Takuetsu no gakuen
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Motoko Keisang [V

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Motoko Keisang [V Vide
MessageSujet: Motoko Keisang [V Motoko Keisang [V EmptyVen 11 Sep - 20:50

Voilà, j'ai rajouté ce qu'il manquait, et fait quelques modifs, notamment au niveau du phyqique et du caractère, avec bien sûr l'accord de Mlle Yuka. Je sais pas si je dois me refaire valider du coup, donc je repost ici...


Votre personnage


    Identité


  • Nom : Keisang
  • Prénom : Motoko
  • Age & date de naissance : 16 ans, née le 15 mai 1993
  • Niveau scolaire : Collégienne de classe D
  • Pouvoir : Deux grandes ailes blanches
  • Forme du don: Diffuse
  • Avec ou contre l'école?: To-ta-le-ment contre ! Mais chuuuuut ! C’est un secret...
  • Sur le plan scolaire? Élève studieuse, elle joue la grosse fayotte en essayant d’avoir la confiance des professeurs. Elle étudie à fond pour acquérir le meilleur niveau possible afin de réussir son plan...


    Personalité


  • Caractère : Motoko est prétentieuse et pourrie gâtée. Ses parents lui ayant laissé un gros compte en banque, la jeune fille n’hésite pas à s’en servir et ne manque pas de le rappeler à son entourage. Ceci la rendue égoïste et capricieuse, dans le genre « je veux ça tout de suite et ici ! », et si vous avez le malheur de lui demander de vous prêter/donner quelque chose, n’importe quoi, elle vous répondra sur un ton sarcastique « T’avais qu’à en acheter ! Ah, mais oui, c’est vrai, tu n’as pas assez d’argent pour le faire... Eh bien, tant pis pour toi ! »
    On peut désormais ajouter que Motoko est hautaine et méprisante envers tout le monde, que ce soit des primaires ou des universitaires. Les seules personnes envers qui elle est respectueuse sont ses professeurs et les membres de l’administration, mais dans le seul but d’attirer leur confiance, qui est indispensable pour la réussite de son plan. Lequel ? Vous le saurez dans la suite de cette fiche... C’est également pour cela qu’elle si studieuse et sérieuse dans son travail : pour leur prouver qu’elle attache une grande importance à Takuetsu et qu’elle est une bonne élève sur qui on peut compter.
    Néanmoins, cela nous prouve que notre jeune ange est quelqu’un de manipulateur, et se servir des autres pour arriver à ses fins ne la gêne pas le moins du monde. Elle est également menteuse et hypocrite, et toute sa vie, sa personnalité, son attitude sont basés sur le mensonge. Une fille très mystérieuse donc.
    Mais cela ne l’empêche pas d’être une grande gueule. Dire tout ce qui lui passe par la tête, que ce soit sympa ou méchant (surtout quand c’est méchant), elle le fait à longueur de journée. Mais étant très vaniteuse et non moins orgueilleuse, une bonne partie de ce qu’elle dit est à propos d’elle-même, et ce n’est jamais pour en dire du mal. Car Motoko a beaucoup d’amour propre, et perdre un défi est un véritable supplice pour elle. Alors, en bonne mauvaise joueuse, elle attribue toute réussite d’autrui à la chance, et uniquement la chance.
    Heureusement pour elle, étant une fille intelligente et malicieuse, cela lui arrive peu souvent et elle compte plus de victoires que de défaites.
    Il n’empêche que la jeune fille est quand même plutôt courageuse en ne refuse aucun des défis qu’on lui propose, profitant de chaque occasion pour se mettre à l’épreuve ou d’écraser les plus faibles. Car notre jeune ange est vicieuse, et elle sait faire souffrir les gens de façon à ce qu’il ne l’oublie jamais.
    Enfin, Motoko est curieuse, et c’est un défaut comme une qualité. Une qualité car tout l’intéresse, mais un défaut car elle n’hésite pas à se mêler de la vie privée des gens, souvent pour se servir contre eux des informations qu’elle recueille.
    Mais cette Motoko pleine de défaut en cache une autre, enfouie au plus profond d’elle-même. Une Motoko sensible, généreuse, au cœur profond. La Motoko d’avant le drame. Mais cette facette de sa personnalité, la jeune fille doit la cacher, car il ne faut montrer aucun signe de faiblesse qui pourrait nuire à son plan. Jusqu’ici, une seule personne a réussit à découvrir la véritable Motoko : Shinobu Kawasaki, qu’elle considère comme sa meilleure amie.

  • Qualités: Intelligente, malicieuse, studieuse, courageuse, curieuse, sérieuse.

  • Défauts: Pourrie gâtée, vaniteuse, menteuse, orgueilleuse, grande gueule, prétentieuse, hypocrite, vicieuse, hautaine, méprisante, curieuse, mauvaise joueuse, manipulatrice.


  • Aime & aime pas : Motoko aime se vanter, c’est plus fort qu’elle, elle ne peut pas s’en empêcher. Elle aime aussi insulter les gens, ça l’éclate tellement de pouvoir se défouler ainsi que s’en est devenu une habitude. Elle adore chanter. Motoko a une voix magnifique et ne s’en prive pas. Il n’y a que lorsqu’elle chante qu’elle redevient elle-même, aussi la jeune fille essaie d’être discrète lorsqu’elle pratique cette activité. Elle aime également beaucoup la guitare mais ne sait pas en jouer. Elle adore se mettre à l’épreuve, sûrement parce que cela lui montre souvent qu’elle est « la meilleur, que personne ne peut la surpasser, qu’elle va tous vous écraser mouhahaha »... Bref. Motoko voue un véritable culte à la mer, qu’elle considère comme le commencement de tout.
    Il y a une chose que la jeune fille déteste par-dessus tout : perdre son sang froid. Cela montre sa vraie nature qui d’abord doit rester secrète et qui, en plus, lui fait honte. Autre chose : ne sous-estimez pas la jeune fille, vous risquerez de la mettre en rogne et de vous faire charcuter/défoncer/humilier/insulter/chaire à patéifier/éclater/etc... L’adolescente ne supporte pas non plus les gens qui se croient supérieurs à elle, et elle le fait vite comprendre. Les gens qui lui posent trop de questions font également partis du lot des personnes que Motoko ne peut pas voir, suivis de près par les gamins. Enfin, notre jeune ange n’aime pas les jours de pluie, qui la rendent triste et mélancolique.

  • Ce qu'elle pense de l’école : Qui penserait que cette jeune fille hait le pensionnat au plus profond d'elle même ? Bien sûre, elle ne le montre pas, mais qui aurait deviné que Motoko veux être la meilleure et la plus "fayottée" de l'école pour simplement mieux la détruire ensuite ?


    Physique


  • Portrait :
    Motoko est assez grande, mais pas trop. Sa peau est très blanche, pratiquement translucide, et elle bronze très difficilement.
    La jeune fille est une gothique lolita invétérée, et elle s’habille souvent de longues robes noirs ou rouges foncés à volants, de bas et de longs gants en dentelle noire ou grise, parfois déchirés, et elle n’hésite pas à accrocher quelques nœuds couleur sang un peu partout. Lorsqu’il fait chaud, on la voit souvent avec une ombrelle en dentelle rouge. Notre ange ne porte jamais l’uniforme.
    Ses longs cheveux noir ébène lui arrivent à la taille. Ils sont lisses et brillants, souvent détachés et laissés libres, parfois garnis de petits nœuds.
    Ils surplombent un front haut, qui descend sur de fins sourcils noirs, arqués comme il faut.
    Des cils épais bien recouvert de mascara précèdent ses immenses yeux naturellement violets et légèrement en amande, entourés de crayon noir. Ils ne laissent traverser aucune émotion susceptible de trahir sa couverture et sont généralement froids.
    Son nez est court et fin, ses joues, légèrement rosées.
    Sa petite bouche en cœur est naturellement rouge cerise et ne nécessite donc pas de rouge à lèvres.
    Ce visage se termine par un petit menton arrondis, et est soutenu par un cou gracile, qui donne sur des épaules gracieuses, assez étroites.
    Ses bras longs, plutôt minces mais néanmoins assez musclés, s’achèvent sur de grandes mains bien dessinées, qui se divisent en dix doigts longs et fins, sur lesquels se dressent des ongles parfaitement manucurés et vernis.
    Sa poitrine est belle et gracieuse, son ventre, plat.
    Sa taille fine qui enclencherait une crise de jalousie chez une guêpe se divise en deux grandes jambes élancées qui se terminent par de petits pieds habillés de petites ballerines noires vernies.
    Motoko est plutôt agile et souple, et, malgré ses apparences de poupée de porcelaine, elle reste forte.


    Passé


  • Son histoire :
    note : les astérisques grasses renvoient à la fin de l’histoire

    Santa Maria di Leuca, Italie.
    Les avions de papier s’éparpillaient un peu partout. Certain étaient décorés de fleurs ou de cœurs, d’autre, de flammes et de crânes. Il y en avait de toutes les couleurs.
    *Kawai…*
    Motoko les regardait avec émerveillement. L’instant était magique : au loin, on entendait le doux roulement des vagues qui finissaient par s’écraser sur les rochers, blancs comme la craie, qui reposaient au bas de la falaise ; le soleil commençait à se coucher, et il illuminait le parc d’une belle lueur orangée ; la chaleur des longs après-midi d’été était retombée et avait laissé place à une température idéale ; et surtout, il y avait tous ces magnifiques avions, qui fendaient l’air silencieusement, accompagnés des cris de joie de leur petit propriétaire. Motoko poussa un long soupir de plaisir. La fillette, alors âgée de 6 ans, ne pouvait pas se sentir plus comblée qu’à ce moment précis.
    « Motoko, perché non fai volare il tuo aereo ? * » lui demanda une petite fille, nommée Giuglia. Motoko regarda son avion, décoré d’arabesques vertes et de coccinelles rouges à points noirs, et le lança de toutes ses forces. Il décrivit deux ou trois loopings avant de percuter un autre engin et de piquer du nez, pour finalement atterrir au pied d’un arbre. Les deux petites filles éclatèrent de rire.
    « È stato un magnifico numero di volteggio ! ** » décréta Motoko dans un Italien parfait.

    Cela faisait maintenant 4 ans que Motoko habitait en Italie. Sa famille, japonaise d’origine, avait dû s’enfuir de son pays.
    « Lorsque tu es née, et que les médecins on examinés tes radios, ils on constatés une…malformation, lui avait dit sa mère, et nous avons ensuite reçu une lettre qui disait que lorsque tu serais en âge d’aller à l’école, tu devras aller dans le pensionnat Takuestu No Gakuen. Motoko, tu NE dois PAS aller dans ce pensionnat ! C’est la raison pour laquelle nous sommes venus habiter ici… Tu ne dois pas retourner au Japon, ou du moins, pas sous ta véritable identité ! Sinon, on te forcera à aller à Takuestu ! Nous sommes cachés, Motoko, est-ce que tu comprends ? »
    Madame Keisang avait prononcé ces paroles avec des larmes aux coins des yeux et un air grave. Motoko s’en voulait de causer autant de soucis à ses parents. Et de plus, qu’est-ce que sa mère entendait par « malformation » ? Était-elle très malade ? N’avait-elle plus que quelques années à vivre ? En tout cas, une chose était sûre : Motoko n’aller pas ignorer les recommandations de sa mère ; il ne faudrait tout de même pas que sa famille ait pris la fuite pour qu’elle aille ensuite se jeter dans la gueule du loup !

    « Lo ho trovato ! *** » Alors que Motoko se penchait pour ramasser son avion, une main s’abattit brutalement sur son épaule. Ce n’était pas celle de sa mère, ni celle de son père et encore moins celle de Giuglia ! Non, c’était une main énorme et poilue, tout comme le colosse à qui elle appartenait.
    « Posso fare qualcosa per lei ? **** » lui demanda poliment Motoko.
    L’homme ne répondit pas, mais sortit un petit carré de papier de la taille d’une photographie, qu’il examina attentivement avant de reporter son regard sur la fillette. Il acquiesça légèrement de la tête et attrapa violement le bras de Motoko avant de la trainer jusqu’à une voiture noire, malgré ses protestations. Les autres personnes présentes dans le parc ne bougeaient plus, pétrifiées de peur. Une fois dans le véhicule, la petite fille se mit à crier et à se débattre dans tous les sens. La seule chose qu’elle obtint fût une baffe magistrale qui la calma aussitôt. Motoko n’avait jamais été frappée de sa vie.
    Ils roulèrent pendant deux heures. Lorsqu’ils s’arrêtèrent, Motoko reconnu l’aéroport de Rome.
    « Dove andiamo ? ***** » demanda-t-elle à l’homme en noir, le suppliant presque. Mais il ne répondit pas.
    L’homme la poussa à l’intérieur d’un jet gris métallisé, avant d’y entrer à son tour. L’avion décolla, et Motoko s’endormit.
    Elle se réveilla dans une voiture, bleue celle-ci.
    « J’ai faim… dit-elle pour elle-même.
    - Tu mangeras une fois arrivée. » lui répondit brutalement son ravisseur.
    *Quoi ?! Il parle japonais ! Mais alors… *
    Le sang de Motoko ne fit qu’un tour. Cet homme était là pour l’emmener à Takuestu ! Il fallait qu’elle fasse quelque chose, et vite ! Voyant la main du colosse sur la boîte de vitesse, elle fit la première chose qui lui vint à l’esprit et la mordit jusqu’au sang. L’homme hurla, et elle profita de ce court instant d’inattention pour appuyer sur le bouton de déverrouillage des portes, et, par la même occasion, lui écraser le pied de toutes ses forces. Elle sortit en suite en courant. L’homme arrêta la voiture, sortit et essaya de la rattraper en boitillant, mais elle était trop rapide. Motoko passa par diverses ruelles, toutes plus étroites que les autres et, au bout de trois heures de courses, elle s’arrêta, convaincue d’avoir semé son adversaire, et s’endormit dans un carton vide qui avait été laissé là.

    Pendant deux jours, Motoko se nourrit d’ordure et dormit à la belle étoile. Elle n’osait parler à personne, de peur qu’on la reconnaisse. Le troisième jour, en fouillant dans une poubelle à la recherche de quelque chose à se mettre sous la dent, elle tomba sur un journal :
    DEUX CORPS RETROUVÉS DANS UN FOSSÉ : IL Y AURAIT-IL UN NOUVEAU SERIAL KILLER ?
    Dessous se trouvait une photo où l’on pouvait voir ses parents, baignant dans leur sang.
    *Ce…c’est…je… *Motoko n’osait pas y croire. Ce. N’était. Pas. Possible.
    « NOOOOOOOOOOON ! » hurla-t-elle, en larmes.
    La douleur lui tiraillait les entrailles. Mais pas seulement. Non, à vrai dire, c’était son dos qui la faisait le plus souffrir. Et cette souffrance s’intensifiait de plus en plus. Motoko avait l’impression qu’on lui découpait le dos à coup de couteau.
    Tout à coup, elle n’eu plus mal. Elle ne réalisa ce qui venait de lui arriver que lorsqu’une plume blanche lui effleura la joue. La fillette se retourna aperçu deux grandes ailes blanches. C’était incroyable. C’était comme si elle était soudé à sa colonne vertébrale. Motoko en effleura une. Qu’elle était douce ! Et si belle… Et soudain, elle comprit. Sa malformation, pourquoi on voulait l’enlever… On voulait profiter de son don ! Sa mine se renfrogna. Elle battit des ailes et s’éleva dans les airs. C’était magique ! Mais elle n’y fit pas attention.
    Jusqu’alors, Motoko avait été une gentille petite fille, sociable et extravertie. Désormais, elle ne serait plus qu’une méchante fille, vicieuse et manipulatrice, intérieurement rongée par le chagrin, avec une seule idée en tête : venger ses parents.

    New York, États-Unis.
    Assise sur la terrasse du 80’s Café, Amy Smith sirotait silencieusement son Coca-Cola. Elle avait des millions de devoirs à faire, dont une énorme dissertation, et si elle voulait obtenir une bourse pour entrer dans un lycée privé, il ne fallait pas qu’elle fasse l’impasse dessus. Elle se leva, paya la note et se dirigea en direction de son appartement. Âgée de seulement 16 ans, elle vivait seule dans un minuscule trois-pièces, qu’elle aimait malgré tout pour sa luminosité. Elle entra dans l’immeuble et vérifia le courrier.
    *Facture, facture et encore facture ! Génial ! *
    À ce moment là, la concierge sortit sur le palier.
    « Hello, Miss Smith ! Have you spent a nice day ? ****** lui demanda-t-elle.
    - Yeah, thank you. Good evening ! *******»lui répondit machinalement Amy. Elle n’aimait pas la présence des autres.
    Elle commença à monter les escaliers, l’ascenseur étant encore en panne, lorsque la vielle dame l’interpella de nouveau.
    « Oh, Miss, I forbade ! There were some people who wanted to see you, five minutes ago. I think they’re waiting for you in front of your apartment…******** »
    * Des gens devant chez moi ? *
    Amy ne fréquentait pas grand monde à part ses camarades de classes, et encore, parce qu’elle y était obligée.
    Elle monta rapidement les escaliers.
    Elle eu à peine le temps de constater qu’il y avait au moins une vingtaine d’hommes en noir qui l’attendait avant d’être bâillonnée et ligotée.
    « Tu ne peux plus nous échapper, maintenant, Keisang Motoko… » lui susurra l’un des hommes à l’oreille, avec un sourire machiavélique.

    Quelque part au dessus de l’Océan Pacifique, dans un avion.
    Motoko avait bien essayé de se débattre, mais que pouvait faire une jeune fille de 16 ans, bâillonnée et ligotée qui plus est, face à vingt colosses d’au moins 200 kilos ? Pourtant, il y avait bien un moyen pour qu’elle s’échappe, non ? Ou alors… Soudain, Motoko eu une idée exceptionnelle. D’après les recherches qu’elle avait effectuées tout au long de ces dix dernières années, le pensionnat Takuestu No Gakuen recrutait des élèves ayant un don afin de les performer pour ensuite en faire des armes redoutables. Si Motoko se laissait faire, et qu’on l’y emmenait, elle apprendrait à mieux maitriser son « pouvoir », et après, qui sait… il se pourrait que l’une des armes du pensionnat se retourne contre son créateur…
    Motoko sourit discrètement, et se tint tranquille durant le reste du voyage.

    * Motoko, pourquoi tu ne fais pas voler ton avion ?
    ** C’était un magnifique numéro de voltige !
    *** Je l’ai trouvé !
    **** Je peux faire quelque chose pour vous ?
    ***** Où allons-nous ?
    ****** Bonjour, Mademoiselle Smith ! Avez-vous passé une bonne journée ?
    ******* Oui, merci. Bonsoir.
    ******** Oh, Mademoiselle, j’ai oublié ! Il y a des gens qui voulaient vous voir, il y a cinq minutes. Je crois qu’ils sont en train d’attendre devant votre appartement…


  • Rêves : Pouvoir venger ses parents…


Qui se cache derrière l'écran?!


  • Prénom : Alice
  • Age : 13 ans
  • Comment avez vous connu le forum ôô ? : Grâce à Ayumi Suzuki
    Qu'en pensez vous ? : Je sens que je vais m’y plaire…
  • code ? : validé
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Yuka Kunimoto
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Motoko Keisang [V Vide
MessageSujet: Re: Motoko Keisang [V Motoko Keisang [V EmptyVen 11 Sep - 21:03

Fiche parfaitement en règle; Je valide et vire l'ancienne. ^^
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Motoko Keisang [V

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