Marie-Emilianne Van Der Woodsen [v]

Prénom & Nom :~~Marie~~- Emi~~lianne~~

Surnom : La gamine, la muette et l’inaperçu.

Age & date de naissance : 11 ans / 3 juin 1998

Niveau scolaire :Primaire de classe B

Ce qu'il pense de l'école: Maintenant qu’elle y est arrivée, on peut dire qu’Emi prendrait l’école comme.. Un labyrinthe! Elle n’arrête pas de se perdre dedans, se retrouvant jamais à la bonne place. Sinon, l’école est plutôt l’enfer pour elle, mais ce monde commence peu à peu à lui plaire et elle espère ne pas détruire celui-ci.. Pour ce qui est d'être pour ou contre l'école.. Comment peut-on avoir un avis lorsqu’on ne connaît même pas la situation? Peut-être que si on lui explique la véritable situation dans lequel elle se trouve, elle peut-être pourrait-elle choisir d’être avec ou contre l’école..

Qualités & Défauts :
Une qualité.. Un défaut.. Elle en a sûrement car même une petite princesse ne peut être parfaite. Se sera à vous de trouvez ces détails.. Pas à elle de vous les dire..

Aime & aime pas :
La musique classique,délicate ou douce. La rap et le punk, ce n’est pas pour elle. Elle adore les peluches et les friandises, surtout les suçons à la cerise ou au melon. Elle adore aussi les glaces surtout celle à la banane. Elle adore également le chocolat noir et au lait mais déteste le chocolat blanc. Bref, elle adore les sucreries ayant une saveur d’un fruit qu’elle aime et qui est sucré.
Les hypocrites, les menteurs. Lorsqu’on parle d’alimentation, elle déteste ce qui est épicé, poivré ou trop salée. Elle déteste également le poisson ou tous aliments venant de la mer.

Marie-Emilianne Van Der Woodsen [v] Prsentation

Marie-Emilianne Van Der Woodsen [v] FichePsychologie

Caractère :
Lorsque vous voyez un livre grand ouvert devant vous, que faites-vous? Normalement, vous allez le lire un peu. S’il vous intéresse alors vous allez continuer. On peut comparé l’enfant à cet objet étant donné qu’on peut la lire très facilement ou peut-être que non.. Ses mouvements, ses manies, ses tics, tous ses éléments permettent de la comprendre un peu. Plongé vos yeux dans les siens et vous verrez sûrement l’état d’âme de l’enfant. Vous apercevrez sûrement cette petite lueur, très fine et presque éteinte, d’espoir. Ce détail qui semble faire briller cette gamine est important, mais peut être malheur à observer. Comment allez-vous réagir en voyant une si petite créature qui ne voudrait que pleurer? Comment allez-vous réagir en découvrant que cet enfant est encore pire que ce que vous pouvez voir? Elle est fragile, glacée, faible, sans confiance, mais elle a une âme encore plus brisée à l’intérieur. On peut la voir comme étant un flocon de neige ou alors un bloc de glace qui prend la forme de son cœur. Tout comme cet élément blanc de l’hiver, elle est froide, pouvant fondre parfois lorsqu’on lui offre un peu de cette chaleur qu’elle n’a pas, lorsqu’on lui ouvre grand les bras pour qu’elle aille s’y réfugier. Ce petit point dans sa poitrine n’est pas aussi parfait qu’il devrait l’être. Plusieurs fissures se trouvent dessus. Plus que les autres l’ignorerons ou la blesseront, plus ces marques s’agrandiront. Peut-être que l’enfant semble se ficher de se faire foncer dedans, de se faire disputer pour l’avoir fait ou alors ses regards de dégoût et de rage contre elle. Tous ses détails ne font que la briser un peu plus. Imaginer que ce n’est qu’une poupée de porcelaine.. Elle ne se plaindra jamais de son sort, croyant qu’il y a peut-être un peu d’espoir pour elle. Elle ne pleurera jamais en public, elle préfère ne déranger personne. Mais veut-elle vraiment passer inaperçu.. ? Être gênée en permanence de l’aide pas toujours. Elle a de la difficulté à s’exprimer, vous l’avez sûrement remarqué si vous l’avez rencontré. Au moins, compter vous chanceux qu’elle parle à présent. Autrefois aussi silencieuse qu’une tombe, elle accepte à présent de dire quelques mots, mais toujours de cette petite voix faible et sans confiance apparente. Si vous le demander de sourire, elle vous adressera sûrement celui qui est le plus simple à faire. Celui qui donne cette allure mélancolique sur son visage, un simple étirement de ses lèvres, mais ses yeux gardant cette marque d’inquiétude ou de crainte. Cependant, il pourrait arrivée qu’elle vous fasse l’un de ses précieux sourires. Ceux qui sont d’un blanc éclatant et accompagnée de deux yeux rieurs. Il y aura sûrement un petit rire qui l’accompagnera, comme le rire d’un petit lutin ou alors d’une fée. Il sera doux, résonnant dans vos oreilles comme si quelqu’un aurait frappé d’un simple petit coup de baguette, un triangle. Allez-vous être capable d’avoir la confiance de l’enfant? Allez-vous réussir à avoir l’un de ses sourires.. ? Tentez de la découvrir pour cela.. Les livres peuvent parfois cachés des éléments de l’histoire..

Phobies & Peurs :
Vous pensez que cette petite créature ne peut avoir peur de rien.. ? Alors vous vous trompez puis que c’est tout le contraire. Cette gamine a sûrement plus de peurs que vous ne le croyez, la plupart n’ont aucune raison d’exister ,mais elles y sont tout de même. Celle qui la dérange le plus est sûrement sa phobie du sang étant donnée qu’elle se blesse souvent. Juste voir quelques gouttes lui donnent le haut de cœur, sinon, sa tête tourne ou se balance sans qu’elle s’en rende compte. Comment savoir si elle en voit, regarder son visage. S’il devient aussi blanche que ses cheveux, alors tenter de faire changer ses pensées très rapidement sinon vous allez vous retrouvez avec une poupée de chiffon sans vie, inconsciente. Une autre phobie qui peut être très dérangeante est celle du noir surtout que l’enfant dort très peu. Elle a souvent quelques choses qui brille près d’elle pour lui permettre de s’éclairer un peu. Cela explique pourquoi elle traîne souvent une petite lampe de poche avec elle. La jeune enfant a également une peur inexpliqué pour l’eau et le feu. Elle ne s’approche que rarement des piscines et ne compter pas sur elle pour un feu de camps. Elle déteste la pluie, mais cela n’est pas une peur. Sa dernière peur est plutôt fréquente et très simple. Elle a horreur des orages et des éclairs. C’est impossible pour elle de rester calme lorsqu’elle voit le ciel se déchirer dans un bruit terrifiant. Elle a la même réaction qu’avec sa phobie du noir. Elle se roule normalement en boule ou se bouche les oreilles, ferme les yeux en chantonnent une petite chanson.

Tics & Manies :
Marie-Emilianne est très simple à lire par ses gestes. Par exemple, lorsqu’elle est triste, elle a l’habitude de regarder le ciel par la fenêtre ou tout simplement en se couchant dehors. Lorsqu’elle est gênée, elle observe le sol, la pointe des ses pieds ou simplement ses doigts. Quand elle a honte, elle regarde vers la droite ou la gauche en se mordant le coin de la lèvre inférieur. Lorsqu’elle ment, ce qui est très rare, elle se liche souvent les lèvres d’un geste répétitif ou alors, elle parle très vite.

Autres :
Elle adore le dessin et à un certain talent pour celui-ci malgré son jeune âge. Les traits ne sont pas parfait, certes, ils sont plutôt bien réussi.. Elle sait jouer du piano sans difficulté depuis qu’elle est très jeune et elle a appris le violon lors de ses dix ans. Cependant, si vous l’entendez jouer d’un instrument, il y a plus de chance que ce soit le piano que le violon, préférant la sonorité de cet instrument à l’autre. L’enfant a également un grand savoir contrairement à ce que l’on peut penser. Elle adore se plonger dans les livres pour apprendre et a une plutôt bonne mémoire.

Rêves : Pouvoir toucher le monde sans avoir peur de les blesser. Elle fait également toujours le même rêve lors de son sommeil. Un lieu chaud, agréable, plein de couleur et inexistant. Une sorte de plaines verdoyantes où le vent caresse doucement les hautes herbes. Elle est là, au milieu d’eux à regarder les animaux s’approcher d’elle sans danger. Elle peut les toucher sans les tuer. Un rêve cependant

Qui se cache derrière l'écran?!

Prénom : Roxane
Age : 14 ans
Comment avez vous connu le forum ? : Par des milliers de lien de partenariat.
Qu'en pensez vous ? : J’adore sinon, pourquoi serais-je inscrite? XD

code ? : [ Code Bon By La Femme En Sucre ]

Marie-Emilianne Van Der Woodsen [v] FicheApparence

Vestimentaire :

L’uniforme? Cela n’est pas le vêtement qu’elle porte le plus souvent puisqu’elle ne l’aime pas, étant trop mince et peu réchauffant. Sa garde-robe regroupe plutôt des robes, des jupes, quelques chandails à manche courte, mais la plupart avec des manches longues. Elle porte parfois des jeans ou de simple culotte courte, mais elle aime bien les salopettes ce qui lui donne un air de fille des champs. Son style vestimentaire est plutôt unique, allant vers du moderne, parfois du médiéval ou simplement vers des vêtements de style classique. Elle aborde des habits dans des couleurs plutôt terne, n’aimant pas ce qui est très flash sauf lorsqu’on parle du rouge cerise. La plupart des ses tenues ayant des manches sont trop grande pour elle, protégeant ses mains de tous contacts ainsi. Elle a également remarqué qu’un vêtement ample était plus chaud qu’un vêtement moulant. Cette gamine a souvent un collier sous sa veste, celui que sa mère lui a donné C’est un simple médaillon en forme de bonbon dure qui peut s’ouvrir, laissant ainsi voir sa mère et son père lorsqu’elle était plus jeune.

Physique :

D’anciennes origines suédoises font que l’enfant a les cheveux blonds.. Du moins, avait les cheveux blonds. Maintenant, l’ancienne chevelure d’une magnifique couleur doré et bougeant comme le blé des champs au gré du vent est devenue d’un blanc pure, mais opaque. Ils sont longs, arrêtant aux milieux de son dos. Pourtant, il y aurait bien des matins où elle prendrait une paire de ciseaux pour les couper à la base de son menton. Dure à coiffer? Pas du tout puisqu’ils sont aussi lisses que de la soie et légèrement ondulé vers la pointe lors des journées pluvieuses. Normalement, il ne soit pas attaché, mais on peut parfois la voir avec ses petites couettes, une ou des tresses, en chignon ou tout simplement avec un bandeau. Il lui reste encore un élément de ses origines venant du côté de sa mère, ses grands yeux d’un bleu hypnotisant. Pourtant, ils sont eux aussi particulier. Ces derniers brillent comme deux petites pierres en plus d’être d’un bleu si pâle qu’on dirait plus un blanc ou alors un bleu poudre. Elle a aussi des origines japonaisses du côté de son père et d’Alice, expliquant pourquoi elle a ce teint plutôt foncé malgré qu’elle ne sort pas souvent dehors.. On pourrait confondre l’enfant avec un gamin de neuf ou huit à cause de sa grandeur et à cause du fait qu’elle a presque le même poids qu’un sac de sucre. Les traits de son visage de ne l’aide pas non plus. Un peau lisse et soyeuse comme celle d’un bébé, deux pommettes souvent d’un rouge écarlate, de petits sourcils minces et blanc et cette petite bouche aux lèvres rosées. Pourtant, malgré que l’on voudrait faire un câlin à l’enfant, mieux vaut éviter.. Son corps est froid, glacée et cela à cause de son pouvoir. Même si on l’annulerait, il resterait tout de même froid ,mais un peu moins certes.. Plus tu t’approches, plus elle recule. Pourtant, ouvre quand tes bras et elle se réfugiera dedans..

♦ Extrait du Journal de Marie-Emilianne ♦

« Mon passé m’est encore flou et cela est plutôt normale dans mon cas.. Cependant, je préfère commencer par le tout début avant de te raconter cette autre partie.. Selon les dires de ma mère, Alice Bass, mon histoire commencerait le 23 octobre 1997, le jour où elle apprit que j’étais en train de me développer dans ses entrailles. Mon père, Nathan Van Der Woodsen , ainsi que ma mère étaient plus qu’heureux de m’avoir. Leur vie se déroulait comme il l’espérait. Alice et Nathan sont amoureux depuis leurs adolescences malgré quelques problèmes. Ma mère provient d’une riche famille européenne. Celle-ci a de vieilles origines suédoises du côté de sa mère ce qui me fit hériter de sa chevelure blonde et de ses grands yeux bleus. Le seul détail était que les miens étaient beaucoup plus pâles que les siens qui se trouvaient presque d’un bleu marin allant vers le noir. Son père est un japonais originaire de Tokyo expliquant comment elle a découvert celui qui prend place de paternel dans ma vie. Mon père est originaire des Etats-Unis où il vivait avec sa mère. Cependant, lors de ses 13 ans, il est parti rejoindre son vrai père à Tokyo. Celui n’étant qu’un pauvre homme, mon père a dû faire ses études dans une école public et peu coûteuse de son coin. Si Alice allait dans une prestigieuse école privée et que Nathan allait dans cette école minable, comment se sont-ils rencontrés? Dans ses temps, mon père était un gars de fête et il se trouvait à celle où il n’était pas invité. Ma mère était allé à une soirée organisée par son amie, une soirée chic pourtant. Cependant, Nathan est arrivée avec ses copains et on décidé de mettre de l’ambiance.. C’est ainsi que mes parents se sont rencontré.. Suite à cela, mon père a obtenu de l’argent pour aller étudier dans la même école qu’Alice et ils ont enfin plus être ensemble jusqu’à ce qu’il m’est..

Mon monde était parfait. Je vivais dans une énorme maison constitué de trois étages si on comptait le sous-sol. Tout était simple ,mais très chic et surtout, très chère. Ma chambre valait sûrement plus que ce que gagnait nos voisins en un mois. J’étais gâtée et je m’en rend compte que maintenant.. Mes parents me donnaient toujours tous ce que je voulais, mon père surtout. Ma mère n’était pas toujours d’accord avec lui, mais elle acceptait pour ne pas que je lui fasse une crise en public. Mon lit suspendu au milieu de tout. Dans un coin, on trouvait l’ordinateur le plus puissant qu’il y avait sur le marché. Sur une tablette, diverses étuis, la moitié pour mes différents cellulaires, tous de couleurs différentes et d’un style différent. L’autre moitié était mes différents MP3. J’étais une gamine qui vivait dans un monde technologique et qui n’avait rien à faire à part rester assise sur une chaise. J’avais deux bonnes pour moi toute seule. L’une pour faire ma cuisine et m’apporter ma nourriture dans ma chambre, l’autre pour faire le ménage de ma chambre et faire mes courses. L’extérieur de la maison était également particulier. La maison était recouverte de plantes grimpantes sur le long de la cheminée de brique rouge qui s’harmonisait avec le reste et les grandes fenêtres. À l’arrière, dans la cour, on trouvait un monde empli de fleurs de toutes les couleurs et de toutes les sortes. Dans le fond totale, on trouvait un petit jacuzzi puis une piscine à l’autre bout. Je me souviens pas vraiment du reste de la maison sauf ce barbecue où mon père faisait cuire ses poissons.. poissons de l’espace en fait. Je jouais avec mon cadeau de fête de mes 6 ans ans. C’était un magnifique petit chiot que j’avais vu lors d’une marche avec mes parents. Il avait un pelage d’un blond allant vers le blanc et ne dépassait même pas mes genoux. Je me rappelle que je lui lançais un bâton pour qu’il aille le chercher, mais il ne bougeait pas. Il était un Shiba Inu pure race et je croyais qu’il était déjà un chien dressé et obéissant. Voyant qu’il ne réagissait pas, je m’étais mise en colère pour aller voir mon père. Il n’était pas là où je le croyais, me lançant devant les poissons de l’espace! Pourquoi les nommez ainsi? Simplement parce qu’il était emballé dans du papier d’aluminium et que j’associais toujours l’aluminium avec l’espace pour une raison que j’ignorais.

Nathan était finalement revenu et me voyant donner des coups de pied au nain de jardin décoratif à côté de la porte qui donnait à l’extérieur, il ne fût pas très content. Ce simple objet était une antiquité qui valait beaucoup d’argents. Il me demanda ce qui m’arrivait et je me mise à crier après lui, demandant un nouveau chien en sortant toutes sortes de raison. Ce chien est trop laid.. Il n’écoute pas… Je suis sûre que ce n’est même pas un chien! Il est aussi stupide que toi.. Cette dernière phrase avait été la dernière que j’eu dite comme explication puisqu’il se mit rapidement en colère. Mon paternel prit mon bras très fortement, coupant même ma circulation sanguine. Il me traîna vers lui alors que je tentais de fuir, me rendant compte des mots que je venais de dire.. Il avait plié un genoux alors que l’autre était plaqué contre le sol. Il me plaça contre mon gré sur celui-ci, disant qu’il allait faire ce qu’il aurait dû faire depuis longtemps. Ma main se colla à son bras dénudé de tissus, souhaitant de tout mon âme qu’il meurt sur le coup ou alors qu’il me lâche. Dieu avait-il entendu mes prières? Oui.. Sûrement.. Mais il les avait réalisé d’une façon que je déteste encore aujourd’hui.. Nathan ne bougeait plus, il n’avait que des spasmes. Pourquoi? Parce que je découvrais mon don très soudainement.. Ses lèvres, ses douces lèvres qui baisaient mon front le soir lorsque j’allais dormir, étaient d’un bleuté allant vers le blanc tout comme son visage. Ses yeux semblaient plongé dans le vide et il ne bougeait pas.. Je l’avais lâchée rapidement , effrayée par l’évènement pour finalement aller faire mon petit chien qui jappait encore.. Ce passage.. Je m’en suis rappeler il y a peu, la nuit dernière en faite.. Je déteste encore plus ce pouvoir maintenant.. J’ai pris le chien dans mes bras afin de le faire taire ,mais lui aussi s’arrêta de bouger dès mon contact. Lui qui était si chaud normalement était devenu aussi froid qu’un glaçon. Je l’es lâché rapidement et me suis mise à courir.. courir..

Je cherchais maman.. Mais, je savais qu’elle n’était pas dans la cours. Elle nous avait laissé en nous disant qu’elle voulait aller rendre visite à notre voisine. Je parcourais la cours pour me rendre devant la maison en courant, les yeux fermés, brouillés par les larmes qui coulaient. Je risquais de tomber de maintes fois ,mais je me rattrapais toujours avant que mon visage rencontre le sol. J’essuya mes larmes et regardait ma mère, souriante de toutes ses dents avec notre voisine. Sans regarder des deux côtés de la route, je traversais pour la rejoindre.. Malgré cela, je ne plus me rendre sur le trottoir d’en face, me faisant heurter de plein fouet par une voiture. Contrairement à ce que tous les blogs racontaient au sujet des accidents de voiture, je ne tomba pas dans les pommes, ma courte vie ne défila pas devant moi. Je ne ressentais que ce froid intense qui m’empêchait de bouger. J’entendais les cris des passants, ma mère qui pleurait, les freins d’une voiture qui n’arrêtaient pas puis un impact puissant. Je ne pouvais fermer les yeux sur le spectacle que je voyais, spectacle qui m’effrayait.. Du rouge.. Tout était masqué de rouge. Je sentais quelques choses coulés le long de mon visage, glissant sur mon menton avant de tomber sur mon cou. Même sensation sur le long de mon nez avant de couler dans ma bouche.. Le goût amer me leva le cœur ,mais je ne pouvais dégobiller. La route était tâché de rouge, mon sang en fait. J’étais en train de faire une hémorragie si je me trompais pas sur le dernier livre que j’avais lu. Je voyais également le visage de ma mère, en panique qui à l’aide de son cellulaire appelait une ambulance. Puis le reste est devenu noir.. si froid, si sombre.. J’avais l’impression de dormir dans un cube de glace.. Incapable de bouger..

Puis un matin, je me suis réveillée.. Je n’étais pas dans ma chambre, mais dans une affreuse pièce blanche à l’odeur peu agréable. Le première chose que j’aperçu était ma mère me tenant la main ainsi que celle d’un homme aux traits inconnus pour moi.. Par pure sécurité, j’avais retiré ma main de celle de ma mère qui était plus chaude que la mienne. Pourquoi l’était-elle? N’avions-nous jamais eu la même température corporelle? Pourquoi me trouvais-je à l’hôpital aussi? Mes yeux s’étaient ensuite posés sur cette peluche. C’était un canard d’un jaune doux avec , autour du cou, un petit nœud d’un bleu marin sur lequel on trouvait des imprimés d’étoiles. J’ai pris la peluche et me tourna va ma mère pour lui demander qui était le monsieur près d’elle. Sans que je comprenne, elle avait éclaté en sanglot avant d’aller dévoiler mon état aux médecins. Ces hommes habillés de blanc de la tête aux pieds m’effrayaient. Je ne suis pas retourné dans ma maison avant un certain moment. On m’a gardé en observation à l’hôpital , me faisant passer plusieurs tests par jour et pendant ce temps, ma mère vendait notre charmante maison pour une plus petite qui nous était plus utile et économique pour payer mes frais médicaux. Chaque matin, on me donnait un bon déjeuner ,mais je ne mangeais rien, n’ayant aucune appétit. On me faisait penser un test sanguin puis ensuite on vérifiait mes réflexes. Vers le fin de l’avant-midi, j’avais une séance avec un psychologue afin de tenter de retrouver mes souvenirs ,mais celles-ci ne donnaient aucun résultat. L’après-midi, on me faisait passer des radiographies et d’autres tests pour mes différents sens. Bref, je n’avais que la soirée pour me reposer en paix pour recommencer cela le lendemain.

Le 20 décembre de mes 9ans, on me laissa enfin quitté l’hôpital. Mon nouveau chez moi était parfait, chaud et accueillant, je ne pouvais le détester. Une nouvelle vie commençait pour moi. Cependant, je faisais ce rêve tous les soirs. Je me trouvais au centre d’un cercle formé par des feuillus. Chaque nuit, un nouvel élément se rajoutait et c’est ainsi que j’ai pris l’initiative de dessiner mes rêves ayant rapport avec celui-ci. Pourtant, il m’arrivait de faire plusieurs cauchemars sauf que le mien était sûrement plus traumatisant que ceux des enfants normaux. Maintenant, je comprend que ce que je voyais n’était nulle autre que mes souvenirs. Je me souviens du jour où j’ai commencé à avoir peur des orages.. Je venais de faire un cauchemar, il était très tard. Je m’étais réveillé en sursaut suite à un haut de cœur terrible d’un rêve peu agréable. Une vue emplie de sangs.. Les cris des passants, les freins d’une voiture. Bref, la scène avant mon coma. Dans ma chambre, je n’entendais que le bruit de la pluie battant avec l’aide du vent un rythme sur ma fenêtre. Sur le mur, d’énormes ombres noires bougeaient, les branches du chêne devant la vitre.. Je mettais levé de mon lit pour aller rejoindre ma mère, mais lorsque je suis arrivée, la chambre était vide. J’étais enfant et surtout inquiète de me trouver seule. Je suis sorti dehors pour aller voir si la voiture s’y trouvait, mais l’orage grondait. Un éclair déchira le ciel en deux puis un autre. La porte s’était refermée derrière moi, m’empêchant de rentrer à nouveau puisque je ne réussissais jamais à l’ouvrir à cause de son système plus compliqué que simple poignée qu’on tourne. J’ai voulu aller chez les voisins, cependant, j’étais terrifié à l’idée de bouger à cette température. Ma mère arriva un peu plus tard. Elle avait profité de mon sommeil pour aller voir mon père, mais elle ne trouva que sa fille terrifié en boule dans un coin de l’entrée. Le reste de la semaine, j’avais une énorme fièvre et je ne pouvais quitter le lit.. Je ne comprendrais sûrement jamais pourquoi j’ai aussi peur du noir et des orages ,mais cette situation est la seule qui m’aide à comprendre..

Ma vie a continué jusqu’à ce que j’ai 11 ans. Le dernier moment qui me semble important à te nommer est celui de mon anniversaire, le dernier que je vivais avec ma famille. Des ballons, de gros ballons de toutes les couleurs. Sur chacun d’eux, une petite phrase était écrite avec un marqueur de couleur. Sur lui qui était blanc, on avait dessiné le chiffre neuf avec des yeux, une bouche et des membres. Un lapin était dessiné sur un autre. Chacun avait un animal de tracé dessus puis une petite phrase. Des cordes multicolores les retenaient au sol à l’aide d’un sac de sable. Ma famille était dans le salon de ma maison. La télévision était allumé et assis sur le sofa devant celle-ci, on retrouvait mes grands-parents, seulement ceux du côté de ma mère, ma tante, ma marraine et quelques uns de mes cousins. J’était resté auprès de maman tout le long de ma fête, n’aimant pas trop la compagnie des autres. Il n’y en avait qu’un seul qui me plaisait et c’était Piopi. En fait, c’était mon grand-père, l’être le plus gentil que je connaisse. C’était le seul à ne pas poser de questions à maman sur mes cheveux de couleurs à présent blanche. Il se fichait que j’étais plus froide que mes cousins, c’était une raison selon lui pour que je lui fasse de câlins. Maman tentait désespérément de me faire jouer avec ses neveux, mais je restais soit derrière elle ou soit sur les genoux de grand-père. Soudain, la lumière s’était éteinte et mon grand-père du côté maternel me donna un baiser sur le front alors que mère chantait ma chanson préférée, Dango Daikazoku. Mon grand-père.. Il était différent de ceux que je rencontrais lors de mes marches pour me rendre à l’hôpital lors de visites pour aller voir Nathan ou alors pour mes tests médicaux. Il avait ses épais sourcils blancs, rude et sec, qui semblait en formé qu’un seul lorsqu’il riait ou qu’il était en colère. Il avait des rides, certes, mais elles ne faisaient que rendre son visage plus accueillant. Ses mains étaient géantes comparées aux miennes. Sa peau était loin d’être douce, mais j’aimais quand même sentir ses mains sur les miennes. Puis, il y avait son ventre, rond mais confortable qui ressemblait à un oreiller parfois. Cependant, ce vieil homme aimait beaucoup me chatouiller, le seul à réussir à me faire rire et sourire ainsi. Bref, j’étais assise sur les jambes de mon grand-père lorsque ma mère arriva en fermant les lumières, il n’y avait que le gâteau et ses bougies qui éclairaient la pièce. La pâtisserie avait la forme d’un dango comme les dessinait maman. Il avait sûrement été fait par celle-ci en plus. On donna à tous une partie et je mangeais ma part avec Piopi. La fin de la fête arriva rapidement suite à la remise des cadeaux et les baisers baveux que je détestais recevoir. Il n’y a que Piopi qui fait des doux baisers secs sur mes petites joues ou sur mon front. Lorsque tous les invités avaient quitté la place, grand-père m’a donné un paire de gant pour éviter que j’aille froid lors de mes marches ainsi qu’un collier avec un bonbon comme symbole.Alice m’a donné mon cadeau après le départ de Piopi et je l’es encore avec moi aujourd’hui. C’était un cadran en forme de bonbon bleu et blanc. Je l’avais adoré l’avait adoré puisque je l’avait demandé lorsqu’elle je l’avait aperçu devant une vitrine.

Pour remercier ma mère, je lui avait donné un câlin et c’est à ce moment que j’ai retrouvé mes souvenirs.. en utilisant de nouveau mon pouvoir sans le vouloir. À ce jour, je su que mon pouvoir était toujours permanent et j’ai arrêté de toucher toutes personnes même Piopi. Ma mère a contacté un contact qu’elle avait puis m’a envoyé ici, dans cette école où tous étaient comme moi..Ainsi, dans l’ombre de la nuit, une voiture vint me chercher pour m’amener loin là-bas.. »

Mon histoire continue encore..

Pouvoir
Un don plutôt particulier d’une certaine façon, peut-être était-il simple aussi? En quelques mots, cela se résume à être le blocage des sens par effet du froid. Pourtant, ce don a plusieurs méfaits autant pour la victime que pour celle qui l’utilise..
Ce don a plusieurs stades qui impliquent chacun des sens du corps humain. Ce pouvoir touche toujours le sens du mouvement. Cependant, plus de contrôle elle aura sur son don, plus le temps qu’elle bloque le mouvement augmentera. Elle peut pour le moment que bloquer le toucher. Brièvement, vous ne sentirez plus rien, sauf la faible pression de l’enfant sur votre peau et le froid qui l’accompagne. Elle est capable de bloquer pour quelques secondes votre vision ou alors vos gestes, mais seulement pour quelques secondes. En améliorant son don, elle sera ensuite apte à vous retirez vos autres sens; Odeur & Goût, Ouïe et Vue; Cependant, dès que le contact entre vous et elle sera terminé, vous retrouverez tous.. du moins peut-être.. Un jour, elle n’aura peut-être besoin que d’être à quelques pas de vous pour vous touchez par ce froid intense..

Comme dit précédemment, son pouvoir a plusieurs méfaits. Lors d’un contact trop prolongé envers quelqu'un, celui-ci a divers risques au niveau de sa santé. Étant donnée que la base de son pouvoir touche le froid, elle diminue tranquillement la température corporelle, allant jusqu’à pouvoir vous entrez dans le coma. Le seul problème que rencontre celui qui se fait toucher. Mais pour elle, chaque jour peut devenir un enfer à moins qu’il le soit déjà.. Au premier regard, cette chevelure qui semble blonde de loin est d’un blanc pure suite à la découverte de son pouvoir. Sa température corporelle est également très froide, mais cela est sans risque pour elle sauf sur un détail, son sommeil. Des insomnies de plus en plus régulière et des nuits de sommeil plutôt courte, allant de 2 à 4 heures parfois.. De plus, son pouvoir est toujours actif, expliquant sûrement la fatigue qu’elle accumule de jours en jours. Qu’arriverait-il si on couperait les liens de son don? Peut-être pourrait-elle tout simplement mourir sur le coup ou alors, elle aurait un certain malaise. Comment réagiriez-vous si pendant pratiquement 5 ans, votre corps est glacé et soudainement, il commencerait à devenir chaud? Elle l’ignore elle-même puisqu’elle ne se pose pas vraiment la question.

Pour aider l’enfant, celle-ci a obtenu un de ses fameux objets pour avoir un meilleur contrôle de son don. Il est toujours actif en permanence ,mais l’enfant devra se forcer un peu plus pour pouvoir l’utiliser comme auparavant. Ainsi, le contact envers un autre pourra être plus prolongé sans pour autant risqué de l’envoyer dans le coma. Son sommeil pourra peut-être être un peu plus long et meilleure pour la santé de la jeune gamine. Ainsi, à son poignet, on retrouve une petite chaînette doré qu’elle ne peut enlever ,mais qui bouge librement sur son bras. Une petite clochette y est accroché , faisant une simple mélodie que l’enfant adore.
Spoiler:

Et vous, comment allez-vous sentir son don? Allez-vous ressentir un simple frisson ou un froid aussi intense que si vous étiez au milieu d’une tempête vous parcourir de la tête au pied? Allez-vous repoussez l’enfant par pure défense ou alors, la laisser faire?