigre, beaucoup plus que les autres, la raison à cela ? Je ne mangeais plus rien, je ne me nourrissais plus, je voulais disparaître, mourir en quelques sortes. Saya m’empoigna alors le bras et me tira de ma chaise, sans comprendre comment, j’étais déjà debout. Elle me fit alors, ce que personne n’avait jamais fait pour moi depuis l’apparition de mon pouvoir : elle m’enlaça, comme on enlacerait sa meilleure amie. Ses beaux cheveux blonds sentaient la fraise, elle était si mignonne, je me souvins alors qu’on appelait une certaine Saya, Hime [princesse], ça devait être elle, cette fille si belle et si gracieuse qu’au moindre regard, elle vous faisait tomber à la renverse. Je l’entendis alors rigoler calmement.

    « -Oui, c’est toi, aucun doute possible là-dessus… Soyons amies, tu veux ?
    -A… mies ? »


    Mes yeux s’illuminèrent alors, c’était le première fois que quelqu’un me disait ça, tout le monde m’avait toujours renié, telle une enfant démoniaque, personne n’avait jamais été mon ami. J’y croyais, j’y ai cru pendant longtemps, mais je ne pouvais pas voir, à ce moment-là, le sourire démoniaque qui s’étirait sur les lèvres de cet ange descendu du ciel.

    « -Oui, amies, toi et moi, ensemble… pour la vie.
    -Tu veux vraiment, tu veux vraiment vraiment ?
    -Bien sûr, sinon, je ne serai pas ici en ce moment. »


    Elle se décolla alors de moi et me regarda dans les yeux, un sourire doux s’étirait sur ses lèvres. Mais, la sonnerie rompit ce moment de délivrance qu’était celui que j’étais en train de vivre. Saya me fit un clin d’œil et partie dans sa classe en lâchant un :

    « -A toute à l’heure Hikari ! »

    Elle disparut alors à l’angle de salle et moi, je restais debout, dans la classe, des lumières plein les yeux, j’étais si contente en ce moment que rien ne pourrait ne serait-ce qu’égratigner mon bonheur.
    Lorsque le professeur entra dans la classe, le regard qu’il me lança me glaça les veines, c’était le professeur d’histoire géographie, il s’appelait M. Akeshiya, c’était le professeur qui me détestait le plus. Il commença alors son cours, même si je connaissaisles réponses à toutes les questions qu’il posait, jamais il ne m’interrogeait, il avait sans doute beaucoup trop d’antipathie à mon égard pour cela. Le cours se déroula sans incident et la sonnerie indiquant la fin du cours sonna, tous les élèves partirent manger, tous sauf moi, je ne mangeais plus depuis un bon moment déjà.
    Saya rentra alors dans la classe, tel un ange venu me chercher, elle m’emporta avec elle sur le toit de notre établissement et me donna une part de son bentô, je voulus refuser, mais elle insista et je fus bien obliger de manger ce que me donnait ma nouvelle «amie».

    Des jours et des jours, des semaines et des semaines sont passés ainsi, j’étais avec Saya, petit à petit, je lui ouvrais mon cœur, petit à petit, elle me rendait la joie de vivre, et enfin, petit à petit, me voyant traîner avec leur «Hime», les autres se rapprochaient de moi. Je me sentais mieux, beaucoup mieux, j’avais retrouvé la joie de vivre. C’est alors que quelqu’un d’autre est entré dans ma vie, c’était le meilleur ami de Saya, un certain Kei Koriyama, je m’en souviens comme si c’était hier. Si les yeux de Saya était vert émeraudes, ceux de Kei étaient du noir le plus profond. Il voulait souvent discuter avec Saya, mais ne me parlait jamais, comme si je n’existais pas. Pourtant, je savais qu’il me voyait et qu’il me remarquait, car, parfois, il jetait des regards tantôt effrayés, tantôt suspicieux, et, à chaque fois, je voyais ses belles prunelles sombres.
    Un jour, il vint cependant me voir, en compagnie de Saya, ils voulaient tous les deux me parler, ils avaient une mine si sérieuse que de la rigolade, je passai au sérieux qui semblait être de rigueur en ce moment. Saya pris la parole la première :

    « -Hikari, cela fait déjà assez longtemps que nous nous connaissons, et j’aimerai te présenter mon meilleur ami, Kei. »

    Le garçon hocha la tête, j’en fis de même et lança d’une voix peu assurée :

    «Salut, ravie de te rencontrer ! »

    Je me recroquevillai sur place, j’avais peur que toutes mes peines et mes douleurs recommencent, j’avais peur que la rencontre d’une personne nouvelle n’efface tout. Le garçon la regardait avec un regard intense, si dense qu’on se perdait dans ses prunelles. Saya reprit la parole, un sourire aux lèvres :

    «-Hikari, avec ton accord, j’ai une faveur à te demander, seule toi peut le faire. »

    Je hochai la tête, ne comprenant rien sur le moment, mais, je savais que j’aurai mieux fait de refuser, mais, le risque de tout perdre était grand, trop grand pour une gamine de six ans sans doute. J’étais prête à tout pour mes amis, je le leur devais bien. On me demanda alors si je pouvais me trouver devant la Fontaine de la Place à 21h00, bien évidemment, l’idée ne m’enchantait pas je faisais tout ce que me demandait Saya.
    A 21h00, j’étais devant la fontaine, les lumières de la ville étaient belles, il y avait encore quelques personnes dans la rue mais, dans un si petit village, peu de gens restaient jusqu’à cette heure-ci. J’attendais mes deux amis, je ne les voyais pas, ils avaient peut-être eu un empêchement, cela dit, j’attendis tout de même jusqu’à 21h15, lorsque soudain, deux ombres familières apparurent, je leur fis signe, mais je n’eus pas le droit à une réponse de leur part. Tous deux avaient sur leur visage, un grand sourire étiré mais ils avaient l’air sérieux, bien trop sérieux. Je voulus m’enfuir, quand, Kei m’attrapa par le bras. Les forces me perdirent et ils m’entraînèrent vers une cabane, cette dernière était assez petite et était entièrement en bois. Ils me firent entrer dedans et me firent asseoir sur un fauteuil rapiécé. Saya s’assit à côté de moi et me regarda dans les yeux, dans ses yeux, il n’y avait plus aucune lumière de joie et d’amusement, et, sur ses lèvres, s’étirait un sourire mauvais.

    «-Hikari, comme je te l’avais dit, nous avons besoin de toi… de ton pouvoir !
    -Mon… pouvoir ? Mais, pourquoi, je ne sais même pas s’il fonctionne encore… je… »


    Elle posa un de ses doigts fins sur mes lèvres et m’amena dans un autre coin de la pièce, il y avait là de nombreux flacons qui contenaient des liquides étranges. Saya, qui avait perdu toute once d’amitié m’ordonna :

    «-Fais apparaître un autre flacon avec de l’essence ! »

    Je fis non de la tête et voulus m’enfuir, mais Saya, mon «amie» me retenait par le bras. Elle enfonça ses ongles dans la chair de mon bras gauche et me gifla. Je commençai à pleurer, frottant ma joue rougie de ma main droite. Cela ne servait à rien de résister, ils étaient deux, j’étais seule, si seule. Je me concentrai et fit apparaître le dernier flacon. Celui-ci contenait un liquide noir, comme dans mon imagination. Ce petit flacon lévitait à côté de moi, je le prit et le déposa dans un des trous de la table, à côté des autres. Je vis alors le sourire qui s’étira sur ses lèvres, un sourire méchant, machiavélique. Elle prit le flacon et en versa le contenu dans un autre flacon dont le contenant était d’une étrange couleur verte. Mais, au lieu de se mélanger correctement, les deux liquides commencèrent à mousser, le nouveau liquide montait de en hauteur, et sans que personne ne comprennent pourquoi, le flacon explosa.

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Vous avez envie de lire la suite? Et vous en avez le courage? Alors allez post suivant ^^


Dernière édition par Hikari Saname le Lun 16 Fév - 18:24, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Hikari Saname [V] Hikari Saname [V] EmptyLun 16 Fév - 4:20

Suite v2...
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    De la fumée s’échappait de l’endroit où il était déposé, la table prenait feu… non, ce n’était pas seulement la table qui brûlait mais tout le mur de la cabane, fait exclusivement de bois, se consumait très près de nous. La chaleur était étouffante, la fumée suffocante, je cherchais mes amis des yeux, tout deux avait disparu, ils étaient sans doute aller se réfugier dehors. Une main sur la bouche, je sortis à mon tour de cet embrasement. Je vis deux ombres noires dans la nuit qui courait le plus vite possible vers la ville. Derrière moi, des gens approchaient, je me souviens même du bruit des armes qui battaient le flanc des policiers, la peur que je ressentis à cet instant était telle que mes jambes en tremblaient. La sirène des pompiers s’entendait déjà au loin. Le vacarme était assourdissant, le bruit des policiers qui couraient vers elle, la sirène des pompiers, mais, surtout, le bruit du feu qui crépitait et gagnait de plus en plus d’ampleur tout près de moi. C’est un instant de peur ne dura que quelques instants, car, mon instinct de survie reprit le dessus sur le contrôle de mes mouvements, sans réfléchir, je commençais à courir en direction des autres.

    J’eus la nette impression, qu’eux, au lieu de ralentir pour que je puisse les rattraper, ils couraient de plus en plus vite. J’en fis de même pour ne pas me laisser distancer. Courant rapidement, j’arrivai à les rattraper, on était rentrés dans la ville. Mais, lorsque je pris le poignet de Saya, cette dernière se retourna pour me regarder droit dans les yeux. Elle me poussa violemment à terre et me donna un grand coup de pied dans le ventre. Quelques gouttes de sang giclèrent de ma bouche et je me tordis de douleur sous la violence du choc. Le sol était froid, très froid, trop froid pour mon doux visage. Je voulus me relever, mais je sentis quelque chose de mouiller, de très froid, plus encore que le goudron sur lequel je gisait, c’était une chaussure, oui Saya me gardait à terre de cette manière rustre et barbare. Je commençais à pleurer, les larmes coulaient sur mon visage blanc, je ne voyais plus rien. Soudain, j’entendis une voix que j’aurai reconnu entre mille, c’était celle de ma «meilleure amie», une voix si belle, si chanteuse, mais, elle n’étais plus calme et tendre, elle était devenue méchant, vile et plus aucun accent de tendresse pointait.

    « -Non, non, toi tu vas rester là ! Il faut bien que quelqu’un paie,
    non ?
    »


    Je respirai difficilement, mais je levai tout de même la voix… J’avais envie de comprendre pourquoi, pourquoi elle faisait, pourquoi elle ne voulait plus de moi…

    « -Mais… mais tu n’es pas… »

    Je me libérai du pied qui me tenait à terre et je me mis à genoux, regardant fixement mon «amie» dans les yeux. Elle me regarda à son tour, la mine dégoûtée, en ce moment, elle était si belle, mais, simultanément, elle était tellement laide. Plus aucun sourire n’illuminait son beau visage, j’eus du mal à la reconnaître. De plus en plus de larmes coulaient sur mon visage, j’avais du mal à sortir ce mot, car il me faisait tellement souffrir en cet instant, il me brûlait la gorge, faisait monter les larmes aux yeux. Mais, dans un brusque élan, je haussai soudain la voix, presque à en crier je libérai ce mot des chaînes qui le liaient.

    « -Tu n’es pas mon amie ?! Tu m’avais promis… tu m’avais promis que tu serais mon amie pour la vie !
    -Amies ? Amies ? Tu as vraiment cru que je voulais être amies avec toi ? »


    Elle me pointa du doigt d’un air dédaigneux et continua, elle dit quelque chose qui me fait encore beaucoup souffrir maintenant, elle employa le seul mot que je ne pouvais accepté dans mon vocabulaire.

    « -Qui voudrait être ami avec un monstre comme toi ? Hein ? Espèce de monstre ! Monstre, tu aurais mieux fait d’être brûlée dans la cabane, c’est d’ailleurs pour ça qu’on-t-y a emmenée ! On espérait que tu cramerais en enfer ! Espèce de monstres ! Monstre ! »

    Elle me gifla, cette gifle, je ne la sentis pas, j’étais si choquée, tellement en colère, je ne contrôlais plus à mes mouvements. Mais, petit à petit, plus ma pseudo meilleure amie me traitait de monstre, plus la colère l’emportait sur la déception de voire tous mes espoirs anéantis. Je la regarda, le visage plein de larmes, elle rigolait, me pointait du doigt en me traitant d’abomination de la nature. Je ne pus le supporter plus longtemps, je parla d’une toute petite vois, tel un chuchotement :

    « -Vous, vous m’avez trahie.
    -Tu disais espèce de monstre ! Abomination ! Tout le monde se porterait mieux si tu n’avais jamais existé ! »


    Ne contrôlant plus mon corps, mon cœur, mon esprit ainsi que mes réactions, je fis inconsciemment apparaître deux couteaux, ils lévitèrent à côté de moi, je les sentais, si proche de mon oreille, si proche de mon visage. Les deux autres me regardèrent avec les yeux écarquillés, moi, la monstruosité tâché de sang et ayant couvrant tout mon corps, j’osais les attaquer, eux, des humains normaux.

    Le premier couteau alla directement vers l’œil gauche de Saya, cet œil que j’avais pendant si longtemps admiré les reflets et les étincelles. Lorsque l’ustensile pointu et tranchant s’enfonça dans l’orbite, du sang gicla et mon amie d’hier étant devenue mon ennemie hurla de douleur. Ce cri devait s’entendre d’un bout à l’autre de la forêt, ainsi que d’un bout à l’autre de la ville tellement il était strident et perçant. Elle tint son orbite, creuse désormais, le sang n’arrêtait pas de couler, et, Saya tomba à genoux sur le goudron, en face de moi, à environ cinquante mètres seulement. Je ne voulais pas voir ça, j’avais peur, je ne me contrôlais plus, et je contrôlais encore moins ce pouvoir destructeur qui était le mien, et qui l’est encore aujourd’hui, je n’étais plus maître de mes réactions.
    Ne pouvant rien, faire, je me cacha le visage dans mes mains, mais trop curieuse sans doute, je regardai tout de même. Ce que je vis me glaça d’effroi, le deuxième couteau transperça le garçon en plein cœur. Kei Koriyama était mort en moins de temps qu’il n’en faut pour s’en rendre compte. Il gisait à même le sol, dans une marre du liquide écarlate.

    Je me souviens juste que je fis apparaître un autre objet des plus dangereux, un katana. Ce dernier avait un pommeau et un manche de couleur noir avec du délicat fil tressé rouge, sa lame, quant à elle, était gris foncé mais, sur le tranchant, le métal était encore plus foncé, presque de couleur noire, ce métal dessinait des vagues agitées. Je me souviens aussi m’être relevée, l’avoir pris, puis, ce fut le noir intégral, comme si je dormais.

    En tout cas, à mon réveil, j’étais allongée sur un tas de décombre encore fumante, des corps gisaient inertes devant moi. Je mis assez de temps à deviner que le tas de décombre sur lequel j’étais allongée n’était autre que la ville, et que les corps inertes, étaient les cadavres des villageois. Je me suis relevée brusquement à cette découverte, je remarquai que de ma main droite, je tenais ce sublime katana foncé, mais, sa lame à ce moment n’était plus faite de gris foncé, mais du rouge le plus pur, comme celui des pétales d’une rose rouge. De ma main gauche, je tenais le pommeau, ce beau pommeau, lui, était resté de sa couleur d’origine, le noir. Lorsque je voulus le regarder de plus près, l’examiner plus consciencieusement, il disparut en de petites lumières qui disparaissaient petit à petit en mon tant vers la lune. Le sang qui se trouvait sur la lame, quant à lui, se transforma en des pétales de rose rouges, cette vision était si poétique et si magnifique que je dus resté figée ainsi pendant plusieurs minutes, autrement dit, jusqu’à ce que la légère brise qui soufflait ce soir-là n’emporta les pétales avec elle.
    Reprenant enfin conscience, je me souvins de quelques bribes de ce qu’il s’était passé le soir. J’en eu la nausée, ce que j’avais fait était inhumain, et, ce qu’il y avait autour de moi était si… si désolant que je commençai à courir. Je courus sans m’arrêter, sans regarder le champ de désolations qui s’étirait à perte de vue, j’avais peur. J’étais sûre que c’était moi qui avais fait ça, rien que moi. En une nuit, j’avais rayé un village de la carte, il ne pouvait en être autrement ! Qui pouvait faire une chose pareil, à part un monstre ? Personne, j’en étais persuadé. Alors, je continuai à courir, sans destination, ne sachant où aller, pour la deuxième fois de ma vie, j’avais perdu mes repères.
    Ce jour là, c’était l’anniversaire de mes sept ans, enfin, c’était la nuit du vingt-huit février au premier mars, autrement, mon anniversaire était par là.

    Durant l’année qui suivit, je errai de ville en ville, personne ne me remarquait, je vivais salement, dans la rue. Jusqu’à ce qu’un beau jour, une voiture luxueuse de couleur noire, s’arrêta près de moi et me prit au passage. J’approchais de mes huit ans.

    C’est à ce moment là que je suis arrivée là où je suis aujourd’hui. Avec des monstres, plus ou moins puissants, mais des monstres tout de même, des monstres comme… moi.

  • Rêves : Elle n'en a pas, enfin, plus précisément, elle n'en a plus. Ils ont tous disparus lors du tragique accident qui a marqué sa vie et dont elle était l'actrice principale, le premier rôle. Ils se sont donc tous effacés à cette date, comme de nombreuses choses qui appartenait à son ancienne vie, celle qui était rythmé par le bonheur et la joie.


Qui se cache derrière l'écran?!



  • Prénom : Top secret, classé ultra confidentiel pour cause d'interdiction parentale =P Petite précision, je suis aussi connu sous les pseudos de Miyu et de Yuhi sur d'autres forums (c'est juste pour qu'on me reconnaisse, au cas où)
  • Age : 13 ans (je sais, je sais, je suis jeune, mais ne vous fiez pas à mon âge ou vous risquerez d’être surpris)
  • Comment avez vous connu le forum ôô ? : Grâce à Mikado-Chan (Yuka sur ce forum) ! *o*
    Qu'en pensez vous ? : Superbe design, tout comme l’histoire d'ailleurs ! En clair, j’aime beaucoup, de plus, il y a de nombreux RPistes et des personnes que je connais déjà sur d'autres forums. Par contre, je sais pas s'il y a de nombreux floodeurs, je vais devoir me renseigner ^^
  • code ? : [validé]

_________________________________________________________________________________________________

Voilà ^^
J'ai fini ma fiche, j'espère qu'elle sera validée pour que je puisse (enfin!) commencer le RP ^^
Désolée, je sais que c'est un peu long, donc, j'ai essayé d'aérer l'histoire pour ne pas faire un gros pavé illisible et lourd à lire, qui donne pas envie. Mais, à la fin, l'histoire ne passait plus en un seul message (pas sûre qu'elle passe en pavé non plus d'ailleurs >.>) donc j'ai du couper en trois parties, et donc, faire un triple post car des gens (que je remercie quand même, je ne vous en veux absolument pas) ont posté des commentaires et que ça aurait été gênant à lire ^^'
J'espère ne pas avoir fait trop de fautes --'
Et surtout, merci beaucoup à ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'ici (de lire la totalité quoi =P) ^^
*énoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOrme calin à tous cela*
C'est Mikado-Chan qui va être contente à son retour des vacances =D


Dernière édition par Hikari Saname le Dim 22 Fév - 18:21, édité 1 fois
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