le temps d'un après midi...(pv: libre)

Invité

Ai était sortit des cours, plus rien ne l’intéressaient, seulement à sa solitude, elle regardait le ciel, nostalgique, elle vit des oiseaux passer au loin et ce poser sur des branches d’arbre, le regard complètement perdue, le vent ce levait, la brise légère lui caressait ses cheveux blanc.
Elle regarda par terre, le sable se déplaçait aussi, elle s’assit à l’ombre d’un arbre, un Chêne sans doute et commença à sortir une petite bouteille de saké, et ainsi qu’une cannette de bière bien fraiche et commença à boire très lentement le liquide ambre de la canette.
La bière dégoulinait le long de sa joue blanche et elle lécha le liquide. Elle tentait d’oublié cette journée désastreuse, malheureusement l’alcool n’avait aucun effet sur elle et Ai continuait à boire de longue et interminable gorgé de bière.
Elle s’arrêta de boire un petit instant, le temps de reprendre la cour de ses pansées.
Ai Enma était si seule, elle ce rappela de ce mec quelle avait jeté l’année dernière pour quelle puisse entrer dans cette école sans remord, mais maintenant elle ce dit que finalement peut-être elle n’aurait pas due le faire, ce garçon étais la seule chose qui comptait pour elle avent, mais maintenant elle n’avait plus personne.
Ai caressa l’herbe doucement comme si l’herbe était vivante, elle souleva la tête et arrêta son regard sur une branche d’arbre où un petit écureuil était perché puis l’écureuil tomba, Ai repris ses esprits et forma une petite sphère autours du petit animal et pu le relâcher, l’écureuil ce retourna vers elle comme pour lui dire merci et Ai dit :

« De rien petit écureuil, mais fait attention la prochaine foi ! »

Elle sortie cette phrase comme l’aurait fait une petite gamine de 6 ans. Et repris le cours de sa pensée.

Récolter-moi des info sur les universitaire ; message très simple à comprendre ...

Marya dans le batiment des universitaire ; en gros, une paumée aux cheveux blanc et à l'uniforme des collègiens avec une geule impassible limite agressive à faire peur d'un metre soisente-dix planté au mileu des couloir, les yeux planté vers le sol mi-clos, se relevant quelque rare fois pour quelques photos mentales de visages d'adultes étudiants. Oui, car c'était les son qui interessait Marya, et c'est fou ce qu'un couloir est une source d'informations ; un puit sans fond, en fin de compte, composé de ragots dont les deux tiers sont un rammassi de mensonges, de chose lié aux devoirs etr aux études, et le plus impostant en ce moment, juste après les changement de classe, les départ ou stationnement des gens. Oui, car un universitaire qui reste à Takuetsu juse ses 24 ans, c'est un universitaire qui est soit apperé par le monde exterieur, soit franchement accroché à cette académie (et du même coup, devinez qui).

Après avoir rempli de moitier sa capacité intelectuelle de mémoire (ce qui représantait un bon paquet, car vous connaissez le magnéto) elle fini par arrivé à la court interieur ...

D'un coup, tout s'arêta dans sa tête. Elle releva les yeux : ce batement de coeur, elle le connaissait ; trop bien même.

Tout ce qu'elle venait d'enregistrer passa au second plan. Puis au troisième pour finir enfin dans le trou obsure qu'était sa mémoire morte. Son air agressif disparu entièrement, et elle fini par n'avoir qu'un visage calme, prèsque endormi, presque serain ; il ne manquait plus que le sourir, et elle se changeait en statue de Boudha.

Un pas devant l'autre, lentement, elle s'avança. L'arbre de la cours goudronnée empechait la lumière du soleil de les élairé, mais peut importe. Il n'y avait pas besoin de jour pour reconaitre une soeur.

-Isachiburi dane, Aï-san.

Lorsque son professeur de d'art plastique la regarda, Marya aurrai voulu sourir, comme quand elle était enfant. Mais elle ne pouvait simplement plus.

-Ontoni gomenasaï. je vous ai causé beaucoup de soucis.

Tout su long, elle fut froide, simplement polie et droite, comme on lui avait toujours apris ; la jeune fille modelle qu'elle aurait du devenir pour le clan ; mais aujourd'hui, à part metre la queue entre les jambe, cela lui était inutile.

Puis elle s'avança nonchalament pour s'écraser à côté d'elle, puis son air polie disparu ; elle était moins tendue. Impassible toujours, mais plus chaleureuse ; comme quand on reprend une vielle habitude.

-Onto omae ra ! Akushu dato. Beer, Sake ? Omae yopparu nai desho ?
[Marya parle en laguage des hommes avec un ton familier voir vulgaire]
[Toi, vraiment ! Ça pue [mauvaise odeur] Bière, Sake, tu n'est pas ivre n'est-ce pas ?]

Elle se mit à côté d'elle et respira un grand coup.

-Taku, 'mae kensai desuka ?
[Idem pour le language]
[Vraiment, t'es en bonne santée au moins ?]

Puis elle ferma les yeux, repris d'un ton plus calme :

-Yooï janai desho ? Koko ni ...
[c'est pas facile hein ? Ici ...]

Aï-nee ... Iroï iroï no koto ... kawaru desne ...
[Aï-sis' ... Beaucoup de choses ont chager n'est-ce pas ?]

Nous ne sommes sans doute plus les mêmes ... j'ai grandit, et peut-être pas dans le bon sens ... Mais j'accepterai tout ce que tu voudra m'apprendre.