Takuetsu no gakuen
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Kami Maede [loading...]

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Auteur Message
Kami Maeda
Profeseur d'Art
Kami Maeda

Nombre de messages : 16
Age : 34
Localisation : Dans la ville des lumières...
Emploi/loisirs : Dessiner, écrire, lire, torturer <3
Humeur : Très bonne ^-^
Date d'inscription : 13/09/2009

Feuille de personnage
Don: Absorbe l'énergie vitale
Chambre: Dortoir des profs
Côté coeur <3: Néant TT

Kami Maede [loading...] Vide
MessageSujet: Kami Maede [loading...] Kami Maede [loading...] EmptyMar 15 Sep - 1:55

Votre personnage



    Identité



  • Nom : Maede

  • Prénom : Kami (Ceci dit, ses proches l’appellent Yue)

  • Age & date de naissance : Elle aurait dans la trentaine

  • Quelle matière enseigne-t-elle ? : Professeur d'Art(s)

  • Pouvoir : Absorbe l'énergie vitale des êtres vivants

    Dans tout être vivant, humain, animal ou végétal, circule un fluide -autre que le sang- appelé ki, "souffle" ou même énergie vitale.
    Kami a la capacité d’augmenter sa mesure en ki en absorbant celle des êtres l’entourant. Rien ne se perd, rien ne se crée. L’absorption a pour conséquence la diminution de la mesure de ki des êtres vivants « récipients ». Dont découlent un affaiblissement notoire, un vieillissement précoce, voire la mort. D’un autre côté, en augmentant sa mesure de ki, Kami rallonge son espérance de vie et renforce ses capacités physiques.
    Ceci dit, elle ne peut absorber le ki que par contact physique direct ou très proche (dans les 20/25cm, oui c'est très précis). La facilité avec laquelle elle puise dans les récipients dépend de leur nature. Les végétaux et les animaux de petite taille ne font pas long feu. Les humains sont plus ou moins résistants, mais les mutants génétiques ont -étrangement- une énergie vitale bien plus revigorante que la normale… bien qu'un peu plus difficile à obtenir.

  • Que pense-t-elle du Jiyuu ?: Citation « Ah ! L’impétuosité de la jeunesse… ça leur passera. Ou on leur passera dessus. »



    Personalité



  • Caractère : Toujours un sourire énigmatique sur les lèvres, Kami est quelqu’un de posé, de joyeux, et doté d’un humour décapant. Elle est toujours à l’écoute des autres et offre souvent de bons conseils.
    La sagesse qui émane de ses paroles ne reflète pas son âge. Par ailleurs, personne ne l’a jamais vu se mettre en colère. Ou alors, personne n’est encore vivant pour en témoigner… D’après elle, ce serait « gâcher de l’énergie pour rien. » Ceci dit, elle n’hésite pas à user de ses talents pour « convaincre ».
    Ses yeux rieurs sont souvent voilés, comme si elle se remémorait quelque souvenir avec nostalgie. Se cantonner à cette image de sérénité et de paix intérieure serait certainement une erreur. Nous avons tous une part d’obscurité et chacun est plus ou moins doué pour la dissimuler. Ou encore pour l’exposer aux yeux de tous sans qu’on ne comprenne.

  • Qualités: Généreuse, loyale, déterminée, posée, serviable.

  • Défauts: Impitoyable, bordélique (mais elle s’y retrouve par on ne sait quel miracle), légèrement sadique.

  • Aime & aime pas :
    Kami aime avant tout pratiquer les arts tels que la peinture, la poésie, le chant, la danse, la musique, l’ikebana… La création est l’essence même de l’art. En dehors de ça, elle aime la bonne chaire (et mange comme quatre sans prendre un nanogramme, respect) et dormir comme une marmotte.
    Ce qu’elle n’aime pas. Les rustres et ceux qui ne comprennent rien à la beauté et à la contemplation. Se lever tôt le matin.



    Physique



  • Portrait : D’origine chinoise, elle a cependant des traits plus marqués que la normale. Presque occidentaux. Certains indiscrets poseraient bien des questions que l’éclat sanguin de son œil droit dissuade de poser. Son visage en cœur révèle deux yeux noirs en amande, une bouche délicatement dessinée et un petit nez fier.
    Ses longs cheveux noirs descendent jusqu’au niveau des genoux. Bien qu’elle apprécie de les lâcher, elle prend souvent le temps de les coiffer en chignon traditionnels. Son teint de porcelaine ferait mourir de jalousie une star de pub pour fond de teint. Bien que mince, elle a de généreuses courbes qui n’enlève rien au charme du personnage.
    En ce qui concerne ses vêtements, elle ne porte que des kimonos de soie. Leur couleur et leur épaisseur varient naturellement en fonction. Elle ne se chausse que de tabi et de geta, et ce, quelque soit le temps. Son maquillage reste discret, khôl aux yeux, rouge sur les lèvres.
    Il est vrai qu’elle n’est pas désagréable à regarder mais quelque chose se dégage de sa personne. Quelque chose de dérangeant. Il est vrai que lorsque son œil droit, irisé de filaments écarlates, semble scintiller… cela ne peut donner que la chair de poule.
    Kami possède en plus de cela un tatouage au niveau du nombril. Une couronne d'épines sanglantes l'entoure dont il en éclot de délicates fleurs blanches.



    Passé



  • Son histoire :D’origine chinoise, Kami a néanmoins passé sa vie au Japon après que ses parents y aient émigré lors de la révolte des boxers. Ils eurent du mal à s’intégrer à la population locale encore réfractaire malgré la récente politique d’ouverture de l’Empire. Ils n’étaient que des paysans ayant du mal à survivre sur les terres qu’on avait bien voulu leur louer. Mais cela ne suffisait pas.
    Finalement, ils la vendirent, espérant qu’elle ait une vie meilleure. C’est ici que je lui laisse la parole. Elle saura mieux vous parler de cette époque que moi-même :

    « Je ne me souviens pas de mes parents. Tout ce qu'il me reste, c’est le nom qu’ils m’ont donnée. Yue. Pour la Lune. J’avais cinq ans en même temps. C’est à cet âge-là que j’ai été vendu à l’okiya d’Okâsan.

    Le destin prend d’étranges chemins. Je n’avais aucun passé, mais c’est la marche effrénée du temps qui s’est imposée à moi. Cela, je dois avouer, m’a aidée à oublier d’où je venais. L’apprentissage d’une geisha est difficile, et long. Je suis devenue maiko, apprentie geisha. La danse, l’art de la conversation, la musique, le chant, la poésie, la cérémonie du thé… ce fut long et très dur, comme je l’ai dit plus haut. Mais cela l’était d’autant plus que j’étais chinoise pour les autres alors que je n’avais guère de souvenir de mon pays d’origine. Je me sentais japonaise. Mais, visiblement, mon avis n’avait que peu d’importance.

    Et le fait que j’étais douée dans ce que j’entreprenais n’arrangeait pas mes relations avec mes consœurs. Voyons, si je me rappelle bien, Nee-san, ma grande sœur geisha s’appelait Kameko et choisit de m’appeler Kami lors de notre san san ku do, la cérémonie entérinant les liens qui nous unissaient. Bien que j’en fus flattée, cela me gênait de prendre le nom de « Dieu », je choisis donc pour les clients de m’appeler Ookami, la louve.

    J’avais du succès, je devais prochainement changer mon col rouge de maiko pour celui de geisha qui était blanc lors du mizuage, la vente de ma virginité comme le voulait l’usage. J’avais seize ans quand celui qui paya une somme astronomique eut ce privilège d’être le premier. Le premier à mourir pour moi.
    Je n’ai pas compris sur le moment lors qu’il s’affaissa pour ne plus se relever. Ses cheveux si noirs étaient devenus si blancs et sa peau lisse cireuse. Il semblait avoir vieilli d’un siècle en l’espace de quelques secondes. Et moi, étrangement, je me sentais plus vivante que jamais. Je pouvais sentir mon sang pulser dans chaque recoin de mon corps. L’acuité de mes sens me submergea au point de m’étourdir.

    Mais le retour à la réalité me dégrisa bien vite. Ma carrière de geisha était terminée, avant même d’avoir commencée. Okâsan et Nee-san me renièrent et je fus vendu à une maison de plaisir. Désormais, je nouais mon obi devant. De maiko, je ne devins même pas oiran, mais servante d’oiran. Seuls les plus fous ou les plus pauvres osaient me demander, sachant qu’ils en mouraient. On me surnommait « La Mort qui marche ». Les plantes se fanaient sur mon passage et l’on me traitait souvent de démon. Mais je continuais à pratiquer les arts que l’on m’avait enseignés. Le reste m’importait peu.

    Mais un jour, je reçus une visite pour le moins étrange. Un homme à l’apparence plutôt jeune tint à me voir. Il avait les yeux verts et portaient un monocle. Je l’ai mis en garde qu’il risquait d’en mourir. Il m’a souri et m’a dit qu’il savait. Par la suite, il m’a fait une proposition que je n’ai pu qu’accepter. »


  • Rêves : Citation « Seuls ceux qui sont insatisfaits rêvent, je ne rêve plus depuis bien longtemps. »


Qui se cache derrière l'écran?!



  • Prénom : Hélène
  • Age : 20 ans
  • Comment avez vous connu le forum ôô ? : Par l'intermédiaire d'un membre
    Qu'en pensez vous ? : C'est sympa, voyons voir la suite =D (torturons quelques élèves mouahaha)
  • Code ? : [ Code Bon By la Femme En Sucre ]


Dernière édition par Kami Maeda le Mar 15 Sep - 22:41, édité 5 fois
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