Will Tawkeru [TERMINE]

Invité

Votre personnage

Identité

Nom : Tawkeru
Prénom : Will mais sur les papiers de naissance, c'est Willemina
Age & date de naissance : 2 Juin, 16 ans
Niveau scolaire : D
Pouvoir : Souviens-toi...
Êlle peut voir et modifier le souvenir d'une personne simplement en la regardant, si tant est qu'elle y apparaisse. De plus, son pouvoir de modification est pour l'instant assez limité: il ne peut changer que ses paroles et de petits actes, ce changement n'est pas irréversible si le subconscient de la personne touchée intervient. En effet, si la personne revit la même situation que celle oubliée (que ce soit avec Will ou une tiers personne), il y a de forte chance pour que la vérité, enfouie, remonte à la surface. Cependant, si Will arrive à transformer les images et les sons que constituent les souvenirs, elle n'est pas en mesure de modifier un sentiment par exemple. Si un évènement fait que vous le detestez et qu'il modifie votre mémoire pour vous faire croire que cet évènement n'est en rien sa faute, alors vous le detesterez bizarrement, sans savoir pourquoi.
Petit détail qui ici, n'aura pas vraiment d'utilité: elle peut transformer également la présence d'une personne liée à elle par le sang, autrement dit de sa famille. A moins qu'elle se soit liée d'un pacte du sang avec quelqu'un.
Forme du don: Limitée
Avec ou contre l'école?:

Comme beaucoup ici, elle s'en fiche un peu. Faut voir qui saura être le plus convaincant...

Personalité

Caractère :
Will est un paradoxe à elle seule. On pourrait la dire lunatique, mais c'est pas vraiment ça. Disons plutôt que c'est une Gémaux, une vraie, avec deux personnalités. Un coté gentil et un coté...obscur.
C'est générallement une fille qui a du mal à se mélanger aux autres lorsqu'elle est seule, autant dire que les débuts d'années sont difficiles ! Cependant, à partir du moment où elle est entourée, c'est un véritable bout en train. Elle ne recule devant presque rien, si tant est que c'est un pari. Car avant tout, cette demoiselle est une timide et les paris, pour elle, c'est une assurance, un bouclier. Si on lui pose une question trop indiscrète à propos du pourquoi de son attitude, elle peut se cacher derrière le fait que c'est un pari, ainsi elle ne ment pas et évite souvent de se "taper la honte".
Elle est de nature gentille, un "coeur" comme on dit, mais évidement, ça peut changer du tout au tout au cours d'une journée. Dans tous les cas cependant, elle est une rancunière à la bonne mémoire... Faites lui une crasse et elle s'en souviendra... alors que le contraire n'est pas toujours vrai !
Il arrive parfois que, sans savoir pourquoi, Will soit complétement déprimée. Elle même ne saurait pas souvent en expliquer la raison. Certains diront que c'est sa période ado. En réalité, elle se sent simplement indifférente, presque sans coeur.

Contrairement à ce que l'on peut lire plus haut, il arrive à Will de s'énerver comme ça, pour une broutille. Cela va même souvent jusqu'à ce qu'elle doive serrer son poing si fort qu'il en tremble pour se retenir de cogner. Même l'idée que de toute façon, elle se ferait mal ne l'arrete alors pas.
Pour agrandir ce tableau, j'ajouterai qu'elle est comme tout le monde, manipulatrice et parfois faux-c*l, mais elle le reconnait. Après tout, que celui qui ne l'a pas été jette la première pierre !

Autres petits détails: elle n'est pas très à l'aise avec les garçons, allez savoir pourquoi ! Elle n'aime pas trop prendre des responsabilités et pourtant déteste être commandée. Elle ne suporte pas les disputes et plus particulièrement les cris, fesant tout pour éviter de les entendre: fuir, se rouler en boule et s'enfermer dans sa propre bulle.
Qualités: peut se révéler aussi têtue qu'une mule - attachante- bout en train
Défauts: rancunière -facilement irritée -peu sûre d'elle -fuit les résponsabilités
Aime & aime pas :
Avec Will, impossible de classer ses goûts en parties aussi réduite. Et oui, car ils dépendent des jours. Parfois elle préfèrera l'hiver, d'autre fois l'été, les blonds ou au contraire les bruns voire même les roux...
Heureusement, certaines choses ne changent pas, comme son plaisir à passer la journée en pyjama rose à regarder des vieux dessins animés de princesses, danser, s'amuser, rigoler, savoir ce que l'on pense d'elle...
Sa phrase fétiche ? il y'en a plusieurs en fait.;. "Courage Fuyons !" "Il n'ya pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous" et enfin, danss es périodes noires "On est jamais mieux servi que par soi-même."
Ce qu'il pense de l'école :

C'est bien, au moins pour une partie des élèves qui ne pourraient sinon pas utiliser leur Don. En revanche dans son cas, elle s'en fiche un peu. C'était parfois marrant de voir les simples humains se faire mener en bâteau.

Physique

Portrait :

Tout d'abord, posons les choses. Will est assez androgyne, loin des canons de beauté qui déambulent autant dans les couloirs que dans la cour des différentes écoles, alors messieurs (et mesdemoiselles), si ce genre de physique incroyablement bien proportionné vous intéresse, passez votre chemin.
Donc notre petite Will. Et bien d'abord, elle n'est pas si petite pour une japonaise avec son un peu moins d'un mètre soixante-dix pour un peu plus de 55 kg. Même si elle ne parait pas épaisse, quelques entrainements de sport lui ferait du bien, histoire de redonner du tonus à son corps. Lorsqu'elle marche, l'adolescente est très droite tandis qu'à l'arrêt, elle à l'air de se tasser légèrement. En outre, elle n'a pas beaucoup de poitrine. Voilà pour la silhouette globale.
Son androgynité ne tient pas qu'à ce détail. En effet, bien qu'en grandissant cela s'arrange, Will n'a pas un visage spécialement féminin. Elle s'est tout de même décidée à faire un peu plus fille en se laissant pousser ses cheveux noirs, coupant une mèche dans une forme qui rappelle un peu un M et attachant le reste par une queue de cheval basse. Revenons à la frimousse de la demoiselle. Le détail le plus marquant est sans conteste les yeux, en forme de ceux des chats, d'une couleur vert d'eau que certains ont du mal à accepter, préférant penser à qu'elle utilise des lentilles. Car il vrai que sur une japonaise, c'est assez original... Au niveau de l'oeil gauche, Will a une petite marque faite d'entrelacs qui reste générallement foncée. Oui, reste, car cette marque s'éclaircit jusqu'à devenir un mauve lumineux lorsqu'elle a utilisé son Don trop fortement. Autant dire que quand elle revint d'un entrainement, cela se voit.
Elle porte souvent des bagues, mais seule une reste toujours à sa main: elle représente un serpent qui autour son majeur.
Will ne montre jamais ses jambes, les (super) rares fois où elle se met en jupe, elle ajoute un collant ou de grandes chaussettes. En réalité, c'est pour cacher les petites cicatrices qu'elle a aux genoux à force de tomber lorsqu'elle était petite.

Passé

Son histoire :
Mon histoire n'a rien de palpitant. Une enfant en mal d'amour de plus quoi...
Elle commence par "Il était une fois" mais ne s'est toujours pas terminée. La fin sera peut être semblable à celles que l'on raconte aux gamins, avec l'éternel "Et ils vécurent heureux et eurent pleins d'enfants". Ou plus certainement elle se terminera tragiquement, telle la triste fin cachée aux âmes sensibles d'un conte. L'avantage de ces contes, c'est qu'on peut les modifier, les arranger afin qu'ils soient plus beaux et plaisant à entendre. Ce n'est malheureusement pas le cas pour les histoires réelles.
Je suis donc née de l'union de deux japonais: un homme juste et une mégère. Mon père était tout ce que l'on peut attendre d'un père là ou ma mère n'en était rien. "La pauvre femme, il est vrai qu'elle n'a pas eu une enfance facile..." l'excusait-on. Moi je dis que ça se soigne.
Les années s'enchainaient, constituées de rires, de pleurs, mais surtout de cris. Toujours des cris, des ordres aboyés comme ordonne un dictateur.
Par bonheur, l'âge d'aller à l'école est finallement arrivé. j'y étais si bien... Je me fesai rapidement d'inséparables amis, tout le monde me connaissait comme une petite rigolote, pleine de vie, qui apprécie l'apprentissage et s'en sort très bien. C'est effectivement ce que j'étais, ma "nature profonde" comme on dit. Pourtant, en me voyant à la maison, les gens s'étonnaient. je passais mon temps à pleurer, réclamer, recracher ce que l'on me donner à manger, refuser de m'endormir... En vérité, je voulais seulement voir les autres parents chouchouter leur progéniture. J'étais également perdue. Pourquoi ma mère feignait-elle d'être si gentille et douce devant toutes ces personnes ? Plus tard, je comprenai l'importance de la réputation et ce qu'elle engendrait comme transformation dans le caractère d'une personne en présence d'autres individus. Les moments que je passais avec mon père étaient simples, heureux. Il ne me réprimandait qu'avec calme, m'expliquant mon erreur avec une incroyable patience. Malgré tout, lui non plus n'était pas heureux,les yeux ne trompent pas. Il se fesait marcher sur les pieds et pourrir autant que moi par son épouse. Peu à peu, il passait tout son temps à travailler dans son école qu'il dit "spéciale". Il m'abandonnait aux mains du monstre, mais je ne lui envoulais pas. Si seulement moi aussi je pouvais m'échapper ! Il me donnait discretement de ses nouvelles par de courtes lettres auxquelles je répondais en le suppliant de m'enlever.
Ce monstre que j'appelais avec de plus en plus d'ironie 'maman' ne me maltraitait pas physiquement. Oh, je m'en suis prise des claques, mais ça s'arretait là. Ceux qui l'ont vécu le savent pourtant, c'est la douleur mentale, psychologique, qui est la plus dévastatrice. Hors cette femme excellait en ce domaine.
J'avais 13 ans lorsque ma mère manqua de peu mourire et m'annonça qu'elle risquait sa vie à chaque minute. Je constatai alors avec horreur que cela ne me fesait rien. RIEN, même pas un petit pincement au coeur, le néant. J'écrivai alors à mon père pour lui demander avec terreur si je n'étais pas moi même en train de devenir cruelle et froide, sans pitié, sans coeur.
Au cours de la semaine qui suivit l'envoi de ma lettre, il me sauva de ma prison.
Lentement, je réapprenais la vie, comprenant que les choses pouvaient se passer autrement, tout en douceur. je vivais cependant dans la crainte de me réveiller en sursaut par un énième cri de ma mère. Je gardais donc une part de moi qui était indifférente à tout.
J'étais relativement jeune mais là encore, je n'étais pas dupe. Mon père se morfondait de s'être marié à une telle femme et surtout de m'avoir laissé avec elle.
Je ne sais pas trop comment, un jour où je croisais son regard, je vis ses souvenirs d'ELLE et moi. Inconsciement, je modifiais les scènes, adoucissant les traits des visages tendus par la colère, baissant le ton de SA voix. Nous étions devenu, pour lui, une famille parfaitement heureuse, avec ses grands hauts et ses petits bas. Puis je m'effrondrai.
Je mis un peu plus d'une semaine à sortir de ma torpeur et la première chose que je vis fut le visage éblouissant de fierté de mon père. Lorsque je fus remise, il m'expliqua l'existence des Dons, en quoi consitait le mien, en quoi consistait le sien (quel choc d'apprendre que lui aussi était "anormal" !): il pouvait se rendre compte que l'on utilise un Don sur lui et annuler son effet si le lancuer est jeune. Il finit en me parlant de l'école où il travaillait.
Moi, je n'avais qu'une seule envie: me servir de mon pouvoir et m'en servir contre ces andouilles d'humains que je considère plus comme des virus que comme une réelle civilisation. Néanmoins, je savais que mon pouvoir, poussé trop loin trop vite pouvait avoir de graves effets sur ma santé. Mon père trouva le moyen de me "marquer". Oui, la amrque que j'ai sous les yeux. Je l'aimais de suite, elle me donnait quelque chose de plus que les autres, elle me metait encore plus à part, finement dessinée comme elle l'était.
J'intégrais évidement Takuetsu au bout de quelques mois, à presque 15 ans. Je ne me mélangeais pas aux autres, préférant limiter ma présence dans leurs souvenirs à une brève apparition. De toute façon, je n'avais presque rien à changer vu que je ne leur parlais que lorsque je n'avais pas le choix. Aujourd'hui c'est différent, je commence à passer à autre chose et essaie de me lier plus. Après tout, eux aussi ne sont pas tout à fait des humains.

Oh ! j'ai oublié un détail. Depuis assez jeune, je tentais de ressembler à un garçon, espérant ainsi être plus forte. Maintenant, je me suis rendue compte que c'est absolument absurde alors je me remets petit à petit à redevenir une fille.
Rêves :

Aucun, la définition même d'un rêve étant l'impossible.

Qui se cache derrière l'écran?!

Prénom : Justine
Age : 16
Comment avez vous connu le forum ôô ? : Ismael Delaloutre
Qu'en pensez vous ? : hey good !
code ? : Ok