Un jeu de charade ? Juste un entretien [ PV M&M ] [NA]

Zuka était tranquillement assise à son bureau, comme toujours et en toute circonstance, elle avait du travail mais cependant elle avait la nette impression qu’elle n’avançait pas. Elle avait beau finir un dossier et le ranger, elle était presque sûr qu’il avait laissé deux ‘’petits’’ sur sa table. Vous l’aviez compris, la secrétaire générale, vrai bourreau de travail, était débordée et cela bien plus qu’a l’accoutumé. Elle retenait dans sa gorge un soupir de défaite alors qu’elle enlevait à sa ceinture le seul appareil moderne des lieux, car même son téléphone n’était plus tout jeune, son Keitai. L’engin dans ses mains, elle faisait défiler les catégories avant de tomber sur celle nommée ‘’ pions’’, elle prenait le premier nom de sa liste et cela tombait sur Mattéo Madney. La bureaucrate hésitait quand même quelques secondes avant d’envoyer le message de convocation au jeune homme. Ce n’était pas qu’elle avait des scrupules à refiler du travail à un des pions de l’Académie mais c’était plutôt la personne qui était sortie, en effet, le jeune surveillant venait d’arriver à l’école, ainsi il n’avait pas encore réellement de l’expérience…

Finalement après quelques minutes de réflexion, la secrétaire envoyait le message de convocation, comme cela le jeune homme pourrais voir la ‘’mauvaise graine ‘’ de Takuetsu et ce familiarisés avec ceux-ci, pas qu’elle avait l’intention de lui confier la tâche régulièrement, mais si l’homme n’était pas capable de tenir l’étude, elle n’espérait même pas un couloir. Certes cela ressemblait à une mise à l’épreuve, cela n’en était pas loin, mais elle avait surtout besoin de quelqu’un, la malchance enfin plutôt son répertoire, l’avait désigné.
Soulagée de ce poids qu’elle avait en moins sur les épaules, la femme retournait à ses dossiers, après avoir fixé son horloge en forme de fleur, normalement le novice devrait arriver dans moins d’une heure. Elle devait donc avancé un maximum avant que sonne 14h, elle espérait qu’il soit au moins ponctuel, même si elle l’avait prévenu dans un bref délais, car aujourd’hui elle n’avait vraiment pas de temps à perdre.

Mattéo se tenait dans la salle de repos des enseignants, il n’avait rien à y faire mais la machine à café l’avait attiré, il glissa le montant, a savoir 460 yens et s’assit à une table tenant son Mokaccino comme on tiendrait une bible. Il avait posé son Blackberry modifié son Ipod et son Keitai sur la table. Après quelque minute de sirotage seulement son Keitai lâcha le début de la marche funèbre pour avertir d’un message, avant même qu’il n’ouvre l’écran il sut que c’était la secrétaire déprimer et déprimante… Il ne l’avait vue qu’une fois, elle lui avait donnait son pass et dit ses attributions, ainsi il avait eu son adresse Keitai et avait personnalisé la sonnerie. Aussi il lui répondit et goba le reste de son café l’air peinait d’avoir dépensé 460 yens pour ça…
« Arrive tout de suite, suis en bas, monte »
Ah la la… habitude quand tu nous tiens… Math commença donc sa monter vers les enfers bureaucratique. Math grimpa les marches quatre a quatre, rangeant ses affaires et se donnant un air convenable. Il commença donc par remonter son slim gris usé et lissa son tee shirt, il enleva sa casquette et la remit droite, celle-ci noir possédait un smiley sur le côté. Il toqua à la porte du bureau et entra :

-Bonjour, vous m’avez demandait ?

Il sourit poliment à la jeune femme et attendit une réponse, celle si assise a son bureau faisait toute petite comparé au mètre quatre-vingt cinq du surveillant. Il soupira en voyant les piles de dossier sur le bureau, s’approchant il posa les mains sur le tableau du bureau, ses poignet nu révélèrent une montre grise ou des smiley défilait sur l’écran… Tous ses éléments pouvaient signifier à Zuka qu’il avait a peine l’âge de certains universitaires et qu’il ne fut pas d’un grand sérieux. Quand le jeune homme s’en rendit compte, il tira sa manche sans faire mine de rien puis lança un grand sourire à la froide secrétaire. Il était clair maintenant que le sérieux du jeune homme n’était pas une valeur sure.

Zuka était occupé à avancer dans ses dossiers ainsi quand la sonnerie de son Keitai retentissait, elle ne jetait même pas un coup d’œil, mais ce n’était pas une chose inhabituel, elle ne regardait que ses divers messages au moment de ses pauses, pas avant !
Penchée sur son document, elle ne relevait même pas la tête pour vérifier l’heure alors qu’un coup rapide venait de retentir contre la porte vite suivie par une ouverture.

-Bonjour, vous m’avez demandé ?

Le jeune homme s’approchait de son bureau et posait un de ses mains sur le meuble, elle voyait avec sa vision périphérique les bracelets de celui-ci, qu’il s’empressait de caché.
La secrétaire finissait sa page en quelques minutes, elle fermait le dossier et l’ajoutait à la pile à sa gauche, ce n’est qu’une fois ce geste fait qu’elle plaçait ses mains l’une contre l’autre et relevait la tête en direction du surveillant. Une fois de plus sa jeunesse la frappa, même si elle n’en montrait rien, elle était persuadée qu’il sortait à peine de l’université ainsi elle était soulagée qu’il soit attribué au bâtiment principal, il y aura moins d’ennui en perspective. Elle se demandait si finalement il serait garder de main de maître un petit groupe qui s’apparentait parfois plus à des délinquants que des élèves. Les yeux sur le pion, elle rompait enfin le silence de la pièce.

- Bonjour. Répondait-elle de sa voie naturellement sévère qui ne perdait jamais son côté froid alors que d’un geste de la main, elle désignait les deux fauteuils en cuir noir qui se trouvait devant elle.
- Vous pouvez vous asseoir monsieur Madney Déclarait-elle au bout de quelques secondes de silence, car elle ne savait pas si son geste avait bien était perçu par le jeune homme.

Ironiquement, une fois que le surveillant fut bien assis, c’était Zuka qui se levait, pour se diriger vers le fond de la pièce et ouvrir une armoire plus claire que les autres, elle en ressortait un dossier de couleur jaune, contrairement à la pile qu’il y avait sur son bureau qui était brun clair et elle revenait prendre place sur son trône. Elle fixait bien dans les yeux, d’un regard ou ne se reflétait rien, le membre du personnel, tandis qu’elle ouvrait le dossier devant elle, ses mains placée dessus avec son stylo en main ; elle recommençait à parler.

- Si je vous ai fait venir aujourd’hui c’est dans un but précis. J’aimerai que vous présidiez l’étude, dimanche prochain. Expliquait-elle sans détour ni mise en forme, déjà parce que ce n’était pas dans son caractère d’aller droit au but mais surtout elle n’avait vraiment pas le temps.

- Vous pouvez refuser. Précisait la bureaucrate pour ne pas avoir sur le dos ensuite un ‘’ elle m’a forcée, je ne voulais pas ‘’ et autres enfantillage que pouvait lui servir le membre du personnel d’une très mauvaise foie et il était beaucoup dans l’établissement. Il était vrai que la femme avait une attitude glaciale qui n’incitait pas au refus mais ce n’était quand même pas elle qui prenait la décision finale.

Zuka continuait de laissée parcourir son regard sur le visage de son invité, elle attendait sa réponse, laissant le froid plané dans la pièce par son aura naturellement glaciale du moins quand elle était dans ce bureau. Elle ne souhaitait pas brusqué le jeune homme et lui laissait donc tous le temps de réfléchir en espérant bien entendu que sa réponse serai positive.

Le jeune surveillant ne semblait pas se formaliser de la tournure que prenait la conversation, car sous ses airs de jeune homme propre sur lui et digne de confiance ce cachait quand même un espion, il commença se balancer d’avant en arrière tout en continuant d’écouter la secrétaire parler. Il entendit la femme lui parler de colle… Ce n’était pas dans ses plans. Mais il allait accepter et ceux, pour un but évident. Il était claire que ce retrouver avec les pires éléments de Taku l’aiderait peut-être a mieux cernée cette académie.

-Hum… Je pense que cela fait partie de mon rôle dans l’académie, j’accepte donc volontiers cette tâche. Par contre j’aurais une question, cette histoire de « don » comme vous le savez j’en suis également doté, j’ai une question simple, est-ce que les élèves peuvent les utiliser contre moi ? Je ne suis pas quelqu’un de froussard et je suis assez bien bâti mais je dois savoir si les dons des élèves sont réellement dangereux, aussi j’aimerais recevoir par Keitai les caractéristiques des dons des élèves que je vais devoir garder… Histoire de me préserver… Cela serait-il possible, mademoiselle ?

Le jeune homme souriait toujours, il semblait sympathique mais si on regardait de plus prés on voyait que derrière ses lunettes, il n’y avait aucune étincelle de réelle joie. ; Il semblait toujours aussi calme, sous ses airs de jeune homme un militaire ce cachait la pour découvrir tous les petits travers de takuetsu. Toujours aussi aimable il tira de sa poches une boite de bonbon a la menthe en goba un et en posa un sur le bureau de la secrétaire :

-Vous avez mon Keitai… Et pour les dates ? Je dois préparez l’armure en kevlar pour quand ?

En reparlant ainsi du Keitai, cela laissez peu de place a la jeune femme pour lui refusez la demande. Cependant le jeune homme savait bien que rien ne la pousserez à accepter… Mais il y avait aussi le fait qu’il sache pour les dons… C’était dans son contrat… Logique quand on surveille des jeunes gens capables de faire tout et n’importe quoi…

[Hj : Court mais au moins t'as une réponse =P]

Zuka aurait esquissé une grimace si cela n’aurait pas craqueler son masque de glace.
Elle n’appréciait pas tellement la technologie, cela paraissait certainement vieux jeux, mais si elle aimait se trouver dans une image qui lui rappelait son époque, que même si elle n’était pas éternelle et que c’était sa seconde vie, elle n’appartenait pas à ce monde toujours trop pressé. Elle avait un keitai par obligation et aspect pratique, ne pouvant communiquer avec la plupart des élèves ou même des professeurs sans cet objet.

La secrétaire sortait d’un de ses tiroirs, une liste déjà pré-établi, après tout quand ce n’était pas elle qui officiait l’étude, c’était Hanael qui devait la remplacer mais vu son état de santé, il n’aurait pas pu contrôler les graines de délinquants, qu’elle allait confier au jeune surveillant. Elle était tout de même amusée de sa question précédente, même si beaucoup des élèves étaient un peu ‘’sauvage’’ elle ne pensait pas qu’aucun oserai ne fus que porté la main sur un membre du personnel, sous peine d’avoir a faire au directeur lui-même.

La Japonaise glissait plusieurs morceau de papier dans une par chemise avant de les tendre au jeune homme en face d’elle. Une fois qu’elle était sûr, que celui-ci avait bien les documents dans sa paume, elle lui expliquait enfin le contenu de la poche et en profitait pour répondre à sa question.

- Les élèves ne sont nullement autorisés d’utiliser leur don dans le sein de l’école, sauf dans le cours à cet effet bien entendu. Ils savent parfaitement où l’utilisation de ceux-ci les mène, rassurez-vous, aucun ne portera la main sur vous. Vous êtes autorisé à employer les grands moyens si vous n’arrivez vraiment pas à les contrôler mais je ne vous le conseil pas. Après ce long dialogue, la brune se taisait afin de reprendre sa respiration.

Elle tenait vraiment à mettre les choses au point dés le début, parce qu’elle n’accepterai qu’aucun surveillant ou même qui que soit blesse encore ses enfants. Elle était pour la politique de la punition, de la fermeté mais pas de la maltraitance. Il était vrai qu’elle avait déjà employé la violence avec un ou deux élèves, mais seul ceux qu’elle savait qu’il fallait serrer la bride directement sinon dans peu de temps, ils seraient trop tard.

- Sur la première liste, vous avez le nom des différents élève qui doive aller en retenue. Assurez-vous bien que chacun d’eux y soit, n’hésiter pas à ajouté des heures de colle à l’ardoise. Et pour se qui est des dates…le premier dimanche de la rentrée (en Avril, rp à pris du retard donc) Nous verrons si vous avez réussi à vous débrouillez et ensuite si on fera de nouveau appel à vous dans d’autre occasion. Finissait la bureaucrate alors qu’elle se remettait plus à l’aise dans son fauteuil de cuir.
- Ce sera tout. Vous avez des questions ?

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