Takuetsu no gakuen
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Ami Makita, présentation.

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Ami Makita, présentation. Vide
MessageSujet: Ami Makita, présentation. Ami Makita, présentation. EmptySam 5 Sep - 15:06

Votre personnage



    Identité



  • Nom : Makita
  • Prénom : Ami
  • Age & date de naissance : 20 août 1996
  • Niveau scolaire : Collège
  • Pouvoir : Elle est capable de marcher sur le sol, sur les murs, sur le plafond... "A l'envers", "à l'endroit" ses expressions ne représentent rien pour elle. Les limites que la gravité infligent aux autres ne l'atteignent pas. Ce n'est pas un pouvoir très puissant, je vous l'accorde, mais elle peut l'utiliser pendant trente minutes maximum, ce qui l'arrange bien. Car son don est, en quelque sorte, devenu sa liberté.
  • Forme du don: Indéterminée.
  • Avec ou contre l'école?: Hum... neutre va-t-on dire.
  • Sur le plan scolaire? Élève disciplinée et calme.




    Personalité



  • Caractère :

    Ami est le souffre douleur idéal avec son tempérament fragile.
    Elle est toujours seule car elle n'arrive pas à se faire d'amis à cause de sa timidité. Elle devient rouge dès qu'on lui parle, qu'on l'appelle. Et malgré toutes ses bonnes attentions, on finit toujours pas la laisser tomber, trouvant au début sa timidité mignonne, puis après carrément bizarre. Bizarre... Voilà un mot qui revient souvent quand on parle d'elle. Elle veut juste être normale mais... on "chuchote" quand elle passe, on lui fait un croche patte, rit quand elle tombe à cause de sa maladresse toute aussi grande que sa timidité et sa naïveté enfantine. Oui, Ami croit tout ce qu'on lui dit, fait confiance aux gens aveuglement, ne se rend pas compte qu'ils l'embobinent avec leurs belles paroles. Même le plus gros des mensonges devient la plus sincère vérité à ses yeux. Souvent elle s'est donnée à fond pour les autres, qui eux, ne lui donnaient rien. Elle fait tout ce qu'elle peut, jusqu'à se ruiner entièrement... Puis quand elle découvre la VRAIE vérité...
    Elle ne peut que pleurer face aux insultes qu'on lui laisse, aux moqueries qu'on lui adresse. Elle ne peut que pleurer face à l'arnaque dont elle a fait preuve. Que pleurer... Si faible...
    Et le pire dans tout ça, c'est que, peu importe qu'elle se soit fait avoir dix fois, elle continuera toujours à croire les gens. Elle leur donnera toujours une deuxième chance, voire une troisième ou une quatrième.
    Elle est forte à sa manière. A chaque gifle que sa naïveté lui donne, elle se relève, marche de nouveau. Peu importe le nombres de fois qu'elle tombe, elle continue son chemin.
    Elle accepte tout. Tout... Sauf deux choses.
    Qu'on insulte sa seule famille, sa grand-mère aussi appelée la "sorcière" par les jeunes, et la pitié.
    Comme si elle la couvait, la préparait, l'intensifiait, sa rage est énorme, atteint des proportions incroyables. Elle devient effrayante, presque inhumaine. Elle change du tout au tout. Violente, aussi verbalement que physiquement, elle fera ravaler ses paroles à la personne, peu importe la méthode. On supporte tout sauf ces deux choses. Tout sauf ça.
    La pitié l'écœure. Comme si elle était si misérable qu'on devait le lui rappeler. Elle veut qu'on l'apprécie, pas parce qu'elle semble si fragile, mais, justement, car on apprécie sa personnalité, qu'on l'aime, elle ! Pas besoin d'amitié fondée sur le besoin de l'aider tant elle semble misérable. Pas besoin. Ses regards de pitié, elle ne peut pas les supporter. Elle arracherait les yeux de la personne pour qu'elle la regarde enfin normalement.
    Puis, à propos de sa grand-mère, tout simplement car elle l'aime. La vieille femme ne sait pas ce qu'endure Ami. Cette dernière ne lui dit jamais, pour ne pas l'inquiéter. Elle sait que la retraitée va bientôt mourir. Et si elle vit encore, c'est bien grâce à Ami.
    Si elle arrive à supporter tout ça, c'est qu'il y a une chose qui peut tout lui faire oublier, les échecs, sa vie, sa situation médiocre... cette chose, on peut la résumer en un mot et pourtant elle a milles signification pour Ami. Ce mot c'est : courir. Courir pour fuir la réalité, courir pour oublier son passé, courir pour attraper enfin le bonheur dont elle rêve... courir.

  • Qualités:

    -Modeste.
    -Gentille.
    -Qui fait confiance jusqu'au bout. Mais cette qualité est aussi son point faible.
    -Aimable.

  • Défauts:

    -Possède une maladresse innée.
    -Trop naïve.
    -A la colère incontrôlable.
    -Pleurnicharde.

  • Aime & aime pas :

    Elle adore faire des gâteaux. Avant elle les faisait avec sa grand-mère quand elle venait chez la vieille femme. Maintenant elle les fait seule. Elle sait bien améliorer et fait de délicieuses pâtisseries. Et malgré qu'elle soit seule devant les fourneaux, ça l'amuse toujours autant.
    Et quand elle ne cuisine pas, elle lit. C'est son moyen de s'échapper. Souvent, le soir dans son lit, elle lit, ou plutôt dévore, un livre qu'elle a emprunté à la bibliothèque.
    En plus de ses deux passions, elle en a une autre. Courir.




    Physique



  • Portrait :

    Ami est brune. Ses cheveux lui descendent jusque dans le bas du dos, entourant son visage, composé de deux yeux noisettes, une fine bouche légèrement rosée, deux petites pommettes, un petit nez et de sourcils parfaitement dessinés. Frôlant ses deux yeux, aux reflets verts certains jours, elle possède une frange. Et, posées sur son nez, cachant son regard, elle met des lunettes à monture noire, à cause de sa myopie. Car, oui, Ami, sans ses lunettes, ne voit rien. Rien de rien. Sur ce plan, elle ressemble à une taupe. Beaucoup de ses camarades s'amusent à lui chiper ses lunettes pour l'agacer, ou pour qu'elle se blesse. Ou tout simplement pour s'amuser. Personnellement, elle trouve ça pas très drôle, mais qui trouverez ça drôle dîtes moi ! Surtout que les lunettes ça coûtent cher et sa grand-mère ne peut pas lui en racheter tout le temps.
    Sinon, elle est plutôt bien faite. Son corps est fin, pas magnifique ni rien mais pas moche, c'est déjà ça. Et n'a pas beaucoup de charme mais elle devient plutôt mignonne quand elle rougit et sourit. Malheureusement, il semble que les garçons se contrefichent de son sourire d'ange, car ils ne font que la traîner dans la boue, la rabaisser ou l'insulter. Pas vraiment le top du top.
    Ses habits sont composés essentiellement de pantalons ou de teeshirts, vêtements dans lesquels elle se sent le plus à l'aise. Elle possède aussi une salopette qu'elle met essentiellement à la maison, les jours de détente, privilégiant les pantalons ou jupes pour sortir en ville. N'aimant pas les habits légers, ses jupes sont soit épaisses, soit longues.
    Elle porte des chaussures de marches ou des baskets le plus souvent. Les talons lui font mal, même si cela permet de rehausser sa petite taille. Car oui, Ami n'est pas très grande, avoisinant le mètre soixante. Cette taille est aussi un problème, puisque tout de son caractère ou de son portrait se retournent contre elle en public, en tant que bon souffre douleur. Mais cela elle y est habituée et même son surnom "Chibi" est un fardeau dont elle à l'habitude.
    Contrairement à ce que l'on peut penser, Ami fait beaucoup de sport. Elle court tous les jours. Avant, elle se rendait souvent dans un immeuble abandonné. Personne ne savait ce qu'elle allait y faire, personne n'a jamais voulu savoir. Enfin... presque personne.


Dernière édition par Ami Makita le Sam 5 Sep - 19:18, édité 5 fois
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Ami Makita, présentation. Vide
MessageSujet: Re: Ami Makita, présentation. Ami Makita, présentation. EmptySam 5 Sep - 15:06


    Passé



  • Son histoire :

    Ding. Dong. Ding. Dong.
    Je m'empresse de quitter la salle de classe. J'ai les yeux bouffis, le nez qui coule, un mouchoir dans la main... Je pleure. Encore une fois. On s'est encore servi de moi. Combien de fois cela m'arrivera-t-il ?
    Une jambe laissée sur le passage intentionnellement et je m'étale sur le carrelage sale. Les larmes coulent encore une fois tandis que je me relève, au milieu des rires moqueurs, en reniflant. Je repars en trottinant, atteignant enfin la sortie de l'établissement. Vite...
    Claire, une fille de ma classe, me barre la route. Elle a un seau à la main. Je sursaute, m'apprête à m'éloigner... Trop tard. Je suis trempée. De nouveau rires, de nouvelles moqueries. Et encore moi au milieu.
    Je veux m'enterrer sous terre. Mais au lieu de ça, je fuis. Je quitte l'enceinte de l'établissement et tourne à gauche, à l'opposé de ma maison. Je connais le chemin par cœur. Le chemin de ma délivrance. Je ne peux pas montrer cette Ami à grand-mère. Impossible.
    Je traverse un quartier. Peu de personnes passent par ici, je ne risque pas de rencontrer quelqu'un que je connais. Je m'arrête et enlève mes lunettes. D'une main tremblante, je les essuies proprement et les remets sur mon nez avant de reprendre ma course.
    Je tourne à droite, évite un des rares passants qui passent par ici et me retrouve face à lui. Mon immeuble. Je regarde autour de moi et entre furtivement. Un panneau d'interdiction et des bandes jaunes et noirs bouchent l'entrée. Le bâtiment va être détruit dans une semaine. En attendant, il est à moi.
    Je me glisse à l'intérieur. Aussitôt mes sanglots s'apaisent. Ce lieu est si reposant...
    Mon immeuble est solide. En fait, il est presque comme neuf. On le détruit uniquement car on veut en reconstruire un bâtiment plus grand à la place. Sinon, il est impeccable. Bien sûr, s'il était nettoyé il serait encore mieux. Mais moi je l'aime comme ça.
    Une fois à l'intérieur, je pose mon sac par terre. J'ai toujours les yeux rouges et le nez qui coule, mais l'endroit semble avoir aspiré ma tristesse. Combien de fois suis je venue ici ? Je ne m'en souviens plus, mais je sais que j'ai foulé ce sol de bien nombreuses fois.
    J'enlève ma veste, me retrouvant en chemise. Je change mes chaussures, mettant mes baskets que je transporte toujours avec moi. Je me relève et regarde le mur d'en face. Une trentaine de mètres me séparent de lui. Je m'élance.
    Mes jambes me portent, dévorant les mètres. Je regarde s'approcher le mur, sans peur. Je sais que je peux le faire. Je l'ai déjà fait. Je pose mon pied contre le mur, emportée par mon élan, puis mon deuxième pied. Je ne tombe pas, comme d'habitude. Au contraire je continue de courir sur le mur.
    Ce n'est pas "normal", je le sais bien. Je ne sais pas pourquoi je peux faire ça et je m'en fiche, personnellement. Si personne ne le découvre, ce n'est pas un problème, non ? Et puis ce "don" m'a libérée. Grâce à lui, je peux courir sans limite.
    Bien sûr, après le mur, il y a le plafond. Je pose un pied dessus, puis un autre. Adhérence totale. Je cours vers un couloir, rentre dedans, toujours scotchée au plafond. C'est mon parcours préféré. Là-bas, il y a un trou. Un énorme trou. Et d'en bas tu peux voir le ciel.
    Je rentre dans une salle et le voit enfin. Je cours vers lui et rentre dedans. S'entend devant moi un mur parsemé d'obstacles. Je souris, les joues toutes rouges, mais pas par timidité, par bonheur.
    Je commence à courir sur ce mur, saute par dessus la première fenêtre, maintenant plus qu'un trou encastré dans le mur. Je continue ma course. Je saute de nouveau mais cette fois-ci par dessus un morceau d'un ancien plafond, maintenant détruit. Je saute, je cours, j'évite, je change de murs, me rattrape et enfin atteint le toit.
    Je fais quelques pas, en respirant bruyamment. Je regarde le trou d'où je viens, derrière moi. Je m'assis sur le toit, haletante. En face, ma ville et le soleil qui se couche. Il faudra encore que je trouve une excuse pour justifier mon retard. Tant pis. La tristesse que je ressentais a disparu. Comme d'habitude...
    Je m'allonge et calme ma respiration. Une chaleur de bien être m'envahit. Ça fait du bien... Le silence s'installe, reposant.
    Soudain un bruit m'alerte. Des pas ? Je me redresse. Qui c'est ? Les démolisseurs ne doivent pas venir avant une semaine. Alors qui est-ce ? Je me redresse et m'approche du bord du trou. J'ose un regard. J'eus juste le temps d'apercevoir un homme en noir et un révolver, qu'une balle siffla. Je bondis en arrière, surprise et apeurée. Prise de panique, oubliant toute forme de prudence, je m'approcha du bord du toit et posa un pied sur la façade de l'immeuble. Comme d'habitude, j'adhère à la surface et me met à courir. Une autre balle siffle. Un autre est là, une arme à la main. Je calcule mon coup, et rentre, par une ancienne fenêtre, dans le bâtiment. La balle qui aurait du m'atteindre va s'encastrer dans la façade. Mes yeux s'agrandissent d'effroi tandis que mon cerveau essaye de calculer le danger. Ils m'ont vue. Ils ont vu mon don. Ils ont des armes. Ils veulent me tuer.
    Je me remets à courir. Il faut que je sorte d'ici. Heureusement que je connais le bâtiment par cœur.
    Je me penche au dessus d'une fenêtre et passe dedans. Je me retrouve encore à courir sur une des façade de l'immeuble. Mais cette face donne sur un chantier en construction. Je touche enfin la terre ferme. Je regarde une dernière fois l'immeuble. Mon cartable et mon sac de sport sont toujours dedans, mais tant pis. Je ne veux pas mourir.
    Je me mets à trottiner doucement, m'éloignant de plus en plus de mon immeuble et donc des hommes armés. Régulièrement je change de rue, évitant qu'on me suive. Enfin j'atteins ma petite maison. Ravie d'y être, j'ouvre la porte et avance. Je lance à l'égard de ma grand-mère :
    "Je suis rentrée.
    -Am-...!"
    Je relève la tête, piquée au vif. Je reconnais la mère de ma mère. Un homme en costume gris a une main posé sur sa bouche et la retient. Mes yeux s'agrandissent. Qu-... ?
    Une aiguille me rentre dans le cou. Je lâche une grimace de douleur et l'enlève. Mais à peine je comprends la situation que je m'endors profondément...

    Une semaine plus tard...


    "Ami, Ami, Ami... Pourquoi tant de haine ?"
    Je ne craquerais pas. Non, je ne craquerais pas. Le bandeau qu'ils m'ont mis sur les yeux est bien pratique. Il les empêche de voir mes larmes naissantes. Voilà une heure que je suis ainsi. A écouter le discours d'un homme qui, visiblement, se donne un plaisir fou à me questionner à propos de mon don. Car oui, ils savent. D'après ses dires, ils me suspectaient déjà depuis un moment.
    Je les déteste. Ils retiennent grand-mère dans une chambre et la surveillent vingt quatre sur vingt quatre. C'est ma seule famille. Ça aussi ils le savent et ils se servent d'elle comme moyen de pression sur moi.
    Je ne dois pas craquer. L'homme continue à parler. Je serre les dents. Si je le pouvais, je l'aurais déjà étranglé. Mais on m'a attachée. Au début, ils ne l'avaient pas fait ; j'ai bousillée leur interrogatoire en me rebellant. Si je continue ainsi peut être me lâcheront ils ?
    J'entends une porte s'ouvrir. Je ne bronche pas. Rester neutre est ma devise. Une voix s'élève, m'adressant la parole :
    "Sais tu que plus tu résistes, plus ta grand-mère se meurt ? Elle est malade Ami. Et si tu ne coopères pas, nous ne la lâcherons pas."
    Je serre un peu plus les dents. Mamie...
    "Tu vas tuer ta grand-mère rien que pour ta liberté ?"
    Je saute en direction de la voix, dans un élan de haine. Je lui hurle dessus.
    "Tout ça c'est VOTRE faute ! Je n'ai rien fait ! Rien ! C'est VOUS qui la tuez ! Vous !"
    Comment a-t-il osé ?! C'est eux qui sont venus bouleversé notre vie ! C'est eux qui ont enfermé ma grand-mère ! C'est EUX !
    "Et pourquoi crois tu qu'on fait tout ça, Ami ? C'est à cause de toi, de ton don."
    Ce n'est pas vrai, c'est faux ! C'est faux !
    "Et tu le sais parfaitement."
    Non, c'est faux. Je n'ai pas de ma faute. Pas de la mienne. C'est à cause d'eux... Mais je n'y crois plus et fonds en larmes comme un bébé. Pourquoi ? Pourquoi moi ?

    Deux mois après...


    Mamie est à l'hôpital depuis sa sortie de sa chambre. Le médecin a dit qu'encore un peu et elle rendait son dernier souffle. D'ailleurs il a ajouté qu'elle mourra dans trois ans et qu'elle ne pourrait survivre à ces trois années que si elle restait à l'hôpital. Ils m'ont dit qu'ils payeraient les frais si je leur obéissais. J'ai accepté. Ils voulaient que je rejoigne une école. J'ai accepté aussi. Après tout, je n'ai plus rien à perdre. La dernière chose qui m'est précieuse sur cette terre est entre leurs mains. Je rejoins leur école demain. En attendant, j'ai ma journée de libre.
    Je ne peux plus aller dans mon immeuble, ils l'ont démoli le jour où j'ai craqué. Comme si cet immeuble représentait mon ancienne vie. Et tout comme cet immeuble, on la détruite.

  • Rêves : Se faire des amis, réussir à faire survivre sa grand-mère le plus longtemps possible.


Qui se cache derrière l'écran?!



  • Prénom : Alizée.
  • Age : 13 ans
  • Comment avez vous connu le forum ôô ? : Sur un Top-Site.
    Qu'en pensez vous ? : J'adore le design et le contexte <3.
  • code ? : [ Code Bon By La Femme En Sucre ]


Dernière édition par Ami Makita le Sam 5 Sep - 19:06, édité 10 fois
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