Zaï (fini)[V]

Invité

Identité

·Nom : Dal
·Prénom : Zaï (prononciation za-i)
·Age & date de naissance : 20 ans née un 3 aout
·Niveau scolaire : université
·Pouvoir : matérialisation des sentiments. Pour être plus précis Zaï peux matérialiser des objet en fonction de ce qu’elle éprouve.
-colère : sabre
-haine : une faux
-peur : un loup métal d’un mètre de haut totalement inanimé et trop lourd pour être manipulé. Mais très pratique pour se caché derrière.
Zaï ne sait rien faire apparaître d’autre pour le moment puisqu’il faut pour qu’elle matérialise ses sentiment pour la première fois qu’elle éprouve une émotion d’une forte intensité. Cependant elle n’a plus besoin d’éprouver une forte colère pour matérialiser son sabre seul sentiment qu’elle maîtrise réellement.
Et puis il y a Sétoc. Zaï ignore d’où il vient, mais ce qui est sur c’est qu’il l’agace prodigieusement. En réalité Sétoc est sa première matérialisation, il représente tous les sentiments que Zaï a renié, c’est un peu sa face cachée. Sétoc ressemble à un marchand ambulant. Il est grand et maigre, le visage fin et les yeux noirs.

Forme du don Indeterminée(2)

Sur le plan du travail: Zaï n'est pas vraiment une bonne élève, pour la simple et bonne raison qu'elle n'écoute absolument pas en cour, pour autant qu'elle se décide à y assister. Toutefois si quelqu'un parvenait à l'interesser il pourrait bien être surpris des résultat de Zaï.

·Avec ou contre l'école?
Pour le moment ni pour ni contre. Mais étant donné qu’elle déteste se faire manipuler, elle pourrait facilement être contre.

Personalité

·Caractère
· Zaï a un caractère assez changeant. Elle avance en fonction de ses humeurs mais aussi d’influences extérieures qu’elle est la seule à interpréter de cette manière. Elle est par exemple capable de changer radicalement d’humeur parce qu’il pleut, ou bien parce qu’elle a vu une araignée. Elle est cependant très impulsive est emportée. Et même si elle est capable d’un sang froid remarquable dans certaine situation lorsqu’elle est en colère il est quasiment impossible de la calmer. Zaï vit exclusivement dans le présent, elle refuse de se projeter dans le futur, car elle estime qu’elle a suffisamment à faire avec le présent et le passé.
· D’un autre côté Zaï est capable de faire preuve d’une grande clairvoyance. Elle est capable de comprendre ce que ressentent les gens rien qu’en les observant (micro-expression pour les connaisseurs), et parfois il lui arrive de mettre cette capacité aux services des autres. Du fait de son pouvoir elle a appris à masquer ses véritables émotions lorsque nécessaire.
· Etrangement elle est d’un caractère assez enjoué sans avoir toutefois jamais connu de véritable joie ou bonheur. Elle est toutefois toujours fidèle à ses engagements c’est pour cela qu’elle en fait rarement.
·Qualités : enjoué, fidèle, clairvoyante
·Défault : têtue, incompréhensible, changeante, colérique, emportée,…
·Aime & aime pas : Zaï adore la musique et les pommes. Elle aime également la pluie, les araignées et se balader en pleine nuit. Elle aime également Sétoc bien qu’il l’agace prodigieusement. En revanche Zaï déteste la foule et les gens qui tentent de la manipuler ou qui lui donne des ordres autant que les carottes cuites.
·Ce qu'il pense de l'école :
Pour le moment Zaï ne s’est rendu compte de rien puisqu’il faudrait pour cela qu’elle sorte un peu de sa bulle et qu’elle regarde autour d’elle.

Physique

Portrait : (5 lignes minimum)
Zaï est de taille normal. Elle est plutôt attirante pour une femme mais n’entretient nullement son physique. En effet elle s’habille généralement avec ce qui lui tome sous la main sans se soucier de s’avoir si cela va ensemble ou non. Zaï se fiche totalement de ce qu'elle porte tant qu'elle se sens bien dedans. Elle sait cependant comment se mettre en valeur si l’envie lui en prend. Elle a des cheveux blancs mi-longs qu’elle attache selon son humeur. Zaï a les yeux verts en temps normal mais lorsqu’elle utilise son don ses yeux deviennent rouges. Zaï a toujours un ocarina sur elle (petite flûte ovoïde) qu’elle porte autour du cou. Elle a une rose tatoué sur le dos.
Zaï a cependant un regard assez dérangeant pour ceux qui la regarde. En effet lorsqu'elle est plongée dans ses pensées son regard est lointain, mais lorsqu'elle fixe quelqu'un elle donne l'impression de vouloir regarder jusqu'au fond de ses entrailles. De plus Zaï à le don de savoir faire des sourire sadique ou cynique qui font froid dans le dos. Physiquement pourtant elle pourrait être attirante....

Passé

·Zaï aurait pu avoir une existence tout ce qu’il y a de plus normal, elle aurait pu si elle n’avait pas eu ce don si particulier.
· Enfant, et comme la plupart des enfants Zaï avait une imagination débordante, mais pire encore pour elle, Zaï était naïve, d’une naïveté enfantine, rien d’extraordinaire pour son âge, mais problématique pour elle. Les enfants n’ont pas la conception du bien ou du mal, ils découvrent les valeurs morales par leurs propres expériences.
· Un jour Zaï qui n’avait pas plus de quatre ans décida de partir en excursion sur ses petites jambes. Elle arriva dans la cuisine intriguée par ce monde nouveau et amusant. Piqué par la curiosité elle laissa traîné ses petites mains sur tout ce qu’elle pouvait atteindre, et bien entendu elle ne pensait pas du tout que certaine chose n’était pas faite pour être touché.
· Zaï vit de la lumière émanait d’un énorme rectangle tout près d’un placard blanc. Elle s’approcha et se rendit compte que l’étrange rectangle contenait un rectangle plus petit qui lui même contenait des formes colorées. Intrigué par ce phénomène Zaï plaqua ses mains sur le four pour mieux y voir.
· « ZAÏ »
· La petite ressentit alors simultanément la douleur, la peur de cette voix qui criait son nom, le plaisir de pouvoir voir les petites formes de couleurs, l’envie de rejoindre sa mère qui venait vers elle en courant, et alors même qu’elle n’en avait pas conscience, la petite utilisa son don pour la première fois. Personne ne vit cependant la fumée informe qui flottait au niveau du plafond et qui disparu quelques secondes après être apparu.
· La suite de l’enfance de Zaï se déroula semblable à une enfance normal ou presque. Après plusieurs expérience du même style que celle du four, Zaï se fit un nouvel ami ; Sétoc, étrangement il était toujours là lorsque son petit cœur s’affolé. Mais la petite trouvait que Sétoc ne ressemblait pas à grand chose…
· En réalité il lui fallut attendre ses six ans pour que Sétoc prenne réellement forme. Alors que la petite était en train de rentrer à pied de l’école, Zaï perdu dans ses pensées fini par atterrir dans des rues inconnues. La petite se fit la réflexion qu’elles sentaient vraiment mauvais et qu’elles n'étaient pas très propres. Il y avait même des gens affalés sur des cartons. Insouciante du monde qui l’entourait, Zaï continua son chemin mais s’arrêta bien vite. Il y avait un homme qui parlait à un autre homme. L’un des deux semblait trembler et il était en colère. Et l’autre se faisait secouer sans réagir. Puis le premier homme sortit un couteau et le planta dans le deuxième homme. Au lieu d’avoir peur Zaï eu une toute autre réaction, son esprit refusa d’admettre ce qu’il avait vu, elle était incapable de le gérer. Sétoc apparut alors pour la première fois sous la forme qu’il aborde actuellement. Sétoc était tout ce que refusais d’être ou d’admettre Zaï, tous ses sentiments cachés ou reniés…
· Zaï oublia donc ce qu’elle avait vu, Sétoc gardait l’information pour lui. La seule chose qui changea fut qu’elle se disputa de plus en plus avec Sétoc…à voix haute. Ses parents finirent donc par s’inquiéter pour la santé mentale de leur fille. Et à 14 ans ils décidèrent qu’il était temps qu’elle aille voir un psychologue.
· « Tu sais Zaï avec ton père nous voulons que tu ailles voir…un psychologue »
· « Pourquoi ? »
· « Et bien c’est que….Tu sais Zaï Sétoc n’existe que dans ta tête. »
· « Vous pensez que je mens c’est ça ? Dis leur Sétoc que je mens pas ! »
· « Mais non Zaï on sait que tu ne mens pas…seulement il faut que tu comprennes que Sétoc n’existe pas »
· Il y eut un silence sur la petite famille. Zaï plissa les yeux, perplexe. Il est vrai que Sétoc ne s’était jamais montré devant ses parents.
· « Je ne suis pas folle…Sétoc existe vraiment…je ne suis pas folle ! »
· Et Zaï commença à se mettre en colère, colère contre ses parents qui ne la croyait pas mais également colère contre Sétoc qui refusait de se montrer devant ses parents. Comment aurait-elle pu savoir qu’il n’apparaissait pas simplement parce qu’elle aimait ses parents ?
· « Bon maintenant ça suffit Zaï tu es suffisamment grande pour arrêter d’avoir des amis imaginaires ! »
· « Sétoc n’est pas imaginaire, il existe, c’est juste qu’il veut pas vous voir ! »
· Excédé et désemparé devant sa fille qu’il ne comprenait pas, le père de Zaï se leva et la gifla. Au moment de l’impact la colère explosa dans le cœur de la jeune fille, mais la colère n’était pas destinée à son père, Zaï était en colère contre elle même, pourquoi donc était-elle comme ça ? Ne pouvait-elle pas être normal ? Plaire à ses parents ?
· « Za….I… »
· La petite regarda son père qui s’était reculé choqué. Il fixait la main de sa fille une lueur de peur dans le regard. Zaï la regarda aussi, elle tenait un sabre noir dans sa main… Zaï eut alors peur, très peur, d’où venait ce sabre ? Pourquoi ses parents la regardaient comme cela ? Pourquoi son père attrapait-il son bâton de marche ? Pourquoi s’approchait-il ainsi d’elle ? Zaï hurla de terreur lorsqu’elle plongea son regard dans celui de son père, elle était persuader qu’il voulait la tuer. Alors un énorme loup apparut entre son père et elle. Zaï ne le vit même pas, elle avait perdu connaissance.
· « Je ne suis pas folle, je ne suis pas folle, je ne suis pas folle ! »
· Zaï s’était réveillé à l’hôpital, l’hôpital psychiatrique. Elle n’aimait pas cet endroit, ne comprenait pas pourquoi elle s’y trouvait.
· « C’est tes parents qui t’y ont envoyé Zaï »
· « La ferme Sétoc ! C’est de ta faute à toi aussi !! JE NE SUIS PAS FOLLE ! »
· Zaï resta deux ans dans cet endroit. Haïssant petit à petit cet endroit. Parfois sa mère venait la voir, en secret, et Zaï sentait sa colère grandir. Mais la haine la rongeait de l’intérieur l’empoisonnant petit à petit. Sétoc était toujours avec elle, pourtant il évitait soigneusement de se montrer devant le personnel. On finit même par l’isoler, l’accusant de répandre sa folie sur les autres patients qui bien évidemment, voyait Sétoc.
· « JE NE SUIS PAS FOLLE ! »
· « Bien sûr mais personne ne te croiras ici Zaï. Pourquoi tu ne laisserais pas ta haine grandir ? »
· « Ma haine ? »
· « Avoue que tu hais cet endroit ! Avoue-le ! Ne le hais-tu pas ?! Tu le hais n’est-ce pas ? »
· Et Sétoc insista encore et encore, de sorte qu’une nuit, la haine pris le dessus sur tout le reste. Cette nuit là Zaï se retrouva avec une faux dans les mains. Cette nuit là Zaï s’échappa…
· Les quatre ans qui suivirent, Zaï les passa à vagabonder un peu partout. Elle s’engagea dans une troupe de théâtre, fis le ménage chez les gens et se mis à jouer de la musique. Elle devint donc artiste de rue sans jamais être triste de sa condition.
· Un jour alors qu’elle jouait dans une rue fréquentée, au côté de Sétoc qui grommelait dan son coin, on l’aborda pour lui demander de rejoindre une académie.
· Pourquoi pas ?

· Rêves :
Zaï a un rêve qu’elle refuse de s’avouer. Elle voudrait pouvoir retourner chez son père pour l’enfermer dans l’hôpital psychiatrique…

Qui se cache derrière l'écran?!

·Prénom :....
·Age :16
·Comment avez vous connu le forum ôô ? : par un ami
Qu'en pensez vous ? : pas mal sinon je serais pas là
·code ? :|validé|